Titre : L'Intransigeant
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1928-07-23
Contributeur : Rochefort, Henri (1831-1913). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32793876w
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 23 juillet 1928 23 juillet 1928
Description : 1928/07/23 (Numéro 17809). 1928/07/23 (Numéro 17809).
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
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Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k792262k
Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol Lc2-3980
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
L’INTRANSIGEANT. LUNDI 23 JUILLET 1928
Par, ‘Télégraphe et Téléphonede nos Envoyés, spéciaux et de nos Correspondants particuliers
BEBB1ÆBE MINUTE
— L’agence turque Anatolie dément
la- nouvelle d’après laquelle -Mustapha
Kemal aurait défcidê de se remarier.
-.i—,M. Stresemann est arrivé ce matin
àtCarlsbad.
A la recherche du
groupe Alessandri
' Berlin, 22 juillet. — Suivant ,la Ga-
nette: Générale ' d’Allemagne, des usines
de AVarnemunde ' ont regu du . comman
dant du Gitta di Milano la commande
de deux; avions de 600 chevaux à-livrer
en ; douze jours " pour poursuivre la re
cherche du-groupe Alessandri.
J AU PONT-NOIR
Un automobiliste
attaqué.
55 r r : Un des bandits avait - l’accent
v “ - auvergnat .
Versailles, 22. juillet (de notre corr.
part;).'-— 'Vers minuit 45, cette nuit, M.
Isaac Hye,-antiquaire, 106, rue du Bac, à
Paris, regagnait son domicile en automo
bile lorsque, après avoir franchi-le Pont-
Noir; àVille-d’Avrây, deux individus qui
^s'étaient placés sur le milieu de la chaus-,
sée‘ l’obligèrent’ à: stopper. M. Hye aper
çut alors» deux -hommes braquant -dans
sa direction des revolvers.
—- Il nous faut votre argent ! -
.M. Hye leur répondit qu’il n’avait
quiun portefeuille ne renfermant que
des papiers d’identité et il les exhiba de
vant" ses agresseurs. ■ ,
’Il.ajouta :
' • ■ -r- J’ai -une montre, ainsi qu'une, chaî
ne. - . .
•''Ii’un dès-bandits palpa'la chaîne mais
dit & son camarade :
.-r-: Non,-ça ne nous intéresse pas; c’est
dei l’argent: qu’il nous faut. ,
-r^r-Je-regrette,-déclara M; IJye, je n’en
. ai - pâs.
. Se contentant 6ans doute Ue cette ré
ponse ;les deux ■ singuliers agresseurs dis
parurent. à : travers bois.
• VA»la gendarmerie de:Saint-Cloud, m.
Hye a fait sa déclaration et donné le si
gnalement assez précis, de ses agresseurs
qui ..paraissent âgés de 18 A 20 ans;, l’un
a- le type algérien, il était chauBsë d’es
padrilles blanches, coiffé d’une casquette
grise et portait-un cache-col bleu; l’au
tre,* de petite taille,- maigre, très brun,
était . également coiffé d’une casquette
grise, et il a semblé à M'. Hye qu’il avait
un. accent, auvergnat. ;
' Lies battues qui ont. été faites aussitôt
par les • gendarmeries de ■ Saint-Cloud et
de Ville-d’Avray, n'ont donné jusqu’ici au
cun résultat.
Un avion allemand
capote en Savoie
Un avion allemand faisant le service
postal entre Genève .et -Barcelone, a ca
poté hier soir vers 19 heures près de
Yenne (Savoie), .au coure d’un atterrissage
forcé. Le pilote est indemne.
Si les routes
étaient meilleures...
(Suite* (ïe^notre article de 1" page)
■ - « Même si le Parlement les augmentait
encore, ils seraient absorbés par cette
œuvre que nous considérons comme pri
mordiale. La fréquence des accidents.dé
pend,- en effet,-pour beaucoup de l’état
de la chaussée, SI nous.faisons partout
de. bonnes routes, nous aurons moins de
rencontres et de capotages. Je recon
nais que, sans doute, il serait bon de
trouver sur la route, de distance en dis
tance,, des postes de . secours ou-des ap
pareils permettant d’appeler au secours.
Mais dans l’état, actuel du budget, il
n’est pas. possible de songer à l’institu-
tlon:"de ces postes.;. >" ' - -
' 100 nouveaux millions en 1929
r Que, d-u moins, l’administration nous
donne, des: routes en bon état ! M. An
dré’ Tardieu y travaille, et aux cent mil
lions d’augmentation de crédits déjà ob
tenus- cette année, il espère pouvoir
ajouter cent millions sur le budget de
1929. ■
.La ohaussée meilleure, la gendarme
rie surveillant mieux, les accidents se
ront Plus rares. Des organismes comme
le. T.C.F. et l'Alitomobile-CIub de Fran-
■ce pourvoiront, heureusement, au sur
plus. :—René Vieuille.
Autres dépêches
ATTAQUE NOCTURNE
M. Léon Lagonotte, plâtrier, 29, rue Bar-
gue, qui passait vers , minuit rue de la Pro
cession, a été attaqué et frappé par-trois
Inconnus qui ont pris la fuite; M; Lago-
notte qui a la-pommette droite fracturée a
été admis à. l’hôpifal de Vaugirard.
, UNE VOITURE ENGLOUTIE
DANS LA CHAUSSEE
. Une-excavation de quatre mètres de long
sur trois mètres de large et 1 m. 60 de
a Produite ce matin vers
o n. 30, place du Panthéon, à l’angle de la
rue Cuja«. Une voiture de laitier y est
tombée. Lea pompiers n’ont pu retirer le
véhicule et Ü.fallut faire appel à la voi
ture-grue de la préfecture de police.
Une enquête est ouverte pour établir les
causes de l’effondrement du soi.
UN MUR MENACE RUINE
-Bue de Torcy,. au numéro 48, un mur
a une hauteur de six mètres menaçait de
s'écrouler, on Interdit la circulation-sur le
trottoir afin d'éviter tout accident
BLESSÉ DTOT COUP DJ3 COUTEAU
Des .agents trouvent blessé,, d’un coup de
çoutpau, boulevard Ney, l’Algérien AU Bel-
lani, manœuvre. .88, boulevard de la Gare,
qui .refuse de. dire-où-et dans quelles con
ditions il. a été. frappé. A Bichat
, LE FEU
ii Un commencement d’incendie s’est dé
claré oe matin dans'une -chambre, 86. ave
nue rMadakoff. lies - pompiers dtr Trooadëro
ont .maîtrisé:le-.feu après une heure et de
mie- d’efforts.. Les combles de -l’immeuble
ont été détruits.
: LAS DE VIVRE
'|f.' Pierre Machard, 26 ans, 'conseiller
d'assurances, tente -dose suicider à son do
micile, 89,. rue de'Rivoli, à l’aide du gaz
d'éclairage. A l’Hôtol-Dieu. . .
m SAINT-CLOUD
.Lundi;23 Juillet,, à-2,heures
I NOS PRONOSTICS rfd»
-Frlx.de Magny (900 m. A v.). — La
i Flamme, La Kuchette. *
• - Outsider possible : Honorlade
' Frix Fourire (2.400 m.). — Fanfan
Jl,- Mirbat. ' <
Outsider possible : Mer Egée
Prix d’Orgemont (2.000 m.à v.). —
Souriante, Verduron.
..Outsider poésible : Le-Morvan.
Prix des Robges-Terres (2.000 m.
■ Hand.).— Styrax, Andorra. '•
> Outsider possible : Moravie
Prix du Val-d’Or (900 m ). — Gédéon,
Claudine.
Outsider possible : Hat Lo
-Prix Ossian (1.300 m.). — Fandango,
Murlllo. ■
i Outsider possible : Le Simoun II
i MELTON.
