Sur les vieux murs et au creux des roches, la germandrée petit-chêne arbore ses fleurs roses et ses feuilles rappelant celles du chêne.
« Comment pénétrerons-nous dans la forêt des cèdres, Gilgamesh ? Le Dieu Enlil le nomma son gardien pour qu’il protège la Forêt des Cèdres. Humbaba c’est l’homme que tu ne dois pas regarder. Il est le gardien de la forêt, il surveille tout. Humbaba brame comme le déluge. »
Durant les mois d’hiver, lorsque la nature est en dormance, l’amaryllis entre en scène pour éblouir son audience. Surgissant de terre, d’énormes trompettes de fleurs blanches, roses, rouges carmin ou vermeil, s’invitent dans nos intérieurs depuis leur acclimatation il y a quelques siècles.
Signifiant étymologiquement « petits glaives », les glaïeuls ont tout de victorieux. Puisant leur énergie dans leur corme, ils développent de multiples fleurs autour de leur tige. Ainsi ils ornent nos jardins et bouquets mais offrent également, depuis l’Antiquité, un sujet pictural aux artistes.