Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-03-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 09 mars 1922 09 mars 1922
Description : 1922/03/09 (T20,N1999). 1922/03/09 (T20,N1999).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6253368m
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
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J:RANGÈRES
N° 1999
Jeudi 9 mars 1922
Wletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
-
1 ALLEMANDE;. -- Les réparations : la
nce de. s ministres des Finances
et les paiements de 1922 (Frankfurter
un-g)..
^fICAINE— Les Soviets, la France
l'Allemagne (New York Evening
D. t; "'TÇlshington Post). - La Cour de
Interna.tio.nale (New York Eve-
Fast). — L'application des accords
vals : l'arrêt des constructions
~I'l.. Times). — Les réductions
w York Times). - Les r(~ductÍon:3
ans l'armée et dans la marine (New
Times). — La situation en
|PT tnrï & (New York Evening Post).
^7?r*AISE" - La crise de la coali-
sés)6 discours de Sir Arthur Balfour
r;OllANDAISE. — Le programme des
aux de la Conférence de Gênes
Ische Post). - Le différend po
, thuanLen devant la Cour de j'us
« Tnt ternatdonale (Haagsche Post).
INIQUE GENERALE
ONFÉRENCE de GÊNES
H "IEts LA FRANCE ET L'ALLE
-=- SUR LES BRUITS DE NÉGOCIATIONS.
'E AMÉRICAINE. - Berlin est mis en
ailrionce d'un traité préliminaire
Ê&F.i- ailGe et le gouvernement des So-
s duquel la France recon-
es Soviets et leur accorderait des
B~ lÜiIlg terme en échange de la recon-
e :Par les Soviets des dettes russes
rrc et d'importantes concessions
L'opinion allemande surexci-
llt-etr-e tune propagande intéressée,
S ce traité l'adjonction des revendi-
■ felisSei3' aux créances inscrites au
rél?arali°ns, la fin pour l'Allemagne
GJet,s d'expansdon économique en
HETLpnfi' nn la porte fermée en Russie
ipnde"B re,tagn e •
U-firrne que cet accord franco-russe
t d-evenir une réaHté il est bien évi-
bon nombre des idées que nous
:e.°b.S SUr l'Europe et sur la situation
, d-evront prendre le chemin des
BHtam^' Mais la publicité même don-
t UveHe ferait supposer plutôt
B^it6 en question est jusqu'ici moins
Ilne nouvelle manœuvre dans la
campagne compliquée des relations franco-
britanniques. C'est pour Poincaré un moyen
comme un autre de donner à entendre net-
tement à Lloyd George que du moment qu'il
s'agit de mobiliser la Russie en vue d'un
plan général de relèvement européen, il lui
faudra compter avec la France.
Cependant un rapprochement entre la
France et la Russie n'a en soi rien d'impos-
sible. Nous avons- attiré il y a quelque
temps déjà l'attention de nos lecteurs sur
une intéressante nouvelle que se faisait en-
voyer de Moscou l'Observer de Londres. Le
correspondant du journal anglais disait
avoir constaté dans tous les milieux russes
une sympathie marquée pour la France. La
cause déterminante de cette attitude serait
que la fierté nationale russe, dont savent si
bien jouer les Bolcheviks, se sent atteinte
et que les intérêts nationaux de la. Russie
s'effarouchent du projet de réorganisation
de leur pays sous forme de « colonie » éco-
nomique à l'aide de l'esprit d'initiative alle-
mand, avec l'appui moral et financier de
la Grande-Bretagne.
La Russie n'a aucunement le désir de
devenir une colonie et elle soupçonne la
Grande-Bretagne d'avoir des visées qui
n'ont rien d'économique. Elle soupçonne que
les intérêts asiatiques de la Grande-Bre-
tagne s'accommoderaient mal du retour à
la vie d'une Russie forte. Cette impression
a probablement été confirmée par l'indiffé-
rence montrée par la Grande-Bretagne à la
conférence de Washington, en ce qui con-
cerné les droits de la Russie en Sibérie vis-
à-vis du Japon.
Et si la Russie elle-même a le désir d'être
forte, la France en fin de compte ne deman-
derait pas mieux que d'avoir une Russie
forte avec laquelle pourraient se renouer les
liens d'une amitié ancienne. La crainte de
l'Allemagne ne cessera jamais d'être un élé-
ment important, de la mentalité française et
comme protection contre l'Allemagne, les
petits Etats de l'Europe centrale sont bien
peu d,e chose comparés à une Russie qui au-
rait retrouvé son unité. Pour l'instant c'est
la Grande-Bretagne qui est pour les Soviets
Ja meilleure amie des deux. Mais à la lon-
gue la France a plus à offrir au gouverne-
ment de la Russie. C'est ainsi, au moins,
que l'en raisonnerait à Moscou. (Ed.)
NEW YORK EVENING POST, 16.2.
-- Une dépêche Associated Press reçue de
Berlin le 17 février annonce que le ré-
sultat des conférences entre les représen-
tants des gouvernements de l'Allemagne et
de la Russie soviétique sera sans doute la
conclusion à une date rapprochée d'un
modus vivendi entre ces deux pays, défi-
nissant l'importance de la participation al-
lemande au relèvement économique et à
l'exploitation de la Russie. Parmi les Alle-
mands qui assitaient à cette consultation se
trouvaient Hugo Stinnes, Félix Deutsch, di-
recteur de la Cie Générale d'Electricité, et
Wiedfeld, directeur de la Société Krupp. Du
côté russe les négociateurs comprenaient
Leonid Krassine, Karl Radek et M. Stoma-
niakov, représentants commerciaux des So-
viets. La. dépêche ajoute que ces négocia-
tions n'affectent nullément la participation
de l'un ou de l'autre pays à la conférence de
Gênes.
Cela ne fait que confirmer l'information
reçue par le gouvernement des Etats-Unis -
et suivant laquelle les plus grands efforts
seraient tentés actuellement en vue de dé-
terminer l'exploitation économique de- la
Russie par l'Allemagne. Si les visées ambi-
tieuses de M. Stinnes se réalisaient les
Américains, tout comme les Européens,
seraient appelés à fournir l'appui financier
nécessaire à cette entreprise gigantesque.
Il propose en effet la formation d'un con-
sortium réunissant les plus puissantes mai-
sons financières du monde, appuyées par
leurs gouvernements A première vue, tous
ses proj ets sont purement économiques et
non politiques.
Les intéressés croient évidemment savoir
que la conférence économique de Gênes ap-
prouvera les projets de l'Allemagne, car on
se prépare, à Moscou, à participer à la con-
férence en question. Léonid Krassine sera
un des délégués, Les dirigeants des Soviets
semblent convaincus que leurs assurances
satisferont les gouvernements représentés à
la Conférence. Ces assurances comprennent
la promesse de s'abstenir de toute propa-
grande subversive, la reconnaissance de
l'ancienne dette impériale russe et la ga-
rantie que les commerçants qui traiteront
des affaires en Russie n'auront pas a
craindre de voir consfisquer leurs mar-
chandises. Les gouvernements représentés
au conseil suprême laissent entendre qu'ils
reconnaîtront le régime des Soviets comme
étant le gouvernement de la Russie, à con-
dition de recevoir ces assurances sous une
forme satisfaisante.
La commission interalliée qui fonctionne
en Allemagne a exposé à plusieurs reprises
le plan formé par les principaux industriels
et financiers allemands pour l'exploitation
de la Russie. Le gouvernement français,
notamment, reçoit du général Nollet les in-
formations les plus précises à cet égard.
Mais le plan allemand est si habilement
conçu, il est susceptible de s'adapter si bien
aux nécessités françaises du moment, que
les avantages directs à en retirer pour la
France, font perdre de vue à beaucoup de
Français le danger terrible que constitue-
rait éventuellement la mainmise allemande
J:RANGÈRES
N° 1999
Jeudi 9 mars 1922
Wletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
-
1 ALLEMANDE;. -- Les réparations : la
nce de. s ministres des Finances
et les paiements de 1922 (Frankfurter
un-g)..
^fICAINE— Les Soviets, la France
l'Allemagne (New York Evening
D. t; "'TÇlshington Post). - La Cour de
Interna.tio.nale (New York Eve-
Fast). — L'application des accords
vals : l'arrêt des constructions
~I'l.. Times). — Les réductions
w York Times). - Les r(~ductÍon:3
ans l'armée et dans la marine (New
Times). — La situation en
|PT tnrï & (New York Evening Post).
^7?r*AISE" - La crise de la coali-
sés)6 discours de Sir Arthur Balfour
r;OllANDAISE. — Le programme des
aux de la Conférence de Gênes
Ische Post). - Le différend po
, thuanLen devant la Cour de j'us
« Tnt ternatdonale (Haagsche Post).
INIQUE GENERALE
ONFÉRENCE de GÊNES
H "IEts LA FRANCE ET L'ALLE
-=- SUR LES BRUITS DE NÉGOCIATIONS.
'E AMÉRICAINE. - Berlin est mis en
ailrionce d'un traité préliminaire
Ê&F.i- ailGe et le gouvernement des So-
s duquel la France recon-
es Soviets et leur accorderait des
B~ lÜiIlg terme en échange de la recon-
e :Par les Soviets des dettes russes
rrc et d'importantes concessions
L'opinion allemande surexci-
llt-etr-e tune propagande intéressée,
S ce traité l'adjonction des revendi-
■ felisSei3' aux créances inscrites au
rél?arali°ns, la fin pour l'Allemagne
GJet,s d'expansdon économique en
HETLpnfi' nn la porte fermée en Russie
ipnde"B re,tagn e •
U-firrne que cet accord franco-russe
t d-evenir une réaHté il est bien évi-
bon nombre des idées que nous
:e.°b.S SUr l'Europe et sur la situation
, d-evront prendre le chemin des
BHtam^' Mais la publicité même don-
t UveHe ferait supposer plutôt
B^it6 en question est jusqu'ici moins
Ilne nouvelle manœuvre dans la
campagne compliquée des relations franco-
britanniques. C'est pour Poincaré un moyen
comme un autre de donner à entendre net-
tement à Lloyd George que du moment qu'il
s'agit de mobiliser la Russie en vue d'un
plan général de relèvement européen, il lui
faudra compter avec la France.
Cependant un rapprochement entre la
France et la Russie n'a en soi rien d'impos-
sible. Nous avons- attiré il y a quelque
temps déjà l'attention de nos lecteurs sur
une intéressante nouvelle que se faisait en-
voyer de Moscou l'Observer de Londres. Le
correspondant du journal anglais disait
avoir constaté dans tous les milieux russes
une sympathie marquée pour la France. La
cause déterminante de cette attitude serait
que la fierté nationale russe, dont savent si
bien jouer les Bolcheviks, se sent atteinte
et que les intérêts nationaux de la. Russie
s'effarouchent du projet de réorganisation
de leur pays sous forme de « colonie » éco-
nomique à l'aide de l'esprit d'initiative alle-
mand, avec l'appui moral et financier de
la Grande-Bretagne.
La Russie n'a aucunement le désir de
devenir une colonie et elle soupçonne la
Grande-Bretagne d'avoir des visées qui
n'ont rien d'économique. Elle soupçonne que
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tagne s'accommoderaient mal du retour à
la vie d'une Russie forte. Cette impression
a probablement été confirmée par l'indiffé-
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conférence de Washington, en ce qui con-
cerné les droits de la Russie en Sibérie vis-
à-vis du Japon.
Et si la Russie elle-même a le désir d'être
forte, la France en fin de compte ne deman-
derait pas mieux que d'avoir une Russie
forte avec laquelle pourraient se renouer les
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l'Allemagne ne cessera jamais d'être un élé-
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comme protection contre l'Allemagne, les
petits Etats de l'Europe centrale sont bien
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rait retrouvé son unité. Pour l'instant c'est
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ment de la Russie. C'est ainsi, au moins,
que l'en raisonnerait à Moscou. (Ed.)
NEW YORK EVENING POST, 16.2.
-- Une dépêche Associated Press reçue de
Berlin le 17 février annonce que le ré-
sultat des conférences entre les représen-
tants des gouvernements de l'Allemagne et
de la Russie soviétique sera sans doute la
conclusion à une date rapprochée d'un
modus vivendi entre ces deux pays, défi-
nissant l'importance de la participation al-
lemande au relèvement économique et à
l'exploitation de la Russie. Parmi les Alle-
mands qui assitaient à cette consultation se
trouvaient Hugo Stinnes, Félix Deutsch, di-
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Wiedfeld, directeur de la Société Krupp. Du
côté russe les négociateurs comprenaient
Leonid Krassine, Karl Radek et M. Stoma-
niakov, représentants commerciaux des So-
viets. La. dépêche ajoute que ces négocia-
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de l'un ou de l'autre pays à la conférence de
Gênes.
Cela ne fait que confirmer l'information
reçue par le gouvernement des Etats-Unis -
et suivant laquelle les plus grands efforts
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tieuses de M. Stinnes se réalisaient les
Américains, tout comme les Européens,
seraient appelés à fournir l'appui financier
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Il propose en effet la formation d'un con-
sortium réunissant les plus puissantes mai-
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leurs gouvernements A première vue, tous
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non politiques.
Les intéressés croient évidemment savoir
que la conférence économique de Gênes ap-
prouvera les projets de l'Allemagne, car on
se prépare, à Moscou, à participer à la con-
férence en question. Léonid Krassine sera
un des délégués, Les dirigeants des Soviets
semblent convaincus que leurs assurances
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la Conférence. Ces assurances comprennent
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l'ancienne dette impériale russe et la ga-
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des affaires en Russie n'auront pas a
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reconnaîtront le régime des Soviets comme
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dition de recevoir ces assurances sous une
forme satisfaisante.
La commission interalliée qui fonctionne
en Allemagne a exposé à plusieurs reprises
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et financiers allemands pour l'exploitation
de la Russie. Le gouvernement français,
notamment, reçoit du général Nollet les in-
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Mais le plan allemand est si habilement
conçu, il est susceptible de s'adapter si bien
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