Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-10-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 06 octobre 1922 06 octobre 1922
Description : 1922/10/06 (T22,N2172). 1922/10/06 (T22,N2172).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252470q
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
B F, S
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
Il ---
N° 2172
Vendredi 6 octobre 1922
BnUetin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE \vrTATt, - Les entretiens de Mou-
datih in — Le8 entretiens de Mou-
et Express). — Les soviets
et les Détroits (Daily Telegraph). - Le
- de M. Ma'c Kenna sur les det-
tes interalliées et les réparations (Mor-
ning Past DaiM., Chronicle lVestmins-
t G Chronicle, Westmins-
p ter azette, Daily News, Daily Herald).
ItESSE - Les entretiens de Mou-
dania — ^es entretiens de Mou-
(Epoca). L'aide à l'Autriche
iCorvCRE della Sera.)
CRUG0SLAVE" - Les soviets et les
Détroits - la note dp- .\Iosc~o,u au ro-
1 DétroitS : la note de Moscou au Fo-
(TrQovinsId Glasniski,
Stoyan Protitûh dans >' Obzor,
Slavenec). dans Radilia,l; ObzoT,
POLITIQUE GENERALE
LE PROCHE ORIENT
ENTRETIENS DE MOUDANIA. -
de II SE:, A:\GL,\ISE. - Sous le titre : H. Le plan
farinât °n "• On est très inquiet ici de
Ce qui Sl(f aSTà la oonférence de Mouda-
nia" diffiC. à la conférence de Mouda-
Ilia. t~a • première que présentait la
lllOhtO"cahon de cette conférence à été sur-
Montée JY\ - à 1
Montée, m '- S de nouveaux obstacles à la
conclusion d Un accord satisfaig¡ant ont COffi-
COïlcliision ?i"n accord satisfaisant ont com-
4 8lr et devront être aplanis.
l'h erèt i- est transporté maintenant de
chanak i T
Hon d Q Sm*f^ et à la Thrace. La posi-
e Tellanak SLI développe actuellement
SUr* un ront de douze milles de long. Elle
est 0ccu]w V 0ment et aPPuyée par envi-
ron 150 can fOI.tement .et appuyee par enVI-
teries d anons lourds, sans compter les bat-
les de ca5 m Pagne-
es Tur ont abandonné les intentions
°etiles
cette p ~u S ont pu avoir par rapport à
trQUp OSltion et concentrent le gros de leurs
£ ?uPes verl le nord-est, en direction d'Is-
m 1(*t, ou ers le no.rd-est, en direction d'Is-
I n y a qu'une petite garnison bri-
0t. ^s, où les négociations en vue
n arinisticp ec 0lleraient pour une raison
OP ^0Uï" Unp „, ,
ne autre, larmée turque pourrait
Constant nS1 1 Isthme conduisant de là vers
ristarit- 11~ç)P~le et aurait alors le choix de
Bol * ^anièr^pc, d'atteiildre la Thrace :
1° Pourraitessaver de traverser le
IiosPh; 6 Pourrait essayer de traverser le
bien, re et ,de prendre Constantinople, ou
*
therV^se aVec le secours de la
îhr-, f'rrlUOr une armée sur la
hrace et la débarquer .sur \a. côte de la
et la dbarquer sur la côte de la
!\Iidia. sur cette mer, aux environs
la l'hraceP:JnClpal des Turcs est d'atteindre
, en comparaison avec ce but ils
ne s'intéressent que faiblement à tout autre
sujet de litige.
On croit savoir que le général Harington
serait disposé à envisager en dernier res-
sort un plan tout différent, qui permettrait
aux Turcs de traverser la zone neutre avec
la coopération des alliés. L'armée turque
pourrait franchir la partie centrale de la
mer de Marmara convoyée par la flotte
alliée, être débarquée à Rodosto et escortée
jusqu'au delà de la limite nord de la zone
neutre, après quoi elle serait libre d'opérer
contre les troupes grecques.
