Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-11-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 09 novembre 1922 09 novembre 1922
Description : 1922/11/09 (T22,N2200). 1922/11/09 (T22,N2200).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252498s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/04/2013
MINISTÈ RE
~At DES
IPPAI!lts I!TRANGtRES
1
N° 2200
1
Jeudi 9 novembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - La commission des
ESSE ALLEMANDE. - La commission des
réparations à Berlin (Berliner Börsen-
Courier Vossische Zeitung, Vorwärts,
Franirh. Zeitung).
ANGLAISE. - - L'l Turquie et les puis-
sauces (Daily Telegraph, Daily Ex-
Press, M/estminster Gazette, Daily
1
fJ News, Daily Chronicle).
VssE ITALIENNE. - - La nationalité des Ita-
liens de Tunisie (Gaetano Abbiati dans
G:orn~ d'Italia). — La protection des
^Putàs non-fascistes (Corriere della
.IIera). - Le régime de la presse
(Vondo)
POLITIQUE GENERALE
I
LES RÉPARATIONS
A fcERuSP1155101* DES REPARATIONS
l'is (et LIN; - La nouvelle répandue à Pa-
(et m une Partie de la presse alle-
Jan(}es un Peu pressée de faire sienne)
! aP^ès iafr 1'6 les négociations berlinoi-
serait r0Tn-rPiUes et la commission des
ré Parati. COnsIdérerait que sa tentative
défillit. IvMent échoué est inexacte, au
Sans sous cette forme.
S«ls n doute, les projets allemands
Î Poséa :
^issirvnQu'ici ont été repoussés. La
~~is~~ désire de nouveaux projets
que Il. C'est le sens des exigences
Ve t>Tv> P^i^ienne présentait déjà
bler et Presse parIsienne présentait déjà
bi"r P avarit-hier en demandant qu'au lieu
d-l)n P^o-ipt h' ^H^P^unt l'Allemagne présentât
«
i,^Pfojet fj 6 Palemen t. Celui-ci peut se con-
tevoir 'a forme d'un projet dans
le stYi Soit sous la forme d'un projet dans
le matum de Londres, soit sur
ta bese Vastes accords économiques. Au-
h des H» -
"leIH eMv- modes ne peut être loyale-
~ei~b Par le gouvernement du
Ati,h tant (lue l'on n'a pas assuré certaines
l'A^'tiong Indépendantes de la volonté de
eiïlagne : l'ernprunt de reconstitution,
dàfi^it
le Pour Plusieurs années, la fixation
q, d
Q1¡'à Préserff <^ar§es de réparation. Jus-
r 063 conditions ne sont pas
é C0!mmission des réparations
^^ïi e n e P6U^ les assurer, et c'est
jw e ne peu, les assurer, et c'est
"Pquoi 6m »!! rie fait pas non plus de pro-
~e.n attend Bruxelles.
e elle a besoin tout de même d'un
résultat et comme elle ne veut pas assumer
i propre, elle veut entendre
e Il est. r~ hlI promettre l'impossible ; si
«e 1* est r>ar la bouche de Wirth, au moins
la O'Uehe d'un autre chancelier.
La commission des réparations repous-
sant des premiers projets allemands (pro-
jets de stabilisation), il lui reste deux pos-
sibilités ,
Ou bien elle se décide à présenter elle-
même le plan de paiements que l'Allemagne
ne peut élaborer. Ce seraient les conditions
imposées, la dictée ; il faudrait trouver de
nouveaux hommes pour la signer. On attri-
buerait sans doute à M. Hermes que des
Français louent tant le rôle de chancelier de
la signature ;
Ou bien la commission des réparations
espère arriver à un plan économique, et
alors il lui faudrait assurer des garanties
au chancelier qui présenterait ou approu-
verait ce plan.
BERLINER BŒRSEN-COURIER.
7.11, matin.
