Titre : Paris-soir
Éditeur : s.n. (Paris)
Date d'édition : 1932-12-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34519208g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 09 décembre 1932 09 décembre 1932
Description : 1932/12/09 (ED4,A10,N3352). 1932/12/09 (ED4,A10,N3352).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG31 Collection numérique : BIPFPIG31
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Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k7637615c
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-235
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 02/02/2015
7
DERNIERES NOUVELLES
(agira)
, Ayant occupé
pendant vingt-cinq ans
le même atelier
un artiste réclame
le droit à "sa" lumière
Cela lui vaut un procès
avec son propriétaire,
qui veut reprendre les lieux
-~s récompenses officielles, des prix et
même, sur le corsage de l'artiste, la tache
sanglante de la Légion d'honneur, disent
assez en puelle estime on peut tenir le
talent de Mlle Louise Lavrut, dont plu-
sieurs toiles décorent d'ailleurs certains
assez en quelle estime on peut tenir le
Depuis plus de vingt-cinq ans, Mlle
Louise Lavrut poursuit ses efforts dans un
grand atelier , qu'elle occupe, 85, rue de
Rome. Elle vit là, au centre d'un décor
chatoyant de couleurs, d'étoffes, de tentu-
res, sous le regard .tendre de ses pastels.
Elle y vivait en toute tranquillité, en per-
sonne sûre du lendemain.
On l'a assez dit : l'avenir n'est à per-
sonne. Il y faudrait une variante : l'ave-
nir est parfois dans les mains du proprié-
taire.
Locataire depuis un quart de siècle de
cet atelier qu'elle affectionnait, Mlle Louise
Lavrut oubliait qu'elle n'avait peut-être
pas sur lui tous les droits. Elle vient d'être
rappelée , brutalement à la réalité : le pro-
priétaire, qui se propose de faire surélever
la maison, donne congé à Mlle Lavrut,
proposant simplement l'indemnité d'usage.
— Halte là ! a répondu l'artiste. J'ai des
explications à fournir. Je ne partirai pas
sans les avoir soumises au tribunal qui, je
l'espère, les tiendra pour valables et me
confirmera dans mon bail. En attendant,
j'y suis, j'y reste.
Et l'on va plaider. Me T. Valensi et M*
Serge Martin développeront devant les ju-
ges les arguments de Mlle Louise Lavrut.
Ces objections sortent des ordinaires ba-
nalités et poseront un cas curieux devant
les magistrats.
Une blonde lumière
Mlle Louise Lavrut nous a expliqué elle-
même pourquoi elle ne quitterait pas sans
vive résistance son bel atelier :
— Voyez. J'ai ici un jour merveilleux, li-
béré des fumées de la grande ville. Etant
portraitiste, il ne me faut pas de soleil.
Alors, prendre un atelier orienté vers le
Nord ? La lumière en sera froide, polaire,
et refroidira mes modèles. J'ai eu la chan-
ce de trouver cet atelier où la lumière est
blonde. Pendant vingt-cinq ans de ma
vie, j'ai travaillé dans ce jour. M'en arra-
cher, alors que des portraits sont en cours,
est me priver injustement d'une partie de
mes moyens. J'ai travaillé sur cette lu-
mière comme un bon jardinier sur sa terre.
eJ l'ai, en quelque sorte, valorisée, et on
ne peut plus nous séparer sans me cau-
ser un préjudice grave.
Ainsi parla Mlle Louise Lavrut.
Près de nous, une jolie femme dévoilait
à demi les .splendeurs de sa beauté blonde;
un cadre d'or la gardait suffisamment con-
tre toute entreprise. A droite, à gauche,
dans d'autres cadres, d'autres femmes, sou-
riaient, Il n'y en avait que de belles.
Le pinceau de Mlle Louise Lavrut est si
Indulgent qu'il ne saurait avoir à redou-
ter aucune sévérité, même celle du tri-
bunal.
Fernand Pouey.
Abandonné par sa femme
un homme blesse son voisin
et se tue
(De notre correspondant particulier)
Mulhouse 8 Décembre.
