En parallèle de Charles Perrault, qui va connaître un succès phénoménal avec ses Contes de ma mère l’Oye, la subversive Marie-Catherine d’Aulnoy fonde au XVIIe siècle (avec quelques consœurs de plume) ce qu’on appelle désormais, après elle, les « contes de fées ».
Fermé depuis 2016 pour travaux, le musée Carnavalet rouvre ses portes avec un parcours des collections renouvelé et l’ambition d’accueillir un plus large public. L’occasion de revenir sur la naissance de ce lieu classé monument historique qui retrace l’évolution de Paris de ses origines à nos jours à travers plus de 600 000 œuvres.
Pour prolonger « Olympe Audouard, des duels et des ailes », dans la chronique Fières de lettres de Libération, et le billet de Roger Musnik sur la romancière populaire et la grande voyageuse que fut aussi Olympe Audouard, ce billet vous invite à découvrir les textes qu’elle a publiés pour défendre la cause des femmes, le « cri social du XIXe siècle ».
Au XVIIIe siècle, l’industrie éditoriale se structure en Europe. Les traductions permettent une grande circulation des idées et des textes en France. La Grande-Bretagne est à la mode : Voltaire, Montesquieu, Buffon et Rousseau y séjournent et l’intérêt que ce pays suscite se traduit par divers échanges littéraires.