Le répertoire d'illusions du "Golden Age" anglo-américain, qui s'est imposé dans le monde entier au XXe siècle, a souvent réduit la femme au rôle de charmante assistante de l'illusionniste. Pourtant, sous le Second Empire, le Tout-Paris se pressait aux portes du théâtre de magie du Pré-Catelan, au coeur du bois de Boulogne, pour assister aux séances d'illusions de Bénita Anguinet (1819-1887). Auréolée de sa gloire parisienne et de sa longue carrière européenne, elle incarne l'âge d'or des femmes illusionnistes au théâtre, jusqu'à l'avènement du music-hall.
En 1918, le dessinateur Frank Oscar King (1883-1969) crée dans le Chicago Tribune, une série mettant en scène une bande de mécaniciens amateurs issus de la middle class américaine qui se partagent un garage et discutent de leur passion des voitures, d’où le titre de la série Gasoline Alley.
Au XVIIIe siècle, l’industrie éditoriale se structure en Europe. Les traductions permettent une grande circulation des idées et des textes en France. La Grande-Bretagne est à la mode : Voltaire, Montesquieu, Buffon et Rousseau y séjournent et l’intérêt que ce pays suscite se traduit par divers échanges littéraires.
Nous poursuivons notre série sur les pionnières des arts du spectacle avec la présentation de Mlle Raucourt (1756-1815), grande actrice tragique et entrepreneuse théâtrale dont la longue carrière a marqué la fin du XVIIIe siècle et le début du suivant.