Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-07-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 03 juillet 1922 03 juillet 1922
Description : 1922/07/03 (T21,N2094). 1922/07/03 (T21,N2094).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217061t
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
- DES
k~e~l RUS ÉTRANGÈRES
N°2094
i
Lundi 3 iuillet 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SSE ALLEMANDE. '- La conférence, de La
aye : les intérêts des participants
(Paul Scheffer dans Berliner Tageblatt).
- La situation des Soviets (Dr J. K.
von Voiss dans Berliner Tageblatt).
PRESSE ; lk'
ANGLAISE. — La politique balkanique
(na ily Telegraph). — La répression des
nées monarchistes en Allemagne
(DaHy Chronicle, Daily Telegraph).
ESPAGNOLE. — L'Espagne et Tanger :
les enfceticns de Londres (Correspon-
p encia Miliiar, Heraldo de Madrid).
TTATNNE" - Le régime de la Sarre
(Pfles )
"-
-----
Politique GENERALE
CONFÉRENCE DE LA HAYE
SES?» DES PARTICIPANTS. —
ALLEMANDE. — M. Paul
Scheffer, correspondant du Berliner Tage-
t-~ d r
blatt, à la Haye, fait au sujet des déléga-
du groupement des forces, des deside-
ca^Ue Puissance, les intéressantes
°ba Se^cLtie?liDe T h qU:L suwent :
"tun ': - - , - - -
! be l oS flUi suivent :
qi!' Il lIay 16 juin : Des exports en af-
el, l'us 'rep'r'ésentant .1-es cdi~iq sixiênie~s
tkh Ue 44 représentant les cinq sixièmes
Se ervlU réunis ici. Mais les déléga-
Sf S°U^U lqu'ent l'éciprioquemcnt et ne
solidaires que dans l'ap-préhcnsion qu,e
jugé es qUe dans l'appréhension que
> JUgée t , a délégation russe, qui n'est
HT s Pai Ss arriicalement.
Les Pol". anuca.le.m,en t.
ï'ol Ss arriicalement. - -] .L
ont la délégation la plus
qualif ~1~e ,:18,. ont la délégation. la plus
"W fles. Le âs ont envoyé des experts
VUs*i h pnnm.pal délégué tchèque con-
t'ariie q ^Ussie d'aujourd'hui. C'est la
1 critique le plus amèrement
tle> lv3 Q ceTa^S' dans toute la Petite En-
la 'Pologne en fait par-
!s8en' y as,sez froido à l'égard des
s Ce^° conférence, beaucoup
ff^Wf^cipepans Lrenonccf pour eux-mêmes
K, ; « N' dISent avec zèle à ceux qui
« Non ». On se souvi'~nt de l'in-
t(:k. ^er,C(î,11 On se souvient de l'in-
( ncs par 1,e scepticisme
CS â0vaqùi;OVa(ïuic- Depuis lors, la
th W. h b0 a Montré le chemin qui lui
0 signant avec la Russie
'1~quei qui ressemble telle-
Naissance de jure qu'il fau-
drait créer de nouveaux concepts de droit pu-
blic pour sauver la dernière différence. Ce
traité ne peut que fortifier la sérénité avec
laquelle la Tchéco-Slovaquie collabore à la
« solution solidaire du problème russe ».
L'Etat oriental le plus directement touché
est naturellement la Pologne. Peut-elle ac-
cepter volontiers le renforcement de la Rus-
sie qui résulterait d'un résultat positif de la
conférence ? Mais une Russie isolée, livrée
au désespoir n'est-elle pas plus dangereuse
encore pour la Pologne ? La délégation polo-
naise semble n'avoir pu encore surmonter la
difficulté de ce dilemme. A son attitude s'op-
pose celle des Etats baltes qui sont calmes
et sensibles seulement aux considérations
économiques.
Pour les conférences au moins, il est rai-
sonnable de prophétiser. Dans l'ensemble,
la Petite Entente inclinera encore vers la
France. La France a envoyé une délégation
composée exclusivement de fonctionnaires.
