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Hector Malot (1830-1907)

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21 septembre 2020

Qui ne connait Hector Malot et son Sans Famille, tribulations d’un jeune orphelin dans la France du XIXe siècle, et un des récits pour la jeunesse les plus populaires. Mais personne ne se souvient que cet écrivain a aussi écrit près de soixante romans, presque tous pour adultes, avec beaucoup de succès, où il fait un portrait assez juste de la société de son temps.

"Je rentre dans Sans Famille aujourd’hui comme dans une maison où j’ai longtemps vécu : je pousse les volets et je circule de pièce en pièce, de chapitre en chapitre, les yeux fermés", écrivait François Mauriac le 20 septembre 1958 dans le Figaro littéraire. Et Sartre de surenchérir à la même période : "Je grimpai sur mon lit-cage avec Sans famille d’Hector Malot, que je connaissais par cœur, et moitié récitant, moitié déchiffrant, j’en parcourus toutes les pages l’une après l’autre : quand la dernière fut tournée, je savais lire" (Les Mots, 1963). Comme eux, beaucoup d’écrivains ont rendu hommage à cette histoire qui a marqué leur enfance. Et des générations entières de gamins ont vibré à la lecture des aventures du jeune Rémy, cet enfant trouvé qui sillonne la France, tout simplement pour survivre. Pendant plus d’un siècle ce récit a été un best-seller de la littérature pour la jeunesse. Les tribulations de son petit héros sont géographiques : il parcourt le pays en tous sens, faisant même un détour par l’Angleterre. Elles sont aussi familiales : il se crée plusieurs cercles d’amis, et retrouvera in fine sa mère véritable. Et également sociales : il est tour à tour pauvre hère, saltimbanque, mineur, jardinier, pour finir riche et comblé. C’est enfin un roman qui dénonce la société de son temps, notamment la condition des enfants en difficulté. Il donne une image assez fouillée de la France de la fin du XIXe siècle. Mais Sans famille est encore, et peut-être surtout, un livre d’initiation à la vie et à ses difficultés, tout en demeurant une narration d’aventure avec happy-end, comme toute fiction de ce temps destinée à la jeunesse.
 

Le succès fut au rendez-vous : paru d'abord dans Le Siècle (du 4 décembre 1877 au 19 avril 1878), il est publié chez l’éditeur Dentu la même année, puis chez Hetzel, illustré, en 1880. Il reçoit en prime le grand prix de l’Académie Française. Il a connu depuis plus de 80 rééditions jusqu’à nos jours, sans compter les récits condensés pour les petits (la première publication faisait deux volumes !), les adaptations au cinéma (la dernière date de 2018), à la télévision, en bande dessinée, en spectacles, etc. Et on n’inclue pas dans ce nombre les très nombreuses traductions à l’étranger (anglais, allemand, arabe, russe, japonais, espagnol, et bien d’autres). Bref, c’est un roman important du XIXe siècle, et un des récits français les plus lus au monde. Mais il s’adresse avant tout aux adolescents, d’où son absence dans les histoires littéraires, et sa non reconnaissance par l’intelligentsia de notre pays.
Si tout le monde est au fait, ou au moins a entendu parler, de Sans Famille, bien moindres sont ceux qui connaissent En Famille et Romain Kalbris, deux autres romans pour jeunes de Hector Malot. Ce contemporain d’Emile Zola a pourtant connu la même popularité que l’auteur des Rougon-Macquart, même si celle-ci s’est aujourd’hui évanouie. Malot a en effet beaucoup écrit, et pas spécialement pour les enfants : près de soixante romans, qui presque tous ont eu une grande réussite. La critique du temps a accueilli cet auteur comme un écrivain marquant à ses débuts, avant de commencer à faire la fine bouche sur la fin. Il fut un des littérateurs les plus lus, les plus renommés, et aussi un des mieux payés de la scène littéraire de ce XIXe siècle finissant.
 
