Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1918-02-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 février 1918 20 février 1918
Description : 1918/02/20 (T8,N721). 1918/02/20 (T8,N721).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k63384152
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTERE DE LA GUERRE
(; È h F,S,
N° 721
Paris, 20 février 1918.
UlIetin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
'W};STIONS AHLI'rAIRES
,
Front occi AERATIONS D'OFFENSIVE
fait à l'Allemagne une nécéssité d'une
nous préparer une lenteur inutile et
Mais notre force croît sans
Avant qu'elle n'ait atteint son maxi-
l'Allemagne devra avoir gagné la
, sans quoi elle l'aura irrémédiable-
V^Ufe * *-t toute l'aura force se fera
sur le seul front où la victoire soit
le e se-ul front où la victoire SOIt
user su ClSlve ne secondaires où
di lie Saurait être obtenu~- ,
ces forces dont elle aura un si grand be-
'Ilr un nt elle décisifce serait une
sur un théâtre décisif, ce serait une
si grande qu'on ne peut exoire qu'elle
~d. f qu par l'Etat-Major alle-
A mesure que le temps passe, et que
armées allemandes de l'Ouest sont
par les divisions Venues de
une offensive allemande dans
dern" e PIns en plus inévitable.
est la dernière carte de l'Allemagne.
'\té est a pas ne pas la jouer. Cette
est d'ailleurs in envisagée sans
oe es AIIés. Ils la désirent même.
ne croient pas que l'Allemagne
puisse enforcer leur front Ainsi, ils la ver-
ront user ses forces dans un effort stérile,
après quoi plus rien ne la séparera de la
l'le. New York Times,
Le front russe. - PRESSE ALLEMANDE. -
Comme nous l'avons dit dès hier, la repri-
se des ^lion e * Ussie .sera une
L'esprit qui préside à la
~russe ne peut que nous af-
notre résolution. La Russie ne
au vrai sens du mot. Trotski
renforcer la én rouge, pour la
ses idées en Finlande et dans
autres régions qui n'utilisent pas, au
ses désirs leur droit à disposer
Nou ïes brao Cr'us le laisser
rester là, les bras ? perdre
que doit nous donner notre
avec l'Ukraine. Radek nous
dans un article que nous reprodui-
~part que les m veu-
er¡tril'alesroPêcher Ukraine d'expé-
lui Il e. 1 U¡ aux puissances de' l'Eu-
centrale. Lui accorderon-nous la paix,
~lui permettre d'exécuter librement son
programme? Lloyd C, (lOrge Venra qu'en d~é-
grand nombre de divisions, ven nes
~u~ r s par Itii sur
occidental, nous avons encore des
suffisantes, Vérit 'ur faire face aux
et i véritable danger pour la
générale de l'Europe occiden-
Ique. - Kreuzzeitung,
« La situation militaire à l'Est ». — La
déclaration de Trotski n'a rien changé à
notre situation militaire, à l'Est. Il est d'au-
tant moins possible de dégarnir notre
front que Trotski ne reconnaît nullement
l'autonomie des Etats frontières. Si la dé-
mobilisation russe est réelle — il faut que
nous en attendions une confirmation — les
effectifs réduits suffiront à maintenir au
pouvoir les maximalistes pour quelque
temps encore. Quant à l'armée, dont lu
création est en projet, comme une sorte de
renforcement de la garde rouge, il n'y a
pas lieu de la prendre au sérieux. Notre
haut commandement retrouve sa liberté de
mouvement. La question des transports et
du ravitaillement se simplifie puisque le
front occidental reste seul en cause. Bien
que la situation reste trouble en Russie,
la tâche de notre haut commandement est,
dès maintenant, singulièrement allégée. —
Bayerischer Kurier, 14.2.
———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
CONTREBANDE
Hollande. — M. Slingenberg, membre de
la députation permanente de la Hollande
Septentrionale, a adressé une lettre ouverte
au ministre de l'Agriculture au sujet des
récentes fraudes découvertes dans l'expor-
tation de la volaille. Il rappelle que, dès le
milieu de 1917, les accusations les plus pré-
cises ont été formulées contre la direction
de l'association pour l'exportation de la vo-
laille, la «Pluimveevereeniging ». Néan-
moins, une seule personne, l'inspecteur en
chef Smits, a été l'objet d'une enquête et
relevé finalement de ses fonctions avec un
certificat d'honorabilité. M. Slingenberg
maintient que Smits s'est effectivement
rendu coupable de corruption caractérisée.
U relève, en outre, que la direction de la
« Pluimveevereeniging » reste elle-même
sous le coup d'accusations graves et qu'il est
inadmissible qu'elle rende des verdicts d'ac-
quittement en faveur de ses co-accusés. Il
conclut en demandant au ministre de ren-
voyer d'office toute la direction. — Journaux
hollandais du 11.2.
MARINE MARCHANDE
Etats-Unis : LES CONSTRUCTIONS MARITIMES.
— Des rapports reçus par le Bureau de la
Navigation fixent à 901.223 tonneaux le ton-
nage brut des navires construits dans les
chantiers américains en 1917. Ce chiffre est
près du double de celui de 1916. — New
York Tribune, 13.1.
RAVITAILLEMENT
France et Espagne : OPINION ESPAGNOLE. —
Fournissons des preuves nouvelles de l'as-
sistance économique sans prix que l'Espa-
gne prête aux Alliés et particulièrement à
la France. Il est encore bien des choses que
le gouvernement feint d'ignorer, soit que la
presse ne les éclaircisse point suffisamment,
soit qu'elles restent cachées, et, pour em-
ployer une expression de nos voisins, soi-
gneusement « camouflées ». Ainsi nous
croyions savoir que le gouvernement fran-
çais avait interdit l'importation des vins
espagnols. C'est du moins ce que nous avons
pu lire dans la presse française, laquelle at-
tribuait à cette mesure un caractère de re-
présailles contre la prohibition opposée par
le gouvernement espagnol à l'exportation
de nos huiles. Ces affirmations étaient cor-
roborées par certains de nos journaux qui
signalaient les préjudices causés à notre
production vinicole et en tiraient argument
pour exiger un accord avec la France. Or
voici ce que découvre la statistique officielle
de nos Douanes : en 1917 et avant même
que l'année fût achevée, nous avons exporté
en France une quantité de vin rouge ordi-
naire jamais atteinte depuis nombre d'an-
nées. Qu'on regarde le tableau suivant :
Exportation de vin rouge ordinaire en pipes
et wagons-réservoirs :
En hectol. prix (en peset.)
En 1910. 1.951.502 48.787.571
* 1911. 2.522.238 63.055.957
« 1912. 2.789.957 69.748.926
« 1913 3.625.459 90.636.499
1914. 1.846.759 46.168.977
1915. 1.221.288 30.532.201
1916. 3.551.813 88.795.325
« 1917 (dix mois) 4.807-778 120.194.450
Ainsi en moins d'un an nous avons exporté
en France plus du double, de ce que nous
exportions dans tous les pays, certaines an-
nées antérieures à la guerre. Nous néglige-
rons les explications faciles par quoi se con-
cilieraient les chiffres considérables enregis-
trés par nos douanes et les récriminations
de nos viticulteurs, qui se plaignaient de ne
pouvoir exporter. Les procédés de cette ex-
portation clandestine étaient le secret de po-
lichinelle. Certains propriétaires privilégiés
de wagons réservoirs savent à quoi s'en te-
nir. Les équipages des bateaux méditerra-
néens avaient les moyens de reconnaître
s'ils transportaient des barils pleins de vin
ou de riz, de farine, etc. La dignité officielle
de l'Etat ne se tire pas à son honneur de
l'étude de ces statistiques. Notre économie
nationale en est encore plus sérieusement
atteinte. Mais le plus grave est le risque de
conflits où peuvent nous entraîner des ma-
nœuvres, auxquelles il faut bien attribuer
les torpillages et les pertes de notre marine
marchande. Et maintenant une question :
dans les négociations avec la France, de
quels documents se sert le Gouvernement ?
A-t-il une statistique officielle rectifiée ? 011
bien procède-t-il au petit bonheur et danse-
t-il au rythme de la musique alliée ? —
Debate, 15.2.
Angleterre : L'MDE DES ETATS-UNIS ET DI"
CANADA. — Le Royaume-Uni est obligé ô
l'heure a-tuelle de compter sur les Etats-
Unis et le Canada pour tirer 65 de ses
vivres essentiels. Au début du mois der-
(; È h F,S,
N° 721
Paris, 20 février 1918.
UlIetin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Étrangères.
