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Rodin et le scandale du Balzac

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28 avril 2018

Sur proposition de Zola, Rodin reçoit la commande de Balzac par la Société des gens de lettres, qui la refuse au Salon de 1898. Pourtant, la conception audacieuse de l’œuvre fait entrer la sculpture dans la modernité. Le monument déchaîne une violente polémique où se joue une « Comédie humaine » dans l’ombre de l’Affaire Dreyfus.

Auguste Rodin dans son atelier

Lorsqu’il demande Une statue pour Balzac dans Le Figaro du 6 décembre 1880 (article réimprimé dans Une Campagne, vol. 14), Emile Zola estime que l’écrivain mort en 1850 mérite autant qu’Alexandre Dumas père d’être honoré et milite pour la formation d’un comité. La relation de l’implication de Zola dans ce projet est rapportée en détail dans Zola et la statue de Balzac paru dans le Bulletin littéraire des amis de Zola de 1923.
 
Si l’on ignore comment Zola a connu Rodin, l’évocation réaliste d’un sculpteur désargenté dans L’Œuvre ranime le souvenir de Rodin à ses débuts. Deux articles des Cahiers naturalistes décrivent la rencontre de Zola avec Rodin et leur amitié à travers les lettres échangées autour de la commande du Balzac dans Zola et Rodin ainsi que dans La Correspondance de Zola et Rodin (14 février 1889 – 25 avril 1898) par Joy Newton et Monique Fol :
 

 Dans L’Imaginaire, paru dans Le Figaro du 29 août 1893, Gustave Geffroy se réjouit que la commande ait été attribuée à Rodin à qui il réitère sa confiance illimitée : «… il est arrivé ceci qui est digne de la gloire de Balzac, c’est que cet hommage, si longtemps attendu, sera rendu à l’écrivain par le sculpteur qui pouvait le mieux exprimer cette personnalité dominatrice, ce génie moderne… Balzac mort trop tôt, Balzac, déjà sculpté ça et là de façon insuffisante, courrait encore le risque, à Paris, d’être représenté d’une manière quelconque et de figurer, dans sa propre apothéose, sous une apparence médiocre.»

 
C’est avec un grand enthousiasme que le statuaire se met à l’œuvre face à ce nouveau défi pour la reconnaissance de son talent.
Comme pour son Victor Hugo, Rodin recueille une foule d’informations sur l’écrivain, fidèle en cela à la méthode appliquée par Honoré de Balzac lui-même pour camper ses personnages. Gustave Coquiot consacre dans Le vrai Rodin tout un chapitre à ce long et méticuleux travail de préparation si peu conforme aux attentes coutumières du comité. Rodin relit les grandes œuvres de Balzac et réunit une documentation sur les portraits antérieurs qui le représentent avant de modeler une série de têtes. Il dispose d’un médaillon exécuté par David d’Angers, d’une sépia de Deveria (1), d’une peinture de Louis Boulanger (3) ainsi que d’un daguerréotype possédé par Nadar (4) représentant l’écrivain.

 

 
Dans Balzac et ses oeuvres, Lamartine fait une description fidèle de son ami dont le corps plutôt massif se trouvait allégé par une grande force d’âme :

 

 
S’inspirant de ce portrait, Rodin se rend en Touraine à la recherche d’un modèle natif du lieu ; il le trouve en la personne d’un certain Estager dont il réalise plusieurs esquisses poussant le souci de vérité jusqu’à faire façonner des vêtements par le tailleur de Balzac, Mr. Pion. Cet épisode est décrit, non sans humour, dans un numéro du Bulletin de la Société archéologique de Touraine paru en 1950 ; l’encart cité infra montre comment le sculpteur met en scène son modèle :
 

