Religion dans le feuilleton

La religion est un thème très présent dans les feuilletons au XIXe siècle.

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Vie et lieux de croyance

La religion est une toile de fonds pour de nombreux textes. Un certain nombre de romans ont pour cadre des lieux de croyance :

On rencontre également des descriptions du mode de vie ecclésiastique et des personnalités des prêtres :

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La foi

D’autres textes font apparaître la foi dans leur intrigue. Celle-ci peut-être un élément un peu faux, surtout social :

Dans d’autres cas, il s’agit néanmoins d’un sentiment profondément ancré dans les personnages :

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Le dix-neuvième siècle est un moment fluctuant dans le rapport à la foi. La séparation de l’Église et de l’État n’est inscrite dans la loi qu’en 1905 : l’État français n’est donc pas laïc. Néanmoins, la Révolution française a modifié le rapport du pays à la religion qui, lentement, perd en importance et est remplacée par des magistères intellectuels – qu’incarnent certains auteurs. 

La croyance et l’absence de foi sont donc des éléments fondamentaux de certains romans. Dans les romans de l’époque, cela se traduit par une place non négligeable accordée aux valeurs religieuses (si ce n’est à la croyance) et par une importance des lieux de la religion (couvents et églises notamment) dans les intrigues : on le constate par exemple dans La Duchesse de Langeais de Balzac ou Un prêtre marié de Barbey d’Aurevilly

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