Titre : Les Temps nouveaux
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1909-10-02
Contributeur : Grave, Jean (1854-1939). Rédacteur
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34359892b
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5963 Nombre total de vues : 5963
Description : 02 octobre 1909 02 octobre 1909
Description : 1909/10/02 (A15,N11). 1909/10/02 (A15,N11).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k63994314
Source : CODHOS / Centre d'Histoire Sociale du XXème siècle, 2012-83447
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/11/2012
i5- ANNEE. - Nu 11. France : 10 Centimes. - Extérieur: 15 Centimea - 2 OCTOBRE 1909.
t
)EStE~Mf!oUVEAUX
POUR LA FRANCE
Un an 3 fr.
Six mois 1 50
Trois mois 0 75
LE NUMÉRO: 10 Centimes
Ex-Journal "LA RÉVOLTE"
PARAISSANT TOUS LES 15 JOURS
vec un Supplément Littéraire
POUR L'EXTÉRIEUR
Un an 4ff.
Six mois. 2 »
Trois mois. 1 D
LE NUMÉRO : 15 Centimes
Administration et Rédaction : 4, Rue Broca, 4, PARIS (Ve)
soæAIw..E
LA GRÈVE DU BATIMENT, M. Pierrot.
FRANCS-PROPOS, R. Chaughi.
TOURNONS FN CERCLE, Michel Petit.
RÉVOLTE, RÉVOLUTION, Jean Grave.
CROCS ET GRIFFES, M. P.
lINE GOUJATERIE, Jean Grave.
MOUVEMENT SOCIAL, G. Dumoulin, Michel Petit,
Félixio, P. Achard.
OUVEMENT INTERNATIONAL.
IBLIOGRAPHIE, A. Pr.
NOTES ET DOCUMENTS. R
CORRESP.()J)ANCES ET CO)()(.t,¡.»K¡S..».z, :
CONVOCA TIONS
ETITR CORRESPONDANCE
La grève du Bâtiment
Lorsque dans les réunions du groupe, l'hiver
deruIer, nous discutions sur la centralisation et
f' , e,:q utIon régressive et pacifique des grand es
itérations, on nous opposait toujours l'exemple
levolutionnaire de la fédération du Bâtiment.
cet exemple n'a maintenant plus aucune
leur, à moins que les simples syndiqués ne
t:oIltl'ecarrient les marchandages où se sont laissé
^uier leurs chefs syndicaux.
* l'aIment, ce n'était pas la peine de se débar-
sser du tâcheronat pour retomber dans un mal
1 .e' je veux parler des commissions mixtes
^patronales, mi-ouvrières). * "t
.Certes, je n'aurais jamais'soupçonné le pot aux
es Par lft simple lecture de VHumanité. Cet
i 4 d olable journal socialiste ne nous a donné que
ds renseignements adultérés et des documents
°nrlués, notamment l'arbitrage des architectes ;
jfl,,se sur la commission mixte n'intéressait
nr y blement pas les lecteurs.
n' al ,dû aller aux sources. Et je. dois dire que je
d' e e p l einement renseigné qu'après avoir
fié ^1C à la C. G. T., grâce à l'obligeance d'un
.M:llla'ade, un exemplaire du journal patronal, le
Mr 'ear de l'Entreprise et de l'Industrie
(n" u 12 septembre).
l Viet e Journaux corporatifs ouvriers criaient
t vict lr^ naturellement. Je n'ai rien trouvé nulle
ai^eurs- Etant à la campagne depuis le
t'I'O septembre, je ne sais pas si un journal révolu-
nn ,.
tint"Ilai le aura depuis attaché le grelot. Seul,
Nolllouhn, dans le dernier numéro des Temps
L. llX, a fait enten d re de justes crItIques:
« i a ^r^ve des maçons, a-t-il dit, n'est pas pré-
c'sérnent une victoire, ni dans son fond, ni dans
sa forme. Elle a brusqué la disparition d'un état
de choses qui serait devenu nuisible pour les
patrons eux-mêmes. »
Après Dumoulin, je veux attirer l'attention des
intéressés sur le contrat collectif qui les lie à
l'autorité patronale.
Il est certain, comme le fait remarquer Péricat,
que la tactique des ouvriers avec leurs grèves
répétées, leurs actes de sabotage surtout, ont dû
obliger les patrons à chercher un remède à
« l'instabilité de la production », suivant l'aveu
des patrons eux-mêmes.
Ils ont d'abord cherché à employer la manière
forte. Et Péricat énuniere dSfis le Travailleur du
Bâtiment (numéro de septembre) leurs efforts
infructueux : arrogance vis-à-vis des syndicats
ouvriers, lock-out, création de syndicats jaunes,
recrutement de travailleurs en province, création
d'un corps de briseurs de grève, campagne de
calomnies contre les militants syndicaux, création
de sociétés collectives, système des fiches sur les
chantiers, etc. oJ
Mais devant l'insuccès de toutes ces tentatives,
les patrons, du moins le groupement patronal le
plus fort, celui de la rue de Lutèce, eut l'idée de
faire une enquête à l'étranger sur les rapports
entre syndicats patronaux et syndicats ouvriers. Il
est probable que ce sont les renseignements
donnés par cette enquête (faite en Allemagne, au
Danemark et en Angleterre) qui ont déterminé
les patrons à essayer une entente avec les syndi-
cats ouvriers, ce qui leur permettrait « de
prendre des garanties, en enchaînant par un
contrat les plus fortes corporations du bâtiment;».
L'expression est de Péricat (Voix du Peuple du
19-26 septembre). Et Péricat, dans le Travailleur
du Bâtiment se moque de M, Villemin, allant
prendre des leçons en Allemagne pour aboutir à
la capitulation devant la volonté ouvrière. Eh bien !
il n'est pas du tout certain que MM. Villemin et
Despagnat aient fait un mauvais marché. Les dupes
me semblent être de l'autre côté.
Ouvrons donc le journal patronal, le lonitellr
de l'Entreprise et de l'Industrie ,àu. 12 septem-
bre, et lisons l'article intitulé la grève terminée.
Cet article commence par d'assez justes apprécia-
tions, mélangées d'une ironie plutôt rosse :
« Les ouvriers obtiennent d'amples satisfactions
dont ils ne manqueront pas de tirer victoire. Ils
se flatteront — et leurs journaux les entretien-
dront dans cet état d'esprit — d'avoir mis le
patronat en échec et de lui avoir « arraché » les
très appréciables avantages q.ue celui-ci leur a
cependant librement et bénévolement concédés.
Ceci les agitateurs le savent bien.
« Ils n'ignorent pas, ils ne peuvent pas ignorer
que si les entrepreneurs avaient voulu prolonger,
de quinze jours seulement, la grève que les syn-
dicats avaient si imprudemment provoquée, les
ouvriers n'eussent pu « tenir le coup » et que les
neuf dixièmes d'entre eux eussent été obligés de
réintégrer les chantiers, non en triomphateurs,
mais en vaincus. »
Vient ensuite le battage philanthropique destiné
à masquer le mobile intéressé de la manœuvre
patronale ; cependant la première phrase est
encore très forte :
« Les entrepreneurs n'ont pas voulu abuser
vis-à-vis des ouvriers, de la supériorité que leur
donnait, à eux, la sécurité relative du lendemain.
Bien mieux, dès le début de la grève, ils ont
résolu d'examiner .avt>Jfjenvfjllce et équité ce
qu'il pouvait y avoir de j uste et d'admissible dans *"
les revendications ouvrières et d'aller aussi loin
que possible dans la voie de la conciliation. C'est
spontanément et de leur plein gré qu'ils ont
offert aux ouvriers ce contrat collectif de travail
où il leur est fait de si larges concessions. En
proposant spontanément aux ouvriers l'arbitrage
des sociétés d'architectes., ils ont donné une
preuve de leur bon vouloir. »
Avez-vous remarqué, en passant, les adverbes
que j'ai soulignés en italique ? Ils ont certainement
été mis là avec quelque malice à l'adresse de
notre ami Viviani. Notons cependant que l'organe
des entrepreneurs indépendants. le Bâtiment,
attribue un rôle assez important à la pression
gouvernementale. De leur côté, les ouvriers
passent sous silence le rôle du ministre du Travail ;
ils en paraissent plutôt embarrassés, à l'heure
actuelle ; Péricat, dans la Voix du PPllple
déclare que Viviani fut la mouche du coche.
Il n'y a que l'Humanité qui, tout en roulant de
gros yeux du côté des patrons, parlait avec com-
plaisance de l'intervention féconde et bienveillante
du ministre socialiste.
Cette intervention a eu lieu, mais elle s'est
exercée sur les ouvriers et non sur les patrons.
Quand je dis sur les ouvriers, c'est une façon de
parler, la masse ouvrière a été naturellement
tenue dans l'ignorance des pourparlers engagés.
« Il n'est pas sans intérêt de rappeler, dit le
journal patronal, le Moniteur de l'Entreprise et
de VIndustrie, que, dans l'entrevue du jeudi
2 septembre, les délégués patronaux avaient été
les premiers à proposer aux délégation ouvrières
de soumettre le différend à l'arbitrage dès sociétés
d'architectes et que les ouvriers s'y étaient radica-
lement refusés. »
Or ie lundi 6, les délégués ouvriers annonçaient
aux patrons qu'ils avaient fait pressentir les
sociétés d'architectes pour leur demander leur
médiation.
« D'où vient donc, demande l'organe patronal,
le revirement inattendu qui s'est produit chez
eux ? Peut-être convien'-il de l'attribuer à l'initia-
t
)EStE~Mf!oUVEAUX
POUR LA FRANCE
Un an 3 fr.
Six mois 1 50
Trois mois 0 75
LE NUMÉRO: 10 Centimes
Ex-Journal "LA RÉVOLTE"
PARAISSANT TOUS LES 15 JOURS
vec un Supplément Littéraire
POUR L'EXTÉRIEUR
Un an 4ff.
Six mois. 2 »
Trois mois. 1 D
LE NUMÉRO : 15 Centimes
Administration et Rédaction : 4, Rue Broca, 4, PARIS (Ve)
soæAIw..E
LA GRÈVE DU BATIMENT, M. Pierrot.
FRANCS-PROPOS, R. Chaughi.
TOURNONS FN CERCLE, Michel Petit.
RÉVOLTE, RÉVOLUTION, Jean Grave.
CROCS ET GRIFFES, M. P.
lINE GOUJATERIE, Jean Grave.
MOUVEMENT SOCIAL, G. Dumoulin, Michel Petit,
Félixio, P. Achard.
OUVEMENT INTERNATIONAL.
IBLIOGRAPHIE, A. Pr.
NOTES ET DOCUMENTS. R
CORRESP.()J)ANCES ET CO)()(.t,¡.»K¡S..».z, :
CONVOCA TIONS
ETITR CORRESPONDANCE
La grève du Bâtiment
Lorsque dans les réunions du groupe, l'hiver
deruIer, nous discutions sur la centralisation et
f' , e,:q utIon régressive et pacifique des grand es
itérations, on nous opposait toujours l'exemple
levolutionnaire de la fédération du Bâtiment.
cet exemple n'a maintenant plus aucune
leur, à moins que les simples syndiqués ne
t:oIltl'ecarrient les marchandages où se sont laissé
^uier leurs chefs syndicaux.
* l'aIment, ce n'était pas la peine de se débar-
sser du tâcheronat pour retomber dans un mal
1 .e' je veux parler des commissions mixtes
^patronales, mi-ouvrières). * "t
.Certes, je n'aurais jamais'soupçonné le pot aux
es Par lft simple lecture de VHumanité. Cet
i 4 d olable journal socialiste ne nous a donné que
ds renseignements adultérés et des documents
°nrlués, notamment l'arbitrage des architectes ;
jfl,,se sur la commission mixte n'intéressait
nr y blement pas les lecteurs.
n' al ,dû aller aux sources. Et je. dois dire que je
d' e e p l einement renseigné qu'après avoir
fié ^1C à la C. G. T., grâce à l'obligeance d'un
.M:llla'ade, un exemplaire du journal patronal, le
Mr 'ear de l'Entreprise et de l'Industrie
(n" u 12 septembre).
l Viet e Journaux corporatifs ouvriers criaient
t vict lr^ naturellement. Je n'ai rien trouvé nulle
ai^eurs- Etant à la campagne depuis le
t'I'O septembre, je ne sais pas si un journal révolu-
nn ,.
tint"Ilai le aura depuis attaché le grelot. Seul,
Nolllouhn, dans le dernier numéro des Temps
L. llX, a fait enten d re de justes crItIques:
« i a ^r^ve des maçons, a-t-il dit, n'est pas pré-
c'sérnent une victoire, ni dans son fond, ni dans
sa forme. Elle a brusqué la disparition d'un état
de choses qui serait devenu nuisible pour les
patrons eux-mêmes. »
Après Dumoulin, je veux attirer l'attention des
intéressés sur le contrat collectif qui les lie à
l'autorité patronale.
Il est certain, comme le fait remarquer Péricat,
que la tactique des ouvriers avec leurs grèves
répétées, leurs actes de sabotage surtout, ont dû
obliger les patrons à chercher un remède à
« l'instabilité de la production », suivant l'aveu
des patrons eux-mêmes.