 
Après le château Renaissance de l’Islette en Touraine, deux autres lieux parisiens servent de cadre aux études du sculpteur. Le premier est situé au 68 Boulevard d’Italie : là, selon un article paru dans Le Gaulois (2 juin 1894), la statue de Balzac, scindée en deux parties composée d’un « Balzac inférieur » et d’un « Balzac supérieur », attend d’être assemblée ; le second est l’atelier des marbres sis au 182 rue de l’Université dans lequel Rodin mène un labeur acharné sur ces maquettes « du matin jusqu’à l’ombre, le maître travaille en proie à l’hallucination grandiose de créer, tour à tour, dans l’exaltation triomphante de la victoire, d’autre fois abattu mais jamais défait, prompt à reprendre l’offensive, ayant vite fait de ramasser son effort un instant incertain et de se précipiter à nouveau vers la conquête » écrit avec un peu d’emphase Jean Ajalbert dans Rodin à l’heure, (Gil Blas, 13 novembre 1894).
 

          

 

L’article s’inscrit dans une grande vague de protestations qui déferle après que la Société des gens de lettre ait posé comme ultimatum à Rodin de « livrer la sculpture dans les vingt-quatre heures », le délai de dix-huit mois étant arrivé à son terme.

« J’ai eu tort, il est vrai, nous dit-il, de ne pas livrer la statue dans le délai convenu, mais je suis bien excusable. Dans ces choses de l’art, on ne sait jamais en effet le temps qu’il faut pour mener une œuvre de ce genre à bonne fin, car ce n’est pas tant l’œuvre en elle-même que sa conception qui exige des recherches longues et pénibles » ainsi se justifie Rodin dans La Presse du 10 novembre 1894.

Le statuaire est tenu de reverser la somme de dix mille francs perçue en acompte. Séverine – qui fut un temps le modèle de Rodin – impressionnée par la maquette découverte dans l’atelier de la rue de l’Université, s’indigne de l’affront fait au sculpteur dans Le journal du 27 novembre 1894 et ne peut se défendre du sentiment que la Société des gens de lettre envisage d’attribuer la commande à un autre sculpteur :
 

 

 
Il semble en effet que Rodin ait un vrai concurrent en la personne du comte Anatole Marquet de Vasselot, sculpteur attitré de Balzac et historien de l’art, qui a la préférence d’une bonne partie des membres de la Société des gens de lettres, comme en témoigne la correspondance échangée entre 1885 et 1891 par des sociétaires favorables au comte - dont certaine lettre s’avère féroce à l’égard de Rodin – publiée dans le Gil Blas du 7 décembre 1894 sous le titre La statue de Balzac : Comédie humaine !
« Les écrivains de la presse quotidienne seront honorés de marcher derrière Jean Aicard pour défendre la cause de l’art contre les entreprises de Tartempion. Il n’a pas plu au président de la Société des gens de lettres de se considérer comme le chef d’une société commerciale » écrit outré Georges Clemenceau dans La Justice du 1er décembre 1894. Jean Aicard, le successeur de Zola à la présidence de la Société des gens de lettres, suivi par sept membres du comité, donne sa démission, qu’il justifie dans L’art au-dessus de l’argent (Le Figaro, 3 décembre 1894). Une lettre de Zola, envoyée de Venise et datée du 8 décembre 1894, arrive pour supplier Rodin de se presser, au moment où le sculpteur, en renonçant à son acompte, échappe à la contrainte des délais de livraison comme le stipule l’article 3 du nouvel contrat relatif à La statue de Balzac.
 

 
« C’est donc bien entendu. Le puissant artiste aura le droit désormais, en ce qui concerne le monument de Balzac de faire passer la satisfaction de sa conscience avant le jugement de quelques plumitifs qui ne comprendront jamais les enfantements du génie et la douleur qui s’y rattachent » écrit Pierre Sandoz en conclusion de cet épisode dans La Semaine artistique du Monde artiste (18 novembre 1894).
« Mr. Rodin se presse lentement. Il ne veut rien livrer qui ne soit digne de Balzac et de lui-même.» note, non sans ironie, René Doumic dans Les statues de Paris, (Revue des deux mondes, septembre 1896) « et personne ne sait encore si le premier coup de ciseau a été donné » ; ce qui, au fond, n’inquiète plus vraiment notre chroniqueur de La Presse (19 août 1896) devenue allergique à la statuomanie. Dans un climat d’agitation des cénacles provoqué par l’affaire Dreyfus et les « causeries » incessantes autour de sa statue, Rodin se replie à Meudon et s’installe dans la maison du Chien-Loup pour achever son œuvre.
 