BRUITS DE DISSENTIMENTS ENTRE M. HERMES
ET LE CHANCELIER. - De Paris, 6 novembre :
Le correspondant du Matin remarque que
« certains partis » auraient exprimé l'idée
que la commission des réparations aurait
obtenu des résultats positifs si Hermes eût
été chancelier à la place de Wirth. Ce
correspondant ajoute que « les conséquen-
ces des négociations de Berlin se, manifeste-
raient au début de la semaine prochaine
dans la politique intérieure allemande ». Le
correspondant de l'Echo de Paris écrit que
les négociations n'ont pas été inutiles
puisqu'elles ont montré qu'il n'y avait rien
à attendre du cabinet Wirth. Le « parti des
industriels » qui croit devoir être appelé
prochainement au gouvernement prétend
avoir élaboré un plan de réparations com-
plet. Ce parti déclare pourtant ne pas vou-
loir faciliter la tâche du cabinet Wirth. Le
correspondant du Journal assure que l'in-
succès des négociations s'expliquerait par
le fait que le cabinet Wirth n'a plus l'opi-
nion publique derrière lui et que son im-
puissance lui rend impossible tout accom-
modement.
Ce télégramme de notre correspondant
parisien indique bien le désarroi qui règne
actuellement dans le gouvernement alle-
mand et l'absence de scrupule avec laquelle
on exploite cette situation dans certains mi-
lieux pour les intérêts de parti. Il est mal-
heureusement exact que les membres des
diverses commissions étrangères et aussi
les experts invités ici sont mieux infor-
més que le peuple allemand lui-même des
différends et intrigues entre les différentes
autorités gouvernementales. Sans aucun
doute, les étrangers ont entendu, de divers
côtés, que lé chancelier ne jouissait plus
de la confiance du pays et que Hermes se-
rait le vrai chancelier capable de faire des
concessions dans la question des répara-
tions tout en affermissant la situation de
l'Allemagne. Par contre, il est absolument
impossible qu'aucun représentant notable
de l'industrie ou du parti populaire ait dé
daré à un correspondant français ou à un
membre d'une commission étrangère, qu'il
existait un plan de réparation élaboré par
l'industrie, mais que celle-ci se refusait à
produire pour ne pas faciliter la tâche du
chancelier Wirth. Une telle attitude qui
confinerait à la trahison doit être tenue
jusqu'ici pour impossible.
Il est inutile de faire un mystère des dissen
timents qui se sont manifestés, depuis quelque
temps entre le chancelier et le ministre des Fi-
nances. Ils ont pris un caractère aigu et il ap-
paraît difficile de pouvoir les écarter. Mais il
n'est pas impossible que les informations lancées
à Paris aient pour but de provoquer une crise
de cabinet.
Parmi ceux qui voudraient amener la chu-
te du chancelier, certains estiment que la
socialdémocratie resterait au cabinet même
sous un autre chancelier. D'autres pensent
à faire sortir la socialdémocratie du cabi-
net pour constituer un gouvernement « bour-
geois » dont certains milieux de droite espè-
rent une nouvelle orientation. Mais celui qui
souhaite le calme en Allemagne n'attend
pas grand'chose d'un arrangement de gou-
vernement ni de la sortie de la social démo-
cratie du cabinet. Le chancelier Wirth reste
pour les grandes masses populaires et no-
tamment pour le prolétariat l'homme de con-
fiance. Sans aucun doute le ministre des Fi-
nances du Reich, Dr Hermes, ne possède pas
cette confiance. Les socialistes et aussi beau-
coup de démocrates envisagent avec méfian-
ce ses conceptions politiques. D'autre part,
même dans ces milieux, on ne se dissimule
pas qu'on doit souhaiter le maintien du Dr
Hermes au pouvoir, notamment à cause de
son talent dans les négociations internatio-
nales. Les amis du chancelier et d'Hermes
doivent donc unir leurs efforts pour apaiser
les différends entre les deux hommes, car
Hermes nous semble pour l'instant un chan-
celier presque impossible. — B h d.
VOSSISCHE ZEITUNG, 6.11, soir.
- Le Worvaerts cite l'informateur français
qui prétend avoir reçu les confidences de l'indus-
trie allemande sur le projet de paiement qu'elle
ne veut pas dévoiler pour ne pas faciliter la tâ-
che du chancelier.
M. de Willemus entretient d'excellentes re-
lations avec les milieux réactionnaires in-
dustriels allemands, comme il convient au
représentant d'un organe du bloc national.
On entendra avec intérêt cette nouvelle que
l'industrie croit avoir un plan de sauvetage
qu'elle ne veut dévoiler que lorsque le chan-
celier Wirth aura été renversé sous la pres-
sion de l'Entente. Toujours strictement « na-
tional » !