Hector Malot est né le 20 mai 1830 à La Bouille, petit village coincé entre la Seine et les falaises à une vingtaine de kilomètres en aval de Rouen. On raconte que quelques heures après sa naissance un voilier amarré devant sa maison natale aurait brisé la vitre de la pièce où il se trouvait, ne troublant aucunement son sommeil : cette anecdote annonçait, selon les voisins accourus devant cet incident peu banal, une destinée hors du commun au nourrisson. Son père est notaire, maire de La Bouille. Il s’est remarié en 1826, après avoir été veuf et père de deux filles déjà. Sa nouvelle femme a elle aussi perdu son conjoint, et elle également est maman de deux enfants. Ses premières années, le jeune Hector les passe à contempler les activités des matelots devant le quai en face de chez lui, imaginant les périples et les aventures des différents navires qu’il peut voir en compagnie de sa mère, qui en outre lui conte nombre de récits maritimes. En 1835, la famille s’établit à la campagne, dans le département de l’Eure. Adieu alors les envolées lyriques sur les mers et les océans ; il se frotte plutôt avec la nature, en compagnie des paysans du coin. Il va y développer un certain gout pour la botanique qui perdurera toute sa vie. Il découvre également les livres, passant des heures perdu dans la lecture, préférant les romans d’aventures aux récits bien-pensants, et faisant même de Robinson Crusoé son ouvrage de chevet. Mais son père insiste pour l’envoyer en pension, et à neuf ans il se retrouve dans une institution à Rouen. Puis c’est le lycée, où il se lie avec certains autres élèves, notamment Jules Levallois (qui sera plus tard secrétaire de Sainte-Beuve). Il arrive à Paris en 1847, au lycée Henri IV, où il découvre la politique : il est vrai qu’il y respire l’odeur de la révolution de 1848 en train de se faire ! Puis il rentre à Rouen pour suivre, selon la volonté de son géniteur, des études de droit. Mais le jeune Hector veut faire une carrière littéraire, et les désaccords entre les deux hommes se multiplient. Avec le soutien de sa mère il claque alors la porte familiale et retourne dans la capitale.
En 1853, il se lance dans le journalisme. Au début il endure une existence difficile, vivant de peu. Il écrit quelques articles dans de petits journaux, rédige des notices pour la Biographie Didot et se charge de quelques critiques musicales pour le Lloyd français. Puis il produit des articles sur la botanique pour le Journal pour tous, où il est finalement engagé. Peu à peu, il se fait connaitre, passe ensuite à L’Opinion nationale, journal plus ou moins bonapartiste, où il se fait critique littéraire. Et aussi chroniqueur de la Grande-Bretagne, textes qu’il publiera par la suite (La Vie moderne en Angleterre, 1862).
 
