Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-02-21
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 21 février 1918 21 février 1918
Description : 1918/02/21 (T8,N722). 1918/02/21 (T8,N722).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6338416g
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
N° 722
I¡; -.
Paris, 21 février 1918.
0
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
RESSE ALILEMANDE.
COlYIlYIANDEMENT
~e t. ague : PRESSE ALLEMAND. -
~e y aVaIt désormais unité de
~On purement et simplement.
~16 rH^mesti°n • « n"
~Nnte? » restp 8S 16 Hinden"
~rf>de Tin,:^^thcliffp i ,-^ns exposées
~- terre par ~dées exposées
~de Kenirw l emPortent.
~re qui voit 2trQi è® nettement le
~uirasse essaie de se tirer
~îre Par rijes sophhiSSra ? jÛÂ sans prendre
~jurait nous déplaire. Moltke
~e génè rnalht ureux des homme
à un contrôle qui
~t Ute son initiative. Les attaques
et c°ntre r0k es attaques
~hcliffl ® contre Sir Dou-
~VÎJ de la COntr,e Rohertson rappellent
~e et ses pnm française avec
r,?pes Prussien es^ anglaises,
se Iontr'Ôleurs aux ar-
~"h Héve^i autrichipn 68'
~','11 4t f\évo ~ion qui combat-
~s itoV^ut n moni?freni la méthode
~rVit!lble Pas sui 'Ire. et les conséquen-
~i t r¡elt}et dUt manque d'unité dans le
rSStot K La sitiS.*:.
^elle n'i ? de nos enne-
~- , aet lutll-e n'est pas aussi la-
~; -iV*Sïîom?r iï°'Lt0at » règle à Ver-
~:ii Q,t utr du tan- se règle à Ver-
~Qli_resselOb1tre \Vashington, Londres et
~tlr'll, Les' ent aux députés de la Con-
~4 ttb - anglais laissent de-
~aï comman-
~Corn aVons tout lieu de nous en
~'ïCV^'il ons tout lieu de nous en
~a fait à la fin de
~jo défendu Jourdan, l'Histoire
~Î,S ?:M"> > »'v «ux An iT ?urclan. l'Histoire
~ri et aux Fran-
~de fait, tant qu'il reste
~que ue chose à faire. » - (Erieh
~» - (Erich
~t. u Vo^cîc Zeitung, 14.2.
est devenue nioins
l^iilK- l3?8 que Il cen"
~Dpm
~Sur le fr à la mar"
~It 'Pêlill1. d avant Pas truit à la mar-
~« r r le front de France.
'Jfftti()l) Quei^ulement qui arrivent, il
"lIt r. f\u IOUlerneol )) qUe réclament
~fees-uns h- °r
WeVe co);,t (lennlQ, an etf lus-
~c4ni re"eux sont
r¡ Priil)t uc;ll1arac!es de la métropo-
~t IIUÇUtl e fatigue et ne courent
~* lre ~6 la pnt en campagne est ex-
~c juste que
ril les rr,,'-'tablit un roule-
~len
~¡ b,lf¡¡.qrr./¡ées et ce" x qui son 1
~e Il de es en etceux qtii sont
~P^ratirm 8a' 011 mê-
- D:at 13.2.
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
RAPPORTS ENTRE ALLIES
La déclaration de Versailles et l'opinion
américaine. — De Washington : Les Etats-
Unis donnent un appui enthousiaste et sans
réserve à toutes les mesures militaires pri-
ses à Versailles. D'autre part., le président
Wilson et le peuple américain désirent con-
server leur liberté d'action pour ce qui est
purement du domaine politique. C'est pour
cela qu'un simple observateur politique les
représente au Conseil Suprême.. Il est cer-
tain qu'on a été déçu ici de voir mention-
ner dans la déclaration les comtes Hert-
iing et Czernin. Si le Conseil Suprême s'était
borné à remplir ses fonctions militaires, il
est très probable que M. Wilson n'aurait
pas parlé au Congrès le 11 février. Il était
disposé, me dit-on, à laisser mûrir l'effet
de son message du 8 janvier, sans souli-
gner à nouveau la divergence de vues du
Chancelier allemand et du ministre austro-
hongrois. Cette sorte d usurpation par le
Conseil Suprême d'un rôle politique a été
malheureuse. Rien dans tout ceci n'implique
d'ailleurs qu'il y ait la moindre divergence
de vues entre M. Wilson et les Alliés, élo-
quemment représentés par M. Lloyd Geor-
ge. Mais l'impression générale est ici, com-
me l'exprime la Washington Post, que le
président a « presque nécessairement », en
ce qui concerne les buts de guerre politiques
les plus hauts, « une position dirigeante, et
non une position d'égal à égal avec les au-
tres alliés. » — Times, 19.2.
