Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1868-05-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 146118 Nombre total de vues : 146118
Description : 08 mai 1868 08 mai 1868
Description : 1868/05/08 (Numéro 1954). 1868/05/08 (Numéro 1954).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
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Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k590004p
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 18/07/2008
4
Le Petit Journal
Quelques-unes de ces figures n'ont pas éclaté
avec l'ensemble qu'on attendait, mais l'exécution
générale a été fort belle, et le public s'est retiré
très satislait.̃ ̃
Pour clore la journée, il y avait bal masque au
théâtre,de la Pergola.
ÊTRANG-*
Les journaux espagnols contiennent le récit
d'une déplorable méprise commise récemment
dans une ville de la province de la Manche. Un
criminel que l'on conduisait au supplice parvint à
s'échapper et se réfugia dans un hôpital. Comme
on ne pouvait forcer l'entrée de ce bâtiment qu'en
présence des autorités civiles, on l'entoura de
sentinelles jusqu'àl'arrivée du corrégidor. Ce fonc-
tionnaire s'étant rendu à l'hôpital, on y entra et
l'on aperçut un individu vètu d'une robe de cham-
bré et d'un bonnet de nuit, et qui se promenait
dans la cour.
Un aîguasil crut reconnaitre en lui le fugitif, et
l'arrêta. L'individu, questionné, ne répondit rien,
mais se mit à gesticuler avec une grande anima-
tion on ne l'entraîna pas moins hors de l'hôpital,
et la sentence'de mort fut -exécutée sur lui sans
qu'il ait proféré une parole. On reconnut ensuite
que c'était un sourd7irmet, frère du criminel, et
ayant avec lui une grande ressemblance.
Une triste nouvelle est arrivée récemment du.
'Japon. L'équipage d'une'chaloupe à vapeur fran·-
çaise, le Dupieix, a été victime d'un horrible atten-
tat à Ps^ka. Le Moniteur donne sur ce fait lès dé-
tails suivants
Cett& chaloupe avait été envoyée à terre pour y
prendre le commandant de la division navale des
mers de Chine et le consul ,général de France,
qu'elle devait ramener à bord. Elle pénétra sans
difficulté dans le petit port de Sakai, voisin d'O-
saka, où elle avait reçu l'ordre de les attendre,
La population paraissant parfaitement tranquille
et n'ayant d'ailleurs témoigné les jours précédents
arienne liostilité, la chaloupé fut amarrée au quai.
Deux heures se passèrent en effet sans aucun in-
cident qui pût faire naître la défiance. Les Japo-
nais se pressaient sur le quai, mais leur curiosité
n'avait rien' de gênant. Ils riaient avec nos marins
restés dans la chaloupe ou assis sur le bord du
quai. Leurs dispositions étaient si bienveillantes
qu'ils leur apportèrent même à diverses reprises
des fruits et des gâteaux.
-̃ Deux hommes, le quartier-maître Lemœur et la
second-maître mécanicien Durel, demandèrent
alors et obtinrent la permission de se promener
un instant sur le quai. A peine s'étaient-ils éloi-
gnés de quelques pas, que des Japonais armés,
'paraissant sortir d'une embuscade,les entourèrent
et cherchèrent à tes entraîner vers l'intérieur de la'
ville en les garrottant.
Lemœur et Durel se dégagent.et reviennent en
'courant vers la chaloupe. Leurs (agresseurs, au
nombre de 80 ou 100, les poursuivent en faisant
feu, dispersent la foule inoffensive, et arrivés sur
'le bord du quai, tirent à bout portant sur l'équi-
page français, avant que celui-ci ait pu pousser au
large. Plusieurs de nos marins sont tués sur le
coup. Les autres, déjà blessés, se jettent à l'eau
.pour s'abriter derrière l'embarcation. Les Japo-
nais continuant la fusillade jusqu'au moment où
1 ils ne voient plus personne qui donne signe de
i vie.,Pensant alors avoir achevé leur œuvre, ils se
retirent..