On verra si la France a servi ses intérêts
en dépouillant ses envoyés de toute auto-
rité personnelle.
La délégation belge est dirigée par M. Cat-
tier. On se souvient qu'à Gênes la France a
secondé les Belges, leur promettant dei ne
pas abandonner leur point de vue dans la
question de la propriété. Il semble que
l'Amérique ait appuyé la France dans cette
démarche. Pratiquement, les intérêts de la
Belgique sont plus près de ceux de l'An-
gleterre que de ceux de la France : comme
l'Angleterre, la Belgique a de grands inté-
rêts en Russie alors que la France, comme
Ja Hollande par exemple, y a principalement
des intérêts de rentier. Une entente avec
l'Angleterre pour la remise en valeur des
richesses russes est plus intéressante pour
elle qu'un triomphe devant l'autel de la jus-
tice. M. Cattier est un financier et un éco-
nomiste qui voit loin, dans le genre de M.
Delacroix, et jusqu'à présent on peut esti-
mer qu'il suivra l'Angleterre dans son dé-
sir d'écarter les conflits principaux avec les
Russes.
Cela ne veut pas dire naturellement que
les Belges lieront à La Haye leur politique
à celle des Anglais aussi étroitement que fi-
rent les Italiens, à Gênes. Si la France peut
compter sur une indépendance suffisante
de la part des Belges, l'Angleterre ne pour-
de 1,,, p,,Irt d,e-s Bel g es,
rat disposer de l'Italie. Le traité italo-russe
n'est pas encore s'ügnlé parce que « les Tchè-
ques ont perdu les prix », mais on espère
un accord prochain.
Le groupement de forces opéré à Gênes
autour de l'Angleterre et de la France est
déjà disloqué.
Mais un fait fondamental subsiste : l'An-
gleterre est encore l'Etat qui veut cette
conférence et désire en tirer quelque chose.
Gel n'est pas une « conférence de première
classe », pourtant, les deux principaux dé-
légués anglais sont des parlementaires
expérimentés. La personnalité la plus at-
tachante eit peut-être la plus forte de la
délégation est Leslie Urquhart, dont la fa-
mille a vécu en Russie depuis deux géné-
rations et qui possède d'énormes intérêts
dans ce pays en sa qualité de président de
la Russo-Asiatic C°. On peut penser que
M. Urquhart esit plus près de lord Curzon
que M. Lloyd George. En Angleterre, on
n'a pas l'habitude d'envoyer dans les dé-
légations des personnalités directement in-
téressées aux négociations. La présence
de Leslie Urquhart à La Haye montré l'in-
fluence de lai Cité, et l'Angleterre se trouve
ainsi rapprochée automatiquement de da
France. La Cité et les banques françaises
sont plus rapprochées que Lloyd George
et Poincàré. L'Angleterre désire seulement
entrer en conversations concrètes avec les
délégués des Soviets. On connaît les trois
têtes de chapitre de La Haye : propriété
privée, dette, crédits.
Mais l'Angleterre s'intéresse principalement
aux forêts et aux chemins de fer.
L'Amérique est toujours hésitante. L'opinion
publique est plus hostile aux Soviets que le
gouvernement. La Russie pourrait offrir un
gage intéressant au plus haut point l'Améri-
que : le pétrole. — Paul Scheffer.
BERLINER TAGEBLATT, 28.6, soir.
i
i
FRANCE ET ALLEMAGNE
LE REGIME DE LA SARRE. — Sous 12
titre : « LES HONTES DE LA SARRE h le Paese.
proteste contre le régime imposé en fait par
la France au territoire de la Sarre qui, en
principe, est sous la sauvegarde de la So-
ciété des nations :
Les manoeuvres françaises dans la Sarre,
tendant à annexer cette riche province, ont
atteint, au cours de ces dernières semaines.