LE TOURNOI
H. Domergue
à Carcassonne
(Suite de notre article de 1™ page)
Le temps est superbe.
Le président de la République prend
place dans une voiture automobile ayant
à ses côtés-le maire de Carcassonne. Un
esoadron de spahis précède la voiture.
Le cortège part à 10 h. 20 pour la pré
fecture au milieu d’un enthousiasme - po
pulaire exubérant. Le midi - ne fait : pas
mentir- aujourd’hui sa réputation. Les
cris de : Vive Doumergue! Vive la Fran
ce! Vive la République! Vive Sarraut!
poussés avec’i’- « assent » méridional.par
des milliers de voix sont assourdissants.
La ville est magnifiquement pavoisée.
Des arcs de,triomphe décorent les rues.
Le - cortège- suit les boulevards Orner Sar
raut,' Marcout, Barbés, Commandant Rou-
mens, Camille Pelletan,. Jean Jaurès et
arrive à 10 h.-45 à la préfecture.
Lebanquet
A l’issue du banquet offert au prési
dent de la 'République par le Conseil
général de l’Aude et, la municipalité de
Carcassonne, des discours ont été pro
noncés, -notamment par le maire de
Carcassonne, puis par M. Albert Sar-i
mut, ministre de l’Intérieur,- président
du Conseil général de l’Aude. M. Albert
Sarraut a dit notamment :
Pays démocrate; berceau de héros et de
proscrits qui ont souffert stoïquement-pour
les droits de la liberté, l'Aude vous fait
offrande de - son ardente bienvenue parce
que vous. ête3:1e gardien le plus loyal de
la: Constitution républicaine Enfant ■ du
•peuple, vous élevez devant ce peuple même
l’exertple vivant de la grande- équKé -dé
mocratique, qui permet à tout citoyen-dont
l’existence est musclée d’énergie, illuminée
d'intelligence, -ennoblie d’intégrité, d’entre-
prpndre, • comme’vous l’avez fait, l’ascen
sion- successive des plus hautes fonctions
publiques et d’aboutir enfin à ces sommets
où,. maintenant, votre- arbitrage s’exerce
avec une rectitude, une autorité, une sa
gesse et ’ une bonté qui- vous ont conquis
en tous lieux l’admiration . et l'affection du
pays français.
M. Albert Sarraut rappelle que M.
Doumergue fut jadis, au Sénat, le créa
teur du groupe de défense viticole. Et
dans un élan d'affection respectueuse,
il salue en lui lo compatriote, l'hpmme
du Midi..., .
Monsieur le Président de la. République,
Iaisscz-mous, avec: respect mais-avec émo
tion, déclarer que -vous êtes des nôtres.
Vous ôteR né près de npus, sur un sol tout
semblable £t notre sol. Vous avez vécu
notre vie. sous un ciel enivré des clartés
plus vives du même soleil. De votre, ter
roir d’origine %u nôtre, un même- décor
sans 'interruption étend sur l’horizon la
verdure profuse des vignes où les grap
pes également vermeilles emprisonnent la
vigueur et la flamme 'des mêmes vins. Kt
les. chansons de 'vos paysans d’Aigues-
Vives, comme les chansons de nos .paysans
de la Montagne Noire, quand elles mon
tent dans la sérénité du soir vers le firma
ment ébloui d'étoiles, ompnuntent au verbe
ancestral des sonorités pareilles pour com
poser l’harmonie des humbles cantilènes
qui disent le bonheur de vivre dans la chè
re mélancolie d’aimer.
Le discours de M.Doumergue
Après avoir remercié la municipalité
de Carcassonne -pour l’accueil, triom
phal qui lui a été, .fait, ,1e .président de
là République; rappelant qu’il est, lui
aussi,-un enfant « de ce Bas-Langue
doc dont les fêtes actuelles sont des
tinées à • commémorer les fastes en
même temps que les deux mille ans de
la merveilleuse Cité », fit- un; tableau
rigoureux de l’histoire glorieuse! des
réglons voisines' de la Montagne-Noire
et des Cévennes.
Tous ces faits n’établissent-ils pas notre
parenté et quand, de ce lointain passé,
nous arrivons au temps présent, ne trou
vons-nous ■ pas encore dans les intérêts
économiques vitaux de vo.trc département,
du mien-et-de ceux qui nous avoisinent,
des raisons très fortes de nous sentir pa-'
rente et - solidaires ?
’M. Doumergue exalte l’effort des -ré
gions viticoles du Midi, et, par voie
de conséquence, le concours généreux
que la « solidarité nationale » leur a ap
porté « au cours de cette lutte et de
ces travaux ». Tout naturellement, il
en vient à glorifier les bienfaits de la
terre. -
S’élevant alors :aux graves problèmes
de Fheure, le. président. de la Républi
que arrive à Ta conclusion de son dis
cours, appel éloquent à la concorde.plus
que jamais nécessaire, à l’union: géné
reuse de tous.
La terrible commotion produite par la
guerre a profondément bouleversé, le mon
de qui, pendant longtemps encore, en res
sentira les douloureuses conséquences. Elle
a fait surgir une multitude de problèmes
nouveaux et infiniment complexes dont les
solutions ne peuvent être trouvées qu'après
beaucoup de tâtonnements et de grands
efforts. ..
Nous en avons fait l'expérience, en ré
solvant heureusement quelques-uns de ces
problèmes par les - méthoeds prudentes et
sages que vous , savez ' et grâce au plein
accord, des-bonnes, volontés.
Mais il • en . reste beaucoup d’autres à
résoudre. N’est-il pas évident, pour tout
esprit ' réfléchi, que les procédés qui - ont
déjà, permis d’obtenir des résultats profi;
tables à tous, continueront à produire
d’aussi heureux effets si l'on persévère
dans leur emploi.?
Il est certain, par exemple, que c'est
grâce à ces méthodes et à cet accord que
nous - pourrons satisfaire à ce double désir
d’être forts et de" vivre en paix si profon
dément enraciné dans l’âme française et
dont la.parfaite réalisation — M. le maire
de Carcassonne l'a - dit avec raison — est
Indispensable à la sécurité du citoyeil et'
de la nation.
Cet après-midi " ”
Après avoir, ce matin, inauguré l’Eco
le (l’Agriculture Charlemagne, visité
l’hôpital de Carcassonne et assisté au
banquet servi en son'honneur, M. Dou
mergue gagne en. automobile la porte
Narbonnaise, où il est regu, à 4 h.'30,
par M. Léon Bailby, . qui de salue au nom
de la Caisse générale des retraites de
la presse française,' par le commissaire
général, des fêtes et par M. Georges Bé-
jot ; au nom de là société organisatrice i
des fêtes. . ■ -
LES INCENDIES DU ROUSSILLON
Cinq foyers |J
allumés
à la fois...
L’enquête révélerait que les
sinistres seraient dus à
la malveillance
Perpignan, 22. juillet; (de notre corr.
part,).. — ■ Lies, incendies ,de montagna
qui. avaient embrasé les Albères et les
contreforts des Pyrénées, en Roussillon,
sont ce, matin circonscriis,' Mais les po-;
pulations .et. la troupe restent alertées.
L’enquête à laquelle s’est livrée la gen
darmerie semblerait. établir que. ces in
cendies sont dus à la.malveillance. Cinq
foyers sur des points différents s’allu
mèrent en effet simultanément. Près do:
Port-Vend-res,- les bois escaladant la:
montagne jusqu’à la Tour de Madeloch
sont en flammes. —'Bhousse. :
Un ; nouvel- incendie; la nuit
. Perpignan, 22 juillet (de notre corr.
part.): — Un nouvel incendie s’est al
lumé cette nuit sur la montagne de Las-
lllas, arrondissement de Céret. Quinze
hectares de chênes verts ont déjà été la
proie des flammes; le fléau poursuit ses ;
ravages. Il fait , toujours une chaleur'
torride et de nouveaux sinistrés sont à :
craindre..— Brousse. .
