Et si Gallica permettait de réinventer les classiques ?
Dans le cadre du Bibli-Lab, Valérie Beaudouin et Jérôme Denis - chercheurs à Télécom ParisTech - ont publié sur la plateforme HAL un rapport consacré à l'observation et l'évaluation des usages de Gallica.
« Pour le marin, le navire n'est pas simplement un corps matériel, une machine, un meuble, une caserne, c'est un être doué de vie et de sensibilité, qui gémit pendant la tempête, qui se lamente et pleure lorsque le calme l'enchaîne, qui dort au mouillage, qui veille et travaille au large. ». Cette description de l’attachement viscéral du matelot à son navire se trouve dans Un corsaire sous la terreur, écrit par quelqu'un qui sait de quoi il parle, Gabriel de La Landelle.