Cependant sept hommes avaient trouvé un abri
tentre la chaloupe et une jonque voisine. Mais to^is
étaient grièvement blessés, à l'exception du se-
jxond maitre Durel. Celui-ci remonte dans ia cha-
loupe dès qu'il s'aperçoit du départ des assassins.
ill aide ses compagnons à y remonter aussi, les
encourage par son énergie, et parvient avec leur
secours a éloigner sa chaloupe du bord, puis à sor-
tir des jetées, enfin à hisser une voile et à faire
rbute pour regagner le Dupleiw; les balles avaient
causé à la machine à vapeur des avaries qui ne
;pèrmettaient pas de s'en servir pour fuir plus ra-
Aussi c'est'au courage et à la détermination de
f)urel que l'on doit de n'avoir pas perdu tous
hommes qui montaient la chaloupe et cp' les
itercation elle-mème, car les Japonai- -bte em-
Fa su depuis, ne s'étaient éloigr comme on
chercher les instruments r ^-eS qu'afin d'aller
bruire, Il faut aussi ..«eessaires pour la dé-
morale des infr- rendre hommage à la foree
qu'ils fus?" .wtnnês qui ont su le seconder, bien
yce f -^otà si grièvement blessés que deux d'en-
S*nt èont morts depuis et que deux autres ont
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Nord de l'Espagne. 70.. fs 459 50 459 Lits militaires 535 Choix 5s Choix 28.. S9 50 A Ambigu-Comique, la Poissarde, le drame popi
Porfnaam. U «S.. ,Cordpue-SeviJ. 160 Gaz M&fconie “|Oïdi^aire, SI WS9 sr.jMme Marie-Laurent. ̃.
donné les plus vives inquiétudes pour leur vie.
Les victimes de cet horrible, attentat sont
MM. Guillon, aspirant de classe; Lemœur,
quartier-maître de manœuvre; Grunenber, ou-
vrier chauffeur; 'Langena,ds Bobès, Mpdest, Tlu-
met, Nouail, Lavie, Bou^aw, Condette, matelots.
SOUVENIRS JUDICIAIRES
L'AFFAIRE MARCELLAN_GE
(Voir le Peti't Journal depuis le 24 avril.)
̃ xv
-LA CONFÉRENCE
Besson souleva le bout. de la couverture
avec ses yâeds et les montra à Louis Achard;
enveloppés de linges, tachés de sang.
A'ii! mon pauvre Jacques! comme la
maladie vous' a arrangé, dit le naïf paysan.
'Oh je ne suis pas solide, allez, répondit
Jacg'ues, et je ne suis pas _près de faire à pied
la r/iute du Puy à Chamblas. Mais qu'est-ce
qui vousamène donc si matin.chez les dames?
Oh! c'est aux dames que je suis chargée
de le dire, mais vous le saurez bientôt et tonte
la ville du Puy aussi, car c'est une grosse af-
faire et,qui fera du brrat dans-la contrée.
Jacques Besson et Marie Baudon interro-
gèrent Louis Ach?*rd, de l'air le plus calme
et le plus .naturel, sur plusieurs personnes de
Chamblas et de Lardeyrol, puis on causa de
la récolte et de l'affermage de Ghamblas,
dont le bail devait être signé, le-jour même,
2 septembre.
Quant à ça, dit. seulement Louis Achard,
c'est différent.
Allons, dit Marie Baudon, ces dames
doivent être levées; descendons.
Louis Achard se leva, serra la main de
Jacques et suivit Marie Baudon.
Un instant après,ils entraient dans un
petit salon, ou se trouvaient les deux dames
en robe de chambre.
Sur un signe de la comtesse, Marie Bau-
don se retira.
Eh bien Achard, dit alors Mme de la
Roche Negly, que se passe-t-il donc à Cham-
blas pour que M. de Marcellange •vous envoie
chez moi à pareille heure?
La comtesse n'hésitait pas à prononcer ce
nom de Marcellange, qui tout à l'heure n'a-
vait pu sortir des lèvres de Jacques ni de
celles de Marie Baudon.
Hélas! madame la comtesse^ répondit le
paysan d'une voix triste, il n'y «, plus de M
de Marcellange à Chamblas.
Où est-il donc? démoda la comtesse,
dont la voix calme et p^surée ne laissait rien
soupçonner de la profonde émotion qui l'a-
H est ro^jr^ madame la comtesse.
Mm=de Marcellange comprit qu'il lui fal-
lait absolument jouer son rôle dads cette co-
mecTie; elle le tenta, mais inutilement, la
parole mourut sur ses lèvres.
Alors elle porta son mouchoir à ses yeux
mais ils étaient secs, et elle n'y put faire ve-
nir une larme,
Que me dites-vous là, Achard? s'écria
enfin 1.4 comtesse, M. de Marcellange, mort!