une activité inquiétante à cause du désor-
dre dans lequel elles ont jeté cette région
et de l'agitation qu'elles provoquent dans
le reste de l'Allemagne. N'ayant pas réussi
à introduire l'annexion de la Sarre dans
le traité de Versailles, les Français espè-
rent l'obtenir par la fraude et la violence
qu'ils exercent facilement puisqu'ils tien-
nent entre leurs mains l'administration ci-
vile du pays, qui est en réalité un vérita-
ble absolutisme. L'outrecuidance du gou-
vernement français est arrivée au point de
demander au gouvernement allemand de lui
reconnaître te. droit de représenter les ha-
bitants de la Sarre dans les autres provin-
ces allemandes. De sorte que, par exemple,
un habitant de Trêves qui se trouverait à
Berlin ne serait pas sous la juridiction alle-
- DES
k~e~l RUS ÉTRANGÈRES
N°2094
i
Lundi 3 iuillet 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SSE ALLEMANDE. '- La conférence, de La
aye : les intérêts des participants
(Paul Scheffer dans Berliner Tageblatt).
- La situation des Soviets (Dr J. K.
von Voiss dans Berliner Tageblatt).
PRESSE ; lk'
ANGLAISE. — La politique balkanique
(na ily Telegraph). — La répression des
nées monarchistes en Allemagne
(DaHy Chronicle, Daily Telegraph).
ESPAGNOLE. — L'Espagne et Tanger :
les enfceticns de Londres (Correspon-
p encia Miliiar, Heraldo de Madrid).
TTATNNE" - Le régime de la Sarre
(Pfles )
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Politique GENERALE
CONFÉRENCE DE LA HAYE
SES?» DES PARTICIPANTS. —
ALLEMANDE. — M. Paul
Scheffer, correspondant du Berliner Tage-
t-~ d r
blatt, à la Haye, fait au sujet des déléga-
du groupement des forces, des deside-
ca^Ue Puissance, les intéressantes
°ba Se^cLtie?li
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! be l oS flUi suivent :
qi!' Il lIay 16 juin : Des exports en af-
el, l'us 'rep'r'ésentant .1-es cdi~iq sixiênie~s
tkh Ue 44 représentant les cinq sixièmes
Se ervlU réunis ici. Mais les déléga-
Sf S°U^U lqu'ent l'éciprioquemcnt et ne
solidaires que dans l'ap-préhcnsion qu,e
jugé es qUe dans l'appréhension que
> JUgée t , a délégation russe, qui n'est
HT s Pai Ss arriicalement.
Les Pol". anuca.le.m,en t.
ï'ol Ss arriicalement. - -] .L
ont la délégation la plus
qualif ~1~e ,:18,. ont la délégation. la plus
"W fles. Le âs ont envoyé des experts
VUs*i h pnnm.pal délégué tchèque con-
t'ariie q ^Ussie d'aujourd'hui. C'est la
1 critique le plus amèrement
tle> lv3 Q ceTa^S' dans toute la Petite En-
la 'Pologne en fait par-
!s8en' y as,sez froido à l'égard des
s Ce^° conférence, beaucoup
ff^Wf^cipepans Lrenonccf pour eux-mêmes
K, ; « N' dISent avec zèle à ceux qui
« Non ». On se souvi'~nt de l'in-
t(:k. ^er,C(î,11 On se souvient de l'in-
( ncs par 1,e scepticisme
CS â0vaqùi;OVa(ïuic- Depuis lors, la
th W. h b0 a Montré le chemin qui lui
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'1~quei qui ressemble telle-
Naissance de jure qu'il fau-
drait créer de nouveaux concepts de droit pu-
blic pour sauver la dernière différence. Ce
traité ne peut que fortifier la sérénité avec
laquelle la Tchéco-Slovaquie collabore à la
« solution solidaire du problème russe ».
L'Etat oriental le plus directement touché
est naturellement la Pologne. Peut-elle ac-
cepter volontiers le renforcement de la Rus-
sie qui résulterait d'un résultat positif de la
conférence ? Mais une Russie isolée, livrée
au désespoir n'est-elle pas plus dangereuse
encore pour la Pologne ? La délégation polo-
naise semble n'avoir pu encore surmonter la
difficulté de ce dilemme. A son attitude s'op-
pose celle des Etats baltes qui sont calmes
et sensibles seulement aux considérations
économiques.