'W};STIONS AHLI'rAIRES
,
Front occi AERATIONS D'OFFENSIVE
fait à l'Allemagne une nécéssité d'une
nous préparer une lenteur inutile et
Mais notre force croît sans
Avant qu'elle n'ait atteint son maxi-
l'Allemagne devra avoir gagné la
, sans quoi elle l'aura irrémédiable-
V^Ufe * *-t toute l'aura force se fera
sur le seul front où la victoire soit
le e se-ul front où la victoire SOIt
user su ClSlve ne secondaires où
di lie Saurait être obtenu~- ,
ces forces dont elle aura un si grand be-
'Ilr un nt elle décisifce serait une
sur un théâtre décisif, ce serait une
si grande qu'on ne peut exoire qu'elle
~d. f qu par l'Etat-Major alle-
A mesure que le temps passe, et que
armées allemandes de l'Ouest sont
par les divisions Venues de
une offensive allemande dans
dern" e PIns en plus inévitable.
est la dernière carte de l'Allemagne.
'\té est a pas ne pas la jouer. Cette
est d'ailleurs in envisagée sans
oe es AIIés. Ils la désirent même.
ne croient pas que l'Allemagne
puisse enforcer leur front Ainsi, ils la ver-
ront user ses forces dans un effort stérile,
après quoi plus rien ne la séparera de la
l'le. New York Times,
Le front russe. - PRESSE ALLEMANDE. -
Comme nous l'avons dit dès hier, la repri-
se des ^lion e * Ussie .sera une
L'esprit qui préside à la
~russe ne peut que nous af-
notre résolution. La Russie ne
au vrai sens du mot. Trotski
renforcer la én rouge, pour la
ses idées en Finlande et dans
autres régions qui n'utilisent pas, au
ses désirs leur droit à disposer
Nou ïes brao Cr'us le laisser
rester là, les bras ? perdre
que doit nous donner notre
avec l'Ukraine. Radek nous
dans un article que nous reprodui-
~part que les m veu-
er¡tril'alesroPêcher Ukraine d'expé-
lui Il e. 1 U¡ aux puissances de' l'Eu-
centrale. Lui accorderon-nous la paix,
~lui permettre d'exécuter librement son
programme? Lloyd C, (lOrge Venra qu'en d~é-
grand nombre de divisions, ven nes
~u~ r s par Itii sur
occidental, nous avons encore des
suffisantes, Vérit 'ur faire face aux
et i véritable danger pour la
générale de l'Europe occiden-
Ique. - Kreuzzeitung,
« La situation militaire à l'Est ». — La
déclaration de Trotski n'a rien changé à
notre situation militaire, à l'Est. Il est d'au-
tant moins possible de dégarnir notre
front que Trotski ne reconnaît nullement
l'autonomie des Etats frontières. Si la dé-
mobilisation russe est réelle — il faut que
nous en attendions une confirmation — les
effectifs réduits suffiront à maintenir au
pouvoir les maximalistes pour quelque
temps encore. Quant à l'armée, dont lu
création est en projet, comme une sorte de
renforcement de la garde rouge, il n'y a
pas lieu de la prendre au sérieux. Notre
haut commandement retrouve sa liberté de
mouvement. La question des transports et
du ravitaillement se simplifie puisque le
front occidental reste seul en cause. Bien
que la situation reste trouble en Russie,
la tâche de notre haut commandement est,
dès maintenant, singulièrement allégée. —
Bayerischer Kurier, 14.2.
———
QUESTIONS ÉCONOMIQUES
CONTREBANDE
Hollande. — M. Slingenberg, membre de
la députation permanente de la Hollande
Septentrionale, a adressé une lettre ouverte
au ministre de l'Agriculture au sujet des
récentes fraudes découvertes dans l'expor-
tation de la volaille. Il rappelle que, dès le
milieu de 1917, les accusations les plus pré-
cises ont été formulées contre la direction
de l'association pour l'exportation de la vo-
laille, la «Pluimveevereeniging ». Néan-
moins, une seule personne, l'inspecteur en
chef Smits, a été l'objet d'une enquête et
relevé finalement de ses fonctions avec un
certificat d'honorabilité. M. Slingenberg
maintient que Smits s'est effectivement
rendu coupable de corruption caractérisée.
U relève, en outre, que la direction de la
« Pluimveevereeniging » reste elle-même
sous le coup d'accusations graves et qu'il est
inadmissible qu'elle rende des verdicts d'ac-
quittement en faveur de ses co-accusés. Il
conclut en demandant au ministre de ren-
voyer d'office toute la direction. — Journaux
hollandais du 11.2.