La réception de Cherbourg
aux * Garraeêt Eeîailers *
Ils arrivent • à Paris à 15 h. 40
à la gare du Bois de Eoulogne
Cherbourg, 22 juillet (par tëlépli. de
notre: corr: part..). — Ce matin, à sept
heures, a eu lieu, en rade de Cherbourg,
l'arrivée des "congressistes américains,
délégués par la puissante corporation
des « Garment Retaüers », * négooiantô
du commerce, de luxe des Etats-Unis.
Centi cinquante congressistes furent
accueillis par. une chaleureuse réception
en gare de Cherbourg. Plusieurs person
nalités prirent la parole. Parmi celles-
ci, en .premier-Heu, M. Lebrettevillois,
maire de Cherbourg : ,
• « Je suis, particulièrement heureux,
a-t-il dit, de saluer les représentants
d’une puissante association comprenant
l’élite du commerce et de l’industrie des
Etats-Unis. La mission que vous vous
êtes donnée est de . celle dont on peut
attendre le meilleur, résultat. Comme je
l’espère, vous garderez de cette récep
tion un agréable souvenir. Vous pourrez
donner à vos compatriotes l’assurance
qu’ils recevront toujours à Cherbourg le
plus bienveillant aecueil. J’adresse aux
membres du congrès des acheteurs amé
ricains le salut amical de la ville. »
MM. Appell, député; Luchaires, pré
fet; Quonian, président de la Chambre
de commerce, prirent ensuite la parole.
L’arrivée des-congressistes à Paris a
lieu à 15 h. 40, à la gare du Bois-de-
Boulogne et non à la gare Saint-Lazare.
La coiri¥iinë¥9aragae
Clemont-Ferrand, 22 juillet (de notre
corr. part.). ~ La classique course de.
côte de Labaraque, qui compte mainte
nant parmi les plus belles manifesta
tions du sport automobile, s’est disputée
cet après-midi, sous un soleil canicu
laire. Une foule énorme's’est étagée le
long de la route qui conduit de Cler
mont-Ferrand au pied "du Puy -de Dôme
et qui comporte une série dé virages im
pressionnants, avec une.pente moyenne
de 7,42 %. Le parcours a été cette année
réduit de. 10 à 6 kilomètres et modifié
légèrement. Le départ est donné aux
cyclistes à 14 heures. — H.
Le rallye des carburants
L’étape de Strasbourg
. Strasbourg, 22 juillet (de notre corr.
part.). — Parti hier matin de Sarregue-
mlnes le Rallye des Carburants s’est
arrêté à Saverne où les véhicules furent
exposés avant et après le-déjeuner* Re
partis de Saverne.. vers 14 h. 30, ils se
sont groupés en colonne avant d’entrer
à Strasbourg où ils ont défilé jusqu’à la
place Kléber. Après un arrêt devant
l’A-C. d’Alsace, les voitures ee sont ren
dues,; au- Wacken où elles resteront pen
dant les trois jours où le Rallye séjour
nera à Strasbourg. Une exposition est
prévue ce matin et demain'-matin. Au
cun incident de. route n’est à signaler.
— V. * -
Lexé a quitté Paris
ce matin
H entreprend à motocyclette
; nne - grande randonnée en Europe
• lie motocycliste Robert qu’un tour
du monde à. motocyclette en compagnie
d’Andrierinc illustra il y a près de deux ans,
est parti de nouveau ce matin, à 8 (heures,
potir effectuer'un voyage d’études à tra
vers 1! Europe. -,
Parti seuil .à* bond d’une motocyclette de
50 cme. de cylindrée, le fameux globe-trot
ter a l'intention de sillonner la* Belgique, Ta
Hollande,., l’Allemagne, le Danemark, - la
Suède, la Finlande et la Daponie, où 11 pui
sera, tout au cours de son voyage, des-en
seignements très préedeux-suT' le tourisme.
Auto ur de Paris ?
PALAISEAU
— M. Eugène-Boucher; 45 ans,- demeu
rant rue Marceau, atteint * d’une maladie -In
curable, s’est pendu dans sa chambre. . -
versahj.es -
_. — lie. Conseil .de l’.Ordro des. avocats. dii
barreau de Versai-lles est alnsi composô :
bâtonnier, M* Dubois - ; membres du* Con
seil, M“ Mignot,- Périnarfl, .. Sipion: et
Manche.. ■ ’ -
DES DRAMES
m !a zone...
Une femme est tuée
Une discussion, ayant pour motif une
histoire ancienne de çoups et blessures
éclatait cette nuit sur la zone, dans la
villa « Paulette », 17, rue de Paris à
Pantin. - ■ ■
La manœuvre, Léon RQusseau, 30 ans, '
reprochait à son collègue Henri Garot,
44 ans, d’avoir porté plainte contre lui
à la-suite de.-coupa'qu’il.lui.avait por
tes. Comme la diseptsion dégénérait en
rixe,, la- gérante do la.. viila- Paulette,
Mme Je-nse, 43 ans, voulut intervenir,
mais; au comble de la fureur; Rousseau,
saisissant un revolver,- tirait à plusieurs
reprises; l’un de ces amis, Charles Dor-
lot,’29 ans, interdit, de séjour, l’imitait
à son tour-.et-'tirait plusieurs balles.
Mme Jeuse s’écroulait .grièvement bles
sée à"l'abdomen,'ainsi, que Henri Garot
qui "était.-atteint au côté droit.
Des agents accoururent et transpor
tèrent les deux blessés à-l’hôpital Te
non où, à trois heures du matin, Mme
Jense succombait. .
Les -meurtriers avaient pu. réussir à
s’enfuir. Les amies des hommes en fuite;
ont été amenées au commissariat-et in
terrogées. Là. elles ont déc’aré-ne pas
savoir où étaient partis leurs amis.
Ceux-ci sont activement recherchés.
.MLMille ..
avait eu peur...
'Et il'blesse deux jeunes femmes ;
à coups de revolver- -
; niüt, vers uhc hétire; «Pê viblente
dî-çcussion ôclfetalt' devant le'débit.-üê' M.
'Emile rue- de -Cba-rtnes, -(entr^ plu
sieurs ^Rapidement,,la que-
réfle dégénéra en pugilat et .-Tune , des an-
tagoîüîsteE, poussée- par ses rivales, "brisa
un^ glace du dé'b’t et, *popr se'-iéfusi-er,: f-or-
ça'la perte-d’entrée. Lue..débitant qui,assis
tait à la scène ,6 eus-son -compteur 1 ;' prit .peur.
■If sortit un' revolver ide, son tiroir-caisse -et:
tira plusieurs, balles sur. .le,.groupe des, jeu- :
ne--, tommes. La prciuièi'e personne atteinte
fut 'Mme Mille clie-Tnême, ? qui - eut l’épaute
gauche traversée par -le^prdjscfcilé. -l/ébnie
Jonét, 25 ans, sans -domicile, et une jeune
femme que -l’on . connaît seulement .sous ;le
ndm de <£ Dulu », furent blessées- toutes
les deux au ventre été durent'.êtne ; admises
à Eariiboilsiôrc. ,
Prévenu,; M. Mâr-tel, commissaire de po
lice «delà Goutte-d'Qr par tntérim. se rendit;
rue de .Chartres et procéda -à- l'arrestation
de ÏI. Mille. L*e. «imitant a pris le chemin
du Dépôt. > - • - , ~
Le ’ magistrat -recherche, d’autre part, la
jeune feinme-'quî provoquaia rixe. -
Le crime de Drancy
A la recherche de l’assassin
Les recherches se .poursuivent active
ment pour retrouver- l’assassin :de Mme
Baier. Quatre des amis de Ta malheureuse
qui fréquentaient assidûment chez elle ont
été tour à tour interrogés. L’un d’eux, sur
lequel pèsent des soupçons, est gardé à la
disposition de M. Luce, commissaire de
police. .