Un drame s'est déroulé ce matin, à 7
heures, dans un quartier de Mulhouse.
Yvan Schnaebelein, installateur, 43 ans,
ne cessait, depuis trois ans, de battre sa
femme, qu'il menaçait de mort. La. mal-
heureuse, lasse de ses brutalités, avait fi-
ni par abandonner le domicile conjugal
et se réfugier chez un de ses voisins,
M- Léon Walter. Elle avait emmené ses
deux enfants, âgés de 12 ans et de deux
ans et demi.
Furieux, Schnaebelein se rendit, ce ma-
tin à 7 heures, au domicile de M. Walter,
et une discussion éclata entre les deux
hommes. Soudain, l'installateur sortit un
revolver de sa poche et fit feu sur M.
Walter. Celui-ci, atteint dans le dos par
un projectile, s'abattit.
Tandis qu'on transportait la victime à
l'hôpital, où son état fut jugé désespéré,
le meurtrier se suicida d'une balle dans
la tête. *-
Trois crimes mystérieux
sont commis
le même jour à Berlin
Berlin, 8 Décembre.
Trois crimes mystérieux avaient été
commis avant-hier dans différents quar-
tiers de Berlin.
A Whrelheide, en plein midi, lorsque la
foule qui remplissait cette artère était
particulièrement dense, un inconnu, surgi
on ne sait d'où, tira de nombreux coups
de revolver contre deux passantes, Emma
Sommelfeld, 46 ans, et sa fille, âgée de
2:2 ans.
La mère a été tuée net et la fille re-
levée grièvement blessée. Les médecins
jugent son état désespéré. L'agresseur
réussit à prendre la fuite sans qu'on
puisse avoir le moindre signalement de
lui.
Le même jour, un peu plus tard, dans
le quartier Sud-Est de Berlin, a été trou-
vé, gisant sur le trottoir, une femme as-
sassinée. L'enquête permit d'établir que
la victimè s'appelait Elisa Gronwald et
avait 56 ans.
Enfin, on découvrit dans son propre
appartement le cadavre d'un agent d'as-
surances, Bessert. Cette fois l'assassin
s'était servi d'une lourde barre de fer
avec laquelle il avait porté plusieurs
coups à la tête de Bessert.
La police suppose que l'auteur de tous
ces crimes pourrait bien être quelque fou
s'étant échappé d'une maison d'aliénés.
Les enquêteurs visitent maintenant
toutes les maisons de fous de Berlin pour
établir si quelqu'un de leurs pensionnai-
res ne s'était pas enfui.
Faute de pouvoir
leur trouver du travail
beaucoup de parents continuent
d'envoyer, après le certificat
d'études, leurs enfants à l'école
« Le nombre des élèves des écoles pri-
maires publiques de la Seine, a dit M.
Renard, reçus au certificat d'études et
qui sont rentrés à l'école, bien que déga-
gés de toute obligation scolaire, est passé
de 10.000 en 1931 à 15.000 en 1932. »
Paris compte pour moitié environ, à
lui seul, dans ce chiffre. Et dès lors se
trouve expliqué l'afflux, de prime abord
un peu surprenant, des élèves cette an-
née, puisque la courbe des naissances
conduit en 1932, douze ans après la re-
prise de la natalité, à une augmentation
de beaucoup moindre.
C'est faute -de pouvoir trouver une
occupation pour leurs enfants, que les
parents, après le certificat d'études, les
maintiennent à l'école ; la rue ou la
classe, tel est le dilemme pour beaucoup
de familles dont les rejetons aspirent à
devenir apprentis. Il a fallu, en consé-
quence, ouvrir un nombre appréciable
de cours supérieurs A supplémentaires.
On le voit, la discussion due à l'initia-
tive de M. Joly a permis de dégager
d'utiles remarques.
