Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-10-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 09 octobre 1922 09 octobre 1922
Description : 1922/10/09 (T22,N2174). 1922/10/09 (T22,N2174).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252472j
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
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'1 MINISTÈRE--
DES
t~SÉTRANGÈRES
,.. N° 2174
Lundi 9 octobre 1922
1 1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
E~~ -- traduits intégralement sont précédés d'un astérisque. -
SOMMAIRE
^ESSE ATTI
M. ALL"MANDE. — La nomination de
.1. Ba.rthou à la Commission des répa-
Patio (Berliner Tageblatt, Vossische
Zeltttng, - L'accord Stinnes-de Luber-
sac (Otto Hoetzsch dans Kreuz-Zeitung).
Le discours de M. Mac Kenna à
le ?r^ octobre (Kôlnische Zei-
h**t V orWarts).
ESSE AKGLAISE. - Le 'voyage de lord Cur-
zon h p ar^s (Crawford Price dans Sun-
iax T
son Time.s ; DaihJ Télcgraph ; H. Wil-
"'Ir' Ilarris dans Daily News). U
- M. Bonar Law au Times (Daily
1 Chronirlo Sunday Times, Pall Mall Ga-
I lte, AS 'orninff Post). Angora et Mos-
cou ; « Le danaer balkanique » (Times).
-: Lp discours de M. Mac Kenna à
New v (Times). à
PRESSE ITALIENNE.— Les entretiens de Mou-
poca).
Politique GENERALE
LE PROCHE ORIENT
*IS- - I^AG? DE LORD CURZON A PA-
~~t difn situation dans le Proche Orient
UUru^ diffi M enien'' pu être plus grave
t'epris ne 1 et.ait lorsque les pourparlers ont
CUré hier entre lord Curzon et M. Poin-
taré Les négociations entre les généraux
s et les Turcs à Moudania avaient
1 dise l Un impasse et du résultat de la
discussion entamée à Paris entre ces deux
h0rttnies H'pta* dépendait non seulement
Uliité d'actior, des , mais à parler net
On é J'lir de l'Ent.ente cordiale.
stater quP a, une satisfaction générale à
cor, stater ue les nuages menaçants qui
on' PouVaien, sur Paris et Londres et
qui P"aient faire craindre un désaccord
fanent erltre le, alliés se sont dissipés
a ?é jetée base d'action commune
Le rés^A , lord Curzon et M. Poincaré.
relatif du ministre des Affaires étran-
gères relatif à - a conversation qu'il avait
fi été r C M Pr>Lncaré au milieu de la nuit,
C'té ,,,Ç,l
n miri-Cl1 et d'anr Une inf°rmation officielle la
1 et SUr une proposition « mo-
er e t une grande sagesse politique»
- queulveniZpi" hier à M. Poincaré,
rrïlée crr(1 proposition suivant la-
!)l'' &rrnée cr
0rient ale, tandk évacuerait la Thrace
II SeCUrit. andlS que les alliés assureraient
'PlllQlion e personnelle i"fJ les biens de la po-
, grecque restant dans le pays.
Ih ATIoN D
'ernj C"!v,,l Telle est la base
end Plus Q('Cord anglo-françai,s qui n'at-
tend plus que in confirmation du cabinet
britannique. En principe cet accord diffère
peu de l'accord du 23 septembre. Il est es-
sentiel, toutefois, si des gendarmes turcs
doivent pénétrer dans la Thrace orientale
avant la signature d'un traité de paix, que
le. nombre en soit strictement limité. Dow-
ning Street fera bien d'insister sur ce point,
car la présence en Thrace d'une armée tur-
que sous une forme quelconque influerait
gravement sur les conditions du règlement,
rendrait illusoires les mesures prises pour
assurer le contrôle des Dardanelles et nous
mettrait en présence de la possibilité de
nouveaux troubles dans les Balkans. Reste
à savoir quel sera l'effet produit sur les
Turcs par cette nouvelle manifestation de la
solidarité interalliée. Les concessions faites
ne répondent pas à beaucoup près aux exi-
gences d'Ismet Pacha, et à moins que les
représentants kemalistes ne soient convain-
cus qu'il ne leur sera plus possible d'oppo-
ser Paris à Londres, et que c'en est fini de
l'appui donné par les Français à leurs pré-
tentions, l'accord conclu hier n'aura pas
plus de valeur que ceux qui l'ont précédé
ACCORDS STÉRILES. — Pendant la période
allant du 10 août 1920 au 23 septembre der-
sier, nous avons conclu accord sur (accord
avec la France, en faisant toujours de nou-
velles concessions au point de vue franco-
turc et cela pour constater chaque fois, lors-
qu'il s'agissait d'appliquer ces accords, que
la signature de nos alliés ne vaut guère plus
que le papier sur lequel cette signature est
apposée.
