Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-01-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 janvier 1921 11 janvier 1921
Description : 1921/01/11 (T17,N1647). 1921/01/11 (T17,N1647).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6425380b
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1 MINISTÈRE
DES
AF}i".AIRS ÉTRANGÈRES
| N° 1647
Mardi 11 janvier 1921
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Presse allemande. — Le désarmement :
France et Allemagne (Koelnische Zei-
tung). — La reprise de la Conférence
de Bruxelles (Koelnische Zeitung). '-
L'Angleterre et l'Allemagne (Frankfur-
ter' Zcitung). — L'accord de Spa sur le
charbon (Kreuz-zeitung ,Berliner Volks-
Zeitung). — Le retour du Roi Cons-
tantin (Berlmer Tageblatt)
Presse américaine. — Une intervieiw du
Roi Constantin (World). -. Le déficit
du Service des Postes (Washington
Post). — Le commerce des Etats-Unis
avec l'Amérique du Sud (Harvey's.
Wcekly). — Les Etats-Unis dans le
commerce mondial (Washington Post).
Presse ANGLAISE. — Le questionnaire à l'Al-
lemagno sur les réparations (Daily
News). — France et Grande-Bretagne :
l'a!rtidc de M. Poincarè (Morning Post).
- Les élections sénatoriales en France
(Times, Morning Post).
PRESSE italienne. — Le désarmement : « les
armes de l'Allemagne » (général Benci-
f venga dans Tempo) ; la réunion du
[ Conseil Suprême (Tempo).
i
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
,LE DESARMEMENT. — LES ARMES DE
Lallemacne. - Que le lecteur imagine une
ItaJle vancue puis bouleversée par la révo-
lution ; une Italie où la faim donnerait lieu
(lUx pl UB stupides révoltes. et qu'il pense à
lllle éventualité 'où l'ennemi imposerait les
conditions suivantes : Licenciement de
pute l'armée, dissolution de la garde Royale:
ordre public confié à 60.000 hommes nom-
brt égal à celui des carabiniers que nous
avons aujourd'hui.
Ce serait une absurdité dira le lecteur.
D'a.ocm'd.
Et.- pourtant une semblable absurdité a
été sanctionnée par le traité de Versailles à
égard de l'Allemagne. Suivant le traité,
l'Allemagne devrait, avec une armée de cent
mille hommes, maintenir l'ordre intérieur et
garder les frontières.
L' Allemagne, pays, de 90 millions d'habi-
tants comptant des centres de 3 et 4 millions
d'habitants et des centres industriels d'im-
portance colossale ; l'Allemagne troublée
par 'Un, bouleversement intérieur épou-
flntable, menacée aux frontières par les
Bolcheviks qui désirent étendre la révolu-
tion jusqu'au cœur de l'Europe, par les Po-
lonais qui sont énivrés de leur révolution ra-
pide et inespérée, l'Allemagne, dis-je,devrait
confier sa propre sécurité a cent milles hom-
mes. v
Et ceci lorsque l'Italie, dans une période
normale et dans des conditions si différen-
tes de celles de l'Allemagne, a besoin, pour
la protection de l'ordre public, d'au moins
250.000 hommes.
Seule la haine pourrait suggérer une pa-
reille folie !
La haine de Clemenceau qui ne voulut
même pas écouter ce que le maréchal Foch,
avec son bon sens ,su.gglérait :
Laisser à l'Allemagne une armée de
300.000 hommes. Si le maréchal Foch avait
été écouté, l'Entente aurait placé l'Allema-
gne en face de deux routes : ou agir en
bonne .f,oi et observer les conditions fixées ;
ou violer les conditions, montrer ainsi
mauvaise foi et donner aux alliés le droit
d'exercer les plus sévères représailles !
Mais prétendre à la bonne foi de l'Alle-
magne pour l'exécution de pactes absur-
des était et est encore ingénu.
Et, d'autre part, n'oublions pas que si
l'Allemagne avait obtempéré aux diverses
prétentions sur le désarmement, émises par
les Alliés, l'Europe serait aujourd'hui en
proie à la révolution communiste.