MARINE MARCHANDE
Etats-Unis : LES CONSTRUCTIONS MARITIMES.
— Des rapports reçus par le Bureau de la
Navigation fixent à 901.223 tonneaux le ton-
nage brut des navires construits dans les
chantiers américains en 1917. Ce chiffre est
près du double de celui de 1916. — New
York Tribune, 13.1.
RAVITAILLEMENT
France et Espagne : OPINION ESPAGNOLE. —
Fournissons des preuves nouvelles de l'as-
sistance économique sans prix que l'Espa-
gne prête aux Alliés et particulièrement à
la France. Il est encore bien des choses que
le gouvernement feint d'ignorer, soit que la
presse ne les éclaircisse point suffisamment,
soit qu'elles restent cachées, et, pour em-
ployer une expression de nos voisins, soi-
gneusement « camouflées ». Ainsi nous
croyions savoir que le gouvernement fran-
çais avait interdit l'importation des vins
espagnols. C'est du moins ce que nous avons
pu lire dans la presse française, laquelle at-
tribuait à cette mesure un caractère de re-
présailles contre la prohibition opposée par
le gouvernement espagnol à l'exportation
de nos huiles. Ces affirmations étaient cor-
roborées par certains de nos journaux qui
signalaient les préjudices causés à notre
production vinicole et en tiraient argument
pour exiger un accord avec la France. Or
voici ce que découvre la statistique officielle
de nos Douanes : en 1917 et avant même
que l'année fût achevée, nous avons exporté
en France une quantité de vin rouge ordi-
naire jamais atteinte depuis nombre d'an-
nées. Qu'on regarde le tableau suivant :
Exportation de vin rouge ordinaire en pipes
et wagons-réservoirs :
En hectol. prix (en peset.)
En 1910. 1.951.502 48.787.571
* 1911. 2.522.238 63.055.957
« 1912. 2.789.957 69.748.926
« 1913 3.625.459 90.636.499
1914. 1.846.759 46.168.977
1915. 1.221.288 30.532.201
1916. 3.551.813 88.795.325
« 1917 (dix mois) 4.807-778 120.194.450
Ainsi en moins d'un an nous avons exporté
en France plus du double, de ce que nous
exportions dans tous les pays, certaines an-
nées antérieures à la guerre. Nous néglige-
rons les explications faciles par quoi se con-
cilieraient les chiffres considérables enregis-
trés par nos douanes et les récriminations
de nos viticulteurs, qui se plaignaient de ne
pouvoir exporter. Les procédés de cette ex-
portation clandestine étaient le secret de po-
lichinelle. Certains propriétaires privilégiés
de wagons réservoirs savent à quoi s'en te-
nir. Les équipages des bateaux méditerra-
néens avaient les moyens de reconnaître
s'ils transportaient des barils pleins de vin
ou de riz, de farine, etc. La dignité officielle
de l'Etat ne se tire pas à son honneur de
l'étude de ces statistiques. Notre économie
nationale en est encore plus sérieusement
atteinte. Mais le plus grave est le risque de
conflits où peuvent nous entraîner des ma-
nœuvres, auxquelles il faut bien attribuer
les torpillages et les pertes de notre marine
marchande. Et maintenant une question :
dans les négociations avec la France, de
quels documents se sert le Gouvernement ?
A-t-il une statistique officielle rectifiée ? 011
bien procède-t-il au petit bonheur et danse-
t-il au rythme de la musique alliée ? —
Debate, 15.2.
Angleterre : L'MDE DES ETATS-UNIS ET DI"
CANADA. — Le Royaume-Uni est obligé ô
l'heure a-tuelle de compter sur les Etats-
Unis et le Canada pour tirer 65 de ses
vivres essentiels. Au début du mois der-
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires France France /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")Les Monuments historiques de la France : bulletin des diverses sections de la Commission des monuments historiques et de la Commission supérieure des monuments naturels et des sites /ark:/12148/bd6t5377978f.highres Annales de la Société des architectes de l'Est et Annuaire du bâtiment : Ardennes, Meuse, Meurthe-et-Moselle, Vosges /ark:/12148/bd6t543240573.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k63384152/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k63384152/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k63384152/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k63384152/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k63384152
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k63384152
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k63384152/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest