Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-11-10
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 10 novembre 1922 10 novembre 1922
Description : 1922/11/10 (T22,N2201). 1922/11/10 (T22,N2201).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524996
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
~p. DES
¡PFAll\ts ÉTRANGÈRES
N°2201
Vendredi 10 novembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
MANDE" - La commission des ré-
à Berlin (Deutsche, Berliner
Tdgeblait)
PRESSE ANÏU
hrit A~G,L\ISE, -- Les relations franco-
^'r'tann^' US discours de lord Curzon
à Cann°n oreet (Times), - La Turquie
s '■ »jlu,Ssances (Daily Telegraph, Ti-
cs, nsler Gazette).
1 POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
~ON DES REPARATIONS
«Cffriirnio* - DERNIÈRES NÉGOCIATIONS. -
oui i?n- des réparatiqns, très divi-
(Part» venue ici avec des senti-
Il:lieu (pa.rtagés etde fortes oppositions in-
f^Ures r ^ar grâce à l'habile tactique de
lQlé.rie qUI a su exPloiter nos faiblesses,
^Urptfv raffeimiie. La France a rem-
n, lé une nOUv-elle victoire, non pas exclu-
KlVeraent !nn?* notre faute, mais par suite
fn la> situât11 prylitique générale, et pour
!B ^ment elle est presque maîtresse de la
des réparations.
*>8 aiJ1 doute, a France utilisera son
~%U san e *1 autant qu'elle le pourra,
tr 3{lJl8 dont ° à l'aide de sa vieillie straté-
■>i ! di'atoire ^Ue^e manie de main de mat-
tre surtc) -depuil-' l'arrivée de Poincaré au
pouvoir. I CERTITU,(ÎE HAÏ qui plane sur las
biuPROCHAINS de la France, cause princi-
de la ,ehute 1511 mark et de notre dé-
subskt aggravée. Elle persiste prin-
ti«T.
elut 'parce qu'en France les buts des
.lv. 0 P^rialistes ne coïncident plus
lje ce
e1.lt grande industrie. Les mi-
Qpa e O.
r<:ev^ir Iqueg en France commencent à
e
îm^.n Engageant sur la voie
rit i ) ^a^s^e' on ne pourra con-
J >1 ih. it
n>s qu'il nn y a pour la France que deux
t%vullités nous laisser vivre afin que
nous '<3Slon 1 ^a"er< ou bien nous anéan-
ç n courann 6 danger de l'être avec nous;
t Sibilité .Pert'ÇQIt peut-être une troisième
Svn : n?Us fatre payer et en même
tr¡ ot¡s d SOrte que nous nous anéan-
Vhymhtmm&s- Ce serait naturelle-
¡y,~t¡0e, VPGthèse la pluls favorable pour la
f1\¡.!'iijiste ne serait pas une politique im-
.e lsle Can d'isoler la France ; la
5e,rfiit
1?td~f, 1 Uvêc pour le monde et l'on
éviterait les dissensions intérieures et les
protestations de la gauche que pourraient
provoquer les occupations et les sanc-
tions, de nouvelles démonstrations milita-
ristes, etc. On tirerait le plus possible de
l'Allemagne à l'aide des livraisons de char-
han, en favorisant en même temps l'indus-
trie française, à l'aide des prestations en
nature, en employant des travailleurs alle-
mands ; on entretiendrait en même temps
les dissensions intérieures en Allemagne,
notamment sur la frontière occidentale (en
Bavière on n'aurait pas beaucoup de peine)
— et un jour peut-être on cueillerait comme
un fruit mûr, de la façon la plus « pacifi-
que » du monde, la « Rhénanie indépen-
dante ».
Le calcul français sur l'importance du-
quel on ne doit pas se laisser illusionner
par les gestes d'entente de l'industrie fran-
çaise ne peut être contrecarré qu'en deux
endroits. D'abord, la chute du franc fran-
çais qui suit le mark avec une hâte crois-
sante, peut inciter la grande masse en
France à réfléchir sur les buts des impé-
rialistes. La seconde source de surprise
consiste dans les forces insoupçonnées
qu'un peuple puise dans sa détresse.
