Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-10-07
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 07 octobre 1922 07 octobre 1922
Description : 1922/10/07 (T22,N2173). 1922/10/07 (T22,N2173).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524714
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
|. "RCFT'IMI '■*
r MITR 9 -",
~h. DES
'ttïTRANCÈREB
N° 2173
Samedi 7 octobre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
?NDE; L'Allemagne et les
nationaik turcs (Kôlnische Zeitung).
^îain^'U ~~n Il à lq. Commission des répara-
{)Ii bons (New York Evening Post).
is ESSE ANGLM«t r
ESSE ANGLAISE. - Les entretiens, de Mou-
da.nia. -1 e rÔle de M. FrankLin-Bouil-
Ion ifj. '^1 Baily Chronicle, Morning
Post n Chronicle, Morning
Post, Daily Herald). - La réponse de
,t algla mal à la note des alliés
t (Times, Daily Express, Daily Tele-
T La révolution grecque (Ti-
mes) La POlitique britannique (Daily
* Chroniole).
I(ESSF- BELGE TT
Gestion - ■ solution belge à la
n enl : lettre ouverte à
Uowi f, George (comte R. de Briey
ri dans r p,„ lambeau).
RESSE 1. t
le ITALIENNE. - Les fascistes italiens et
e PrOoC.he Orient. (Antonio Pirazzoli
Italia). — L'aide à l'Au-
------ dans secolo).
POLITIQUE GENERALE
LLPROche ORIENT
LE t;s E DE MOUDANIA.-
CJLE DE DE MOUDANIA. -
tjp. lsE. - r T. 'd .t l se
si le« ïï®' dans son éditorial, se
an SI les difficultés rencontrées à
ania et e"t
Pas MtHbnJ ne Peuvent certainement
(lM. f a,u.r Grecs, puisque leurs
',
Talent ctalent lneme pas arrivés, n'au-
raient pus pour "l'igine la participation à
li tH enle de M. Franklin-Bouillon,
aont ni tempèrament ni le passé « au mi-
'*eii lS teTnPêtp1 Chambre française »
deu des tempêtes de la Chambre française Il
ter facilement POUr lui Permettre de s'adap-
litc'i Pe8 f
ter facile 1Ilent au ton d'un débat entre mi-
t)ie < est 8(>1'1
?st sérieiiiSe^f11^ craindre qu'un hom-
JI)".OIOotu:-actère a,:!ssi ardent.. ne donne
1 au ment et lnconsciemment à sup-
'J~ UrCS que les alliés sont
,lisPos,iNr faire des Concessions auxquelles
Ir ^n euvent et n
L'j ne VOudront pas oonsen-
ces" Portance tt h pas consen-
ces » nîî* la note 1^?. à ses « assuran-
ms^e du 29 septem-
inqui.fas faite r1-aiHi^eiirs, pour dissiper
ll j et ^des qu
le Jet, (Ed.) quél, on peut éprouver à r-e
TIMES, 6.10.
—- La presse coalitionniste critique la pré-
sence de M. Franklin-Bouillon aux entre-
tiens de Moudania ; elle croit que l'interven-
tion de l'envoyé français a encouragé la ré-
sistance des Turcs. Les organes conserva-
teurs indépendants expriment également
l'avis, mais en termes beaucoup plus modé-
rés, que la conférence aurait dû garder un
caractère strictement militaire :
Que fait M. Franklin-Bouillon à Mouda-
nia ? Il n'est pas militaire. Il .s'agit pourtant
d'une réunion purement militaire chargée
de conclure un arrangement purement mili-
taire.
Y est-il comme journaliste ? Alors pour-
quoi est-il interdit aux autres journalistes
non seulement d'assister à la conférence,
mais même de séjourner dans la ville où
elle se tient ?
Est-ce comme diplomate qu'il se trouve là-
bas ? Alors pourquoi un diplomate français,
à l'exclusion de tout autre ? Et quelles sont
au juste ses fonctions ?
M. Franklin-Bouillon a négocié à Angora
la paix entre la France et le gouvernement
tune, "paix qui constitue pour l'opinion pu-
blique anglaise une violation de l'accord de
Londres de 1914, par lequel chacun des al-
liés s'engageait à ne taire de paix séparée
avec aucune des nations avec lesquelles
nous étions en guerre.