M. Poincaré parle aujourd'hui d' « impo-
ser » les conditions de la dernière note
alliée. Le temps prouvera ce que vaut, en
réalité, cette déclaration, mais elle consti-
tue un acheminement dans la bonne direc-
tion et si elle est l'indice d'une résolution
tardive à collaborer avec la Grande-Breta-
gne en vue d'assurer le respect de la volonté
commune des alliés, on pourra considérer
comme conjurée la menace de guerre dans
le Proche Orient. — Crawford Price.
SUNDAY TIMES, 8.10.
— La presse coalïtionniste critique en
termes très vifs le rôle joué par la France
au cours des pourparlers de Moudania. Se-
lon le rédacteur diplomatique du Daily Te-
legraph, lord Curzon s'est rendu à Paris
pour travailler au maintien de l'Entente,
mais sa tâche est infiniment plus délicate
et difficile qu'elle ne l'était il y a une quin-
zaine :
Il n'est plus question de subordonner le
maintien de l'Entente au sacrifice de prin-
cipes ou d'intérêts vitaux pour l'Empire
britannique. Tout ce qu'on demande à la
France, c'est de faire honneur à la signa-
ture qu'elle a apposée le 23 septembre à la
note alliée du 23 septembre. Elle ne, peut
faire moins sans déchirer ce document, qui
perdrait dès lors toute valeur.; la Grande-
Bretagne serait libre d'adopter en Orient
la politique qu'elle jugerait compatible avec
ses intérêts. On veut penser encore dans
les milieux officiels britanniques que le se-
crétaire des Affaires étrangères n'éprouvera
pas de difficultés à obtenir de M. Poincaré
une confirmation formelle et absolue de
l'attitude de la France, telle qu'il l'avait lui-
même définie verbalement et par écrit le
23 septembre.
On peut négliger le fait que le général Pellé,
avant la conférence de Moudania, a cherché à
convaincre le gouvernement britannique de la
nécessité de rappeler ses troupes de Tchanak.
En revanche, la Grande-Bretagne et son gouver-
nement ont le droit de se plaindre qu'un des re-
présentants de la France à Moudania ne se soit
pas conformé à la politique de coopération di-
plomatique pour l'exécution de la note alliée,
coopération qu'avait promise son gouvernement.
Je veux parler de M. Franklin-Bouillon,
dont le moins qu'on puisse dire est que sa
présence et son attitude à la conférence de
Moudania ont prêté à équivoque.
M. Franklin-Bouillon semble avoir joué,
plutôt que celui de représentant de la
France et de l'Entente, le rôle de défenseur
des intérêts kemalistes ; cette attitude,
après tout, est en harmonie avec l'activité
qu'il a déployée antérieurement à An-
gora.
DAILY TELEGRAPH, 7.10.
— Danc son message de Constantinople
aux Daily News, sir Frederick Maurice ex-
plique le 6.10 que la conférence de Mouda-
nia n'a pas abouti parce qu'lsmet Pacha a
réclamé l'occupation immédiate de la
Thrace par les Turcs :
Il apparait que le gouvernement d'Angora
a envoyé sa réponse à la note alliée, sous
l'impression que l'influence de la France as-
surerait l'acceptation des revendications
turques relatives à la Thrace. Il faut que
nous décidions aujourd'hui même avant la
reprise des entretiens si nous suivrons
l'exemple de la France ou si nous sommes
prêts à voir dans la question de l'entrée des
Turcs en Thrace un casus belli.
Le rédacteur diplomatique du même journal,
H. Wilson Harris, s'associe dans un article inti-
tulé : « Le rôle de Franklin-Bouillon » aux criti-
ques de la presse coalitionniste, touchant l'atti-
tude de l'envoyé français à Moudania. Suivant
M. Harris, le départ subit de lord Curzon pour
Paris s'explique par les demandes imprévues et
inacceptables présentées à Moudania par lsmet
Pacha.
