Honorine en feuilleton

•    Amour – Le mariage

Dans le chapitre III, les personnages, à un repas, discutent du mariage et de sa réalité, notamment de l’adultère. C’est l’occasion pour le narrateur de découvrir un secret du mariage du comte Octave : « Cette institution a produit un monde nouveau […] la commission, si jamais… »

Lorsqu’elle est rattrapée par la réalité, et confrontée au chapitre V à la nécessité de revenir auprès de son mari, Honorine s’en déclare incapable, n’étant en quelque sorte plus digne d’être son épouse : « Allez, monsieur, le couvent est […] oh ! jamais. »

•    Le travail – Le monde ouvrier et industrieux

La comtesse Honorine cherche à vivre par elle-même, en vendant des fleurs, sans savoir qu’elle est en réalité aidée par son mari. Fleuriste, sa pratique et son lieu de travail sont présentés au chapitre IV comme ayant une sorte de poésie : « La comtesse avait, à la longue […] dans leur simplicité. » La description ne donne pas réellement à voir un lieu de travail.