DER DEUTSCHE, 8.11.
- Nous apprenons de milieux diplomati-
ques bien informés que Pierpont Morgan,
qui séjourne actuellement à Rome, songe à
rentrer en Amérique au plus tard le 26 no-
vembre. Cette nouvelle prend une impor-
tance particulière du fait que, depuis un
certain temps, on fait des efforts pour con-
voquer une deuxième conférence des ban-
quiers destinée à discuter la question des
réparations à Paris ou à Bruxelles. Morgan
en prendrait à nouveau la présidence. Il
faudrait donc profiter de son séjour actuel
en Europe, sans quoi la convocation de la
conférence subirait un retard important.
Etant donné que la grande conférence
financière de Bruxelles ne peut être prévue
que pour le début de décembre, on pourrait
envisager Paris comme lieu de réunion.
Naturellement, il faudrait, cette fois encore,
des travaux préliminaires considérables.
C'est encore une raison pour laquelle la
commission des réparations pourrait reve-
nir très rapidement à Paris. Nous savons
de source sûre que la commission, hier
soir encore, envisageait la journée de de-
main comme le jour de son départ. Cela ne
signifierait aucunement la rupture des né-
gociations avec le gouvernement allemand,
mais simplement que la commission est ap-
pelée par ses devoirs à Paris. Ce ne serait
pas la première fois que des négociations
engagées à Berlin se poursuivraient à Pa-
ris. Il n'est pas impossible que la commis-
sion prolonge son séjour à Berlin d'une
journée ou deux, si elle a la conviction que
le nouveau projet allemand attendu pour
aujourd'hui peut avoir des chances de faire
progresser la discussion du problème de la
stabilisation. Si ce n'était pas le cas, selon
l'opinion de la commission, elle serait prête
en toute hypothèse, d'après nos informa-
tions, à poursuivre la discussion à Paris.
— M. J.
BERLINER TAGEBLATT, 8.11, matin.
——— ———
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE
DISCOURS DE LORD CURZON (La
8 NOVEMBRE). - [EXTRAIT]. - Dans un dis-
cours prononcé le 8 novembre au Cannon-
Street Hotel, lord Curzon, après avoir parlé
des relations du Foreign Office avec le ca-
binet et insisté sur la nécessité de ne pas
faire intervenir les questions de politique
extérieure dans les controverses des partis,
cite à l'appui de son dire quelques exemples
tirés du passé, et poursuit:
J'aborde à présent la situation actuelle des
affaires étrangères. Quelle a été la politi-
que extérieure de la Grande-Bretagne depuis
la guerre? Elle diffère par un certain côté
de la politique extérieure, telle qu'on la con-
cevait dans le passé. Jadis la politique exté-
rieure de la Grande-Bretagne était la politi-
que du Royaume-Uni et seulement du
Royaume-Uni. Elle est maintenant la politi-
que de tout l'Empire britannique. (Applau-
dissements.)
L'initiative et dans une grande mesure
l'action exécutive doivent, pour des raisons
géographiques, demeurer l'apanage du Fo-
reign Office, mais aux diverses conférences
impériales tenues à Londres, depuis quel-
ques années, il a chaque fois été présenté
aux ministres des Dominions d'outre-mer
qui s'y trouvaient assemblés, des explica-
tions détaillées au sujet des affaires étran-
gères. Les questions sont discutées sous tous
leurs aspects et la politique extérieure de
l'Empire tout entier est élaborée
Dans les périodes intermédiaires où ils
ne sont pas ici, des rapports très complets
leur sont envoyés et il n'est jamais pris de
décision sur aucune question d'importance
première sans qu'ils en soient avisés. C'est.
là un grand changement et c'est une grande
force pour le secrétaire d'Etat aux affaires
étrangères, parce qu'il a conscience de par-
ler non pas seulement au nom du ministère,
ni même les Iles britanniques, mais de tout.
l'Empire. (Applaudissements.)