Elles visent la cession immédiate de la
Thrace orientale jusqu'à la Maritza et de
l'embranchement important de Karagah sur
la rive occidentale du fleuve, la permission
d'envoyer dans cette province des gendar-
mes turcs, en nombre illimité, et le départ
des commissions alliées dans un délai si
court que leur présence n'offrirait aucune
'1 MINISTÈRE--
DES
t~SÉTRANGÈRES
,.. N° 2174
Lundi 9 octobre 1922
1 1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
E~~ -- traduits intégralement sont précédés d'un astérisque. -
SOMMAIRE
^ESSE ATTI
M. ALL"MANDE. — La nomination de
.1. Ba.rthou à la Commission des répa-
Patio (Berliner Tageblatt, Vossische
Zeltttng, - L'accord Stinnes-de Luber-
sac (Otto Hoetzsch dans Kreuz-Zeitung).
Le discours de M. Mac Kenna à
le ?r^ octobre (Kôlnische Zei-
h**t V orWarts).
ESSE AKGLAISE. - Le 'voyage de lord Cur-
zon h p ar^s (Crawford Price dans Sun-
iax T
son Time.s ; DaihJ Télcgraph ; H. Wil-
"'Ir' Ilarris dans Daily News). U
- M. Bonar Law au Times (Daily
1 Chronirlo Sunday Times, Pall Mall Ga-
I lte, AS 'orninff Post). Angora et Mos-
cou ; « Le danaer balkanique » (Times).
-: Lp discours de M. Mac Kenna à
New v (Times). à
PRESSE ITALIENNE.— Les entretiens de Mou-
poca).
Politique GENERALE
LE PROCHE ORIENT
*IS- - I^AG? DE LORD CURZON A PA-
~~t difn situation dans le Proche Orient
UUru^ diffi M enien'' pu être plus grave
t'epris ne 1 et.ait lorsque les pourparlers ont
CUré hier entre lord Curzon et M. Poin-
taré Les négociations entre les généraux
s et les Turcs à Moudania avaient
1 dise l Un impasse et du résultat de la
discussion entamée à Paris entre ces deux
h0rttnies H'pta* dépendait non seulement
Uliité d'actior, des , mais à parler net
On é J'lir de l'Ent.ente cordiale.
stater quP a, une satisfaction générale à
cor, stater ue les nuages menaçants qui
on' PouVaien, sur Paris et Londres et
qui P"aient faire craindre un désaccord
fanent erltre le, alliés se sont dissipés
a ?é jetée base d'action commune
Le rés^A , lord Curzon et M. Poincaré.
relatif du ministre des Affaires étran-
gères relatif à - a conversation qu'il avait
fi été r C M Pr>Lncaré au milieu de la nuit,
C'té ,,,Ç,l
n
1 et SUr une proposition « mo-
er e t une grande sagesse politique»
- queulveniZpi" hier à M. Poincaré,
rrïlée crr(1 proposition suivant la-
!)l'' &rrnée cr
0rient ale, tandk évacuerait la Thrace
II SeCUrit. andlS que les alliés assureraient
'PlllQlion e personnelle i"fJ les biens de la po-
, grecque restant dans le pays.
Ih ATIoN D
'ernj C"!v,,l Telle est la base
end Plus Q('Cord anglo-françai,s qui n'at-
tend plus que in confirmation du cabinet
britannique. En principe cet accord diffère
peu de l'accord du 23 septembre. Il est es-
sentiel, toutefois, si des gendarmes turcs
doivent pénétrer dans la Thrace orientale
avant la signature d'un traité de paix, que
le. nombre en soit strictement limité. Dow-
ning Street fera bien d'insister sur ce point,
car la présence en Thrace d'une armée tur-
que sous une forme quelconque influerait
gravement sur les conditions du règlement,
rendrait illusoires les mesures prises pour
assurer le contrôle des Dardanelles et nous
mettrait en présence de la possibilité de
nouveaux troubles dans les Balkans. Reste
à savoir quel sera l'effet produit sur les
Turcs par cette nouvelle manifestation de la
solidarité interalliée. Les concessions faites
ne répondent pas à beaucoup près aux exi-
gences d'Ismet Pacha, et à moins que les
représentants kemalistes ne soient convain-
cus qu'il ne leur sera plus possible d'oppo-
ser Paris à Londres, et que c'en est fini de
l'appui donné par les Français à leurs pré-
tentions, l'accord conclu hier n'aura pas
plus de valeur que ceux qui l'ont précédé
ACCORDS STÉRILES. — Pendant la période
allant du 10 août 1920 au 23 septembre der-
sier, nous avons conclu accord sur (accord
avec la France, en faisant toujours de nou-
velles concessions au point de vue franco-
turc et cela pour constater chaque fois, lors-
qu'il s'agissait d'appliquer ces accords, que
la signature de nos alliés ne vaut guère plus
que le papier sur lequel cette signature est
apposée.