RAPPORTS ENTRE BELLIGERANTS
ET NEUTRES
« Le danger d'une invasion française en
Suisse » [sous ce titre]. — De Zurich, 14.2
Le Bund de Berne déclare crue la situation
actuelle est plus critique pour la Suisse que
celle d'août 1914. La tentation est grande
aujourd'hui de tourner les positions établies
depuis des années Le journal de Berne rap-
pelle les déclarations récentes die l'Améri-
que, de la France et de l'Angleterre concer-
nant la neutralité suisse, déclarations plei-
nes de réserves. On ne désire évidemment
pas entraîner la Suisse dans la guerre, mais
l'Entente laisse entendre qu'elle doit être
prêfé ti s'opposer à toute avance en Suisse
des Puissances centrales. « Nous ne vou-
lons pas, dit le Bund, examiner les consé-
quences pouvant résulter de cette nécessi-
té d'être prêt, et qui peut aller jusqu'à de-
vancer la manœuvre des autres. Mais de
telles déclarations nous montrent clairement
notre devoir. Il consiste à assurer nous-mê-
mes la protection de notre frontière de telle
sorte que personne n'ait besoin de venir à
notre secours. » Il ne faut pas compter sur
la confiance des belligérants les uns vis-à-
vis des autres ; il faut, au contraire, que
les belligérants aient confiance dans la
Suisse. — Münchner Neueste Nachrichten.
15.2.
Attentats contre les navires espagnols. —
UN Allemand qui prétend aimer l'Espagne
à l'égal de sa patrie, et qui est attaché a
notre pays par des liens de famille et des
intérêts considérables, nous a fait les dé-
clarations suivantes, que nous enregis-
trons, sans nature lement y souscrire :
« Aussi regrettables que soient les torpil-
lages de vos navires, l'Allemagne continue-
ra à vous infliger des dommages, qu'elle
désirerait pourtant épargner à une nation,
dont elle a pu apprécier les sympathies hos-
pitalières, et où elle trouvera plus tard un
marché avantageux. Mais tant que les con-
venances de votre commerce vous incite-
ront à ravitailler nos ennemis, l'Allemagne
se verra contrainte, contre son gré, de dé-
truire vos bateaux. L'Espagne oublie que le
terrible conflit prend le caractère d'un duel
à mort, et, que, dès lors, les intérêts com-
merciaux pèsent peu dans le choix de no-
tre attitude. Elle devra opter pour l'un des
termes de ce dilemme : ou bien elle sa-
crifiera, en cette heure solennelle, ses dé-
sirs de gain, au besoin même elle affron-
tera la ruine, ou bien elle se résignera à
perdre une bonne partie de sa marine mar-
chande. Un refroidissement de nos reJa.
tions mutuelles ne changerait rien à la
conduite de l'Empire. Nos intérêts espa-
gnols, la vie de tous nos sujets résidant en
Espagne, nos navires réfugiés dans ses
ports, que signifie tout cela devant la né-
cessité d'avancer la victoire d'un jour,
d'une heure seulement ? Pour imaginer que
des considérations sentimentales puissent
influencer l'Allemagne, il faut ignorer son
abnégation, son patriotisme, son esprit de
sacrifice. — L'une quelconque des prochai-
nes batailles nous causera d'autres pertes
que le refroidissement de ces relations.
D'ailleurs nous ne croyons pas que le fait
de couler une moitié de votre flotte, pour
que le reste renonce aux aventures, pro-
voque une rupture de notre amitié. Une
portion notable des Espagnols est avec
nous. Les autres devront se rendre compte
que nécessité n'a pas de loi. Peut-être ces
paroles vous semberont cruelles et mena-
çantes. Puissent-elles inspirer à votre pays
un changement d'attitude ! Nous entendons
supprimer le bras qui nous frappe, voilà
tout. Le souci de petits intérêts ne sau-
rait nous arrêter sur le chemin de la vic-
toire convoitée. » — Epoca, 13.2.
« La XIIIe convention DE LA HAYE. DEVOIRS
DES Belligérants ET DES NEUTRES » [sous ce
titre]. — On a beaucoup cité l'article de la
cenvention de la Haye, qui oblige les belli-
gérants à respecter les droits des neutres.