— Nous avons dans la Seine 330 clas-
ses de plus que l'année dernière, a pu
déclarer M. Renard. Comme nous avons
fermé 130 classes et utilisé ailleurs les
crédits ainsi rendus disponibles, c'est au
total 460 classes nouvelles qui ont pu
être ouvertes dans les écoles surchargées
depuis le 1er octobre dernier. »
La progression, si elle n'est pas en-
tièrement satisfaisante, n'en est pas
moins nette : du 1er octobre 1931 au
10 décembre de la même année, on
n'avait ouvert que 367 classes nouvelles.
Dans ce domaine dont l'importance
passe tant d'autres, il est évident que
le département et la Ville agissent dans
la mesure de leurs moyens. Il ne faut
pas se dissimuler que l'Etat n'apporte
peut-être pas un zèle analogue : la ré-
flexion suivante de M. François-Latour,
rapporteur général du Budget munici-
pal, le montre assez.
« En ce qui concerne la subvention
de l'Etat, je suis malheureusement obli-
gé de constater qu'elle ne correspond
pas à ce que nous avions escompté. Je
m'expliquerai d'ailleurs sur ce point
dans mon rapport général. »
Il a été, en conséquence, décidé qu'une
démarche serait prochainement effec-
tuée auprès de M. de Monzie, ministre
de l'Education nationale, conjointement
par MM. Renard et François-Latour.
Nadal-Boivert.
MOTS CROISÉ S
Problème numéro 88
HORIZONTALEMENT. — 1. Empoi-
sonnant. — 2. Fleuve d'Amérique.
Choc. - 3. Aigre. Affirmation étran-
gère. - 4. D'une expression signifiant
en ne demeurant pas en reste. Mala-
die de peau. — 5. Incidents. — 6. Pré-
side au départ du coup. — 7. Métal.
Ile estonienne. — 8. Dieu agité. Pos-
sessif. — 9. Canal organique. Nombre.
— 10. Possessif. Employa. — 11. Pro-
tecteur généreux. — 12. Révolues. Note.
VERTICALEMENT. — 1. Au relief
accidenté. — 2. Exclamation. Recueil
de bons mots. D'une invocation latine.
— 3. Concerne l'élevage de certains
animaux. Deux lettres de Mende. — 4.
marque le blâme. Appartient à certaine
religion. — 5. Peu fréquent. Démons-
tratif. — 6. Réunion mondaine. — Pré-
fixe médical. Son mari dévorait sa pro-
géniture. — 7. Terminaison de parti-
cipe. Parie de pièce. Deux sens op-
posés. - 8. Flans lorrains. Terminai-
son de participe. — 9. Oxyde d'un mé-
tal radioactif. Troublés. — 10. Conjonc-
tion. Emplacement idéal pour le kios-
que à musique d'une ville de province.
Solution du problème numéro 87
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fI}II. R è"~ - S,00"i"5 ,.
Les quatre experts
viennent de déposer
leurs rapports
sur l'affaire Falcou
La culpabilité
de l'entrepreneur
semble s'affirmer
(De notre correspondant particulier)
Rouen, 8 Décembre.
Les rapports des quatre experts com-
mis dans l'affaire Falcou viennent d'être
officiellement déposés au dossier.
Nous avons déjà donné l'essentiel du
rapport de M. Delahaye et de M. Robin-
son, experts mécaniciens, Ceux-ci ont dé-
claré, rappelons-le, que la voiture n'avait
pu prendre feu accidentellement, mais
avait été incendiée par projection d'es-
sence, alors que Mme Boutet était 'assise
au volant.
Les deux derniers rapports ont été ré-
digés par les docteurs Guerbet et Vallée.
Le docteur Guerbet avait été chargé de
procéder à l'analyse de taches suspectes
relevées dans les draps du lit de Falcou.
L'expert a conclu que ces taches prove-
naient des suintements d'une brûlure.
Falcou, on le sait, prétend qu'il ne se
brûla accidentellement avec son briquet
que le lendemain matin du drame, chez
sa fille. Or, chargé d'examiner les brûlures
de Falcou, le docteur Vallée a conclu que
l'affirmation de Falcou, quant à l'origine
de la brûlure, n'était pas admissible. Ceci
revient à dire que l'entrepreneur ne s'est
nullement brûle avec un briquet, comme
il l'a toujours affirmé à l'instruction.
