Hôpital militaire du Val de Grâce

Retrouvez ici une sélection de documents relatifs à l'histoire de l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris.

Jean Aimar Piganiol de la Force fait paraître en 1742 : Description de Paris, de Versailles, de Marly, de Saint-Cloud, de Fontainebleau et de toutes les autres belles maisons et châteaux des environs de Paris en  8 volumes. En supplément, cet ouvrage rassemble 88 estampes en taille douce réalisées par le graveur Jean-Baptiste Scotin.

On doit cet ouvrage à Armand Audiganne (1814-1875), économiste et historien, Eugène Carissan et P. Bailly. Les dessins et lithographies sont de la main de Félix Benoist.

Le journaliste Auguste Vitu fait paraître en 1890 cet ouvrage consacré à Paris. Les 450 dessins sont de la main de Gustave Fraipont, peintre, graveur, aquarelliste et illustrateur.

Aristide-Michel Perrot (1793-1879), géographe spécialiste d’art et sciences militaires, fait paraître en 1896 cet ouvrage, illustré de gravures attribuées à Dureau et Couché Fils.

Pendant la Grande Guerre, on crée en 1917 un musée dédié au Service de santé des armées.

En 1924, l’Agence Rol entreprend de réaliser 29 photographies de presse de l’hôpital d’instruction des armées du Val de Grâce (intérieurs et extérieurs).

Janvier Joseph-Jules Servier, médecin en chef à l’hôpital et professeur à l’Ecole de médecine du Val de Grâce trouve le temps de se pencher sur l’histoire de l’établissement dans cet ouvrage.

L'inspecteur général des Monuments historiques et architecte Victor Ruprich-Robert publie en 1893 cette notice descriptive, dans le cadre de l'Inventaire général des richesses d'art de la France.

>

L'hôpital d'instruction des armées du Val-de-Grâce se situe dans le 5e arrondissement de Paris. À partir de 1621, Anne d'Autriche fait construire sur ce site un ensemble de bâtiments conventuels pour la communauté bénédictine du Val-de-Grâce, qui donne son nom à l'abbaye. L'église, confiée à Mansart, est terminée en 1665.
À la Révolution, l'abbaye devient un hôpital militaire. Dès 1796, il se spécialise dans la formation des officiers de santé. À partir de 1850, il prend le nom d'École d'application de médecine militaire.

>