Jusqu'à présent ces droits n'ont été violés
que par l'Angleterre, lorsqu'en août 1914 ses
marins coulaient le Kaiser-Wilhelm. Mais
naturellement il ne convient pas de .e
brouiller avec une clientèle dont on attend
I¡; -.
Paris, 21 février 1918.
0
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
RESSE ALILEMANDE.
COlYIlYIANDEMENT
~e t. ague : PRESSE ALLEMAND. -
~e y aVaIt désormais unité de
~On purement et simplement.
~16 rH^mesti°n • « n"
~Nnte? » restp 8S 16 Hinden"
~rf>de Tin,:^^thcliffp i ,-^ns exposées
~- terre par ~dées exposées
~de Kenirw l emPortent.
~re qui voit 2trQi è® nettement le
~uirasse essaie de se tirer
~îre Par rijes sophhiSSra ? jÛÂ sans prendre
~jurait nous déplaire. Moltke
~e génè rnalht ureux des homme
à un contrôle qui
~t Ute son initiative. Les attaques
et c°ntre r0k es attaques
~hcliffl ® contre Sir Dou-
~VÎJ de la COntr,e Rohertson rappellent
~e et ses pnm française avec
r,?pes Prussien es^ anglaises,
se Iontr'Ôleurs aux ar-
~"h Héve^i autrichipn 68'
~','11 4t f\évo ~ion qui combat-
~s itoV^ut n moni?freni la méthode
~rVit!lble Pas sui 'Ire. et les conséquen-
~i t r¡elt}et dUt manque d'unité dans le
rSStot K La sitiS.*:.
^elle n'i ? de nos enne-
~- , aet lutll-e n'est pas aussi la-
~; -iV*Sïîom?r iï°'Lt0at » règle à Ver-
~:ii Q,t utr du tan- se règle à Ver-
~Qli_resselOb1tre \Vashington, Londres et
~tlr'll, Les' ent aux députés de la Con-
~4 ttb - anglais laissent de-
~aï comman-
~Corn aVons tout lieu de nous en
~'ïCV^'il ons tout lieu de nous en
~a fait à la fin de
~jo défendu Jourdan, l'Histoire
~Î,S ?:M"> > »'v «ux An iT ?urclan. l'Histoire
~ri et aux Fran-
~de fait, tant qu'il reste
~que ue chose à faire. » - (Erieh
~» - (Erich
~t. u Vo^cîc Zeitung, 14.2.
est devenue nioins
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~Dpm
~Sur le fr à la mar"
~It 'Pêlill1. d avant Pas truit à la mar-
~« r r le front de France.
'Jfftti()l) Quei^ulement qui arrivent, il
"lIt r. f\u IOUlerneol )) qUe réclament
~fees-uns h- °r
WeVe co);,t (lennlQ, an etf lus-
~c4ni re"eux sont
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~t IIUÇUtl e fatigue et ne courent
~* lre ~6 la pnt en campagne est ex-
~c juste que
ril les rr,,'-'tablit un roule-
~len
~¡ b,lf¡¡.qrr./¡ées et ce" x qui son 1
~e Il de es en etceux qtii sont
~P^ratirm 8a' 011 mê-
- D:at 13.2.
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
RAPPORTS ENTRE ALLIES
La déclaration de Versailles et l'opinion
américaine. — De Washington : Les Etats-
Unis donnent un appui enthousiaste et sans
réserve à toutes les mesures militaires pri-
ses à Versailles. D'autre part., le président
Wilson et le peuple américain désirent con-
server leur liberté d'action pour ce qui est
purement du domaine politique. C'est pour
cela qu'un simple observateur politique les
représente au Conseil Suprême.. Il est cer-
tain qu'on a été déçu ici de voir mention-
ner dans la déclaration les comtes Hert-
iing et Czernin. Si le Conseil Suprême s'était
borné à remplir ses fonctions militaires, il
est très probable que M. Wilson n'aurait
pas parlé au Congrès le 11 février. Il était
disposé, me dit-on, à laisser mûrir l'effet
de son message du 8 janvier, sans souli-
gner à nouveau la divergence de vues du
Chancelier allemand et du ministre austro-
hongrois. Cette sorte d usurpation par le
Conseil Suprême d'un rôle politique a été
malheureuse. Rien dans tout ceci n'implique
d'ailleurs qu'il y ait la moindre divergence
de vues entre M. Wilson et les Alliés, élo-
quemment représentés par M. Lloyd Geor-
ge. Mais l'impression générale est ici, com-
me l'exprime la Washington Post, que le
président a « presque nécessairement », en
ce qui concerne les buts de guerre politiques
les plus hauts, « une position dirigeante, et
non une position d'égal à égal avec les au-
tres alliés. » — Times, 19.2.
RAPPORTS ENTRE BELLIGERANTS
ET NEUTRES
« Le danger d'une invasion française en
Suisse » [sous ce titre]. — De Zurich, 14.2
Le Bund de Berne déclare crue la situation
actuelle est plus critique pour la Suisse que
celle d'août 1914. La tentation est grande
aujourd'hui de tourner les positions établies
depuis des années Le journal de Berne rap-
pelle les déclarations récentes die l'Améri-
que, de la France et de l'Angleterre concer-
nant la neutralité suisse, déclarations plei-
nes de réserves. On ne désire évidemment
pas entraîner la Suisse dans la guerre, mais
l'Entente laisse entendre qu'elle doit être
prêfé ti s'opposer à toute avance en Suisse
des Puissances centrales. « Nous ne vou-
lons pas, dit le Bund, examiner les consé-
quences pouvant résulter de cette nécessi-
té d'être prêt, et qui peut aller jusqu'à de-
vancer la manœuvre des autres. Mais de
telles déclarations nous montrent clairement
notre devoir. Il consiste à assurer nous-mê-
mes la protection de notre frontière de telle
sorte que personne n'ait besoin de venir à
notre secours. » Il ne faut pas compter sur
la confiance des belligérants les uns vis-à-
vis des autres ; il faut, au contraire, que
les belligérants aient confiance dans la
Suisse. — Münchner Neueste Nachrichten.
15.2.
Attentats contre les navires espagnols. —
UN Allemand qui prétend aimer l'Espagne
à l'égal de sa patrie, et qui est attaché a
notre pays par des liens de famille et des
intérêts considérables, nous a fait les dé-
clarations suivantes, que nous enregis-
trons, sans nature lement y souscrire :
« Aussi regrettables que soient les torpil-
lages de vos navires, l'Allemagne continue-
ra à vous infliger des dommages, qu'elle
désirerait pourtant épargner à une nation,
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pitalières, et où elle trouvera plus tard un
marché avantageux. Mais tant que les con-
venances de votre commerce vous incite-
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truire vos bateaux. L'Espagne oublie que le
terrible conflit prend le caractère d'un duel
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merciaux pèsent peu dans le choix de no-
tre attitude. Elle devra opter pour l'un des
termes de ce dilemme : ou bien elle sa-
crifiera, en cette heure solennelle, ses dé-
sirs de gain, au besoin même elle affron-
tera la ruine, ou bien elle se résignera à
perdre une bonne partie de sa marine mar-
chande. Un refroidissement de nos reJa.
tions mutuelles ne changerait rien à la
conduite de l'Empire. Nos intérêts espa-
gnols, la vie de tous nos sujets résidant en
Espagne, nos navires réfugiés dans ses
ports, que signifie tout cela devant la né-
cessité d'avancer la victoire d'un jour,
d'une heure seulement ? Pour imaginer que
des considérations sentimentales puissent
influencer l'Allemagne, il faut ignorer son
abnégation, son patriotisme, son esprit de
sacrifice. — L'une quelconque des prochai-
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que le refroidissement de ces relations.
D'ailleurs nous ne croyons pas que le fait
de couler une moitié de votre flotte, pour
que le reste renonce aux aventures, pro-
voque une rupture de notre amitié. Une
portion notable des Espagnols est avec
nous. Les autres devront se rendre compte
que nécessité n'a pas de loi. Peut-être ces
paroles vous semberont cruelles et mena-
çantes. Puissent-elles inspirer à votre pays
un changement d'attitude ! Nous entendons
supprimer le bras qui nous frappe, voilà
tout. Le souci de petits intérêts ne sau-
rait nous arrêter sur le chemin de la vic-
toire convoitée. » — Epoca, 13.2.
« La XIIIe convention DE LA HAYE. DEVOIRS
DES Belligérants ET DES NEUTRES » [sous ce
titre]. — On a beaucoup cité l'article de la
cenvention de la Haye, qui oblige les belli-
gérants à respecter les droits des neutres.
Jusqu'à présent ces droits n'ont été violés
que par l'Angleterre, lorsqu'en août 1914 ses
marins coulaient le Kaiser-Wilhelm. Mais
naturellement il ne convient pas de .e
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