Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-01-10
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 10 janvier 1921 10 janvier 1921
Description : 1921/01/10 (T17,N1646). 1921/01/10 (T17,N1646).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6425379p
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
ministère
DES
AFFAIRES étrangères
o 164fi
Lundi 10 janvier 1921
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le désarmement de
l'Allemagne : la note du général Nollet
(Dentsche Allgemeine Zeitung) ; le dé-
sarmement des côtes de la mer du
Nord (Post). — Le voyage en France du
maréchal Pilsudski (Neue Badische
Landeszeitung).
PRESSE AMÉMCAINE. — Le parti républicain
.et la situation du Trésor (New York
Times).
PHE'S&E ANGLAISE. — Le désarmement de
l'Allemagne (Major général Sir F. Mau-
rice dans Daily News). — Le voyage en
France du maréchal Pilsudski (Times).
PRESSE AUTRICHIENNE. — Autriche et Hon-
grie : 'la cession de la Hongrie occiden-
tale (Neues Wiener Tagblatt).
PRESSE ITALIENNE. — La restauration des
Habsbourgs (Corriere della Sera). — Les
) besoins de l'Italie en charbon. (Corriere
della Sera).
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
LE DESARMEMENT. — L'ATTITUDE DES
JUNKERS. — De Cologne, vendredi 7. — Sir
Henry Wilson part demain pour Cologne et
il rencontrera à Paris le maréchal Foch ;
Par conséquent, le problème du désarme-
ment de l'Allemagne doit dans les dix jours
qui vont suivre entrer dans une nouvelle
phase. Je dois dire tout d'abord qu'une ré-
sistance de la part de l'Allemagne aux re-
vendications franco-anglaises, et qu'une
agression de sa part n'est pas plus à re-
douter maintenant qu'à n'importe quel mo-
ment depuis la signature de l'armistice ; il
ne sert de rien d'exagérer, en cette .affaire.
Nos positions d'artillerie, indépendamment
de bien d'autres choses, rendent toute résis-
tance impossible ; un grand nombre de ca-
nons allemands ont été livrés et détruits, et
la Commission des armements a en outre
détruit les a jauges » sans lesquelles il n'est
Pas possible de manufacturer obus, canons
et fusées. Il faudrait donc plus de temps à
l'Allemagne pour appliquer un programme
d'armement qu'il ne nous en a fallu en 1914
Pour appliquer le nôtre. Mais, d'autre part,
les Allemands ont encore trop de fusées et
trop de mitrailleuses.
Les Allemands ont enfin tenté d'obtenir
de l'argent pour leurs livraisons ; ce plan
n'a réussi que partiellement. Les modérés
cèdent volontiers ; mais les extrémistes de
droite et de gauche cachent encore des ar-
mes et nous avons de bonnes raisons de
croire que, lorsqu'il s'agit des Junkers et
de leurs amis, les autorités sont complices.
L'Allemagne conserve donc des armes et
des organisations militaires ; voilà ce .qu'on
peut lui reprocher (pourtant, il faut recon-
naître que les autorités de Berlin ont obéi
aux Alliés ; la Reichswehr n'a plus que
100.000 hommes). Les organisations de vo-
lontaires ont été dissoutes, on a retiré à la
police de sûreté son artillerie ; mais en
Bavière et dans la Prusse Orientale, on se
moque des ordres de Berlin. Les Bavarois
prétendent que les gardes sont nécessaires
au maintien de l'ordre ; les Prussiens de
l'Est prétendent qu'ils doivent être prêts à
repousser les Bolcheviks ; les Français,
d'autre part, affirment, non sans raison,
que ces organisations sont reliées à la
Reichswehr, et qu'elles formeraient une ar-
mée régulière, au cas de guerre. Le pre-
mier but du Traité de Versailles était de
prévenir « la croissance » de l'armée alle-
mande, par conséquent, les amis de la
Paix en Europe et les partisans de la ré-
duction des armements doivent exiger que
le Traité soit respecté. La difficulté vient
de ce fait que tandis que le gouvernement
a essayé a appliquer honnêtement le Traité,
un grand nombre d'Allemands ont, d'autre
part, tenté de « le tourner ».