Et en 1859, c’est son premier roman : Les Amants, qu’il dédicace à sa mère, qui l’a toujours soutenu. Ce roman reçoit de très bonne critique de la presse, qui voit en Malot un possible dauphin à Flaubert. Ce livre n’est que la première partie d’une trilogie, Les Victimes d’amour, qui comprend aussi Les Epoux (1865) et Les Enfants (1866). Taine écrit alors en 1865 un article élogieux à son égard, qui le consacre définitivement comme écrivain aux yeux de l’intelligentsia. Mais Hector Malot ne l’a pas attendu pour publier, par exemple Les Amours de Jacques (1860). Puis arrive sa période très productive : Romain Kalbris (1869), Un Beau-frère (1869), Souvenirs d’un blessé (1871), Un Mariage sous le Second Empire (1873), Clotilde Martory (1873). En 1878, c’est Sans Famille, qui restera son plus grand succès. Mais il va continuer, faisant paraitre entre autres Le Docteur Claude (1879), Baccara (1886), Anie (1891) Complices (1892) ou En Famille (1893). Et en 1896 parait le dernier titre publié de son vivant, une autobiographie littéraire où il explique la conception de chacun de ses récits, Le Roman de mes romans.
En octobre 1862 sa mère disparait, ce qui le bouleverse. Mais avec l’argent de son héritage, et en plus le revenu de ses premiers droits d’auteur, il achète, deux ans plus tard, un endroit à Fontenay-sous-Bois où il se fait bâtir une maison qu’il habitera toute sa vie. Généralement, il se lève tôt le matin et écrit jusqu’au soir, produisant ainsi deux récits par an. En 1867, il épouse Anna Dariès, avec laquelle il a une fille Lucie, qu’il élève avec une éducation assez moderne pour l’époque, basée sur la discussion et le sport. Tous les ans, il part en vacances sur la côte normande. Mais sa femme, de constitution fragile, meurt en 1880. Qu’importe : l’année suivante il se remarie avec Marthe Oudinot de La Faverie, avec laquelle il va voyager dans toute l’Europe, mais aussi en Afrique du Nord, en Russie ou en Turquie, entre deux rédactions de livres. Hector Malot est un homme droit, sans arrière-pensées. C’est en tout cas ainsi que l’a portraituré la journaliste Severine dans Le Journal de Rouen, 16 février 1892 : "Avec sa haute taille, ses épaules larges, son grand front un peu dégarni, la droiture de son regard … avec l’impression de sa poignée de main loyale comme une parole d’honneur, il est pareil à tout ce que ses livres contiennent de bon, de juste et de résolu… S’il fallait lui donner un sobriquet, je l’appellerai, l’auteur de tant de plaidoyers pour les exploités et les opprimés […] Malot-la-probité". Peu au fait des relations mondaines, il a pourtant une activité municipale à Fontenay, et participe activement aux réunions de le Société des Gens de Lettres dont il est membre. Il suit activement par ailleurs ses droits d’auteurs, ses publications à Paris, en province et à l’étranger. Il a peu d’amis, mais fidèles. Notamment Jules Vallès, qu’il soutient durant son exil après la Commune, et dont il va faire publier L’Enfant et Le Bachelier.
En 1894, il décide d’arrêter l’écriture : Amours de vieux sera son dernier roman publié. En 1896 il fait paraitre Le Roman de mes romans, et rédige un ouvrage pour la jeunesse, le Mousse, qui ne doit pas être publié de son vivant (il ne le sera qu’en 1997 !). Il passe son temps à entretenir son jardin, à voyager, parfois. Et à s’occuper de sa petite fille, Perrine. C’est durant cette période que Madame Dreyfus s’adresse à lui pour défendre son mari ; mais Malot, fatigué, refuse. En conséquence de quoi, elle va s’adresser à Emile Zola. Frappé de paralysie partielle en 1905, il s’éteint dans son chalet le 18 juillet 1907. Le Figaro dans sa chronique funéraire parle d’un écrivain qui "laissera le souvenir d'un conteur très original".

Hector Malot fut un des auteurs les plus lus du XIXe siècle, aux côtés d’Alexandre Dumas et de Jules Verne. Il ne conçoit pas l’écriture comme un don quasi-divin, mais comme le fruit d’un processus long et exténuant, un travail parfois fastidieux mais nécessaire. "Il faut écrire ce roman qu’on croit tenir, et c’est alors que le vrai travail commence avec les hésitations, les dégoûts, la lutte de l’exécution" explique-t-il ainsi dans Le Roman de mes romans. Il se veut un travailleur intellectuel plutôt qu’un théoricien. Il s’inspire du réel, des journaux, de ses observations, des gens autour de lui, pour représenter, retranscrire même, la réalité. C’est ce que constate le Dictionnaire Larousse en 1873 : "il a recours à la mémoire et à l’érudition ; il rassemble ses souvenirs et le justifie par des explications minutieuses". D’où parfois une absence de lyrisme, un aspect un peu prosaïque mais familier et efficace, correspondant au réalisme de la photographie plutôt qu’au romantisme du tableau. Comme le disait un journaliste en 1876 : "Observateur patient, méticuleux même, il décrit avec une fidélité scrupuleuse les objets qui s'offrent à ses regards. Son dessin, d'une sobriété parfaite, semble en quelque sorte calqué sur la nature". Et, surenchérissait le poète Théodore de Banville, "ceux qui voudront reconstituer l’histoire interne de notre époque devront étudier Malot dans son œuvre".