Une femme tue
son mari
Vers minuit 30, Mme. Louise Grappe,
née Landry, 36 ans, nianœuvrière, 34,
rue de Bagnolet, s’est présentée "au pos
te . de police de Gharonne en déclarant
qu’à la suite d^une .discussion: elle avait
tiré plusieurs coups de revolver sur son
mari, Paul Grappe,-.37 ans, manœuvre.
Le blessé, -transporté A;.l’hôpital Saint-
Antoine, y est mort-peu après."
La meurtrière a été mise à la dispo
sition de M. Voitz, commissaire dé po
lice, qui a ouvert une enquête.- .
Le chauffeur Louis Spriet
succombe à ses blessures
On se rappelle la sauvage agression dont
fut victime île' 9 - Juillet dernier, à la Plaine
Saint-Denis, le chauffeur ‘ Louis : Spriet. Le
malheureux, après quinze jours d’une ter
rible agonie, .vient de succomber des suites
de ses affreuses blessures.. On sait que son
agresseur,, Lucien - Lalgros, arrêté , ces
jours-ci est .actuellement sous les verrous.
Dernières nouvelles sportives
Les Six Heures, à l’américaine
. Les Six Heures à l’américaine organisées
par le Nord Est Sportif avec, le, concours
de-notre confrère C,yolo-Sport, se sont dis
putées aujourd’hui à.la piste municipale. Le
départ a été donné ce matin à 9 heures, à
onze équipes. A midi les -positions des .con-
ourrents étalent-les-suivantes. : -
; 1. -Domanchin-Proust, .2. Saulx-Amelot, 3.
Mazoyer-Boutin, :,4. Chocq-Comboudoux,
©te.... 1 -■ •
Les. 100 kilomètres ont -été couverts en
2.1b. 56 m.>18 s. En: 3 heures : 104 kil. 500.
La bénédiction des automobiles
à, Saint-Christophe de Javel
- Mercredi-, prochain,. 25 juillet, - aura
lieu à Saint-Christophe de Javel, à 16
heures précises, la bénédiction solen
nelle des voitures, autos/ bicyclettes et
motocyclettes.
Au banquet de la Presse latine
- Nos - confrères • de la Presse latine ont
eu vendredi leur-'banquet mensuel et leur
distribution de. prix. Présidé ■ par M. de
Waieffe, - entouré de ,MM. Diamandi,. mi
nistre de- Roumanie, des ministres de Cuba
et : de Colombie, - la réunion -fut: animée ; par
un authentique . orchestre cubain. -
Le Prix de la Colombie -(10.000 francs),
-a. été ; attribué . à MM. Mdchissédecr-. de
Lerin et Appela. Le Prix de l’Indépendance
Roumatoe, (5:000 francs) = à ,M. /-Eourcadet,
de l’Agence Havas,,, à ; M. Ramirez- et ; à la
mémoire dé Marius " Afidré. .
INAÜGURATi;Oh3 A. DUGMY
" SUR UÂ. COTE D ’OPALE -- -
Le rail
et l a rou te •••
: Une ligne d’autocars du Tréport
à. Calais
- Lé .Tréport,. Ault, ;Caÿeux,. Le, Orotoy,
Saint-Valéry, Berck, l’incomparable Tou-
quet, « jardin de la Manche », Bou
logne, - Wimereux, Calais, autant de
noms 'qui ■ évoquent des plages de sable,
des deux aux teintes-fines ; • cette .in
comparable-côte picarde participe à la
fois de la douceur normande et du
charme des .Flandres. Ne - la nomme-t-on
pas couramment la côte d’opale ?
Mais,- jusqu'alors, les lignes de che
mins de, fer, -transversales à la côte, i>er-
mettaient mal de la connaître.
Depuis hier,, cette importante lacune
dans une des plus belles régions touris
tiques françaises. est comblée. La Com
pagnie du Chemin de fer du Nord vient
d’avoir l’heureusô idée de créer un ser
vice d’autocars qui dessert la côte du
Tréport à Calais, et vice versa.
Par suite d’une entente entre M. Pa
ris, administrateur des transports dé
partementaux, et la Compagnie des Che
mins de fer économiques, la « Société
des transports automobiles de la Som
me » fonctionne depuis le 14 juillet,
sous la régie de la Compagnie du -Nord.
Mais hier-seulement, une inauguration
amicale et charmante permit d’appré
cier l’effort accompli.
Grâce à M. Moyrand et M. . Joseph Gi
rard, respectivement ingénieur, en chef
et secrétaire général de la Compagnie,
qui a-vaient réuni quelques invités, cha
cun put, par lui-même, éprouver l’excel
lence du-trajet, ■ « coupé» en-quatre
sections, . trajet qui, certainement, ne
peut, que développer les échanges tou
ristiques, pendant les trois mois d’été.'.
Dépassant-d’ailleurs cette utilité im
médiate, M; Moyrand, au cours d’une al
locution aimable et nourrie, fit ressor
tir la collaboration du rail et de la route,
collaboration féconde, appelée à rendre
les .plus grands services ; les deux ins
truments ; sociaux . ne ' s’opposent' - pas,
mais se complètent.,
La nouvelle ligne, d’auto-cars en fe
rait, une démonstration' parfaite, si/be
soin étai,t. D;
Dans la rue
et s ur la r oute
-—- Boulevard Ney, ; Mi-Gaston Coette,-ha
bitant-rue- Lêcuyer, qui circulait à bicyclet
te., est renversé, par un -taxi. ■ - .
— Boulevard de la Chapelle, line: auto
et un-attelage entrent èn-collision. Irf. con
ducteur. de-ce-,dernier .véhicule; M. Charles
Fafst, demeurant rue Turyale, est blessé,
ainsi que son cheval. - - *
. — Boulevard Rocliechouart, M. Jean
Grande!; 42 ans, domicilié- rue de l’Amiral-
Courbet, . à Saint-Mandé, - est renversé 'par'
un taxi. A Lariboisière. '
— A Port-Marly, sur la route nationale.
M.. Yves ..Plonriot, électricien, demeurant à
Paris, rue dés B-elles-FeullIes, est renversé
par une auto et grièvement blessé. Trans
porté à i’hôpital dé Saint-Germain, le-bles
sé, a .été trépané. .
— Boulevard Victor-Hugo, MIJe Germai
ne .Ville, .demeurant: rue Mesnil,-.est ren
versé par un , taxi et a la cuisse gauc-he
fracturée.' A Beaujon.
:—: Boulevard de Clichjy un autobus en
tre en collision avec.un camion conduit par
M. Marcel. Pôhi, habitant avenue Frémiet,
qui-tombe de son siège et se fait dse con
fusions multiples. , .
. -r- .Bo.ulcvard.de Clichy, Mme Henriette
Maumary,. 28 .ans, habitant rue Jacque-
mont, est renversée par un taxi. A. Lari
boisière.
— Boulevard de Clichy, M. Jean Abra
ham, demeurant rue Marcadet, est renversé
par un taxi.
r— Devant la gare de l’Est, M: Marcel
Jacquemart, 36 ans, demeurant quai Polan-
gis ,au Tremblay-Champigny, est renversé
par un taxi.
