En 1821, Le Solitaire fut le grand succès romanesque de la Restauration. Son auteur, le vicomte d’Arlincourt, fut même surnommé le « Prince des romantiques », mais aussi, par ses adversaires, « Le Vicomte inversif », tant son style outrancier fit scandale. Ses œuvres suivantes ne connurent pas de ventes importantes, mais le triomphe du Solitaire lui laisse une petite place dans l’histoire littéraire.
Deux expositions parisiennes consacrées à des collectionneurs d’art impressionniste viennent de se terminer. L’Anglais Samuel Courtauld et le Suisse Emil Bührle ne furent toutefois pas les seuls à s’intéresser à cet art. La nouvelle esthétique picturale a trouvé un large écho auprès d’autres amateurs étrangers.
À la suite de la Comtesse de Ségur, Zénaïde Fleuriot rencontra un succès considérable jusque dans les années 1950. Elle savait donner des modèles à suivre à ses jeunes lectrices, et décrire de façon vive et fraiche la vie quotidienne de la petite bourgeoisie française de son temps.
Si Louis Braille est mondialement connu pour la création de son alphabet en 1825, on oublie souvent les nombreuses expérimentations de lectures tactiles qui précédèrent. Gallica vous invite à découvrir certaines de ces démarches et notamment la personnalité de Valentin Haüy, fondateur de l'Institution royale des jeunes aveugles.