Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 08 mars 1922 08 mars 1922
Description : 1922/03/08 (T20,N1998). 1922/03/08 (T20,N1998).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62533676
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
-il ~--
1 Iqqfi E
1 I)E 8
.^J^angères
N° 1998
Mercredi 8 mars 1922
1 bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
°Mmaire
, : - Lecoml\ Czenim ci
t' L*c < ( ,m , <" Czernin e!
!lj9l. ? Souvil ernroCnl Menmxû en août
• .b L
1917. 1SCUss,1°:ns'sur les buts de
AlI1eiTiasn les buts de
l'Nil fiu«T^,lDUc' Mm'd enposl). -
î,8* (t'fieiJri et la, Cwî™w (le Gê-
7'a!)(>bl 'lleÙ1rich Hosen dans Bcrliner
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/i,/(' el('hsh1g Sur lt's. l'Ópand ions (J]N-
Vs*** TQ9ebfott)*r ll"s rèParations (/>/-
RICA l.';F. - Les dettes des
l0n). .:ùiJa d:e consolidation (Xa-
: « u "'P'P'lic-alion des accords na-
orij -de Ba,\,[()iUJ' » ( Nelt'
phessè - an.
- SE VN )'
ç? : C r La COnfl':l'enCe de Ge
i mB des experfS: fran-
ï* ^aiu, Le projet dc
j-n Telcal'aph), - Le projet. de
cano rhe^tpi ^britannique (Observer,
GuaT(lian). - Les dette,s
l})oflà ICS ^tats-Unis (Frank II. Si-
0î1 ^dan ns Sttndau Times).
lTA et
e. En5 La Petite-Entente et
je ^vemini dans Secolo )
POLITIQUE GENERALE
ta DE LA GUERRE
~o~
~~SS~ ET LE GOUVER-
b* toi Ssions EN MARS 1917. -
LI' A1i/ 1 .ONS. S. Un LES il!'TS DE GUEnHl~, -
li^j ^k:' U LES m TS DE GUERRE. —
.'Il jus tCr :\ eUesten J.\lIchrlchten pu-
'• h\r.v eriî-ier numéro le pruto-
Itlf! Q1.llC' i. p.i.
,! -lin 1 de la conversation
:e^e qUI eut lieu en l1HU'S 1917 à
tj"e lielh HolhvGg, le comte
hNJ %in M" von SLUUlm lie Prince comte
Sl\*[ le Prin(* Ho
). retaire d'état Zimmer-
lt
Q', hl ^Uon8 m°ntpen(' comment on fai-
t'^e » , peiidifit la
t. 1 ^que lPn^'mag'ne Pendant la
<:, £ dV Jument 0U Cpzer,Ilin déclarait au
if'flC^hK tricl)e t^it,ngne que la monar-
('1) ne était à bout de for,ccs et
flryJMUi fl^tincfllQ 7 toutes gens rai.
t les symptômes
It 0nornjque et militaire en
'1\1\-, ,'ris de «s ,
!'iIîi^ ^kV "*■ le S,, ?1 Principal des hommes
0lla^nds principal des hommes
I@\h (;.¡¡" .Ilnds et autrichiens était de
6 autriehiens était de
;
~u!;~ ~cument. sera donnce p.-n
C!1Tncnl S(?r<î donnée pm
e in Périodique de presse aile■
s'entendre sur le partage du butin et le re-
maniement de la carte d'Europe selon les
vœux des annexionnistes et des impéria
listes.
La conversation de Berlin eut lieu immé-
diatement après la révolution de mars en
Russie, Ce pays fit immédiatement con-
naître au monde son désir de paix. Et quelle
fut la réponse des hommes d'Etat allemands
et autrichiens ? A aucun prix ils ne vou-
laient laisser percer le désir de paix des
puissances centrales, ils voulaient mener la
guerre avec une énergie croissante ! En
même temps, on élabora des plans de par-
tage raffinés au dépens des petites puis-
sances entraînées dans la guerre. La Serbie
devait être rejetée à la mer, la Roumanie
démembrée et la Pologne russe annexée.
La soif impérialiste des puissances oen.
trales se manifesta particulièrement dans le
conflit entre Czernin et Zimmermann. L'AI.
lemagne ne veut pas renoncer à la Valachie
parce qu'elle compte sur le pétrole de cette
région. Mais l'Autriche réplique que si la
Pologne russe est annexée économiquement
et militairement à l'Allemagne, c'est bien
>e moins que l'Autriche reçoive la Valachie.
On finit par comprendre que les hommes
d'Etat allemands se soient tenus fermement
à la demande d'annexion du bassin de
Briey, En dépit de l'affaiblissement de l'in-
riuistrie et de l'armée, affaiblissement, si ma-
nifeste qu'il incita les partis bourgeois à de-
mander une paix de conciliation, les hom-
mes d'Etat responsables s'en tiennent à
leurs exigences annexionistes à l'Est et à
l'Omest. Dans un accès de vérité, Czernin
pouvait déclarer que les travailleurs d'Au-
Inche-Hongrie n'avaient pas l'intention de
continuer à se battre pour atteindre les
buts impérialistes de l'Allemagne, les hom-
mes d'Etats allemands croyaient toujours
que le prolétariat allemand continuerait la
guerre jusqu'à la réalisation des desseins
impérialistes des classes dirigeantes. En
dépit de leurs résolutions de paix et de leurs
discours onctueux, ces criminels ne pen-
sèrent jamais A une vraie paix des peuples ;
ils restèrent les exécuteurs du militarisme
prussien, de la grande industrie et de la
haute finance pour qui la guerre était et de-
vait. demeurer une bonne affaire.
MVENCJÏENER MORGENPOST, 6.3.