Les arguments en faveur de cette con-
ception sont :
1° Que l'article 178 du traité de Sèvres sti-
pule expressément que les troupes britan-
niques, françaises et italiennes postées dans
Id zone neutre ne devront être employées
qu'en vue du maintien de la liberté des Dé-
troits et que le litige entre la Grèce et la
Turquie au sujet de la Thrace n'a aucun
rapport avec la question des Détroits. Il de-
vrait donc être permis aux Turcs d'utiliser
la zone neutre comme voie de transit, à con-
dition de ne s'y livrer à aucune opération de
guerre ;
2° Que, après le rejet par les Grecs des
propositions en vue d'un armistice énoncées
par les représentants des puissances à Pa-
ris, en mars 1922, il fut déclaré nettement à
la Grèce qu'elle n'agissait plus désormais
au nom des alliés et qu'on laisserait les
deux puissances vider leur querelle sans
préférence pour l'une plutôt que pour l'au-
tre. Dans ce cas, il est bien évident que les
alliés ne devraient pas faire servir l'exis-
tence d'une zone neutre à protéger la re-
traite des Grecs, à condition que le contrôle
interallié des Détroits ne fût pas mis en dan-
ger. - (Du correspondant diplomatique.)
DAILY EXPRESS, 4.10.
L'ATTITUDE DE L'ITALIE. - Les journaux de
Londres affirment que si Mustapha Kemal a
arrêté sa marche en avant, c'est, par crainte
des menaces britanniques. Les journaux de
Paris, par contre, assurent que cet arrêt est
dû à l'action de M. Franklin-Bouillon à An-
gera. Les événements de ces jours derniers
justifieraient donc, d'après les journaux
français eux-mêmes, notre crainte que le
gouvernement turc ne soit qu'un auxiliaire
de la France en Orient et que la prochaine
conférence se termine par un accord franco-
anglais, garantissant à la Grande-Bretagne
la sûreté de son empire en Asie et en Afri-
que et laissant à la France une domination
plus forte en Méditerranée. Nous avons déjà
dit cela, nous le répétons et le répéterons
jusqu'à satiété, car il nous semble qu'il y a
là le danger le plus grave pour l'avenir de
l'Italie et aussi parce que nous désirons
mettre en relief la responsabilité de ceux
qui ont favorisé une politique anti-anglaise.
Le gouvernement italien aurait dû, selon
nous, accomplir cette tâche de médiation,
dont se vantent aujourd'hui les Français; il
aurait dû défendre à Londres les droits de
la Turquie sur Smyrne, Constantinople et la
Thrace et conclure avec la Grande-Bretagne
un accord méditerranéen pour le maintien
de l'équilibre. Par malheur, quand notre ap-
pui servait à l'Angleterre pour conclure des
accords à nos dépens avec la France, nous
l'avons accordé aux Anglais, comme nous
l'accordons aujourd'hui aux Français qui
s'en servent pour conclure une entente avec
l'Angleterre, à notre détriment.
Il est vrai qu'un journaliste italien offi-
cieux du Quai d'Orsay [allusion au corres-
pondant parisien du Mondo ] annonce l'ar-
rivée à Paris de M. Barrère, pour nouer
nous ne savons quels accords entre la
France et l'Italie; mais il est vrai égale-
ment, d'après ces informations, que nous
devrions renoncer à notre progéniture en
Méditerranée en échange du plat de lentil-
les d'un traité de commerce avec les Fran-
çais.
Nous verrons : en tout cas la crise orien-
tale a éclairci et éclaircira de nombreux pro-
blèmes ; eilic a montré par exemple que,
dans une question d'importance capitale
comme la turque, les Etats-Unis et l'An-
gleterre. s'ils ne sont pas d'accord sur tous
les points, ne sont pas loin de l'être.
EPOCA, 4.10.
LES SOVIETS ET LES DETROITS. -
PRESSE ANGLAISE. - Nécessité est mère de
l'invention. La situation difficile où se-
trouve le gouvernement, des soviets en ma-
tière de relations internationales oblige ses
diplomates à faire de grands efforts dans
l'art de l'intrigue politique. A en juger par
l'intérêt avec lequel on suit l'attitude des
soviets sur la question des Détroits, ces
efforts ont été jusqu'à un certain point cou-
ronnés de succès. Cette question des Dé-
troits apparaît aux yeux des diplomates de
Moscou comme un excellent levier qui leur
permettra de disjoindre une fois pour
toutes l'entente franco-anglaise et d'assurer
d'une m'amière brillante au gouvernement
des soviets sa reconnaissance politique
complète.