Les Junkers n'ont rien appris, les Jun-
kers n'ont point de remords ; ils procla-
ment que nous les avons attaqués et que la
trahison de la gauche seule est la cause de
leur défaite. Comme ces Junkers ou leurs
amis étaient à la tête du gouvernement, ou
occupaient avant la guerre toutes les situa-
tions officielles, et comme on ne laissait
entrer, dans les services, aucun membre de
la gauche, personne ne peut les remplacer ;
aussi, le gouvernement actuel doit confier
son administration à des gens qui lui sont
hostiles et qui ne songent qu'à la réaction.
Ces messieurs ont retardé les Commissions,
encouragé les « recéleurs » d'armes, et l'on
a des raisons de croire qu'ils aident Luden-
dorff et ses amis à créer ces organisations
mixtes et de police, et à établir les liaisons
avec la Reichswehr. Comment pouvons-
nous les empêcher d'agir ?
Telle est la question qu'Anglais et Fran-
çais doivent se poser. Les Français songent
depuis longtemps à occuper la Ruhr où les
partis de gauche dominent ; une telle ac-
tion serait une punition pour le gouverne-
ment et la gauche, mais non pour la Ba-
vière et la Prusse Orientale, où les coupa-
bles se cachent. Il nous semble donc que
le meilleur moyen consisterait. à fortifier
le gouvernement et à faire savoir aux Jun-
kers que nous n'avons plus l'intention de
tolérer leurs menées. Le problème de la
vie chère, la renaissance de l'industrie sont
à l'heure actuelle les deux « questions
d'actualité », en Allemagne comme dans les
autres pays, et il est certain que la masse
du peuple n'a aucune sympathie pour les
Junkers. Si l'on peut démontrer au peuple
que sa prospérité dépend de l'exécution du
Traité, il saura exiger cette exécution. Si
au contraire, nous rendons la vie plus pé-
nible au peuple, nous ferons le jeu des Jun-
kers. Le peuple a une tendance à établir
une comparaison entre les heureuses condi-
tions de vie sous l'Empire et les conditions
actuelles, et nous devons faire en sorte
de ne point l'inciter à croire que l'enfer qu'il
ignore est préférable à l'enfer qu'il connaît.
— Major général Sir F. Maurice.
DAILY SE\VS, 8,1.'
LA NOTE DU GÉNÉRAL NOLLET. — Le ton que
le général Nollet, investi des pleins pou-
voirs des Alliés et chef de la Commission
de contrôle, affecte de prendre envers le
gouvernement allemand donne à réfléchir.
Si l'on regarde d'un peu près cette com-
mission de contrôle, on se demandera si,
en ce qui concerne l'armée, elle ne mérite
pas plutôt le nom de française que celui
d'interalliée. Son président est le général
Nollet, général français. Parmi ses sous-
ordres, au nombre de 176 officiers à Berlin,
82, c'est-à-dire presque la moitié, sont de
nationalité française alors que des représen-
tants des autres puissances alliées sont
contraints de se contenter de 97 places.
Parmi les 13 sous-commissions réparties
dans tout le Reich, 9 sont présidées par des
officiers français ou placées sous leur in-
fluence directe.
Les personnalités allemandes intéressées
s'accordent pour reconnaître que les rap-
ports avec les officiers anglais surtout
mais aussi avec ceux des autres nations
sont corrects, le contrôle s'exerçant en gé-
néral d'une façon juste ; tout au contraire,
le général Nollet et ses subordonnés fran-
çais semblent chercher à se poser en dic-
tateurs, refusant presque toutes les deman-
des allemandes, exécutant le traité selon
leur bon plaisir, c'est-à-dire en nuisant à
l'Allemagne, présentant toutes les divergen
ces de vue sur les mesures d'exécution
comme des violations du traité de Versail-
les, des stipulations de Boulogne ou de rac-
cord de Spa.
Il est difficile de dire si le général Nollet
se laisse guider par sa soif. de vengeance
et ses sentiments de haine envers ses an-
ciens ennemis ou bien s'il suit une voie
plus ou moins fixée par Paris. La Confé-
rence des ambassadeurs qui siège à Paris
est influencée principalement par les politi-
ciens français. La politique française — il
ne faut pas avoir d'illusion à cet égard —
vise à l'anéantissement de l'Allemagne.