Au terme de ses recherches longues et scupuleuses, abandonnant tout détail superflux, l’idée a pris forme. L’écrivain se tient debout sur près de trois mêtres de hauteur dans la robe de chambre qu’il revêtait pour travailler ; Camille Mauclair en rapporte une description précise dans Auguste Rodin : l’homme et l’oeuvre.
 

Mallarmé – Le Tombeau d’Edgar Poe
« comme un pressentiment du Balzac de Rodin »

Destinée à la Place du Palais royal, l’œuvre en plâtre, présentée au Salon de 1898 dans la Galerie des machines, se dresse, silencieuse, sous les assauts d’une foule vindicative alors même qu’Antonin Proust tente d’en définir toute la majesté. Comme l’écrit Victor Hugo « Il est bon que les avenues de l’art soient obstruées de ces ronces devant lesquelles tout recule, - excepté les volontés fortes ».
C’est avec ce préambule que Lætitia Azar du Marest à propos du Balzac de Rodin, se fait l’écho des discussions sans fin autour de la statue avant de conclure :

« Delacroix et Manet, Chavannes, - ces peintres chefs, - et Carpeaux, le seul animeur [sic] de marbre qui fût digne de Rodin en notre siècle, - ont été successivement traînés aux gémonies… Rodin, à leur exemple, demeure fidèle à son grand rêve de beauté, - sachant d’ores et déjà qu’il aura pour lui le temps… le Temps qui, seul est Juge ! »

 
 

 
« Rarement une œuvre d’art souleva autant de clameurs furieuses, d’exaspérations, d’invectives aveugles et de louanges aussi extravagantes que la statue de Balzac « écrit Henri Franz dans le numéro exceptionnel de La Plume sur Rodin (1900). Et, dans le parcours historique des œuvres du passé tournées en ridicule, Le Balzac de Rodin d’Arsène Alexandre fait à nouveau entendre le rire sarcastique de la foule de badauds et d’artistes survoltés qui inspire la presse populaire à travers satires et chansons oiseuses.
 
La statue de Balzac a fait couler beaucoup d’encre et dans la longue liste d’articles parus dans la presse de 1898 se détachent les pour (Gustave Geffroy, Octave Mirbeau…) et les contre (Jean Rameau, Gaston Leroux …) le monument. Entre admiration et rejet, l’ambition déçue de Rodin s’est heurtée à des critiques d’une rare violence parmi lesquelles, sans nul doute, celle d’Henri Rochefort s’est inscrite au fer rouge dans l’âme du sculpteur. Du reste, nous revient en mémoire, le très beau buste que Rodin fit de lui.
« Emettre la prétention de faire exprimer à Balzac, dans les contorsions des lèvres et les retroussées des narines, les quarante volumes qu’il a mis au monde, c’est pousser un peu loin le spiritisme. Jamais, on n’a eu l’idée d’extraire ainsi la cervelle d’un homme et de la lui appliquer sur la figure. Que Rodin nous donne simplement le nez de Balzac, la bouche de Balzac, le front de Balzac avec la structure de sa tête puissante, et nos yeux, dans cette traduction, distingueront le génie de Balzac. Mais pour l’amour de l’art, que le sculpteur nous épargne ses commentaires ! » Se récrie-t-il dans Les Précieux ridicules (L’Intransigeant, 19 mai 1898, reproduit dans Le Style moderne, 1898).
 

 
Dans un article paru dans Le Rappel, du 6 mai 1898, Rodin exprime toute son amertume face à une hostilité stérile, persuadé d’être victime d’une mise à l’écart concertée, tout en restant profondément convaincu du bien fondé de sa démarche artistique :

« J’ai voulu montrer le grand travailleur hanté la nuit par une idée, et se levant pour aller la fixer sur sa table de travail. Je l’ai compris, pensant d’avance aux nouvelles attaques qu’il suciterait et les bravant, les dédaignant… La seule chose dont je me rende compte aujourd’hui est que le cou est trop fort, j’avais cru devoir le grossir parce que selon moi, la sculpture moderne doit exagérer, au point de vue moral, les formes. Par ce cou exagéré, j’ai voulu représenter la force. Je reconnais que l’exécution à dépasser ma pensée. Pourtant avez-vous regardé ma statue en vous mettant à la droite de Balzac, à vingt pas du socle ? » se défend t-il auprès de Charles Chincholle dans Autour de la statue de Rodin : Salon de 1898, Revue illustrée, 15 décembre 1897 [sic].

L’article restitue en partie les appréciations de la critique ; entre autres, le texte de Gustave Geffroy saisi par la ressemblance entre le portrait de Lamartine et la sculpture de Rodin « Le Balzac de Rodin porte, lui aussi, avec une sorte d’allégresse, le poids de matière de son corps… », mais aussi l’article de Jean Rameau qui souhaite que l’on érige la statue « pour que les siècles futurs sachent à quel degré d’aberration mentale nous étions arrivés à la fin de ce siècle-ci.»
 
Bien au-delà de la satire, la sculpture déconcerte en effet ; Claude Bienne dans M. Rodin (La Revue hebdomadaire, mai 1898, T6, 6ème série) a le mérite d’essayer de traduire, d’analyser et de dépasser le sentiment de malaise qu’il éprouve devant le Balzac :
 

 
Donc, rien de bien rassurant dans cette forme brute hissant à son sommet le visage inquiétant de la création, en totale rupture avec le modèle académique ; à la restitution fidèle et minutieuse des attributs de la fonction afin de glorifier le portrait illustre, s’est substituée une autre esthétique que sert et conforte la matière à peine dégrossie. Le caractère novateur de l’œuvre n’a pas échappé à Georges Rosenbach qui voit en M. Rodin « un historien visionnaire se préoccupant moins de vérité littérale et de ressemblance que d’évocation et de suggestion (L’élite : écrivains, orateurs sacrés, peintres, sculpteurs, 1899). Gustave Kahn dans La Porte de l’enfer, le Balzac : la deuxième manière (L’Art et le beau, décembre 1906) s’emploie à décrire la démarche synthétique du sculpteur suivie d’une comparaison édifiante entre le Balzac et le Victor Hugo ; alors que dans Le Balzac de M. Rodin (Angers-Artiste, 28 mai 1898), Jean P. Schmitt ne manque pas de s’interroger sur ce déferlement polémiste sans véritable analyse de l’œuvre et tente « de faire comprendre, sinon de faire sentir… la qualité, la raison de cette image », alléguant que « la beauté de la sculpture est dans le rapport des volumes ».

 
Dans sa séance du 9 mai, la Société des gens de lettres, adoubée par la commission des beaux-arts du Conseil municipal de Paris, bien décidée à ne pas accorder d’emplacement à la statue, a adopté la motion suivante : « Le Comité de la Société des gens de lettres a le devoir et le regret de protester contre l’ébauche que M. Rodin expose au Salon et dans laquelle il se refuse à reconnaître la statue de Balzac ». La motion aussitôt publiée apparaît dans le propos du jour de la Chronique des arts et de la curiosité du 14 mai 1898 à laquelle Rodin répond :

 
Rodin renonce à intenter un procès et se réfugie à la Villa des Brillants, acquise depuis peu. Il emporte avec lui son Balzac après avoir décliné les offres d’achat du collectionneur d’art Auguste Pellerin, d’un grand éditeur d’art et d’un groupe d’amateurs d’art belges.
 