——— ———
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
L'ATTITUDE DE L'ALLEMAGNE. — Si
la conférence de Gênes s'était réunie aussi-
16t après Cannes et sous l'influence des évé-
nements de Washington, on eût pu y atta-
cher quelques espérances. Un désir géné
rai de paix et rie rétablissement des rela-
tions commerciales normales entre les
grandes puissances régnait alors. On vou-
lait abattre les barrières du Traité de Ver-
sailles, faire circuler un courant d'air frais
sur le monde, rétablir la libre circulation
des hommes et des choses entre pays et
faire renaître ainsi peu à peu le bien-être
au profit de tous. Voilà ce que l'on appe-
lait la reconstruction de l'économie mon-
diale. Et voilà sous quelles couleurs riantes
beaucoup de gens se représentaient an
début les négociations de Gênes. Mais le
travail acharné de la France pour détruire
la conception anglaise a abouti au triomphe
de Poincaré. Il semble bien que M. Lloyd
George soit allé assez loin dans ses conces-
sions ,assez loin pour mériter les applau-
dissements de la presse française sur le ré-
sultat de l'entrevue de Boulogne. C'est une
autre question de savoir s'il a fortifié sa po-
sition dans son propre pays.
L'ouverture d'une conférence ne constitue
pas en général la genèse, mais bien l'acte
final d'une période de négociations diplo-
matiques.
La diplomatie française n'est pas restée
inactive pendant le délai qui lui a été ac-
cordé. Après avoir surmonté la résistance
britannique, il ne lui sera pas difficile de
rallier à ses idées les autres puissances
conviées à la Conférence. Dès maintenant,
nous apprenons que la Petite Entente, qu'on
nomme déjà Quadruple Alliance en prévi-
sion de l'accession de la Pologne, se pro-
pose, sous la direction de M. Benes, d'agir
à r;ôncs en conformité avec les concep-
tions de la France ; on nous dit aussi que
la Pologne projette de s'associer dans le
même dessein avec les Etats baltiques, Fin-
lande, Esthonie et Lettonie. La diplomatie
française sera donc en mesure de faire
écarter de l'ordre du jour les questions qui
la gêneront sou« prétexte qu'elles appor-
tent des modifications au traité de Versail-
les ou affectent le problème complexe des
réparations, ou bien encore qu'elles sont de
la compétence de la Société des Nations.
A l'occasion de toutes les négociations
internationales — sans exception — on doit,
du côté allemand, poser la question sui-
vante : ce chemin mène-t-il à l'affranchisse-
ment des chaînes qu'on nous a imposées ou
bien va-t-on nous en forger de nouvelles ?
Il est clair, en effet, que si l'Allemagne doit
affronter à Gênes la majorité écrasante des
voix de la Grande et de la Petite Entente
ainsi que des comparses, elle devra s'incli-
ner. On peut nous faire observer que nous
connaissons le programme dans ses
grandes lignes et que ceci nous préserve
des surprises désagréables. Mais ce n'est
qu'une vérité théorique. A Algesiras aussi,
a Spa. à Londres, nous nous croyions à
l'abri d'une déviation dangereuse du cours
des délibérations.
1 Iqqfi E
1 I)E 8
.^J^angères
N° 1998
Mercredi 8 mars 1922
1 bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
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1917. 1SCUss,1°:ns'sur les buts de
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j-n Telcal'aph), - Le projet. de
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GuaT(lian). - Les dette,s
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0î1 ^dan ns Sttndau Times).
lTA et
e. En5 La Petite-Entente et
je ^vemini dans Secolo )
POLITIQUE GENERALE
ta DE LA GUERRE
~o~
~~SS~ ET LE GOUVER-
b* toi Ssions EN MARS 1917. -
LI' A1i/ 1 .ONS. S. Un LES il!'TS DE GUEnHl~, -
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('1) ne était à bout de for,ccs et
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'1\1\-, ,'ris de «s ,
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C!1Tncnl S(?r<î donnée pm
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puissances centrales, ils voulaient mener la
guerre avec une énergie croissante ! En
même temps, on élabora des plans de par-
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et militairement à l'Allemagne, c'est bien
>e moins que l'Autriche reçoive la Valachie.
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Briey, En dépit de l'affaiblissement de l'in-
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Inche-Hongrie n'avaient pas l'intention de
continuer à se battre pour atteindre les
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que le prolétariat allemand continuerait la
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dépit de leurs résolutions de paix et de leurs
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sèrent jamais A une vraie paix des peuples ;
ils restèrent les exécuteurs du militarisme
prussien, de la grande industrie et de la
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vait. demeurer une bonne affaire.
MVENCJÏENER MORGENPOST, 6.3.
——— ———
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
L'ATTITUDE DE L'ALLEMAGNE. — Si
la conférence de Gênes s'était réunie aussi-
16t après Cannes et sous l'influence des évé-
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cher quelques espérances. Un désir géné
rai de paix et rie rétablissement des rela-
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grandes puissances régnait alors. On vou-
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au profit de tous. Voilà ce que l'on appe-
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diale. Et voilà sous quelles couleurs riantes
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travail acharné de la France pour détruire
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La diplomatie française n'est pas restée
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écarter de l'ordre du jour les questions qui
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réparations, ou bien encore qu'elles sont de
la compétence de la Société des Nations.
A l'occasion de toutes les négociations
internationales — sans exception — on doit,
du côté allemand, poser la question sui-
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ment des chaînes qu'on nous a imposées ou
bien va-t-on nous en forger de nouvelles ?
Il est clair, en effet, que si l'Allemagne doit
affronter à Gênes la majorité écrasante des
voix de la Grande et de la Petite Entente
ainsi que des comparses, elle devra s'incli-
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connaissons le programme dans ses
grandes lignes et que ceci nous préserve
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