 
Sa trilogie Les Victimes d’amour, entre 1859 et 1866, a fait grand bruit à l’époque. Elle relatait les liaisons et les déboires d’un couple, avant, pendant et après le mariage, leurs infidélités, leurs enfants, la folie, l’alcoolisme et la mort. Hyppolite Taine expliquait en 1865 : "Ce qu’il a mis en scène, avec une liberté, une vivacité, une hardiesse qui feraient peur en Angleterre, c'est la passion, j'entends l'amour abandonné, qui gâte l'homme et le conduit tantôt à l'avilissement, tantôt à la mort". Emile Zola veut même l’inclure chez les naturalistes : "Le romancier analyste, par exemple M. Hector Malot, un fils indépendant de Balzac, passe le tablier blanc de l’anatomiste et dissèque fibre par fibre la bête humaine étendue toute nue sur la dalle de l’amphithéâtre".
 
Ces textes sur les relations conjugales et extra-conjugales le lancent. On peut diviser sa carrière littéraire en deux parties : jusqu’en 1880 (date de son remariage, et cela n’est pas inintéressant à constater), le lecteur est en face de récits solides, bien construits, assez psychologiques. Après il se fait plus feuilletoniste, ses récits sont plus populaires, les caractères moins fouillés. C’est ce que constate dans Les Romanciers contemporains, toujours lui, un Emile Zola un peu dépité qui, après l’avoir encensé finit par le critiquer fortement : "M. Hector Malot a peu à peu glissé à la production facile. Depuis quelques années, il s’est mis à bâcler des feuilletons pour le journal Le Siècle, produisant des romans interminables où tout se délaie, le style, l’observation, la charpente". Mais par contre les différents milieux sociaux sont toujours très bien décrits.

Les thématiques d’Hector Malot sont nombreuses. D’abord le réalisme : il veut représenter la société contemporaine, dans ses classes sociales hétérogènes, ses lieux divers (Paris et la Province, les villes et les campagnes), les différentes institutions, la ruralité et les usines, les misérables et les puissants, etc. Dans Un Beau-frère (1869), il s’interroge sur l’internement psychiatrique, dans Cara (1878), l’argent entrave les liens amoureux d’un couple, de même que dans Corysandre (1880). Une Femme d’argent (1881) dénonce les manigances financières, Baccara (1886) raconte l’histoire d’une rivalité économique entre deux industriels drapiers de régions et de religions différentes, Anie (1891) relate des déboires au jeu, etc.
 
Il y a aussi un aspect historique, mais de l’histoire très récente. Le plus connu reste les Souvenirs d’un blessé (1871), concernant la guerre qui vient juste de se terminer entre la Prusse et la France. Et aussi Clotilde Martory (1873), qui relate du point de vue d’un militaire, qui fait un va-et-vient entre révolutionnaires et soldats, les barricades qui ont surgies au moment du coup d’état de Louis Napoléon Bonaparte fin 1851. Il y a également un coté plus ou moins autobiographique dans ses textes, où surgissent souvent des expériences personnelles. Comme il le disait lui-même : "Rien d’esthétique, tout anecdotique". De même certain ont pu voir quelques aspects policiers dans son œuvre, notamment dans Le Docteur Claude (1880) où un jeune médecin est accusé de crime, et Complices (1893), qui relate un assassinat commis par un couple qui finira par se déchirer. Mais le récit ne se fait pas d’un point de vue judiciaire ou déductif, comme chez Gaboriau, plutôt sous un angle psychologique.