Cependant, j'apprends, par des amis qui se
trouvent la-bas, que Moscou éprouve une
certaine inquiétude au sujet de l'affaiblisse-
ment progressif de son influence, à
Angora. Depuis le jour où on fut si-
gné le traité avec Ta France, Mustapha
Kemal et ses collègues échappent de plus
en plus à l'influence bolcheviste. Ils ont
prodigué au gouvernement des soviets
leurs démonstrations d'amitié, ils ont ac-
cepté l'argent et le matériel mis à leur
disposition par les Russes, mais lorsqu'il
B F, S
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
Il ---
N° 2172
Vendredi 6 octobre 1922
BnUetin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE \vrTATt, - Les entretiens de Mou-
datih in — Le8 entretiens de Mou-
et Express). — Les soviets
et les Détroits (Daily Telegraph). - Le
- de M. Ma'c Kenna sur les det-
tes interalliées et les réparations (Mor-
ning Past DaiM., Chronicle lVestmins-
t G Chronicle, Westmins-
p ter azette, Daily News, Daily Herald).
ItESSE - Les entretiens de Mou-
dania — ^es entretiens de Mou-
(Epoca). L'aide à l'Autriche
iCorvCRE della Sera.)
CRUG0SLAVE" - Les soviets et les
Détroits - la note dp- .\Iosc~o,u au ro-
1 DétroitS : la note de Moscou au Fo-
(TrQovinsId Glasniski,
Stoyan Protitûh dans >' Obzor,
Slavenec). dans Radilia,l; ObzoT,
POLITIQUE GENERALE
LE PROCHE ORIENT
ENTRETIENS DE MOUDANIA. -
de II SE:, A:\GL,\ISE. - Sous le titre : H. Le plan
farinât °n "• On est très inquiet ici de
Ce qui Sl(f aSTà la oonférence de Mouda-
nia" diffiC. à la conférence de Mouda-
Ilia. t~a • première que présentait la
lllOhtO"cahon de cette conférence à été sur-
Montée JY\ - à 1
Montée, m '- S de nouveaux obstacles à la
conclusion d Un accord satisfaig¡ant ont COffi-
COïlcliision ?i"n accord satisfaisant ont com-
4 8lr et devront être aplanis.
l'h erèt i- est transporté maintenant de
chanak i T
Hon d Q Sm*f^ et à la Thrace. La posi-
e Tellanak SLI développe actuellement
SUr* un ront de douze milles de long. Elle
est 0ccu]w V 0ment et aPPuyée par envi-
ron 150 can fOI.tement .et appuyee par enVI-
teries d anons lourds, sans compter les bat-
les de ca5 m Pagne-
es Tur ont abandonné les intentions
°etiles
cette p ~u S ont pu avoir par rapport à
trQUp OSltion et concentrent le gros de leurs
£ ?uPes verl le nord-est, en direction d'Is-
m 1(*t, ou ers le no.rd-est, en direction d'Is-
I n y a qu'une petite garnison bri-
0t. ^s, où les négociations en vue
n arinisticp ec 0lleraient pour une raison
OP ^0Uï" Unp „, ,
ne autre, larmée turque pourrait
Constant nS1 1 Isthme conduisant de là vers
ristarit- 11~ç)P~le et aurait alors le choix de
Bol * ^anièr^pc, d'atteiildre la Thrace :
1° Pourraitessaver de traverser le
IiosPh; 6 Pourrait essayer de traverser le
bien, re et ,de prendre Constantinople, ou
*
therV^se aVec le secours de la
îhr-, f'rrlUOr une armée sur la
hrace et la débarquer .sur \a. côte de la
et la dbarquer sur la côte de la
!\Iidia. sur cette mer, aux environs
la l'hraceP:JnClpal des Turcs est d'atteindre
, en comparaison avec ce but ils
ne s'intéressent que faiblement à tout autre
sujet de litige.
On croit savoir que le général Harington
serait disposé à envisager en dernier res-
sort un plan tout différent, qui permettrait
aux Turcs de traverser la zone neutre avec
la coopération des alliés. L'armée turque
pourrait franchir la partie centrale de la
mer de Marmara convoyée par la flotte
alliée, être débarquée à Rodosto et escortée
jusqu'au delà de la limite nord de la zone
neutre, après quoi elle serait libre d'opérer
contre les troupes grecques.