— Quai Jerrmiapes, M. Angelo Brian
cheuat, demeurant boulevard de. Verdun," "à
Fontenay-sous-Bois, ' est rejiveraé par une
auto.
— Faubourg .du Temple, le. Jeûné Lucien
Reyad, 8 ans, demeurant chez ses parents,
passage Hébrard, est renversé par un-taxi.
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le traitement de toutes le? afiections chroniques. ■ - ■
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grande vogue, c’est la facilité avec laquelle le malade suit le traitement chez lui,
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scies.
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lité nerveuse, Asthénie générale, Varicocèle, Régénération
graduelle et durable des fonctions ■ masculines. Affections
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— L’agence turque Anatolie dément
la- nouvelle d’après laquelle -Mustapha
Kemal aurait défcidê de se remarier.
-.i—,M. Stresemann est arrivé ce matin
àtCarlsbad.
A la recherche du
groupe Alessandri
' Berlin, 22 juillet. — Suivant ,la Ga-
nette: Générale ' d’Allemagne, des usines
de AVarnemunde ' ont regu du . comman
dant du Gitta di Milano la commande
de deux; avions de 600 chevaux à-livrer
en ; douze jours " pour poursuivre la re
cherche du-groupe Alessandri.
J AU PONT-NOIR
Un automobiliste
attaqué.
55 r r : Un des bandits avait - l’accent
v “ - auvergnat .
Versailles, 22. juillet (de notre corr.
part;).'-— 'Vers minuit 45, cette nuit, M.
Isaac Hye,-antiquaire, 106, rue du Bac, à
Paris, regagnait son domicile en automo
bile lorsque, après avoir franchi-le Pont-
Noir; àVille-d’Avrây, deux individus qui
^s'étaient placés sur le milieu de la chaus-,
sée‘ l’obligèrent’ à: stopper. M. Hye aper
çut alors» deux -hommes braquant -dans
sa direction des revolvers.
—- Il nous faut votre argent ! -
.M. Hye leur répondit qu’il n’avait
quiun portefeuille ne renfermant que
des papiers d’identité et il les exhiba de
vant" ses agresseurs. ■ ,
’Il.ajouta :
' • ■ -r- J’ai -une montre, ainsi qu'une, chaî
ne. - . .
•''Ii’un dès-bandits palpa'la chaîne mais
dit & son camarade :
.-r-: Non,-ça ne nous intéresse pas; c’est
dei l’argent: qu’il nous faut. ,
-r^r-Je-regrette,-déclara M; IJye, je n’en
. ai - pâs.
. Se contentant 6ans doute Ue cette ré
ponse ;les deux ■ singuliers agresseurs dis
parurent. à : travers bois.
• VA»la gendarmerie de:Saint-Cloud, m.
Hye a fait sa déclaration et donné le si
gnalement assez précis, de ses agresseurs
qui ..paraissent âgés de 18 A 20 ans;, l’un
a- le type algérien, il était chauBsë d’es
padrilles blanches, coiffé d’une casquette
grise et portait-un cache-col bleu; l’au
tre,* de petite taille,- maigre, très brun,
était . également coiffé d’une casquette
grise, et il a semblé à M'. Hye qu’il avait
un. accent, auvergnat. ;
' Lies battues qui ont. été faites aussitôt
par les • gendarmeries de ■ Saint-Cloud et
de Ville-d’Avray, n'ont donné jusqu’ici au
cun résultat.
Un avion allemand
capote en Savoie
Un avion allemand faisant le service
postal entre Genève .et -Barcelone, a ca
poté hier soir vers 19 heures près de
Yenne (Savoie), .au coure d’un atterrissage
forcé. Le pilote est indemne.
Si les routes
étaient meilleures...
(Suite* (ïe^notre article de 1" page)
■ - « Même si le Parlement les augmentait
encore, ils seraient absorbés par cette
œuvre que nous considérons comme pri
mordiale. La fréquence des accidents.dé
pend,- en effet,-pour beaucoup de l’état
de la chaussée, SI nous.faisons partout
de. bonnes routes, nous aurons moins de
rencontres et de capotages. Je recon
nais que, sans doute, il serait bon de
trouver sur la route, de distance en dis
tance,, des postes de . secours ou-des ap
pareils permettant d’appeler au secours.
Mais dans l’état, actuel du budget, il
n’est pas. possible de songer à l’institu-
tlon:"de ces postes.;. >" ' - -
' 100 nouveaux millions en 1929
r Que, d-u moins, l’administration nous
donne, des: routes en bon état ! M. An
dré’ Tardieu y travaille, et aux cent mil
lions d’augmentation de crédits déjà ob
tenus- cette année, il espère pouvoir
ajouter cent millions sur le budget de
1929. ■
.La ohaussée meilleure, la gendarme
rie surveillant mieux, les accidents se
ront Plus rares. Des organismes comme
le. T.C.F. et l'Alitomobile-CIub de Fran-
■ce pourvoiront, heureusement, au sur
plus. :—René Vieuille.
Autres dépêches
ATTAQUE NOCTURNE
M. Léon Lagonotte, plâtrier, 29, rue Bar-
gue, qui passait vers , minuit rue de la Pro
cession, a été attaqué et frappé par-trois
Inconnus qui ont pris la fuite; M; Lago-
notte qui a la-pommette droite fracturée a
été admis à. l’hôpifal de Vaugirard.
, UNE VOITURE ENGLOUTIE
DANS LA CHAUSSEE
. Une-excavation de quatre mètres de long
sur trois mètres de large et 1 m. 60 de
a Produite ce matin vers
o n. 30, place du Panthéon, à l’angle de la
rue Cuja«. Une voiture de laitier y est
tombée. Lea pompiers n’ont pu retirer le
véhicule et Ü.fallut faire appel à la voi
ture-grue de la préfecture de police.
Une enquête est ouverte pour établir les
causes de l’effondrement du soi.
UN MUR MENACE RUINE
-Bue de Torcy,. au numéro 48, un mur
a une hauteur de six mètres menaçait de
s'écrouler, on Interdit la circulation-sur le
trottoir afin d'éviter tout accident
BLESSÉ DTOT COUP DJ3 COUTEAU
Des .agents trouvent blessé,, d’un coup de
çoutpau, boulevard Ney, l’Algérien AU Bel-
lani, manœuvre. .88, boulevard de la Gare,
qui .refuse de. dire-où-et dans quelles con
ditions il. a été. frappé. A Bichat
, LE FEU
ii Un commencement d’incendie s’est dé
claré oe matin dans'une -chambre, 86. ave
nue rMadakoff. lies - pompiers dtr Trooadëro
ont .maîtrisé:le-.feu après une heure et de
mie- d’efforts.. Les combles de -l’immeuble
ont été détruits.
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'|f.' Pierre Machard, 26 ans, 'conseiller
d'assurances, tente -dose suicider à son do
micile, 89,. rue de'Rivoli, à l’aide du gaz
d'éclairage. A l’Hôtol-Dieu. . .
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• - Outsider possible : Honorlade
' Frix Fourire (2.400 m.). — Fanfan
Jl,- Mirbat. ' <
Outsider possible : Mer Egée
Prix d’Orgemont (2.000 m.à v.). —
Souriante, Verduron.
..Outsider poésible : Le-Morvan.
Prix des Robges-Terres (2.000 m.
■ Hand.).— Styrax, Andorra. '•
> Outsider possible : Moravie
Prix du Val-d’Or (900 m ). — Gédéon,
Claudine.
Outsider possible : Hat Lo
-Prix Ossian (1.300 m.). — Fandango,
Murlllo. ■
i Outsider possible : Le Simoun II
i MELTON.
LE TOURNOI
H. Domergue
à Carcassonne
(Suite de notre article de 1™ page)
Le temps est superbe.