Uh 1 bien mort, madame la comtesse.
-7- Quoi! comme cela, subitement?.
mais da quoi donc est-il mort?
D'un. coup de fusil; madame la com-
tesse.
Tt Assassiné" Est-ce possible!
Oni, madame la comtesse, assassiné!
La comtesse, elle aussi, eût voulu se mon-
trer émue en ce moment, car elle compre-
nait, comme sa fille, que cet entretien avec
Achard allait être rapporté à Chamblas, puis
commenté jusque dans ses moindres, détails,
mais sa nature sèche et impitoyable se refu-
sait à ce genre de dissimulation.
Elle se contenta donc de dire .̃•̃̃
Malgré mes démêlés avec M. de Mar-
cellange et les torts que j'étais en droit de lui
reprocher, la nouvelle decette.mo.rt m'affecte
profondément.
Elle reprit après une pause
Quand donc ce malheur est-il arrivé?
Hier soir, vers huit heures et deinie,
madame la comtesse.
L'assassin est arrêté, sans doute?
Malheureusement non, il aééhappé.
Est-on sur sa trace, au moins?
Quant à présent, non, madame la com-
tesse.
À-t-on quelques soupçons?
Pas le moindre.
Quoi! on n'a pas prononcé un nom?
',Quelques-uns, mais au hasard et bien
vaguement.
Enfin, ces noms? demanda la comtesse
avec une violente palpitation de coeur.
Dame on a nommé "Baissonet, Pierre
Villedieu. •
Achard s'arrêta et parut chercher.
Après ? demanda la comtesse, penchée
vers le paysan.
Jean Martin dit Boudoul, Besson.
Hein? fit la comtesse en se redressant
brusquement, on a dit Besson ?
Elle avait pâli et un frisson convulsif agi-
tait ses lèvres.
Oh! dit Achard avec bonhomie, pas
Jacques! oh! non! mais un ou plutôt deux de
ses frères, Besson dit Cédat, et Michel Bes-
son, dit le décrotteur aveugle, qui a demandé
l'aumône à M. de Marcellange .hier dans le
jour,: càest-à^dire quelques heures avant le
coup. ̃ ̃
La comtesse était déjà remise. r
Oh! dit-elle, je n'ai jamais pensé un
instant que le soupçorrpût s'attacher à Jac-s
ques. ̃̃ ̃ ̃ ̃
Puis se levant à I
C'est bien, Achard, dites à M. Berger
que'nous comptons sur son dévouement pour
nous rèmplacer dans' cette pénible circons-
tance et faire ce qu'il jugera convenable â
nos intérêts.
Louis Achard se leva comme elle, la salua
et retourna à la cuisine, où il demeura quel-
ques instants avec Marie Baudon; après
quoi-, il quitta la maison des dames pour re-
tourner à Chamblas.
Dès qu'il fut sorti, Marie Baudon courut
au petit salon où étaient restées la .comtesse
et sa fille, pensant bien qu'elles devraient
avoir à lui parler.
A moitié couchée dans un fauteuil, Mme
Théodora était accablée, inerte, 1'oeil, fixe,
sans regard et sans pensée.
Là comtesse, au contraire,, les traits ani-
més.. et l'oeil étincelant, allait et venait, en
proie à une violente agitation, jetant de temps
à autre quelque phrase inintelligible, s'arrê-
tant brusquement et recommençant à mar-
cher aussitôt;
Eh bien, demanda Marie Baudon en en-
trant, que s'est-il passé?
Assassiné! voilà tout ce qu'on sait, ré-
pondit la comtesse.*
Ah! et le meurtrier?
Nulle trace; nul soupçon.
La comtesse réfléchit un instant, puis d'une
voix brève
Va dire à Jacques de se lever et de se
rendre ici.
La servante sortit et alla transmettre cet
ordre à Jacques Besson qui se hâta d'obéir.
Un instant après il descendait lentement
l'escalier, souffrant à chaque pas d'intoléra-
bles tortures, et se rendait près des dames.
On le fit asseoir dans le meilleur faute,uil,
puis Marie Baudon fut appelée,'car la com-
tesse avait autant de confiance.dans son bon
sens que dans son dévouement, et il y eut en-
tre ces quatre individus un long colloque,
dont nous connaîtrons bientôt le résultat.
(La sitite à demain.) constant GUÉROULR.