Les vues de M. Franklin-Bouillon sont
bien connues en Angleterre et sont, pour ne
pas nous servir d'une expression plus forte,
très peu goûtées chez nous.
Toute la question est de savoir si M.Fran-
klin-Bouillon saura subordonner ses vues
personnelles au sujet de ce qu'il convient
d'accorder aux Turcs au devoir qui incombe
à la France à l'égard de l'Entente et de la
politique commune arrêtée à Paris.
Il se trouve dans une situation difficile.
S'il s'en tire avec succès, il fortifiera l'En-
tente qui a reçu une atteinte grave du fait
de la défection des Français à Tchanak et
à Ismidt., Sinon, les conséquences seront
aussi importantes, mais dans le sens de la
gravité. — (Du correspondant diploma-
tique.)
DAILY CHRONICLE, 6.10.
— La Morning Post est un peu inquiète
des exigences manifestées par les Turcs à
Moudania, mais elle ne veut pas aban-
donner l'espoir d'un accord final :
La conférence de Moudania ne s'annonce
pas aussi favorablement que les premières
nouvelles reçues de Constantinople le lais-
saient prévoir. Le (problème auquel se heur-
tent. les membres de la conférence est
d'une difficulté extrême. Grâce à la politi-
que de M. Lloyd George, les kemalistes
sont devenus les alliés des bolcheviks ;
d'autre part, la France a conclu, par l'inter-
Y
médiaire de M. Franklin-Bouillon, un
accord séparé avec le gouvernement d'An-
gora. A Moudania, le progrès des, négo-
ciations paraît être entravé par la pré-
sence des personnalités civiles et aussi par-
l'introduction dans le débat de problèmes
qui ne sont. pas du ressort d'une confé-
rence militaire. Mais ce retard ne doit pas
nous faire perdre tout espoir. Les Turcs
sont des Orientaux ; ils ont l'habitude du
marchandage ; ils sont victorieux et en
même temps les alliés, peut-être involon-
taires, des bolcheviks. Enfin et surtout ils
ont eu à souffrir de la, diplomatie de
M. Lloyd George. Lorsque M. Lloyd George
dicte notre politique étrangère, et que
M. Churchill rédige les notes diplomati-
ques, les travaux des conférences ne peu-
vent être que très ralentis.
MORNING POST, 6.10.
- Le travailliste Daily Herald s'alarme
du « mystère de Moudania » et redoute
une nouvelle intervention de Downing
Street :
Est-ce que Downing Street ne crée pas
des difficultés ? Au lieu de lui donner une
pleine, liberté d'action, est-ce qu'il n'envoie
pas au général Harington des instructions,
qui rendraient tout accord impossible et
pourraient précipiter une nouvelle crise.
Le gouvernement envisage-t-il cette poEtf:..
que démente qui consisterait à tenir quand
même Tchanak, en dépit des accords, en
dépit de l'opinion unanime des gouverne-
ments alliés et du Travail britannique ?
S'il en était, ainsi, tout le monde serait
convaincu que la (îrande-Bre^agne ne
cherche pas à assurer la liberté des Dé-
troits, mais bien à les placer sous sa domi-
nation.
En résumé, le « Daily Herald » demande qu'on
fasse pleinement confiance au général Harington.
DAILY HERALD, 6.10.
- Le titre de son éditorial « Soutenons
le général Harington ! » exprime claire-
ment son point de vue r
De nouvelles dispositions belliqueuses se
manifestent. Le mécontentement dans les
milieux officiels, contre le général Haring-
ton, sparaît si vif qu'il pourrait aboutir, si
la presse se prêtait à la manœuvre au
refus du gouvernement de sanctionner cer-
taines exauces de l'armistice
L'embarras de M. Lloyd George s'expli-
que aisément. Le général Harington a fait
échouer le bluff dangereux auquel il se li-
vrait à l'égard des Turcs. Mais nous ne
pouvons pas perdre de vue que le péril de
guerre renaisse, à cause des susceptibilités
d'amour-propre de M. Lloyd George.