Les arguments en faveur de cette con-
ception sont :
1° Que l'article 178 du traité de Sèvres sti-
pule expressément que les troupes britan-
niques, françaises et italiennes postées dans
Id zone neutre ne devront être employées
qu'en vue du maintien de la liberté des Dé-
troits et que le litige entre la Grèce et la
Turquie au sujet de la Thrace n'a aucun
rapport avec la question des Détroits. Il de-
vrait donc être permis aux Turcs d'utiliser
la zone neutre comme voie de transit, à con-
dition de ne s'y livrer à aucune opération de
guerre ;
2° Que, après le rejet par les Grecs des
propositions en vue d'un armistice énoncées
par les représentants des puissances à Pa-
ris, en mars 1922, il fut déclaré nettement à
la Grèce qu'elle n'agissait plus désormais
au nom des alliés et qu'on laisserait les
deux puissances vider leur querelle sans
préférence pour l'une plutôt que pour l'au-
tre. Dans ce cas, il est bien évident que les
alliés ne devraient pas faire servir l'exis-
tence d'une zone neutre à protéger la re-
traite des Grecs, à condition que le contrôle
interallié des Détroits ne fût pas mis en dan-
ger. - (Du correspondant diplomatique.)
DAILY EXPRESS, 4.10.
L'ATTITUDE DE L'ITALIE. - Les journaux de
Londres affirment que si Mustapha Kemal a
arrêté sa marche en avant, c'est, par crainte
des menaces britanniques. Les journaux de
Paris, par contre, assurent que cet arrêt est
dû à l'action de M. Franklin-Bouillon à An-
gera. Les événements de ces jours derniers
justifieraient donc, d'après les journaux
français eux-mêmes, notre crainte que le
gouvernement turc ne soit qu'un auxiliaire
de la France en Orient et que la prochaine
conférence se termine par un accord franco-
anglais, garantissant à la Grande-Bretagne
la sûreté de son empire en Asie et en Afri-
que et laissant à la France une domination
plus forte en Méditerranée. Nous avons déjà
dit cela, nous le répétons et le répéterons
jusqu'à satiété, car il nous semble qu'il y a
là le danger le plus grave pour l'avenir de
l'Italie et aussi parce que nous désirons
mettre en relief la responsabilité de ceux
qui ont favorisé une politique anti-anglaise.
Le gouvernement italien aurait dû, selon
nous, accomplir cette tâche de médiation,
dont se vantent aujourd'hui les Français; il
aurait dû défendre à Londres les droits de
la Turquie sur Smyrne, Constantinople et la
Thrace et conclure avec la Grande-Bretagne
un accord méditerranéen pour le maintien
de l'équilibre. Par malheur, quand notre ap-
pui servait à l'Angleterre pour conclure des
accords à nos dépens avec la France, nous
l'avons accordé aux Anglais, comme nous
l'accordons aujourd'hui aux Français qui
s'en servent pour conclure une entente avec
l'Angleterre, à notre détriment.
Il est vrai qu'un journaliste italien offi-
cieux du Quai d'Orsay [allusion au corres-
pondant parisien du Mondo ] annonce l'ar-
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nous ne savons quels accords entre la
France et l'Italie; mais il est vrai égale-
ment, d'après ces informations, que nous
devrions renoncer à notre progéniture en
Méditerranée en échange du plat de lentil-
les d'un traité de commerce avec les Fran-
çais.
Nous verrons : en tout cas la crise orien-
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EPOCA, 4.10.
LES SOVIETS ET LES DETROITS. -
PRESSE ANGLAISE. - Nécessité est mère de
l'invention. La situation difficile où se-
trouve le gouvernement, des soviets en ma-
tière de relations internationales oblige ses
diplomates à faire de grands efforts dans
l'art de l'intrigue politique. A en juger par
l'intérêt avec lequel on suit l'attitude des
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ronnés de succès. Cette question des Dé-
troits apparaît aux yeux des diplomates de
Moscou comme un excellent levier qui leur
permettra de disjoindre une fois pour
toutes l'entente franco-anglaise et d'assurer
d'une m'amière brillante au gouvernement
des soviets sa reconnaissance politique
complète.
Cependant, j'apprends, par des amis qui se
trouvent la-bas, que Moscou éprouve une
certaine inquiétude au sujet de l'affaiblisse-
ment progressif de son influence, à
Angora. Depuis le jour où on fut si-
gné le traité avec Ta France, Mustapha
Kemal et ses collègues échappent de plus
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prodigué au gouvernement des soviets
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