Le président de la République prend
place dans une voiture automobile ayant
à ses côtés-le maire de Carcassonne. Un
esoadron de spahis précède la voiture.
Le cortège part à 10 h. 20 pour la pré
fecture au milieu d’un enthousiasme - po
pulaire exubérant. Le midi - ne fait : pas
mentir- aujourd’hui sa réputation. Les
cris de : Vive Doumergue! Vive la Fran
ce! Vive la République! Vive Sarraut!
poussés avec’i’- « assent » méridional.par
des milliers de voix sont assourdissants.
La ville est magnifiquement pavoisée.
Des arcs de,triomphe décorent les rues.
Le - cortège- suit les boulevards Orner Sar
raut,' Marcout, Barbés, Commandant Rou-
mens, Camille Pelletan,. Jean Jaurès et
arrive à 10 h.-45 à la préfecture.
Lebanquet
A l’issue du banquet offert au prési
dent de la 'République par le Conseil
général de l’Aude et, la municipalité de
Carcassonne, des discours ont été pro
noncés, -notamment par le maire de
Carcassonne, puis par M. Albert Sar-i
mut, ministre de l’Intérieur,- président
du Conseil général de l’Aude. M. Albert
Sarraut a dit notamment :
Pays démocrate; berceau de héros et de
proscrits qui ont souffert stoïquement-pour
les droits de la liberté, l'Aude vous fait
offrande de - son ardente bienvenue parce
que vous. ête3:1e gardien le plus loyal de
la: Constitution républicaine Enfant ■ du
•peuple, vous élevez devant ce peuple même
l’exertple vivant de la grande- équKé -dé
mocratique, qui permet à tout citoyen-dont
l’existence est musclée d’énergie, illuminée
d'intelligence, -ennoblie d’intégrité, d’entre-
prpndre, • comme’vous l’avez fait, l’ascen
sion- successive des plus hautes fonctions
publiques et d’aboutir enfin à ces sommets
où,. maintenant, votre- arbitrage s’exerce
avec une rectitude, une autorité, une sa
gesse et ’ une bonté qui- vous ont conquis
en tous lieux l’admiration . et l'affection du
pays français.
M. Albert Sarraut rappelle que M.
Doumergue fut jadis, au Sénat, le créa
teur du groupe de défense viticole. Et
dans un élan d'affection respectueuse,
il salue en lui lo compatriote, l'hpmme
du Midi..., .
Monsieur le Président de la. République,
Iaisscz-mous, avec: respect mais-avec émo
tion, déclarer que -vous êtes des nôtres.
Vous ôteR né près de npus, sur un sol tout
semblable £t notre sol. Vous avez vécu
notre vie. sous un ciel enivré des clartés
plus vives du même soleil. De votre, ter
roir d’origine %u nôtre, un même- décor
sans 'interruption étend sur l’horizon la
verdure profuse des vignes où les grap
pes également vermeilles emprisonnent la
vigueur et la flamme 'des mêmes vins. Kt
les. chansons de 'vos paysans d’Aigues-
Vives, comme les chansons de nos .paysans
de la Montagne Noire, quand elles mon
tent dans la sérénité du soir vers le firma
ment ébloui d'étoiles, ompnuntent au verbe
ancestral des sonorités pareilles pour com
poser l’harmonie des humbles cantilènes
qui disent le bonheur de vivre dans la chè
re mélancolie d’aimer.
Le discours de M.Doumergue
Après avoir remercié la municipalité
de Carcassonne -pour l’accueil, triom
phal qui lui a été, .fait, ,1e .président de
là République; rappelant qu’il est, lui
aussi,-un enfant « de ce Bas-Langue
doc dont les fêtes actuelles sont des
tinées à • commémorer les fastes en
même temps que les deux mille ans de
la merveilleuse Cité », fit- un; tableau
rigoureux de l’histoire glorieuse! des
réglons voisines' de la Montagne-Noire
et des Cévennes.
Tous ces faits n’établissent-ils pas notre
parenté et quand, de ce lointain passé,
nous arrivons au temps présent, ne trou
vons-nous ■ pas encore dans les intérêts
économiques vitaux de vo.trc département,
du mien-et-de ceux qui nous avoisinent,
des raisons très fortes de nous sentir pa-'
rente et - solidaires ?
’M. Doumergue exalte l’effort des -ré
gions viticoles du Midi, et, par voie
de conséquence, le concours généreux
que la « solidarité nationale » leur a ap
porté « au cours de cette lutte et de
ces travaux ». Tout naturellement, il
en vient à glorifier les bienfaits de la
terre. -
S’élevant alors :aux graves problèmes
de Fheure, le. président. de la Républi
que arrive à Ta conclusion de son dis
cours, appel éloquent à la concorde.plus
que jamais nécessaire, à l’union: géné
reuse de tous.
La terrible commotion produite par la
guerre a profondément bouleversé, le mon
de qui, pendant longtemps encore, en res
sentira les douloureuses conséquences. Elle
a fait surgir une multitude de problèmes
nouveaux et infiniment complexes dont les
solutions ne peuvent être trouvées qu'après
beaucoup de tâtonnements et de grands
efforts. ..
Nous en avons fait l'expérience, en ré
solvant heureusement quelques-uns de ces
problèmes par les - méthoeds prudentes et
sages que vous , savez ' et grâce au plein
accord, des-bonnes, volontés.
Mais il • en . reste beaucoup d’autres à
résoudre. N’est-il pas évident, pour tout
esprit ' réfléchi, que les procédés qui - ont
déjà, permis d’obtenir des résultats profi;
tables à tous, continueront à produire
d’aussi heureux effets si l'on persévère
dans leur emploi.?
Il est certain, par exemple, que c'est
grâce à ces méthodes et à cet accord que
nous - pourrons satisfaire à ce double désir
d’être forts et de" vivre en paix si profon
dément enraciné dans l’âme française et
dont la.parfaite réalisation — M. le maire
de Carcassonne l'a - dit avec raison — est
Indispensable à la sécurité du citoyeil et'
de la nation.
Cet après-midi " ”
Après avoir, ce matin, inauguré l’Eco
le (l’Agriculture Charlemagne, visité
l’hôpital de Carcassonne et assisté au
banquet servi en son'honneur, M. Dou
mergue gagne en. automobile la porte
Narbonnaise, où il est regu, à 4 h.'30,
par M. Léon Bailby, . qui de salue au nom
de la Caisse générale des retraites de
la presse française,' par le commissaire
général, des fêtes et par M. Georges Bé-
jot ; au nom de là société organisatrice i
des fêtes. . ■ -
LES INCENDIES DU ROUSSILLON
Cinq foyers |J
allumés
à la fois...
L’enquête révélerait que les
sinistres seraient dus à
la malveillance
Perpignan, 22. juillet; (de notre corr.
part,).. — ■ Lies, incendies ,de montagna
qui. avaient embrasé les Albères et les
contreforts des Pyrénées, en Roussillon,
sont ce, matin circonscriis,' Mais les po-;
pulations .et. la troupe restent alertées.
L’enquête à laquelle s’est livrée la gen
darmerie semblerait. établir que. ces in
cendies sont dus à la.malveillance. Cinq
foyers sur des points différents s’allu
mèrent en effet simultanément. Près do:
Port-Vend-res,- les bois escaladant la:
montagne jusqu’à la Tour de Madeloch
sont en flammes. —'Bhousse. :
Un ; nouvel- incendie; la nuit
. Perpignan, 22 juillet (de notre corr.
part.): — Un nouvel incendie s’est al
lumé cette nuit sur la montagne de Las-
lllas, arrondissement de Céret. Quinze
hectares de chênes verts ont déjà été la
proie des flammes; le fléau poursuit ses ;
ravages. Il fait , toujours une chaleur'
torride et de nouveaux sinistrés sont à :
craindre..— Brousse. .