C'est à la conférence qu'il. appartient de
r MITR 9 -",
~h. DES
'ttïTRANCÈREB
N° 2173
Samedi 7 octobre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
?NDE; L'Allemagne et les
nationaik turcs (Kôlnische Zeitung).
^îain^'U
{)Ii bons (New York Evening Post).
is ESSE ANGLM«t r
ESSE ANGLAISE. - Les entretiens, de Mou-
da.nia. -1 e rÔle de M. FrankLin-Bouil-
Ion ifj. '^1 Baily Chronicle, Morning
Post n Chronicle, Morning
Post, Daily Herald). - La réponse de
,t algla mal à la note des alliés
t (Times, Daily Express, Daily Tele-
T La révolution grecque (Ti-
mes) La POlitique britannique (Daily
* Chroniole).
I(ESSF- BELGE TT
Gestion - ■ solution belge à la
n enl : lettre ouverte à
Uowi f, George (comte R. de Briey
ri dans r p,„ lambeau).
RESSE 1. t
le ITALIENNE. - Les fascistes italiens et
e PrOoC.he Orient. (Antonio Pirazzoli
Italia). — L'aide à l'Au-
------ dans secolo).
POLITIQUE GENERALE
LLPROche ORIENT
LE t;s E DE MOUDANIA.-
CJLE DE DE MOUDANIA. -
tjp. lsE. - r T. 'd .t l se
si le« ïï®' dans son éditorial, se
an SI les difficultés rencontrées à
ania et e"t
Pas MtHbnJ ne Peuvent certainement
(lM. f a,u.r Grecs, puisque leurs
',
Talent ctalent lneme pas arrivés, n'au-
raient pus pour "l'igine la participation à
li tH enle de M. Franklin-Bouillon,
aont ni tempèrament ni le passé « au mi-
'*eii lS teTnPêtp1 Chambre française »
deu des tempêtes de la Chambre française Il
ter facilement POUr lui Permettre de s'adap-
litc'i Pe8 f
ter facile 1Ilent au ton d'un débat entre mi-
t)ie < est 8(>1'1
?st sérieiiiSe^f11^ craindre qu'un hom-
JI)".OIOotu:-actère a,:!ssi ardent.. ne donne
1 au ment et lnconsciemment à sup-
'J~ UrCS que les alliés sont
,lisPos,iNr faire des Concessions auxquelles
Ir ^n euvent et n
L'j ne VOudront pas oonsen-
ces" Portance tt h pas consen-
ces » nîî* la note 1^?. à ses « assuran-
ms^e du 29 septem-
inqui.fas faite r1-aiHi^eiirs, pour dissiper
ll j et ^des qu
le Jet, (Ed.) quél, on peut éprouver à r-e
TIMES, 6.10.
—- La presse coalitionniste critique la pré-
sence de M. Franklin-Bouillon aux entre-
tiens de Moudania ; elle croit que l'interven-
tion de l'envoyé français a encouragé la ré-
sistance des Turcs. Les organes conserva-
teurs indépendants expriment également
l'avis, mais en termes beaucoup plus modé-
rés, que la conférence aurait dû garder un
caractère strictement militaire :
Que fait M. Franklin-Bouillon à Mouda-
nia ? Il n'est pas militaire. Il .s'agit pourtant
d'une réunion purement militaire chargée
de conclure un arrangement purement mili-
taire.
Y est-il comme journaliste ? Alors pour-
quoi est-il interdit aux autres journalistes
non seulement d'assister à la conférence,
mais même de séjourner dans la ville où
elle se tient ?
Est-ce comme diplomate qu'il se trouve là-
bas ? Alors pourquoi un diplomate français,
à l'exclusion de tout autre ? Et quelles sont
au juste ses fonctions ?
M. Franklin-Bouillon a négocié à Angora
la paix entre la France et le gouvernement
tune, "paix qui constitue pour l'opinion pu-
blique anglaise une violation de l'accord de
Londres de 1914, par lequel chacun des al-
liés s'engageait à ne taire de paix séparée
avec aucune des nations avec lesquelles
nous étions en guerre.