Un grand mouvement de soutien s’élève à travers les signatures de noms illustres auquel se joint Léon Deschamps, rédacteur en chef de La Plume, dans le Balzac de Auguste Rodin :
 

 
Pour obtenir réparation et faire ériger coûte que coûte la statue dans Paris, une souscription est lancée qui permet de réunir la somme de 30 000 F et pour laquelle entre autres signataires, la veuve de Carpeaux fait don d’une sculpture de l’artiste. Mathias Morhardt en décrivant la Bataille du Balzac, révèle le caractère politique que prend l’engagement : les souscripteurs favorables à Rodin se rangent parmi les Dreyfusards, le clan adverse étant presque en totalité composé d’antidreyfusards. La statue de Balzac se trouvait ainsi indirectement impliquée dans l’affaire Dreyfus comme le symptôme d’une société divisée en deux fronts irréconciliables. De sorte que le sculpteur dépossédé, quittant la scène en emportant avec lui sa statue, exprime ainsi son refus qu’elle puisse en devenir le symbole, se souvenant peut-être des propos délétères de Marquet de Vasselot à son encontre et celle de Zola dans L’Art nouveau - Salon de 1898 - La statue de Balzac (Revue du monde catholique, 1898) :
 

 
À nouveau, le plâtre est exposé au pavillon de l’Alma en 1900 : les passions se sont éteintes et l’œuvre continue d’émouvoir comme en témoignent encore d’autres articles du numéro dédié à Rodin dans La Plume.
En 1902, à Prague, la sculpture est à l’affiche de l’exposition consacrée au statuaire.
 

 
 
La même année a lieu l’inauguration de la statue de Falguière. Le monument est présenté en avant-première au Salon de 1899 comme en témoigne ce délicieux entrefilet tiré de Deux sculpteurs  (Le Figaro, 30 avril 1899) :
 

 
Puis Falguière s’attaque au buste de Rodin…

 

Falguière par Rodin et Rodin par Falguière             

                                         
En 1931, le Musée d’Angers confie à Georges Grappe, conservateur du Musée Rodin, le discours d’intronisation de la statue de Balzac acquise par le Musée « Ce fut un beau scandale, messieurs. Il ne servirait à rien de le dissimuler, car ce scandale appartient à l’histoire » écrit-il dans L’Irrésistible gloire (Comoedia, 13 avril 1931), donnant ainsi raison à Rodin :

« Si la vérité doit mourir, mon Balzac sera mis en pièces par les générations à venir. Si la vérité est impérissable, je vous prédis que ma statue fera du chemin. Cette œuvre dont on a ri, qu’on a pris soin de bafouer parce qu’on ne pouvait la détruire, c’est la résultante de toute ma vie, le pivot même de mon esthétique. Du jour où je l’eus conçue, je fus un autre homme. » Hélène Pinet cite ainsi Rodin dans Les Mains du génie (Gallimard, 2009)

 
Vingt-deux ans après la mort de Rodin, le 1er juillet 1939, sous la présidence de Jean Zay, ministre de l’éducation nationale, le Balzac en bronze se dresse à l’angle des boulevards Raspail et du Montparnasse. Signés Louis Vauxcelles, fasciné par les essais de « drapé » de Rodin, et Georges Lecomte, touché par le soutien de noms illustres pour faire ériger la statue, deux articles du Monde illustré relatent l’événement et son cortège de souvenirs.
 
Le Baiser de Rodin présenté en même temps que Le Balzac au Salon de 1898 sera le prochain billet de cette série « Rodin face à l’adversité », dont vous pouvez consulter les trois premiers billets : Rodin, portrait d'une oeuvre de caractère, Rodin refusé au Salon : l’Homme au nez cassé et l’Âge d’airain, Le Victor Hugo de Rodin n’entra pas au Panthéon ; une bibliographie est également disponible en ligne.
 

Commentaires

Soumis par marcello gustapane le 26/05/2018

articolo molto ben scritto e molto bene documentato. P
er me è stato un grande piacere leggerlo; ne ho ottenuto molte informazioni e notizie che mi sarebbe stato difficile raccogliere altrimenti su questa eccezionale statua, vero capolavoro di Rodin

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