M. Poincaré parle aujourd'hui d' « impo-
ser » les conditions de la dernière note
alliée. Le temps prouvera ce que vaut, en
réalité, cette déclaration, mais elle consti-
tue un acheminement dans la bonne direc-
tion et si elle est l'indice d'une résolution
tardive à collaborer avec la Grande-Breta-
gne en vue d'assurer le respect de la volonté
commune des alliés, on pourra considérer
comme conjurée la menace de guerre dans
le Proche Orient. — Crawford Price.
SUNDAY TIMES, 8.10.
— La presse coalïtionniste critique en
termes très vifs le rôle joué par la France
au cours des pourparlers de Moudania. Se-
lon le rédacteur diplomatique du Daily Te-
legraph, lord Curzon s'est rendu à Paris
pour travailler au maintien de l'Entente,
mais sa tâche est infiniment plus délicate
et difficile qu'elle ne l'était il y a une quin-
zaine :
Il n'est plus question de subordonner le
maintien de l'Entente au sacrifice de prin-
cipes ou d'intérêts vitaux pour l'Empire
britannique. Tout ce qu'on demande à la
France, c'est de faire honneur à la signa-
ture qu'elle a apposée le 23 septembre à la
note alliée du 23 septembre. Elle ne, peut
faire moins sans déchirer ce document, qui
perdrait dès lors toute valeur.; la Grande-
Bretagne serait libre d'adopter en Orient
la politique qu'elle jugerait compatible avec
ses intérêts. On veut penser encore dans
les milieux officiels britanniques que le se-
crétaire des Affaires étrangères n'éprouvera
pas de difficultés à obtenir de M. Poincaré
une confirmation formelle et absolue de
l'attitude de la France, telle qu'il l'avait lui-
même définie verbalement et par écrit le
23 septembre.
On peut négliger le fait que le général Pellé,
avant la conférence de Moudania, a cherché à
convaincre le gouvernement britannique de la
nécessité de rappeler ses troupes de Tchanak.
En revanche, la Grande-Bretagne et son gouver-
nement ont le droit de se plaindre qu'un des re-
présentants de la France à Moudania ne se soit
pas conformé à la politique de coopération di-
plomatique pour l'exécution de la note alliée,
coopération qu'avait promise son gouvernement.
Je veux parler de M. Franklin-Bouillon,
dont le moins qu'on puisse dire est que sa
présence et son attitude à la conférence de
Moudania ont prêté à équivoque.
M. Franklin-Bouillon semble avoir joué,
plutôt que celui de représentant de la
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des intérêts kemalistes ; cette attitude,
après tout, est en harmonie avec l'activité
qu'il a déployée antérieurement à An-
gora.
DAILY TELEGRAPH, 7.10.
— Danc son message de Constantinople
aux Daily News, sir Frederick Maurice ex-
plique le 6.10 que la conférence de Mouda-
nia n'a pas abouti parce qu'lsmet Pacha a
réclamé l'occupation immédiate de la
Thrace par les Turcs :
Il apparait que le gouvernement d'Angora
a envoyé sa réponse à la note alliée, sous
l'impression que l'influence de la France as-
surerait l'acceptation des revendications
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nous décidions aujourd'hui même avant la
reprise des entretiens si nous suivrons
l'exemple de la France ou si nous sommes
prêts à voir dans la question de l'entrée des
Turcs en Thrace un casus belli.
Le rédacteur diplomatique du même journal,
H. Wilson Harris, s'associe dans un article inti-
tulé : « Le rôle de Franklin-Bouillon » aux criti-
ques de la presse coalitionniste, touchant l'atti-
tude de l'envoyé français à Moudania. Suivant
M. Harris, le départ subit de lord Curzon pour
Paris s'explique par les demandes imprévues et
inacceptables présentées à Moudania par lsmet
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Elles visent la cession immédiate de la
Thrace orientale jusqu'à la Maritza et de
l'embranchement important de Karagah sur
la rive occidentale du fleuve, la permission
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