Revues savantes du Haut-Rhin
publication disponible de 1935 à 2008
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Cette Société, fondée en 1935 sous le nom de Comité d'études historiques et littéraires, a pour but l'étude et la propagation des connaissances de l'histoire de Colmar et de ses environs. Elle a publié un Annuaire (Lasteyrie, Bibliographie générale des travaux historiques et archéologiques publiés par les sociétés savantes, Période 1910-1940, p.642)
publication disponible de 1860 à 1956
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Cette Société, fondée le 22 mai 1859, a pour but d'encourager et de propager le goût des sciences naturelles, mais son Bulletin, à périodicité en principe annuelle, insère également diverses études de géographie et de préhistoire. (Lasteyrie, Bibliographie générale 1910-1940, p.644)
publications disponibles de 1876 à 2000
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publication disponible de 1986 à 2010
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publication disponible de 1952 à 2000
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publicaton disponible de 1990 à 1999
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publication disponible de 1927 à 1988
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Cette Société, fondée en 1926, a pour but l'étude de l'histoire locale du val et de la ville de Munster. Elle publie un Jahrbuch. (Lasteyrie, Bibliographie générale des travaux historiques et archéologiques publiés par les sociétés savantes, Période 1910-1940, p.665)
publication disponible de 1926 à 1952
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Cette Société, fondée le 6 mars 1925, a pour but l'étude de l'histoire locale et la conservation des monuments de Ribeauvillé et de ses environs. Elle publie un Bulletin annuel. (Lasteyrie, Bibliographie générale 1910-1940, p.668)
publication disponible de 1904 à 1967
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Cette Société, fondée le 27 juillet 1898, sous le titre de Verein zur Erhaltung von Reichenweierer Alterthümern, a pour but la conservation des monuments historiques de Riquewihr et de sa région. Elle a publé, outre des Jahresberichte, des Mitteilungen, et deux plaquettes. [On les considère] comme intégrés en une seule numérotation continue du Bulletin. (Lasteyrie, Bibliographie générale 1910-1940, p.670)
publication disponible de 1933 à 1999 - cf. l'index 1933-1979 - cf. l'index 1980-1989
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La Société d'histoire sundgovienne, fondée en 1931, a pour but l'étude de la géographie, de l'histoire et du folklore des différentes localités du Sundgau. Elle publie un Annuaire (Lasteyrie, Bibliographie générale des travaux historiques et archéologiques publiés par les sociétés savantes, Période 1910-1940, p.631).
publication disponible de 1940 à 2004
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publication disponible de 1947 à 2010
publication disponible de 1985 à 2005
Au cours du XVIIIe siècle, à l'imitation de l'Académie française, sont nées des académies provinciales, à caractère surtout littéraire. Parallèlement apparaissent des sociétés savantes dans le domaine des sciences, de l'agriculture, de la médecine. Interdites à la Révolution, elles réapparaissent progressivement sous l'Empire, la plus célèbre fondation est peut-être celle d'une Académie celtique, devenue Société des Antiquaires de France. De nouvelles sociétés correspondant à des curiosités historiques et scientifiques et à une forme de sociabilité partiellement inspirée des modèles anglo-saxons naissent alors. Elles étaient organisées sur le modèle des quatre classes de l'Institut, agriculture, sciences, lettres et art.
Entre la Restauration et la fin du Second Empire sont nées une centaine de sociétés savantes à curiosités multiples. Guizot, ministre de l'Instruction publique de la Monarchie de Juillet souhaitant réconcilier l'ancienne société et la Révolution fonde les grandes institutions de mémoire, Comité des Travaux historiques et scientifiques, Commission des Monuments historiques, Société de l'Histoire de France etc. Pour réaliser l'inventaire des monuments, des archives, il invite les chercheurs à utiliser des méthodes communes et des vocabulaires descriptifs normalisés.Il favorisa la publication des résultats dans de grandes collections nationales comme la collection des documents inédits pour servir à l'Histoire de France. Parallèlement à ces entreprises de l'Etat, l'érudit normand Arcisse de Caumont instaurait un réseau d'archéologues dans toute la France et créait l'ancêtre de la Société française d'archéologie, qui existe encore.
Françoise Bercé, Inspecteur général du Patrimoine