Après ces expertises concordantes, on
peut dire que l'affaire a perdu presque
tout son caractère mystérieux. Il semble
difficile, dans ces conditions, que la de-
mande de mise en liberté provisoire que,
parait-il, l'avocat de Falcou avait l'inten-
tion de formuler, ait quelque chance
d'être prise en considération.
M. Dalimier
à la Cantine maternelle
du XVIIe arrondissement
M. Albert Dalimier, ministre du Travail,
s'est rendu aujourd'hui à midi à la Can-
tine maternelle du 17e arrondissement,
dont on sait l'action bienfaisante en fa-
veur des femmes enceintes et des mères
allaitant leurs enfants.
Il a été reçu par Mme David Weill, pré-
sidente de la Fédération des Cantines
maternelles, et Mme André Hesse, prési-
dente de la cantine du 17e. M. Aguinaja,
représentant l'ambassadeur d'Espagne à
Paris, avait tenu par sa présence à mar-
quer combien il appréciait l'aide donnée
aux mères espagnoles de Paris par cette
œuvre qui leur fournit 20.000 repas par
an sur 58.000 repas distribués.
M. Dalimier a particulièrement félicité
Mmes David Weill et André Hesse de leur
action bienfaisante.
Un pisteur d'hôtel
abat sa maîtresse
, qui voulait le quitter
(De notre correspondant particulier)
Nice, 8 Décembre.
Ce matin, à 7 heures 15, un drame ra-
pide s'est déroulé rue Verdi, en plein cœur
de Nice.
Un pisteur d'hôtel, Henri Attias, âgé
de 36 ans, est venu attendre sa maîtres-
se, Simonne Ribot, âgée de 27 ans, bonne
à tout faire chez Mme Guasco, 28, rue
Verdi. Lorsque la domestique descendit
de l'appartement pour aller faire quelques
courses, Attias lui reprocha de vouloir le
quitter et lui réclama l'enfant né de leur
liaison. Comme la jeune femme repous-
sait son amant celui-ci tira un pistolet
automatique de sa poche et déchargea six
balles sur elle.
Grièvement atteinte, Simonne Ribot a
été transportée à l'hôpital. Le meurtrier
a été arrêté peu après, alors qu'il rentrait!
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le confirmer — que- la nicotine, base
très caustique, attaque les dents, avant
même de les jaunir. C'est là une cause,
insoupçonnée du public, de la carie et
de ses terribles conséquences.
D'autre part, la science possède, de-
puis longtemps, dans l'oxybenzopyridine,
un neutralisant remarquable de la nico-
tine. Ce produit, malheureusement très
instable, n'est p:.3 d'un emploi pratique.
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tion hygiénique, supérieure aux meil-
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chatoyant de couleurs, d'étoffes, de tentu-
res, sous le regard .tendre de ses pastels.
Elle y vivait en toute tranquillité, en per-
sonne sûre du lendemain.
On l'a assez dit : l'avenir n'est à per-
sonne. Il y faudrait une variante : l'ave-
nir est parfois dans les mains du proprié-
taire.
Locataire depuis un quart de siècle de
cet atelier qu'elle affectionnait, Mlle Louise
Lavrut oubliait qu'elle n'avait peut-être
pas sur lui tous les droits. Elle vient d'être
rappelée , brutalement à la réalité : le pro-
priétaire, qui se propose de faire surélever
la maison, donne congé à Mlle Lavrut,
proposant simplement l'indemnité d'usage.
— Halte là ! a répondu l'artiste. J'ai des
explications à fournir. Je ne partirai pas
sans les avoir soumises au tribunal qui, je
l'espère, les tiendra pour valables et me
confirmera dans mon bail. En attendant,
j'y suis, j'y reste.
Et l'on va plaider. Me T. Valensi et M*
Serge Martin développeront devant les ju-
ges les arguments de Mlle Louise Lavrut.