NÉCESSITÉ DE L'UNION ENTRE LES ALLIÉS. -
En examinant ce que doit être notre politi-
que étrangère, je pose avant tout en prin-
cipe que la paix ne peut être rétablie que
par la coopération des principaux alliés qui
~p. DES
¡PFAll\ts ÉTRANGÈRES
N°2201
Vendredi 10 novembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
MANDE" - La commission des ré-
à Berlin (Deutsche, Berliner
Tdgeblait)
PRESSE ANÏU
hrit A~G,L\ISE, -- Les relations franco-
^'r'tann^' US discours de lord Curzon
à Cann°n oreet (Times), - La Turquie
s '■ »jlu,Ssances (Daily Telegraph, Ti-
cs, nsler Gazette).
1 POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
~ON DES REPARATIONS
«Cffriirnio* - DERNIÈRES NÉGOCIATIONS. -
oui i?n- des réparatiqns, très divi-
(Part» venue ici avec des senti-
Il:lieu (pa.rtagés etde fortes oppositions in-
f^Ures r ^ar grâce à l'habile tactique de
lQlé.rie qUI a su exPloiter nos faiblesses,
^Urptfv raffeimiie. La France a rem-
n, lé une nOUv-elle victoire, non pas exclu-
KlVeraent !nn?* notre faute, mais par suite
fn la> situât11 prylitique générale, et pour
!B ^ment elle est presque maîtresse de la
des réparations.
*>8 aiJ1 doute, a France utilisera son
~%U san e *1 autant qu'elle le pourra,
tr 3{lJl8 dont ° à l'aide de sa vieillie straté-
■>i ! di'atoire ^Ue^e manie de main de mat-
tre surtc) -depuil-' l'arrivée de Poincaré au
pouvoir. I CERTITU,(ÎE HAÏ qui plane sur las
biuPROCHAINS de la France, cause princi-
de la ,ehute 1511 mark et de notre dé-
subskt aggravée. Elle persiste prin-
ti«T.
elut 'parce qu'en France les buts des
.lv. 0 P^rialistes ne coïncident plus
lje ce
e1.lt grande industrie. Les mi-
Qpa e O.
r<:ev^ir Iqueg en France commencent à
e
îm^.n Engageant sur la voie
rit i ) ^a^s^e' on ne pourra con-
J
n>s qu'il nn y a pour la France que deux
t%vullités nous laisser vivre afin que
nous '<3Slon 1 ^a"er< ou bien nous anéan-
ç n courann 6 danger de l'être avec nous;
t Sibilité .Pert'ÇQIt peut-être une troisième
Svn : n?Us fatre payer et en même
tr¡ ot¡s d SOrte que nous nous anéan-
Vhymhtmm&s- Ce serait naturelle-
¡y,~t¡0e, VPGthèse la pluls favorable pour la
f1\¡.!'iijiste ne serait pas une politique im-
.e lsle Can d'isoler la France ; la
5e,rfiit
1?td~f, 1 Uvêc pour le monde et l'on
éviterait les dissensions intérieures et les
protestations de la gauche que pourraient
provoquer les occupations et les sanc-
tions, de nouvelles démonstrations milita-
ristes, etc. On tirerait le plus possible de
l'Allemagne à l'aide des livraisons de char-
han, en favorisant en même temps l'indus-
trie française, à l'aide des prestations en
nature, en employant des travailleurs alle-
mands ; on entretiendrait en même temps
les dissensions intérieures en Allemagne,
notamment sur la frontière occidentale (en
Bavière on n'aurait pas beaucoup de peine)
— et un jour peut-être on cueillerait comme
un fruit mûr, de la façon la plus « pacifi-
que » du monde, la « Rhénanie indépen-
dante ».
Le calcul français sur l'importance du-
quel on ne doit pas se laisser illusionner
par les gestes d'entente de l'industrie fran-
çaise ne peut être contrecarré qu'en deux
endroits. D'abord, la chute du franc fran-
çais qui suit le mark avec une hâte crois-
sante, peut inciter la grande masse en
France à réfléchir sur les buts des impé-
rialistes. La seconde source de surprise
consiste dans les forces insoupçonnées
qu'un peuple puise dans sa détresse.
DER DEUTSCHE, 8.11.
- Nous apprenons de milieux diplomati-
ques bien informés que Pierpont Morgan,
qui séjourne actuellement à Rome, songe à
rentrer en Amérique au plus tard le 26 no-
vembre. Cette nouvelle prend une impor-
tance particulière du fait que, depuis un
certain temps, on fait des efforts pour con-
voquer une deuxième conférence des ban-
quiers destinée à discuter la question des
réparations à Paris ou à Bruxelles. Morgan
en prendrait à nouveau la présidence. Il
faudrait donc profiter de son séjour actuel
en Europe, sans quoi la convocation de la
conférence subirait un retard important.
Etant donné que la grande conférence
financière de Bruxelles ne peut être prévue
que pour le début de décembre, on pourrait
envisager Paris comme lieu de réunion.
Naturellement, il faudrait, cette fois encore,
des travaux préliminaires considérables.
C'est encore une raison pour laquelle la
commission des réparations pourrait reve-
nir très rapidement à Paris. Nous savons
de source sûre que la commission, hier
soir encore, envisageait la journée de de-
main comme le jour de son départ. Cela ne
signifierait aucunement la rupture des né-
gociations avec le gouvernement allemand,
mais simplement que la commission est ap-
pelée par ses devoirs à Paris. Ce ne serait
pas la première fois que des négociations
engagées à Berlin se poursuivraient à Pa-
ris. Il n'est pas impossible que la commis-
sion prolonge son séjour à Berlin d'une
journée ou deux, si elle a la conviction que
le nouveau projet allemand attendu pour
aujourd'hui peut avoir des chances de faire
progresser la discussion du problème de la
stabilisation. Si ce n'était pas le cas, selon
l'opinion de la commission, elle serait prête
en toute hypothèse, d'après nos informa-
tions, à poursuivre la discussion à Paris.
— M. J.
BERLINER TAGEBLATT, 8.11, matin.
——— ———
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE
DISCOURS DE LORD CURZON (La
8 NOVEMBRE). - [EXTRAIT]. - Dans un dis-
cours prononcé le 8 novembre au Cannon-
Street Hotel, lord Curzon, après avoir parlé
des relations du Foreign Office avec le ca-
binet et insisté sur la nécessité de ne pas
faire intervenir les questions de politique
extérieure dans les controverses des partis,
cite à l'appui de son dire quelques exemples
tirés du passé, et poursuit:
J'aborde à présent la situation actuelle des
affaires étrangères. Quelle a été la politi-
que extérieure de la Grande-Bretagne depuis
la guerre? Elle diffère par un certain côté
de la politique extérieure, telle qu'on la con-
cevait dans le passé. Jadis la politique exté-
rieure de la Grande-Bretagne était la politi-
que du Royaume-Uni et seulement du
Royaume-Uni. Elle est maintenant la politi-
que de tout l'Empire britannique. (Applau-
dissements.)
L'initiative et dans une grande mesure
l'action exécutive doivent, pour des raisons
géographiques, demeurer l'apanage du Fo-
reign Office, mais aux diverses conférences
impériales tenues à Londres, depuis quel-
ques années, il a chaque fois été présenté
aux ministres des Dominions d'outre-mer
qui s'y trouvaient assemblés, des explica-
tions détaillées au sujet des affaires étran-
gères. Les questions sont discutées sous tous
leurs aspects et la politique extérieure de
l'Empire tout entier est élaborée
Dans les périodes intermédiaires où ils
ne sont pas ici, des rapports très complets
leur sont envoyés et il n'est jamais pris de
décision sur aucune question d'importance
première sans qu'ils en soient avisés. C'est.
là un grand changement et c'est une grande
force pour le secrétaire d'Etat aux affaires
étrangères, parce qu'il a conscience de par-
ler non pas seulement au nom du ministère,
ni même les Iles britanniques, mais de tout.
l'Empire. (Applaudissements.)
NÉCESSITÉ DE L'UNION ENTRE LES ALLIÉS. -
En examinant ce que doit être notre politi-
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