La réception de Cherbourg
aux * Garraeêt Eeîailers *
Ils arrivent • à Paris à 15 h. 40
à la gare du Bois de Eoulogne
Cherbourg, 22 juillet (par tëlépli. de
notre: corr: part..). — Ce matin, à sept
heures, a eu lieu, en rade de Cherbourg,
l'arrivée des "congressistes américains,
délégués par la puissante corporation
des « Garment Retaüers », * négooiantô
du commerce, de luxe des Etats-Unis.
Centi cinquante congressistes furent
accueillis par. une chaleureuse réception
en gare de Cherbourg. Plusieurs person
nalités prirent la parole. Parmi celles-
ci, en .premier-Heu, M. Lebrettevillois,
maire de Cherbourg : ,
• « Je suis, particulièrement heureux,
a-t-il dit, de saluer les représentants
d’une puissante association comprenant
l’élite du commerce et de l’industrie des
Etats-Unis. La mission que vous vous
êtes donnée est de . celle dont on peut
attendre le meilleur, résultat. Comme je
l’espère, vous garderez de cette récep
tion un agréable souvenir. Vous pourrez
donner à vos compatriotes l’assurance
qu’ils recevront toujours à Cherbourg le
plus bienveillant aecueil. J’adresse aux
membres du congrès des acheteurs amé
ricains le salut amical de la ville. »
MM. Appell, député; Luchaires, pré
fet; Quonian, président de la Chambre
de commerce, prirent ensuite la parole.
L’arrivée des-congressistes à Paris a
lieu à 15 h. 40, à la gare du Bois-de-
Boulogne et non à la gare Saint-Lazare.
La coiri¥iinë¥9aragae
Clemont-Ferrand, 22 juillet (de notre
corr. part.). ~ La classique course de.
côte de Labaraque, qui compte mainte
nant parmi les plus belles manifesta
tions du sport automobile, s’est disputée
cet après-midi, sous un soleil canicu
laire. Une foule énorme's’est étagée le
long de la route qui conduit de Cler
mont-Ferrand au pied "du Puy -de Dôme
et qui comporte une série dé virages im
pressionnants, avec une.pente moyenne
de 7,42 %. Le parcours a été cette année
réduit de. 10 à 6 kilomètres et modifié
légèrement. Le départ est donné aux
cyclistes à 14 heures. — H.
Le rallye des carburants
L’étape de Strasbourg
. Strasbourg, 22 juillet (de notre corr.
part.). — Parti hier matin de Sarregue-
mlnes le Rallye des Carburants s’est
arrêté à Saverne où les véhicules furent
exposés avant et après le-déjeuner* Re
partis de Saverne.. vers 14 h. 30, ils se
sont groupés en colonne avant d’entrer
à Strasbourg où ils ont défilé jusqu’à la
place Kléber. Après un arrêt devant
l’A-C. d’Alsace, les voitures ee sont ren
dues,; au- Wacken où elles resteront pen
dant les trois jours où le Rallye séjour
nera à Strasbourg. Une exposition est
prévue ce matin et demain'-matin. Au
cun incident de. route n’est à signaler.
— V. * -
Lexé a quitté Paris
ce matin
H entreprend à motocyclette
; nne - grande randonnée en Europe
• lie motocycliste Robert qu’un tour
du monde à. motocyclette en compagnie
d’Andrierinc illustra il y a près de deux ans,
est parti de nouveau ce matin, à 8 (heures,
potir effectuer'un voyage d’études à tra
vers 1! Europe. -,
Parti seuil .à* bond d’une motocyclette de
50 cme. de cylindrée, le fameux globe-trot
ter a l'intention de sillonner la* Belgique, Ta
Hollande,., l’Allemagne, le Danemark, - la
Suède, la Finlande et la Daponie, où 11 pui
sera, tout au cours de son voyage, des-en
seignements très préedeux-suT' le tourisme.
Auto ur de Paris ?
PALAISEAU
— M. Eugène-Boucher; 45 ans,- demeu
rant rue Marceau, atteint * d’une maladie -In
curable, s’est pendu dans sa chambre. . -
versahj.es -
_. — lie. Conseil .de l’.Ordro des. avocats. dii
barreau de Versai-lles est alnsi composô :
bâtonnier, M* Dubois - ; membres du* Con
seil, M“ Mignot,- Périnarfl, .. Sipion: et
Manche.. ■ ’ -
DES DRAMES
m !a zone...
Une femme est tuée
Une discussion, ayant pour motif une
histoire ancienne de çoups et blessures
éclatait cette nuit sur la zone, dans la
villa « Paulette », 17, rue de Paris à
Pantin. - ■ ■
La manœuvre, Léon RQusseau, 30 ans, '
reprochait à son collègue Henri Garot,
44 ans, d’avoir porté plainte contre lui
à la-suite de.-coupa'qu’il.lui.avait por
tes. Comme la diseptsion dégénérait en
rixe,, la- gérante do la.. viila- Paulette,
Mme Je-nse, 43 ans, voulut intervenir,
mais; au comble de la fureur; Rousseau,
saisissant un revolver,- tirait à plusieurs
reprises; l’un de ces amis, Charles Dor-
lot,’29 ans, interdit, de séjour, l’imitait
à son tour-.et-'tirait plusieurs balles.
Mme Jeuse s’écroulait .grièvement bles
sée à"l'abdomen,'ainsi, que Henri Garot
qui "était.-atteint au côté droit.
Des agents accoururent et transpor
tèrent les deux blessés à-l’hôpital Te
non où, à trois heures du matin, Mme
Jense succombait. .
Les -meurtriers avaient pu. réussir à
s’enfuir. Les amies des hommes en fuite;
ont été amenées au commissariat-et in
terrogées. Là. elles ont déc’aré-ne pas
savoir où étaient partis leurs amis.
Ceux-ci sont activement recherchés.
.MLMille ..
avait eu peur...
'Et il'blesse deux jeunes femmes ;
à coups de revolver- -
; niüt, vers uhc hétire; «Pê viblente
dî-çcussion ôclfetalt' devant le'débit.-üê' M.
'Emile rue- de -Cba-rtnes, -(entr^ plu
sieurs ^Rapidement,,la que-
réfle dégénéra en pugilat et .-Tune , des an-
tagoîüîsteE, poussée- par ses rivales, "brisa
un^ glace du dé'b’t et, *popr se'-iéfusi-er,: f-or-
ça'la perte-d’entrée. Lue..débitant qui,assis
tait à la scène ,6 eus-son -compteur 1 ;' prit .peur.
■If sortit un' revolver ide, son tiroir-caisse -et:
tira plusieurs, balles sur. .le,.groupe des, jeu- :
ne--, tommes. La prciuièi'e personne atteinte
fut 'Mme Mille clie-Tnême, ? qui - eut l’épaute
gauche traversée par -le^prdjscfcilé. -l/ébnie
Jonét, 25 ans, sans -domicile, et une jeune
femme que -l’on . connaît seulement .sous ;le
ndm de <£ Dulu », furent blessées- toutes
les deux au ventre été durent'.êtne ; admises
à Eariiboilsiôrc. ,
Prévenu,; M. Mâr-tel, commissaire de po
lice «delà Goutte-d'Qr par tntérim. se rendit;
rue de .Chartres et procéda -à- l'arrestation
de ÏI. Mille. L*e. «imitant a pris le chemin
du Dépôt. > - • - , ~
Le ’ magistrat -recherche, d’autre part, la
jeune feinme-'quî provoquaia rixe. -
Le crime de Drancy
A la recherche de l’assassin
Les recherches se .poursuivent active
ment pour retrouver- l’assassin :de Mme
Baier. Quatre des amis de Ta malheureuse
qui fréquentaient assidûment chez elle ont
été tour à tour interrogés. L’un d’eux, sur
lequel pèsent des soupçons, est gardé à la
disposition de M. Luce, commissaire de
police. .