Il faut avoir assisté, en Allemagne, aux
violentes luttes sociales qui eurent lieu en
1919 pour comprendre quel danger menaça
l'Europe à ce moment.
L'Allemagne à ce moment, a sauvé la ci-
vilisation occidentale : l'Histoire impartiale
lui rendra un jour justice.
Il était, évident que l'Allemagne,, pour ne
pas courir au suicide, chercherait à éluder
les conditions imposées par le traité de Ver-
sailles.
Elle chercha avant tout, à remédier à la
faiblesse de l'armée en créant un corps de
police armée semblable à notre garde
rovale.
Elle toléra ensuite, ou elle encouragea, —
quand elle ne les organisa pas—l'institution
de ces milices civiques volontaires qui fu-
rent appelées Einwohnerwehren. Milices
dont la première origine doit être recher-
chée dans l'instinct de défense de la bour-
geoisie contre la rafale communiste. Milices
utiles , sans doute sur le terrain des luttes
civiles, mais privées de toute valeur dans
la lutte contre des troupes régulières.
Les milices civiques furent dissoutes à
mesure que se rétablit une paix sociale re-
lative. Celles de la Bavière et celles de la
Prusse orientale subsistèrent.
Mais, parbleu, les Bavarois ont encore un
souvenir, trop vif de l'expérience commu-
niste de Munich pour consentir au désir de
la France.
Le lecteur se rappellera que, pour abattre
ta forteresse communiste de Munich, il fal-
lut une véritable expédition militaire de
plus de 50.000 hommes parfaitement armés.
Ce qui était, possible quand l'armée alle-
mande dépassait 300.000 hommes, ce qui
sera, certes, impossible quand l'armée ne
comptera que 100.000 hommes.
Et les Prussiens de la Prusse orientale.
Allons ils n'ont pas tous les torts ! De tous
les Allemands, ce sont eux qui sont maté-
riellement le plus en contact avec les bol-
cheviks, tandis qu'ils en sont le plus éloi-
gnés par la pensée. Et puis la Prusse orien-
tale porte encore les marques de la délica-
tesse avec laquelle les Russes y mirent le
piedi dans l'automne de 1914 ! 1
Aujourd'hui la France accuse l'Allema-
gne d'avoir violé les dispositions du traité
de Versailles et des accords postérieurs en
ce qui concerne le désarmement.
El les deux accusations principales ont
trait au non-licenciement de la police ar-
mée et des milices civiques. Le bon sens
commande de dire que la vérité doit être
au milieu. Elle doit être au milieu, c'est une
nécessité pour l'Allemagne et un bien-pour
l'Europe.
Un bien pour l'Europe à dieux points de
vue. D'abord, parce que le triomphe des
idées communistes en Allemagne entraîne-
rait la dissolution de toute l'Europe. En se-
cond lieu parce que si l'Entente veut avoir
quelque dédommagement de ses pertes, elle
doit accorder au gouvernement allemand la
force nécessaire pour imposer à ses sujets
les plus graves et les plus épouvantables
sacrifices.
Comment penser que l'Allemagne pourra,
avec 100.000 hommes seulement, maintenir
l'ordre public quand le peuple cherchera à
se soulever contre les impôts nécessaires
pour satisfaire aux prétentions de l'En-
tente ?
La vérité est ensuite que, si même les
armements de l'Allemagne dépassent les li-
mites fixées par le Traité de Versailles,
elles ne constituent un danger militaire
pour personne. Particulièrement pour la
France qui a 800.000 hommes armés jus-
qu'aux dents, dont une partie — comme les
coloniaux - sont des soldats de métier.
Imaginez-vous la milice civique de la
Prusse orientale privée de canons et de
mitrailleuses, traverser toute l'Allemagne
pour venir heurter sur le Rhin les troupes
françaises ? Ou bien imaginez-vous les mi-
lices civiques bavaroises, qui redoutent
tant l'avènement du bolchevisme, abandon-
ner la Bavière pour envahir la France ?
Et même, si les armements de l'Allema-
gne constituaient une menace pour la
France, quel moyen de pourvoir à la dé-
fensé serait-ce d'abandonner le Rhin pour
DES
AF}i".AIRS ÉTRANGÈRES
| N° 1647
Mardi 11 janvier 1921
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Presse allemande. — Le désarmement :
France et Allemagne (Koelnische Zei-
tung). — La reprise de la Conférence
de Bruxelles (Koelnische Zeitung). '-
L'Angleterre et l'Allemagne (Frankfur-
ter' Zcitung). — L'accord de Spa sur le
charbon (Kreuz-zeitung ,Berliner Volks-
Zeitung). — Le retour du Roi Cons-
tantin (Berlmer Tageblatt)
Presse américaine. — Une intervieiw du
Roi Constantin (World). -. Le déficit
du Service des Postes (Washington
Post). — Le commerce des Etats-Unis
avec l'Amérique du Sud (Harvey's.
Wcekly). — Les Etats-Unis dans le
commerce mondial (Washington Post).
Presse ANGLAISE. — Le questionnaire à l'Al-
lemagno sur les réparations (Daily
News). — France et Grande-Bretagne :
l'a!rtidc de M. Poincarè (Morning Post).
- Les élections sénatoriales en France
(Times, Morning Post).
PRESSE italienne. — Le désarmement : « les
armes de l'Allemagne » (général Benci-
f venga dans Tempo) ; la réunion du
[ Conseil Suprême (Tempo).
i
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
,LE DESARMEMENT. — LES ARMES DE
Lallemacne. - Que le lecteur imagine une
ItaJle vancue puis bouleversée par la révo-
lution ; une Italie où la faim donnerait lieu
(lUx pl UB stupides révoltes. et qu'il pense à
lllle éventualité 'où l'ennemi imposerait les
conditions suivantes : Licenciement de
pute l'armée, dissolution de la garde Royale:
ordre public confié à 60.000 hommes nom-
brt égal à celui des carabiniers que nous
avons aujourd'hui.
Ce serait une absurdité dira le lecteur.
D'a.ocm'd.
Et.- pourtant une semblable absurdité a
été sanctionnée par le traité de Versailles à
égard de l'Allemagne. Suivant le traité,
l'Allemagne devrait, avec une armée de cent
mille hommes, maintenir l'ordre intérieur et
garder les frontières.
L' Allemagne, pays, de 90 millions d'habi-
tants comptant des centres de 3 et 4 millions
d'habitants et des centres industriels d'im-
portance colossale ; l'Allemagne troublée
par 'Un, bouleversement intérieur épou-
flntable, menacée aux frontières par les
Bolcheviks qui désirent étendre la révolu-
tion jusqu'au cœur de l'Europe, par les Po-
lonais qui sont énivrés de leur révolution ra-
pide et inespérée, l'Allemagne, dis-je,devrait
confier sa propre sécurité a cent milles hom-
mes. v
Et ceci lorsque l'Italie, dans une période
normale et dans des conditions si différen-
tes de celles de l'Allemagne, a besoin, pour
la protection de l'ordre public, d'au moins
250.000 hommes.
Seule la haine pourrait suggérer une pa-
reille folie !
La haine de Clemenceau qui ne voulut
même pas écouter ce que le maréchal Foch,
avec son bon sens ,su.gglérait :
Laisser à l'Allemagne une armée de
300.000 hommes. Si le maréchal Foch avait
été écouté, l'Entente aurait placé l'Allema-
gne en face de deux routes : ou agir en
bonne .f,oi et observer les conditions fixées ;
ou violer les conditions, montrer ainsi
mauvaise foi et donner aux alliés le droit
d'exercer les plus sévères représailles !
Mais prétendre à la bonne foi de l'Alle-
magne pour l'exécution de pactes absur-
des était et est encore ingénu.
Et, d'autre part, n'oublions pas que si
l'Allemagne avait obtempéré aux diverses
prétentions sur le désarmement, émises par
les Alliés, l'Europe serait aujourd'hui en
proie à la révolution communiste.
Il faut avoir assisté, en Allemagne, aux
violentes luttes sociales qui eurent lieu en
1919 pour comprendre quel danger menaça
l'Europe à ce moment.
L'Allemagne à ce moment, a sauvé la ci-
vilisation occidentale : l'Histoire impartiale
lui rendra un jour justice.
Il était, évident que l'Allemagne,, pour ne
pas courir au suicide, chercherait à éluder
les conditions imposées par le traité de Ver-
sailles.
Elle chercha avant tout, à remédier à la
faiblesse de l'armée en créant un corps de
police armée semblable à notre garde
rovale.
Elle toléra ensuite, ou elle encouragea, —
quand elle ne les organisa pas—l'institution
de ces milices civiques volontaires qui fu-
rent appelées Einwohnerwehren. Milices
dont la première origine doit être recher-
chée dans l'instinct de défense de la bour-
geoisie contre la rafale communiste. Milices
utiles , sans doute sur le terrain des luttes
civiles, mais privées de toute valeur dans
la lutte contre des troupes régulières.
Les milices civiques furent dissoutes à
mesure que se rétablit une paix sociale re-
lative. Celles de la Bavière et celles de la
Prusse orientale subsistèrent.
Mais, parbleu, les Bavarois ont encore un
souvenir, trop vif de l'expérience commu-
niste de Munich pour consentir au désir de
la France.
Le lecteur se rappellera que, pour abattre
ta forteresse communiste de Munich, il fal-
lut une véritable expédition militaire de
plus de 50.000 hommes parfaitement armés.
Ce qui était, possible quand l'armée alle-
mande dépassait 300.000 hommes, ce qui
sera, certes, impossible quand l'armée ne
comptera que 100.000 hommes.
Et les Prussiens de la Prusse orientale.
Allons ils n'ont pas tous les torts ! De tous
les Allemands, ce sont eux qui sont maté-
riellement le plus en contact avec les bol-
cheviks, tandis qu'ils en sont le plus éloi-
gnés par la pensée. Et puis la Prusse orien-
tale porte encore les marques de la délica-
tesse avec laquelle les Russes y mirent le
piedi dans l'automne de 1914 ! 1
Aujourd'hui la France accuse l'Allema-
gne d'avoir violé les dispositions du traité
de Versailles et des accords postérieurs en
ce qui concerne le désarmement.
El les deux accusations principales ont
trait au non-licenciement de la police ar-
mée et des milices civiques. Le bon sens
commande de dire que la vérité doit être
au milieu. Elle doit être au milieu, c'est une
nécessité pour l'Allemagne et un bien-pour
l'Europe.
Un bien pour l'Europe à dieux points de
vue. D'abord, parce que le triomphe des
idées communistes en Allemagne entraîne-
rait la dissolution de toute l'Europe. En se-
cond lieu parce que si l'Entente veut avoir
quelque dédommagement de ses pertes, elle
doit accorder au gouvernement allemand la
force nécessaire pour imposer à ses sujets
les plus graves et les plus épouvantables
sacrifices.
Comment penser que l'Allemagne pourra,
avec 100.000 hommes seulement, maintenir
l'ordre public quand le peuple cherchera à
se soulever contre les impôts nécessaires
pour satisfaire aux prétentions de l'En-
tente ?
La vérité est ensuite que, si même les
armements de l'Allemagne dépassent les li-
mites fixées par le Traité de Versailles,
elles ne constituent un danger militaire
pour personne. Particulièrement pour la
France qui a 800.000 hommes armés jus-
qu'aux dents, dont une partie — comme les
coloniaux - sont des soldats de métier.
Imaginez-vous la milice civique de la
Prusse orientale privée de canons et de
mitrailleuses, traverser toute l'Allemagne
pour venir heurter sur le Rhin les troupes
françaises ? Ou bien imaginez-vous les mi-
lices civiques bavaroises, qui redoutent
tant l'avènement du bolchevisme, abandon-
ner la Bavière pour envahir la France ?
Et même, si les armements de l'Allema-
gne constituaient une menace pour la
France, quel moyen de pourvoir à la dé-
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