Cependant ressortent chez lui deux aspects importants : d’abord l’auteur sentimental. C’est vraiment un écrivain du "roman de la victime", comme d’ailleurs beaucoup de feuilletonistes de son temps, montrant les affres des femmes proies des hommes et de la société. Il fournit à ses lecteurs des réflexions psychologiques, s’intéressant aussi beaucoup à la complexité des émotions et leurs ascendants sur les personnages dont les caractères en deviennent composites et parfois excessif. Mais il ne théorise pas là-dessus, et joue plutôt, dans la seconde partie de sa carrière, sur le public féminin, recherchant alors les recettes du roman feuilleton. D’où des dialogues assez brefs et une forme assez simple. Il y a ensuite l’écrivain pour la jeunesse, même s’il n’en a pas rédigé beaucoup. Ses personnages sont des enfants à la recherche d’une identité sociale et personnelle et qui possèdent tous une volonté farouche de se sortir de leurs difficultés, en dépit des obstacles qui se dressent sur leur route. Ils ont également les qualités humaines dont tous parents pourrait être fiers : amitié, sensibilité, générosité, courage. Le fond de ces histoires est toujours une lutte entre le Bien et le Mal, fondée sur un roman d’aventure et un déplacement spatial, comme les errances de Rémy dans Sans famille. La construction des récits est prenante, voire passionnante, maintenant ses jeunes lecteurs en haleine. Le style est aisé à comprendre, même s’il n’est pas simpliste. Ces textes sont un pan important dans l’histoire de cette littérature, qu’elle a contribué en partie à créer.
 
Hector Malot est aussi un écrivain engagé, mais relativement modéré. Il milite à travers certains de ses récits pour une révision de la loi sur l’internement en hôpital psychiatrique (Un Beau-frère), pour le rétablissement du divorce, pour une reconnaissance des droits de l’enfant né hors-mariage (Marichette 1884 ou Ghislaine 1887), pour une amélioration des conditions de travail (En Famille, 1893), etc. Dans Baccara ou En famille, Malot met au centre du récit les conditions de travail des ouvriers. Il dénonce les abus, comme le travail des jeunes payés à vil prix (Sans Famille), les enfants battus, les problèmes de divorce. C’est bien ce qu’a retenu Jules Vallès, au-delà de l’amitié qu’il portait à Malot : "A travers ces pages court le souffle de l’idée sociale […] Le véritable successeur de Balzac, c’est Malot et son œuvre ne fait pas seulement suite, mais pendant à La Comédie Humaine" (dans Le Réveil du 27 février 1883). Et du même : "C’est un écrivain qui, sans attacher de cocarde à son chapeau, a fait œuvre de révolutionnaire […] Malot a travaillé dans la classe bourgeoise, les manches retroussées, l’œil tendu [...] C’est là ce qui le met à-part et hors de pair" (Le Cri du peuple, 17 novembre 1884).

Le paradoxe de cet auteur est qu’il fut lu et connu de son vivant pour ses romans pour adultes, et qu’on ne se souvient de lui à notre époque que pour ses rares romans pour enfants. Quand on regarde l’ensemble de sa carrière, on est frappé par la multiplicité de ses textes, de ses genres, de ses thématiques. Ce qui le rend difficile à classer dans une catégorie spécifique. Comme le souligne une de ses biographes, Myriam Kohnen : "Plus discret que Hugo et Zola et plus optimiste que Maupassant et Daudet, Malot a su allier le goût de l’observation, la passion du voyage et l’exploration d’univers différents. Son caractère mystérieux nous invite à relire cette production variée qui révèle un trésor précieux d’une époque historique mouvementée" (Figures d'un polygraphe français : Hector Malot, 1855-1881, en 2016). Même s’il ne reste de lui à l’heure actuelle que Sans famille. Ce qui n’est pas rien.

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