Ces objections sortent des ordinaires ba-
nalités et poseront un cas curieux devant
les magistrats.
Une blonde lumière
Mlle Louise Lavrut nous a expliqué elle-
même pourquoi elle ne quitterait pas sans
vive résistance son bel atelier :
— Voyez. J'ai ici un jour merveilleux, li-
béré des fumées de la grande ville. Etant
portraitiste, il ne me faut pas de soleil.
Alors, prendre un atelier orienté vers le
Nord ? La lumière en sera froide, polaire,
et refroidira mes modèles. J'ai eu la chan-
ce de trouver cet atelier où la lumière est
blonde. Pendant vingt-cinq ans de ma
vie, j'ai travaillé dans ce jour. M'en arra-
cher, alors que des portraits sont en cours,
est me priver injustement d'une partie de
mes moyens. J'ai travaillé sur cette lu-
mière comme un bon jardinier sur sa terre.
eJ l'ai, en quelque sorte, valorisée, et on
ne peut plus nous séparer sans me cau-
ser un préjudice grave.
Ainsi parla Mlle Louise Lavrut.
Près de nous, une jolie femme dévoilait
à demi les .splendeurs de sa beauté blonde;
un cadre d'or la gardait suffisamment con-
tre toute entreprise. A droite, à gauche,
dans d'autres cadres, d'autres femmes, sou-
riaient, Il n'y en avait que de belles.
Le pinceau de Mlle Louise Lavrut est si
Indulgent qu'il ne saurait avoir à redou-
ter aucune sévérité, même celle du tri-
bunal.
Fernand Pouey.
Abandonné par sa femme
un homme blesse son voisin
et se tue
(De notre correspondant particulier)
Mulhouse 8 Décembre.
Un drame s'est déroulé ce matin, à 7
heures, dans un quartier de Mulhouse.
Yvan Schnaebelein, installateur, 43 ans,
ne cessait, depuis trois ans, de battre sa
femme, qu'il menaçait de mort. La. mal-
heureuse, lasse de ses brutalités, avait fi-
ni par abandonner le domicile conjugal
et se réfugier chez un de ses voisins,
M- Léon Walter. Elle avait emmené ses
deux enfants, âgés de 12 ans et de deux
ans et demi.
Furieux, Schnaebelein se rendit, ce ma-
tin à 7 heures, au domicile de M. Walter,
et une discussion éclata entre les deux
hommes. Soudain, l'installateur sortit un
revolver de sa poche et fit feu sur M.
Walter. Celui-ci, atteint dans le dos par
un projectile, s'abattit.
Tandis qu'on transportait la victime à
l'hôpital, où son état fut jugé désespéré,
le meurtrier se suicida d'une balle dans
la tête. *-
Trois crimes mystérieux
sont commis
le même jour à Berlin
Berlin, 8 Décembre.
Trois crimes mystérieux avaient été
commis avant-hier dans différents quar-
tiers de Berlin.
A Whrelheide, en plein midi, lorsque la
foule qui remplissait cette artère était
particulièrement dense, un inconnu, surgi
on ne sait d'où, tira de nombreux coups
de revolver contre deux passantes, Emma
Sommelfeld, 46 ans, et sa fille, âgée de
2:2 ans.
La mère a été tuée net et la fille re-
levée grièvement blessée. Les médecins
jugent son état désespéré. L'agresseur
réussit à prendre la fuite sans qu'on
puisse avoir le moindre signalement de
lui.
Le même jour, un peu plus tard, dans
le quartier Sud-Est de Berlin, a été trou-
vé, gisant sur le trottoir, une femme as-
sassinée. L'enquête permit d'établir que
la victimè s'appelait Elisa Gronwald et
avait 56 ans.
Enfin, on découvrit dans son propre
appartement le cadavre d'un agent d'as-
surances, Bessert. Cette fois l'assassin
s'était servi d'une lourde barre de fer
avec laquelle il avait porté plusieurs
coups à la tête de Bessert.
La police suppose que l'auteur de tous
ces crimes pourrait bien être quelque fou
s'étant échappé d'une maison d'aliénés.