Ils ont d'abord cherché à employer la manière
forte. Et Péricat énuniere dSfis le Travailleur du
Bâtiment (numéro de septembre) leurs efforts
infructueux : arrogance vis-à-vis des syndicats
ouvriers, lock-out, création de syndicats jaunes,
recrutement de travailleurs en province, création
d'un corps de briseurs de grève, campagne de
calomnies contre les militants syndicaux, création
de sociétés collectives, système des fiches sur les
chantiers, etc. oJ
Mais devant l'insuccès de toutes ces tentatives,
les patrons, du moins le groupement patronal le
plus fort, celui de la rue de Lutèce, eut l'idée de
faire une enquête à l'étranger sur les rapports
entre syndicats patronaux et syndicats ouvriers. Il
est probable que ce sont les renseignements
donnés par cette enquête (faite en Allemagne, au
Danemark et en Angleterre) qui ont déterminé
les patrons à essayer une entente avec les syndi-
cats ouvriers, ce qui leur permettrait « de
prendre des garanties, en enchaînant par un
contrat les plus fortes corporations du bâtiment;».
L'expression est de Péricat (Voix du Peuple du
19-26 septembre). Et Péricat, dans le Travailleur
du Bâtiment se moque de M, Villemin, allant
prendre des leçons en Allemagne pour aboutir à
la capitulation devant la volonté ouvrière. Eh bien !
il n'est pas du tout certain que MM. Villemin et
Despagnat aient fait un mauvais marché. Les dupes
me semblent être de l'autre côté.
Ouvrons donc le journal patronal, le lonitellr
de l'Entreprise et de l'Industrie ,àu. 12 septem-
bre, et lisons l'article intitulé la grève terminée.
Cet article commence par d'assez justes apprécia-
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« Les ouvriers obtiennent d'amples satisfactions
dont ils ne manqueront pas de tirer victoire. Ils
se flatteront — et leurs journaux les entretien-
dront dans cet état d'esprit — d'avoir mis le
patronat en échec et de lui avoir « arraché » les
très appréciables avantages q.ue celui-ci leur a
cependant librement et bénévolement concédés.
Ceci les agitateurs le savent bien.
« Ils n'ignorent pas, ils ne peuvent pas ignorer
que si les entrepreneurs avaient voulu prolonger,
de quinze jours seulement, la grève que les syn-
dicats avaient si imprudemment provoquée, les
ouvriers n'eussent pu « tenir le coup » et que les
neuf dixièmes d'entre eux eussent été obligés de
réintégrer les chantiers, non en triomphateurs,
mais en vaincus. »
Vient ensuite le battage philanthropique destiné
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encore très forte :
« Les entrepreneurs n'ont pas voulu abuser
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donnait, à eux, la sécurité relative du lendemain.
Bien mieux, dès le début de la grève, ils ont
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qu'il pouvait y avoir de j uste et d'admissible dans *"
les revendications ouvrières et d'aller aussi loin
que possible dans la voie de la conciliation. C'est
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preuve de leur bon vouloir. »
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que j'ai soulignés en italique ? Ils ont certainement
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notre ami Viviani. Notons cependant que l'organe
des entrepreneurs indépendants. le Bâtiment,
attribue un rôle assez important à la pression
gouvernementale. De leur côté, les ouvriers
passent sous silence le rôle du ministre du Travail ;
ils en paraissent plutôt embarrassés, à l'heure
actuelle ; Péricat, dans la Voix du PPllple
déclare que Viviani fut la mouche du coche.
Il n'y a que l'Humanité qui, tout en roulant de
gros yeux du côté des patrons, parlait avec com-
plaisance de l'intervention féconde et bienveillante
du ministre socialiste.
Cette intervention a eu lieu, mais elle s'est
exercée sur les ouvriers et non sur les patrons.
Quand je dis sur les ouvriers, c'est une façon de
parler, la masse ouvrière a été naturellement
tenue dans l'ignorance des pourparlers engagés.
« Il n'est pas sans intérêt de rappeler, dit le
journal patronal, le Moniteur de l'Entreprise et
de VIndustrie, que, dans l'entrevue du jeudi
2 septembre, les délégués patronaux avaient été
les premiers à proposer aux délégation ouvrières
de soumettre le différend à l'arbitrage dès sociétés
d'architectes et que les ouvriers s'y étaient radica-
lement refusés. »
Or ie lundi 6, les délégués ouvriers annonçaient
aux patrons qu'ils avaient fait pressentir les
sociétés d'architectes pour leur demander leur
médiation.
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