Après l’adaptation à l’opéra de textes de la Renaissance, nous allons nous pencher sur la représentation scénique de cette période que certains spécialistes - dont Didier Le Fur - n’hésitent pas à analyser en tant que construction intellectuelle d’érudits du XIXe siècle. Elle aura toutefois été une source inépuisable d'inspiration pour les artistes du temps.
Symbole de la Côte d’Azur, popularisé par les affiches touristiques de la Belle Époque, le pin parasol invite à la sieste sous sa grande ramure. C’est aussi le pin des gourmands, car ses cônes renferment les doux pignons, utilisés en cuisine dans tout le Bassin méditerranéen.
Qui n’a jamais rêvé de prendre place à bord d'un luxueux wagon-restaurant aux décors en bois d’acajou, aux tables garnies de linge blanc et d’argenterie, pour y goûter les plats qu’on y servait ? Embarquement immédiat, sur le blog Gallica, à l’occasion de l'exposition « Wagon-bar : une petite histoire du repas ferroviaire », à visiter jusqu’au 29 septembre 2024 aux Rencontres de la photographie d’Arles.
Au début du XXe siècle, les Jeux Olympiques se déclinent avant tout au masculin mais la pratique sportive féminine, notamment de l’athlétisme, bastion du sport « viril », ne cesse d’augmenter. Grâce à l’initiative de pionnières les femmes forcent la porte des Jeux : la première grande compétition internationale d’athlétisme féminine a lieu à Monte-Carlo en mars 1921.