DES
AFFAIRES étrangères
o 164fi
Lundi 10 janvier 1921
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le désarmement de
l'Allemagne : la note du général Nollet
(Dentsche Allgemeine Zeitung) ; le dé-
sarmement des côtes de la mer du
Nord (Post). — Le voyage en France du
maréchal Pilsudski (Neue Badische
Landeszeitung).
PRESSE AMÉMCAINE. — Le parti républicain
.et la situation du Trésor (New York
Times).
PHE'S&E ANGLAISE. — Le désarmement de
l'Allemagne (Major général Sir F. Mau-
rice dans Daily News). — Le voyage en
France du maréchal Pilsudski (Times).
PRESSE AUTRICHIENNE. — Autriche et Hon-
grie : 'la cession de la Hongrie occiden-
tale (Neues Wiener Tagblatt).
PRESSE ITALIENNE. — La restauration des
Habsbourgs (Corriere della Sera). — Les
) besoins de l'Italie en charbon. (Corriere
della Sera).
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
L'ALLEMAGNE ET LA PAIX
LE DESARMEMENT. — L'ATTITUDE DES
JUNKERS. — De Cologne, vendredi 7. — Sir
Henry Wilson part demain pour Cologne et
il rencontrera à Paris le maréchal Foch ;
Par conséquent, le problème du désarme-
ment de l'Allemagne doit dans les dix jours
qui vont suivre entrer dans une nouvelle
phase. Je dois dire tout d'abord qu'une ré-
sistance de la part de l'Allemagne aux re-
vendications franco-anglaises, et qu'une
agression de sa part n'est pas plus à re-
douter maintenant qu'à n'importe quel mo-
ment depuis la signature de l'armistice ; il
ne sert de rien d'exagérer, en cette .affaire.
Nos positions d'artillerie, indépendamment
de bien d'autres choses, rendent toute résis-
tance impossible ; un grand nombre de ca-
nons allemands ont été livrés et détruits, et
la Commission des armements a en outre
détruit les a jauges » sans lesquelles il n'est
Pas possible de manufacturer obus, canons
et fusées. Il faudrait donc plus de temps à
l'Allemagne pour appliquer un programme
d'armement qu'il ne nous en a fallu en 1914
Pour appliquer le nôtre. Mais, d'autre part,
les Allemands ont encore trop de fusées et
trop de mitrailleuses.
Les Allemands ont enfin tenté d'obtenir
de l'argent pour leurs livraisons ; ce plan
n'a réussi que partiellement. Les modérés
cèdent volontiers ; mais les extrémistes de
droite et de gauche cachent encore des ar-
mes et nous avons de bonnes raisons de
croire que, lorsqu'il s'agit des Junkers et
de leurs amis, les autorités sont complices.
L'Allemagne conserve donc des armes et
des organisations militaires ; voilà ce .qu'on
peut lui reprocher (pourtant, il faut recon-
naître que les autorités de Berlin ont obéi
aux Alliés ; la Reichswehr n'a plus que
100.000 hommes). Les organisations de vo-
lontaires ont été dissoutes, on a retiré à la
police de sûreté son artillerie ; mais en
Bavière et dans la Prusse Orientale, on se
moque des ordres de Berlin. Les Bavarois
prétendent que les gardes sont nécessaires
au maintien de l'ordre ; les Prussiens de
l'Est prétendent qu'ils doivent être prêts à
repousser les Bolcheviks ; les Français,
d'autre part, affirment, non sans raison,
que ces organisations sont reliées à la
Reichswehr, et qu'elles formeraient une ar-
mée régulière, au cas de guerre. Le pre-
mier but du Traité de Versailles était de
prévenir « la croissance » de l'armée alle-
mande, par conséquent, les amis de la
Paix en Europe et les partisans de la ré-
duction des armements doivent exiger que
le Traité soit respecté. La difficulté vient
de ce fait que tandis que le gouvernement
a essayé a appliquer honnêtement le Traité,
un grand nombre d'Allemands ont, d'autre
part, tenté de « le tourner ».