Une femme tue
son mari
Vers minuit 30, Mme. Louise Grappe,
née Landry, 36 ans, nianœuvrière, 34,
rue de Bagnolet, s’est présentée "au pos
te . de police de Gharonne en déclarant
qu’à la suite d^une .discussion: elle avait
tiré plusieurs coups de revolver sur son
mari, Paul Grappe,-.37 ans, manœuvre.
Le blessé, -transporté A;.l’hôpital Saint-
Antoine, y est mort-peu après."
La meurtrière a été mise à la dispo
sition de M. Voitz, commissaire dé po
lice, qui a ouvert une enquête.- .
Le chauffeur Louis Spriet
succombe à ses blessures
On se rappelle la sauvage agression dont
fut victime île' 9 - Juillet dernier, à la Plaine
Saint-Denis, le chauffeur ‘ Louis : Spriet. Le
malheureux, après quinze jours d’une ter
rible agonie, .vient de succomber des suites
de ses affreuses blessures.. On sait que son
agresseur,, Lucien - Lalgros, arrêté , ces
jours-ci est .actuellement sous les verrous.
Dernières nouvelles sportives
Les Six Heures, à l’américaine
. Les Six Heures à l’américaine organisées
par le Nord Est Sportif avec, le, concours
de-notre confrère C,yolo-Sport, se sont dis
putées aujourd’hui à.la piste municipale. Le
départ a été donné ce matin à 9 heures, à
onze équipes. A midi les -positions des .con-
ourrents étalent-les-suivantes. : -
; 1. -Domanchin-Proust, .2. Saulx-Amelot, 3.
Mazoyer-Boutin, :,4. Chocq-Comboudoux,
©te.... 1 -■ •
Les. 100 kilomètres ont -été couverts en
2.1b. 56 m.>18 s. En: 3 heures : 104 kil. 500.
La bénédiction des automobiles
à, Saint-Christophe de Javel
- Mercredi-, prochain,. 25 juillet, - aura
lieu à Saint-Christophe de Javel, à 16
heures précises, la bénédiction solen
nelle des voitures, autos/ bicyclettes et
motocyclettes.
Au banquet de la Presse latine
- Nos - confrères • de la Presse latine ont
eu vendredi leur-'banquet mensuel et leur
distribution de. prix. Présidé ■ par M. de
Waieffe, - entouré de ,MM. Diamandi,. mi
nistre de- Roumanie, des ministres de Cuba
et : de Colombie, - la réunion -fut: animée ; par
un authentique . orchestre cubain. -
Le Prix de la Colombie -(10.000 francs),
-a. été ; attribué . à MM. Mdchissédecr-. de
Lerin et Appela. Le Prix de l’Indépendance
Roumatoe, (5:000 francs) = à ,M. /-Eourcadet,
de l’Agence Havas,,, à ; M. Ramirez- et ; à la
mémoire dé Marius " Afidré. .
INAÜGURATi;Oh3 A. DUGMY
" SUR UÂ. COTE D ’OPALE -- -
Le rail
et l a rou te •••
: Une ligne d’autocars du Tréport
à. Calais
- Lé .Tréport,. Ault, ;Caÿeux,. Le, Orotoy,
Saint-Valéry, Berck, l’incomparable Tou-
quet, « jardin de la Manche », Bou
logne, - Wimereux, Calais, autant de
noms 'qui ■ évoquent des plages de sable,
des deux aux teintes-fines ; • cette .in
comparable-côte picarde participe à la
fois de la douceur normande et du
charme des .Flandres. Ne - la nomme-t-on
pas couramment la côte d’opale ?
Mais,- jusqu'alors, les lignes de che
mins de, fer, -transversales à la côte, i>er-
mettaient mal de la connaître.
Depuis hier,, cette importante lacune
dans une des plus belles régions touris
tiques françaises. est comblée. La Com
pagnie du Chemin de fer du Nord vient
d’avoir l’heureusô idée de créer un ser
vice d’autocars qui dessert la côte du
Tréport à Calais, et vice versa.
Par suite d’une entente entre M. Pa
ris, administrateur des transports dé
partementaux, et la Compagnie des Che
mins de fer économiques, la « Société
des transports automobiles de la Som
me » fonctionne depuis le 14 juillet,
sous la régie de la Compagnie du -Nord.
Mais hier-seulement, une inauguration
amicale et charmante permit d’appré
cier l’effort accompli.
Grâce à M. Moyrand et M. . Joseph Gi
rard, respectivement ingénieur, en chef
et secrétaire général de la Compagnie,
qui a-vaient réuni quelques invités, cha
cun put, par lui-même, éprouver l’excel
lence du-trajet, ■ « coupé» en-quatre
sections, . trajet qui, certainement, ne
peut, que développer les échanges tou
ristiques, pendant les trois mois d’été.'.
Dépassant-d’ailleurs cette utilité im
médiate, M; Moyrand, au cours d’une al
locution aimable et nourrie, fit ressor
tir la collaboration du rail et de la route,
collaboration féconde, appelée à rendre
les .plus grands services ; les deux ins
truments ; sociaux . ne ' s’opposent' - pas,
mais se complètent.,
La nouvelle ligne, d’auto-cars en fe
rait, une démonstration' parfaite, si/be
soin étai,t. D;
Dans la rue
et s ur la r oute
-—- Boulevard Ney, ; Mi-Gaston Coette,-ha
bitant-rue- Lêcuyer, qui circulait à bicyclet
te., est renversé, par un -taxi. ■ - .
— Boulevard de la Chapelle, line: auto
et un-attelage entrent èn-collision. Irf. con
ducteur. de-ce-,dernier .véhicule; M. Charles
Fafst, demeurant rue Turyale, est blessé,
ainsi que son cheval. - - *
. — Boulevard Rocliechouart, M. Jean
Grande!; 42 ans, domicilié- rue de l’Amiral-
Courbet, . à Saint-Mandé, - est renversé 'par'
un taxi. A Lariboisière. '
— A Port-Marly, sur la route nationale.
M.. Yves ..Plonriot, électricien, demeurant à
Paris, rue dés B-elles-FeullIes, est renversé
par une auto et grièvement blessé. Trans
porté à i’hôpital dé Saint-Germain, le-bles
sé, a .été trépané. .
— Boulevard Victor-Hugo, MIJe Germai
ne .Ville, .demeurant: rue Mesnil,-.est ren
versé par un , taxi et a la cuisse gauc-he
fracturée.' A Beaujon.
:—: Boulevard de Clichjy un autobus en
tre en collision avec.un camion conduit par
M. Marcel. Pôhi, habitant avenue Frémiet,
qui-tombe de son siège et se fait dse con
fusions multiples. , .
. -r- .Bo.ulcvard.de Clichy, Mme Henriette
Maumary,. 28 .ans, habitant rue Jacque-
mont, est renversée par un taxi. A. Lari
boisière.
— Boulevard de Clichy, M. Jean Abra
ham, demeurant rue Marcadet, est renversé
par un taxi.
r— Devant la gare de l’Est, M: Marcel
Jacquemart, 36 ans, demeurant quai Polan-
gis ,au Tremblay-Champigny, est renversé
par un taxi.
— Quai Jerrmiapes, M. Angelo Brian
cheuat, demeurant boulevard de. Verdun," "à
Fontenay-sous-Bois, ' est rejiveraé par une
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