7 juin 2022
Le style d’Elisabeth Vigée Lebrun fait d’« un je ne sais quoi » plaît aux grands de ce monde, séduit la reine et la cour. De la gloire à l’exil, la quinzième et dernière académicienne, seule à traverser l’histoire, vient clore notre série de billets de blog Gallica sur Les femmes artistes à l’Académie.
7 juin 2022
Elisabeth Vigée Lebrun (1755-1842) connaît une longévité exceptionnelle conjuguée à un destin hors du commun relaté dans ses Souvenirs. Un destin où vie et peinture ne font qu’un. Félicité, renommée, peines et cruelles désillusions jalonnent son glorieux parcours construit sur le socle d’un monde balayé par la Révolution.
8 mars 2022
Reçue à l’Académie la même année qu’Elisabeth Vigée Le Brun mais éclipsée par sa rivale, Adélaide Labille-Guiard compte parmi les meilleurs portraitistes de son temps. Pour obtenir sa place d’académicienne, la peintre élargit sa pratique artistique, la met à profit auprès des académiciens et impose son art aux salons.
8 mars 2022
Remarquable portraitiste inscrivant son art dans l’histoire politique de la nation, la rivale d’Elisabeth Vigée Le Brun, dotée d’un caractère bien trempé, défend la place de ses consœurs à l’Académie et ouvre un atelier réservé aux femmes. L’ « artiste ingénieuse » reçoit la totale approbation de Talleyrand.