Les Junkers n'ont rien appris, les Jun-
kers n'ont point de remords ; ils procla-
ment que nous les avons attaqués et que la
trahison de la gauche seule est la cause de
leur défaite. Comme ces Junkers ou leurs
amis étaient à la tête du gouvernement, ou
occupaient avant la guerre toutes les situa-
tions officielles, et comme on ne laissait
entrer, dans les services, aucun membre de
la gauche, personne ne peut les remplacer ;
aussi, le gouvernement actuel doit confier
son administration à des gens qui lui sont
hostiles et qui ne songent qu'à la réaction.
Ces messieurs ont retardé les Commissions,
encouragé les « recéleurs » d'armes, et l'on
a des raisons de croire qu'ils aident Luden-
dorff et ses amis à créer ces organisations
mixtes et de police, et à établir les liaisons
avec la Reichswehr. Comment pouvons-
nous les empêcher d'agir ?
Telle est la question qu'Anglais et Fran-
çais doivent se poser. Les Français songent
depuis longtemps à occuper la Ruhr où les
partis de gauche dominent ; une telle ac-
tion serait une punition pour le gouverne-
ment et la gauche, mais non pour la Ba-
vière et la Prusse Orientale, où les coupa-
bles se cachent. Il nous semble donc que
le meilleur moyen consisterait. à fortifier
le gouvernement et à faire savoir aux Jun-
kers que nous n'avons plus l'intention de
tolérer leurs menées. Le problème de la
vie chère, la renaissance de l'industrie sont
à l'heure actuelle les deux « questions
d'actualité », en Allemagne comme dans les
autres pays, et il est certain que la masse
du peuple n'a aucune sympathie pour les
Junkers. Si l'on peut démontrer au peuple
que sa prospérité dépend de l'exécution du
Traité, il saura exiger cette exécution. Si
au contraire, nous rendons la vie plus pé-
nible au peuple, nous ferons le jeu des Jun-
kers. Le peuple a une tendance à établir
une comparaison entre les heureuses condi-
tions de vie sous l'Empire et les conditions
actuelles, et nous devons faire en sorte
de ne point l'inciter à croire que l'enfer qu'il
ignore est préférable à l'enfer qu'il connaît.
— Major général Sir F. Maurice.
DAILY SE\VS, 8,1.'
LA NOTE DU GÉNÉRAL NOLLET. — Le ton que
le général Nollet, investi des pleins pou-
voirs des Alliés et chef de la Commission
de contrôle, affecte de prendre envers le
gouvernement allemand donne à réfléchir.
Si l'on regarde d'un peu près cette com-
mission de contrôle, on se demandera si,
en ce qui concerne l'armée, elle ne mérite
pas plutôt le nom de française que celui
d'interalliée. Son président est le général
Nollet, général français. Parmi ses sous-
ordres, au nombre de 176 officiers à Berlin,
82, c'est-à-dire presque la moitié, sont de
nationalité française alors que des représen-
tants des autres puissances alliées sont
contraints de se contenter de 97 places.
Parmi les 13 sous-commissions réparties
dans tout le Reich, 9 sont présidées par des
officiers français ou placées sous leur in-
fluence directe.
Les personnalités allemandes intéressées
s'accordent pour reconnaître que les rap-
ports avec les officiers anglais surtout
mais aussi avec ceux des autres nations
sont corrects, le contrôle s'exerçant en gé-
néral d'une façon juste ; tout au contraire,
le général Nollet et ses subordonnés fran-
çais semblent chercher à se poser en dic-
tateurs, refusant presque toutes les deman-
des allemandes, exécutant le traité selon
leur bon plaisir, c'est-à-dire en nuisant à
l'Allemagne, présentant toutes les divergen
ces de vue sur les mesures d'exécution
comme des violations du traité de Versail-
les, des stipulations de Boulogne ou de rac-
cord de Spa.
Il est difficile de dire si le général Nollet
se laisse guider par sa soif. de vengeance
et ses sentiments de haine envers ses an-
ciens ennemis ou bien s'il suit une voie
plus ou moins fixée par Paris. La Confé-
rence des ambassadeurs qui siège à Paris
est influencée principalement par les politi-
ciens français. La politique française — il
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