Les enquêteurs visitent maintenant
toutes les maisons de fous de Berlin pour
établir si quelqu'un de leurs pensionnai-
res ne s'était pas enfui.
Faute de pouvoir
leur trouver du travail
beaucoup de parents continuent
d'envoyer, après le certificat
d'études, leurs enfants à l'école
« Le nombre des élèves des écoles pri-
maires publiques de la Seine, a dit M.
Renard, reçus au certificat d'études et
qui sont rentrés à l'école, bien que déga-
gés de toute obligation scolaire, est passé
de 10.000 en 1931 à 15.000 en 1932. »
Paris compte pour moitié environ, à
lui seul, dans ce chiffre. Et dès lors se
trouve expliqué l'afflux, de prime abord
un peu surprenant, des élèves cette an-
née, puisque la courbe des naissances
conduit en 1932, douze ans après la re-
prise de la natalité, à une augmentation
de beaucoup moindre.
C'est faute -de pouvoir trouver une
occupation pour leurs enfants, que les
parents, après le certificat d'études, les
maintiennent à l'école ; la rue ou la
classe, tel est le dilemme pour beaucoup
de familles dont les rejetons aspirent à
devenir apprentis. Il a fallu, en consé-
quence, ouvrir un nombre appréciable
de cours supérieurs A supplémentaires.
On le voit, la discussion due à l'initia-
tive de M. Joly a permis de dégager
d'utiles remarques.
— Nous avons dans la Seine 330 clas-
ses de plus que l'année dernière, a pu
déclarer M. Renard. Comme nous avons
fermé 130 classes et utilisé ailleurs les
crédits ainsi rendus disponibles, c'est au
total 460 classes nouvelles qui ont pu
être ouvertes dans les écoles surchargées
depuis le 1er octobre dernier. »
La progression, si elle n'est pas en-
tièrement satisfaisante, n'en est pas
moins nette : du 1er octobre 1931 au
10 décembre de la même année, on
n'avait ouvert que 367 classes nouvelles.
Dans ce domaine dont l'importance
passe tant d'autres, il est évident que
le département et la Ville agissent dans
la mesure de leurs moyens. Il ne faut
pas se dissimuler que l'Etat n'apporte
peut-être pas un zèle analogue : la ré-
flexion suivante de M. François-Latour,
rapporteur général du Budget munici-
pal, le montre assez.
« En ce qui concerne la subvention
de l'Etat, je suis malheureusement obli-
gé de constater qu'elle ne correspond
pas à ce que nous avions escompté. Je
m'expliquerai d'ailleurs sur ce point
dans mon rapport général. »
Il a été, en conséquence, décidé qu'une
démarche serait prochainement effec-
tuée auprès de M. de Monzie, ministre
de l'Education nationale, conjointement
par MM. Renard et François-Latour.
Nadal-Boivert.
MOTS CROISÉ S
Problème numéro 88
HORIZONTALEMENT. — 1. Empoi-
sonnant. — 2. Fleuve d'Amérique.
Choc. - 3. Aigre. Affirmation étran-
gère. - 4. D'une expression signifiant
en ne demeurant pas en reste. Mala-
die de peau. — 5. Incidents. — 6. Pré-
side au départ du coup. — 7. Métal.
Ile estonienne. — 8. Dieu agité. Pos-
sessif. — 9. Canal organique. Nombre.
— 10. Possessif. Employa. — 11. Pro-
tecteur généreux. — 12. Révolues. Note.
VERTICALEMENT. — 1. Au relief
accidenté. — 2. Exclamation. Recueil
de bons mots. D'une invocation latine.
— 3. Concerne l'élevage de certains
animaux. Deux lettres de Mende. — 4.
marque le blâme. Appartient à certaine
religion. — 5. Peu fréquent. Démons-
tratif. — 6. Réunion mondaine. — Pré-
fixe médical. Son mari dévorait sa pro-
géniture. — 7. Terminaison de parti-
cipe. Parie de pièce. Deux sens op-
posés. - 8. Flans lorrains. Terminai-
son de participe. — 9. Oxyde d'un mé-
tal radioactif. Troublés. — 10. Conjonc-
tion. Emplacement idéal pour le kios-
que à musique d'une ville de province.