Les vues de M. Franklin-Bouillon sont
bien connues en Angleterre et sont, pour ne
pas nous servir d'une expression plus forte,
très peu goûtées chez nous.
Toute la question est de savoir si M.Fran-
klin-Bouillon saura subordonner ses vues
personnelles au sujet de ce qu'il convient
d'accorder aux Turcs au devoir qui incombe
à la France à l'égard de l'Entente et de la
politique commune arrêtée à Paris.
Il se trouve dans une situation difficile.
S'il s'en tire avec succès, il fortifiera l'En-
tente qui a reçu une atteinte grave du fait
de la défection des Français à Tchanak et
à Ismidt., Sinon, les conséquences seront
aussi importantes, mais dans le sens de la
gravité. — (Du correspondant diploma-
tique.)
DAILY CHRONICLE, 6.10.
— La Morning Post est un peu inquiète
des exigences manifestées par les Turcs à
Moudania, mais elle ne veut pas aban-
donner l'espoir d'un accord final :
La conférence de Moudania ne s'annonce
pas aussi favorablement que les premières
nouvelles reçues de Constantinople le lais-
saient prévoir. Le (problème auquel se heur-
tent. les membres de la conférence est
d'une difficulté extrême. Grâce à la politi-
que de M. Lloyd George, les kemalistes
sont devenus les alliés des bolcheviks ;
d'autre part, la France a conclu, par l'inter-
Y
médiaire de M. Franklin-Bouillon, un
accord séparé avec le gouvernement d'An-
gora. A Moudania, le progrès des, négo-
ciations paraît être entravé par la pré-
sence des personnalités civiles et aussi par-
l'introduction dans le débat de problèmes
qui ne sont. pas du ressort d'une confé-
rence militaire. Mais ce retard ne doit pas
nous faire perdre tout espoir. Les Turcs
sont des Orientaux ; ils ont l'habitude du
marchandage ; ils sont victorieux et en
même temps les alliés, peut-être involon-
taires, des bolcheviks. Enfin et surtout ils
ont eu à souffrir de la, diplomatie de
M. Lloyd George. Lorsque M. Lloyd George
dicte notre politique étrangère, et que
M. Churchill rédige les notes diplomati-
ques, les travaux des conférences ne peu-
vent être que très ralentis.
MORNING POST, 6.10.
- Le travailliste Daily Herald s'alarme
du « mystère de Moudania » et redoute
une nouvelle intervention de Downing
Street :
Est-ce que Downing Street ne crée pas
des difficultés ? Au lieu de lui donner une
pleine, liberté d'action, est-ce qu'il n'envoie
pas au général Harington des instructions,
qui rendraient tout accord impossible et
pourraient précipiter une nouvelle crise.
Le gouvernement envisage-t-il cette poEtf:..
que démente qui consisterait à tenir quand
même Tchanak, en dépit des accords, en
dépit de l'opinion unanime des gouverne-
ments alliés et du Travail britannique ?
S'il en était, ainsi, tout le monde serait
convaincu que la (îrande-Bre^agne ne
cherche pas à assurer la liberté des Dé-
troits, mais bien à les placer sous sa domi-
nation.
En résumé, le « Daily Herald » demande qu'on
fasse pleinement confiance au général Harington.
DAILY HERALD, 6.10.
- Le titre de son éditorial « Soutenons
le général Harington ! » exprime claire-
ment son point de vue r
De nouvelles dispositions belliqueuses se
manifestent. Le mécontentement dans les
milieux officiels, contre le général Haring-
ton, sparaît si vif qu'il pourrait aboutir, si
la presse se prêtait à la manœuvre au
refus du gouvernement de sanctionner cer-
taines exauces de l'armistice
L'embarras de M. Lloyd George s'expli-
que aisément. Le général Harington a fait
échouer le bluff dangereux auquel il se li-
vrait à l'égard des Turcs. Mais nous ne
pouvons pas perdre de vue que le péril de
guerre renaisse, à cause des susceptibilités
d'amour-propre de M. Lloyd George.
C'est à la conférence qu'il. appartient de
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.91%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.91%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k62524714/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k62524714/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k62524714/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k62524714/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k62524714
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k62524714
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k62524714/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest