Alors que les expositions autour des collections Courtauld à la Fondation Louis Vuitton et Emil Bührle au Musée Maillol battent leur plein, l’engouement pour les impressionnistes trouve un prolongement opportun dans Gallica en suivant la piste de collectionneurs éclairés qui s’éprirent de cette nouvelle peinture.
La Bibliothèque nationale de France met à l'honneur, jusqu'au 25 août 2019, une école littéraire méconnue du nom de « merveilleux-scientifique » à travers une exposition qui déroule la genèse et la fortune du modèle entre 1900 et 1930. La redécouverte de ces textes, couvertures, illustrations et récits sous images nous révèle qu'ils contiennent en germe certains thèmes-phares de la science-fiction telle qu'on la connaît aujourd'hui : invasion extraterrestre, homme augmenté, cataclysme, savant fou, xénogreffe et être artificiel.
Dès le 5 août 1914, une loi « réprimant les indiscrétions de la presse en temps de guerre » (JORF du 6 août 1914) interdit de publier des informations relatives aux opérations militaires autres que celles fournies par le gouvernement.
À l’occasion des quatre-vingts ans de sa mort, Gallica rend hommage au britannique Arthur Rackham (1867-1939), illustrateur par excellence du conte de fées.