Solution du problème numéro 87
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fI}II. R è"~ - S,00"i"5 ,.
Les quatre experts
viennent de déposer
leurs rapports
sur l'affaire Falcou
La culpabilité
de l'entrepreneur
semble s'affirmer
(De notre correspondant particulier)
Rouen, 8 Décembre.
Les rapports des quatre experts com-
mis dans l'affaire Falcou viennent d'être
officiellement déposés au dossier.
Nous avons déjà donné l'essentiel du
rapport de M. Delahaye et de M. Robin-
son, experts mécaniciens, Ceux-ci ont dé-
claré, rappelons-le, que la voiture n'avait
pu prendre feu accidentellement, mais
avait été incendiée par projection d'es-
sence, alors que Mme Boutet était 'assise
au volant.
Les deux derniers rapports ont été ré-
digés par les docteurs Guerbet et Vallée.
Le docteur Guerbet avait été chargé de
procéder à l'analyse de taches suspectes
relevées dans les draps du lit de Falcou.
L'expert a conclu que ces taches prove-
naient des suintements d'une brûlure.
Falcou, on le sait, prétend qu'il ne se
brûla accidentellement avec son briquet
que le lendemain matin du drame, chez
sa fille. Or, chargé d'examiner les brûlures
de Falcou, le docteur Vallée a conclu que
l'affirmation de Falcou, quant à l'origine
de la brûlure, n'était pas admissible. Ceci
revient à dire que l'entrepreneur ne s'est
nullement brûle avec un briquet, comme
il l'a toujours affirmé à l'instruction.
Après ces expertises concordantes, on
peut dire que l'affaire a perdu presque
tout son caractère mystérieux. Il semble
difficile, dans ces conditions, que la de-
mande de mise en liberté provisoire que,
parait-il, l'avocat de Falcou avait l'inten-
tion de formuler, ait quelque chance
d'être prise en considération.
M. Dalimier
à la Cantine maternelle
du XVIIe arrondissement
M. Albert Dalimier, ministre du Travail,
s'est rendu aujourd'hui à midi à la Can-
tine maternelle du 17e arrondissement,
dont on sait l'action bienfaisante en fa-
veur des femmes enceintes et des mères
allaitant leurs enfants.
Il a été reçu par Mme David Weill, pré-
sidente de la Fédération des Cantines
maternelles, et Mme André Hesse, prési-
dente de la cantine du 17e. M. Aguinaja,
représentant l'ambassadeur d'Espagne à
Paris, avait tenu par sa présence à mar-
quer combien il appréciait l'aide donnée
aux mères espagnoles de Paris par cette
œuvre qui leur fournit 20.000 repas par
an sur 58.000 repas distribués.
M. Dalimier a particulièrement félicité
Mmes David Weill et André Hesse de leur
action bienfaisante.
Un pisteur d'hôtel
abat sa maîtresse
, qui voulait le quitter
(De notre correspondant particulier)
Nice, 8 Décembre.
Ce matin, à 7 heures 15, un drame ra-
pide s'est déroulé rue Verdi, en plein cœur
de Nice.
Un pisteur d'hôtel, Henri Attias, âgé
de 36 ans, est venu attendre sa maîtres-
se, Simonne Ribot, âgée de 27 ans, bonne
à tout faire chez Mme Guasco, 28, rue
Verdi. Lorsque la domestique descendit
de l'appartement pour aller faire quelques
courses, Attias lui reprocha de vouloir le
quitter et lui réclama l'enfant né de leur
liaison. Comme la jeune femme repous-
sait son amant celui-ci tira un pistolet
automatique de sa poche et déchargea six
balles sur elle.
Grièvement atteinte, Simonne Ribot a
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avec une dépense d'énergie assez ., dre les réponses.
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Ah ! si nous avions eu l, e Lin-
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