Pour le moment, nous pouvons seulement
affirmer que l'assertion d'après laquelle il y
~At DES
IPPAI!lts I!TRANGtRES
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N° 2200
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Jeudi 9 novembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - La commission des
ESSE ALLEMANDE. - La commission des
réparations à Berlin (Berliner Börsen-
Courier Vossische Zeitung, Vorwärts,
Franirh. Zeitung).
ANGLAISE. - - L'l Turquie et les puis-
sauces (Daily Telegraph, Daily Ex-
Press, M/estminster Gazette, Daily
1
fJ News, Daily Chronicle).
VssE ITALIENNE. - - La nationalité des Ita-
liens de Tunisie (Gaetano Abbiati dans
G:orn~ d'Italia). — La protection des
^Putàs non-fascistes (Corriere della
.IIera). - Le régime de la presse
(Vondo)
POLITIQUE GENERALE
I
LES RÉPARATIONS
A fcERuSP1155101* DES REPARATIONS
l'is (et LIN; - La nouvelle répandue à Pa-
(et m une Partie de la presse alle-
Jan(}es un Peu pressée de faire sienne)
! aP^ès iafr 1'6 les négociations berlinoi-
serait r0Tn-rPiUes et la commission des
ré Parati. COnsIdérerait que sa tentative
défillit. IvMent échoué est inexacte, au
Sans sous cette forme.
S«ls n doute, les projets allemands
Î Poséa :
^issirvnQu'ici ont été repoussés. La
~~is~~ désire de nouveaux projets
que Il. C'est le sens des exigences
Ve t>Tv> P^i^ienne présentait déjà
bler et Presse parIsienne présentait déjà
bi"r P avarit-hier en demandant qu'au lieu
d-l)n P^o-ipt h' ^H^P^unt l'Allemagne présentât
«
i,^Pfojet fj 6 Palemen t. Celui-ci peut se con-
tevoir 'a forme d'un projet dans
le stYi Soit sous la forme d'un projet dans
le matum de Londres, soit sur
ta bese Vastes accords économiques. Au-
h des H» -
"leIH eMv- modes ne peut être loyale-
~ei~b Par le gouvernement du
Ati,h tant (lue l'on n'a pas assuré certaines
l'A^'tiong Indépendantes de la volonté de
eiïlagne : l'ernprunt de reconstitution,
dàfi^it
le Pour Plusieurs années, la fixation
q, d
Q1¡'à Préserff <^ar§es de réparation. Jus-
r 063 conditions ne sont pas
é C0!mmission des réparations
^^ïi e n e P6U^ les assurer, et c'est
jw e ne peu, les assurer, et c'est
"Pquoi 6m »!! rie fait pas non plus de pro-
~e.n attend Bruxelles.
e elle a besoin tout de même d'un
résultat et comme elle ne veut pas assumer
i propre, elle veut entendre
e Il est. r~ hlI promettre l'impossible ; si
«e 1* est r>ar la bouche de Wirth, au moins
la O'Uehe d'un autre chancelier.
La commission des réparations repous-
sant des premiers projets allemands (pro-
jets de stabilisation), il lui reste deux pos-
sibilités ,
Ou bien elle se décide à présenter elle-
même le plan de paiements que l'Allemagne
ne peut élaborer. Ce seraient les conditions
imposées, la dictée ; il faudrait trouver de
nouveaux hommes pour la signer. On attri-
buerait sans doute à M. Hermes que des
Français louent tant le rôle de chancelier de
la signature ;
Ou bien la commission des réparations
espère arriver à un plan économique, et
alors il lui faudrait assurer des garanties
au chancelier qui présenterait ou approu-
verait ce plan.
BERLINER BŒRSEN-COURIER.
7.11, matin.
BRUITS DE DISSENTIMENTS ENTRE M. HERMES
ET LE CHANCELIER. - De Paris, 6 novembre :
Le correspondant du Matin remarque que
« certains partis » auraient exprimé l'idée
que la commission des réparations aurait
obtenu des résultats positifs si Hermes eût
été chancelier à la place de Wirth. Ce
correspondant ajoute que « les conséquen-
ces des négociations de Berlin se, manifeste-
raient au début de la semaine prochaine
dans la politique intérieure allemande ». Le
correspondant de l'Echo de Paris écrit que
les négociations n'ont pas été inutiles
puisqu'elles ont montré qu'il n'y avait rien
à attendre du cabinet Wirth. Le « parti des
industriels » qui croit devoir être appelé
prochainement au gouvernement prétend
avoir élaboré un plan de réparations com-
plet. Ce parti déclare pourtant ne pas vou-
loir faciliter la tâche du cabinet Wirth. Le
correspondant du Journal assure que l'in-
succès des négociations s'expliquerait par
le fait que le cabinet Wirth n'a plus l'opi-
nion publique derrière lui et que son im-
puissance lui rend impossible tout accom-
modement.
Ce télégramme de notre correspondant
parisien indique bien le désarroi qui règne
actuellement dans le gouvernement alle-
mand et l'absence de scrupule avec laquelle
on exploite cette situation dans certains mi-
lieux pour les intérêts de parti. Il est mal-
heureusement exact que les membres des
diverses commissions étrangères et aussi
les experts invités ici sont mieux infor-
més que le peuple allemand lui-même des
différends et intrigues entre les différentes
autorités gouvernementales. Sans aucun
doute, les étrangers ont entendu, de divers
côtés, que lé chancelier ne jouissait plus
de la confiance du pays et que Hermes se-
rait le vrai chancelier capable de faire des
concessions dans la question des répara-
tions tout en affermissant la situation de
l'Allemagne. Par contre, il est absolument
impossible qu'aucun représentant notable
de l'industrie ou du parti populaire ait dé
daré à un correspondant français ou à un
membre d'une commission étrangère, qu'il
existait un plan de réparation élaboré par
l'industrie, mais que celle-ci se refusait à
produire pour ne pas faciliter la tâche du
chancelier Wirth. Une telle attitude qui
confinerait à la trahison doit être tenue
jusqu'ici pour impossible.
Il est inutile de faire un mystère des dissen
timents qui se sont manifestés, depuis quelque
temps entre le chancelier et le ministre des Fi-
nances. Ils ont pris un caractère aigu et il ap-
paraît difficile de pouvoir les écarter. Mais il
n'est pas impossible que les informations lancées
à Paris aient pour but de provoquer une crise
de cabinet.
Parmi ceux qui voudraient amener la chu-
te du chancelier, certains estiment que la
socialdémocratie resterait au cabinet même
sous un autre chancelier. D'autres pensent
à faire sortir la socialdémocratie du cabi-
net pour constituer un gouvernement « bour-
geois » dont certains milieux de droite espè-
rent une nouvelle orientation. Mais celui qui
souhaite le calme en Allemagne n'attend
pas grand'chose d'un arrangement de gou-
vernement ni de la sortie de la social démo-
cratie du cabinet. Le chancelier Wirth reste
pour les grandes masses populaires et no-
tamment pour le prolétariat l'homme de con-
fiance. Sans aucun doute le ministre des Fi-
nances du Reich, Dr Hermes, ne possède pas
cette confiance. Les socialistes et aussi beau-
coup de démocrates envisagent avec méfian-
ce ses conceptions politiques. D'autre part,
même dans ces milieux, on ne se dissimule
pas qu'on doit souhaiter le maintien du Dr
Hermes au pouvoir, notamment à cause de
son talent dans les négociations internatio-
nales. Les amis du chancelier et d'Hermes
doivent donc unir leurs efforts pour apaiser
les différends entre les deux hommes, car
Hermes nous semble pour l'instant un chan-
celier presque impossible. — B h d.
VOSSISCHE ZEITUNG, 6.11, soir.
- Le Worvaerts cite l'informateur français
qui prétend avoir reçu les confidences de l'indus-
trie allemande sur le projet de paiement qu'elle
ne veut pas dévoiler pour ne pas faciliter la tâ-
che du chancelier.
M. de Willemus entretient d'excellentes re-
lations avec les milieux réactionnaires in-
dustriels allemands, comme il convient au
représentant d'un organe du bloc national.
On entendra avec intérêt cette nouvelle que
l'industrie croit avoir un plan de sauvetage
qu'elle ne veut dévoiler que lorsque le chan-
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