6/6
Le 3 novembre 1918, le Royaume d'Italie signe l'armistice, sans conditions, avec l'Empire austro-hongrois. La guerre est gagnée mais la paix est très vite troublée par de nombreux conflits territoriaux qui surgissent entre les Alliés. Le sentiment d'une certaine partie de l'opinion publique italienne est celui d'avoir combattu pour une "victoire mutilée".
5/6
Entre août 1914 et mai 1915, les intellectuels italiens se livrent à un violent débat sur l’opportunité de faire entrer le pays dans le premier conflit mondial. Pour les Futuristes, le groupe le plus virulent, la guerre est même une nécessité vitale qui ne peut plus être différée.
4/6
Il est 2 heures du matin le 24 octobre 1917 lorsque l’artillerie austro-hongroise et sept divisions d’élite allemandes (entre autres, les bataillons des Alpenkorps menés par le commandant Rommel) ouvrent le feu sur les soldats italiens positionnés entre Tolmino et Plezzo, dans le Frioul. C’est le commencement de la douzième bataille de l’Isonzo (Schlacht von Karfreit, pour les Allemands).
3/6
Dès le début de la Première Guerre mondiale, un phénomène singulier se produit : des Italiens prennent les armes avant que le royaume d’Italie ne déclare la guerre, en mai 1915.