Pour les conférences au moins, il est rai-
sonnable de prophétiser. Dans l'ensemble,
la Petite Entente inclinera encore vers la
France. La France a envoyé une délégation
composée exclusivement de fonctionnaires.
On verra si la France a servi ses intérêts
en dépouillant ses envoyés de toute auto-
rité personnelle.
La délégation belge est dirigée par M. Cat-
tier. On se souvient qu'à Gênes la France a
secondé les Belges, leur promettant dei ne
pas abandonner leur point de vue dans la
question de la propriété. Il semble que
l'Amérique ait appuyé la France dans cette
démarche. Pratiquement, les intérêts de la
Belgique sont plus près de ceux de l'An-
gleterre que de ceux de la France : comme
l'Angleterre, la Belgique a de grands inté-
rêts en Russie alors que la France, comme
Ja Hollande par exemple, y a principalement
des intérêts de rentier. Une entente avec
l'Angleterre pour la remise en valeur des
richesses russes est plus intéressante pour
elle qu'un triomphe devant l'autel de la jus-
tice. M. Cattier est un financier et un éco-
nomiste qui voit loin, dans le genre de M.
Delacroix, et jusqu'à présent on peut esti-
mer qu'il suivra l'Angleterre dans son dé-
sir d'écarter les conflits principaux avec les
Russes.
Cela ne veut pas dire naturellement que
les Belges lieront à La Haye leur politique
à celle des Anglais aussi étroitement que fi-
rent les Italiens, à Gênes. Si la France peut
compter sur une indépendance suffisante
de la part des Belges, l'Angleterre ne pour-
de 1,,, p,,Irt d,e-s Bel g es,
rat disposer de l'Italie. Le traité italo-russe
n'est pas encore s'ügnlé parce que « les Tchè-
ques ont perdu les prix », mais on espère
un accord prochain.
Le groupement de forces opéré à Gênes
autour de l'Angleterre et de la France est
déjà disloqué.
Mais un fait fondamental subsiste : l'An-
gleterre est encore l'Etat qui veut cette
conférence et désire en tirer quelque chose.
Gel n'est pas une « conférence de première
classe », pourtant, les deux principaux dé-
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la Russo-Asiatic C°. On peut penser que
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téressées aux négociations. La présence
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sont plus rapprochées que Lloyd George
et Poincàré. L'Angleterre désire seulement
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délégués des Soviets. On connaît les trois
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privée, dette, crédits.
Mais l'Angleterre s'intéresse principalement
aux forêts et aux chemins de fer.
L'Amérique est toujours hésitante. L'opinion
publique est plus hostile aux Soviets que le
gouvernement. La Russie pourrait offrir un
gage intéressant au plus haut point l'Améri-
que : le pétrole. — Paul Scheffer.
BERLINER TAGEBLATT, 28.6, soir.
i
i
FRANCE ET ALLEMAGNE
LE REGIME DE LA SARRE. — Sous 12
titre : « LES HONTES DE LA SARRE h le Paese.
proteste contre le régime imposé en fait par
la France au territoire de la Sarre qui, en
principe, est sous la sauvegarde de la So-
ciété des nations :
Les manoeuvres françaises dans la Sarre,
tendant à annexer cette riche province, ont
atteint, au cours de ces dernières semaines.
une activité inquiétante à cause du désor-
dre dans lequel elles ont jeté cette région
et de l'agitation qu'elles provoquent dans
le reste de l'Allemagne. N'ayant pas réussi
à introduire l'annexion de la Sarre dans
le traité de Versailles, les Français espè-
rent l'obtenir par la fraude et la violence
qu'ils exercent facilement puisqu'ils tien-
nent entre leurs mains l'administration ci-
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ble absolutisme. L'outrecuidance du gou-
vernement français est arrivée au point de
demander au gouvernement allemand de lui
reconnaître te. droit de représenter les ha-
bitants de la Sarre dans les autres provin-
ces allemandes. De sorte que, par exemple,
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