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Le Petit Journal
Quelques-unes de ces figures n'ont pas éclaté
avec l'ensemble qu'on attendait, mais l'exécution
générale a été fort belle, et le public s'est retiré
très satislait.̃ ̃
Pour clore la journée, il y avait bal masque au
théâtre,de la Pergola.
ÊTRANG-*
Les journaux espagnols contiennent le récit
d'une déplorable méprise commise récemment
dans une ville de la province de la Manche. Un
criminel que l'on conduisait au supplice parvint à
s'échapper et se réfugia dans un hôpital. Comme
on ne pouvait forcer l'entrée de ce bâtiment qu'en
présence des autorités civiles, on l'entoura de
sentinelles jusqu'àl'arrivée du corrégidor. Ce fonc-
tionnaire s'étant rendu à l'hôpital, on y entra et
l'on aperçut un individu vètu d'une robe de cham-
bré et d'un bonnet de nuit, et qui se promenait
dans la cour.
Un aîguasil crut reconnaitre en lui le fugitif, et
l'arrêta. L'individu, questionné, ne répondit rien,
mais se mit à gesticuler avec une grande anima-
tion on ne l'entraîna pas moins hors de l'hôpital,
et la sentence'de mort fut -exécutée sur lui sans
qu'il ait proféré une parole. On reconnut ensuite
que c'était un sourd7irmet, frère du criminel, et
ayant avec lui une grande ressemblance.
Une triste nouvelle est arrivée récemment du.
'Japon. L'équipage d'une'chaloupe à vapeur fran·-
çaise, le Dupieix, a été victime d'un horrible atten-
tat à Ps^ka. Le Moniteur donne sur ce fait lès dé-
tails suivants
Cett& chaloupe avait été envoyée à terre pour y
prendre le commandant de la division navale des
mers de Chine et le consul ,général de France,
qu'elle devait ramener à bord. Elle pénétra sans
difficulté dans le petit port de Sakai, voisin d'O-
saka, où elle avait reçu l'ordre de les attendre,
La population paraissant parfaitement tranquille
et n'ayant d'ailleurs témoigné les jours précédents
arienne liostilité, la chaloupé fut amarrée au quai.
Deux heures se passèrent en effet sans aucun in-
cident qui pût faire naître la défiance. Les Japo-
nais se pressaient sur le quai, mais leur curiosité
n'avait rien' de gênant. Ils riaient avec nos marins
restés dans la chaloupe ou assis sur le bord du
quai. Leurs dispositions étaient si bienveillantes
qu'ils leur apportèrent même à diverses reprises
des fruits et des gâteaux.
-̃ Deux hommes, le quartier-maître Lemœur et la
second-maître mécanicien Durel, demandèrent
alors et obtinrent la permission de se promener
un instant sur le quai. A peine s'étaient-ils éloi-
gnés de quelques pas, que des Japonais armés,
'paraissant sortir d'une embuscade,les entourèrent
et cherchèrent à tes entraîner vers l'intérieur de la'
ville en les garrottant.
Lemœur et Durel se dégagent.et reviennent en
'courant vers la chaloupe. Leurs (agresseurs, au
nombre de 80 ou 100, les poursuivent en faisant
feu, dispersent la foule inoffensive, et arrivés sur
'le bord du quai, tirent à bout portant sur l'équi-
page français, avant que celui-ci ait pu pousser au
large. Plusieurs de nos marins sont tués sur le
coup. Les autres, déjà blessés, se jettent à l'eau
.pour s'abriter derrière l'embarcation. Les Japo-
nais continuant la fusillade jusqu'au moment où
1 ils ne voient plus personne qui donne signe de
i vie.,Pensant alors avoir achevé leur œuvre, ils se
retirent..
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étaient grièvement blessés, à l'exception du se-
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loupe dès qu'il s'aperçoit du départ des assassins.
ill aide ses compagnons à y remonter aussi, les
encourage par son énergie, et parvient avec leur
secours a éloigner sa chaloupe du bord, puis à sor-
tir des jetées, enfin à hisser une voile et à faire
rbute pour regagner le Dupleiw; les balles avaient
causé à la machine à vapeur des avaries qui ne
;pèrmettaient pas de s'en servir pour fuir plus ra-
Aussi c'est'au courage et à la détermination de
f)urel que l'on doit de n'avoir pas perdu tous
hommes qui montaient la chaloupe et cp' les
itercation elle-mème, car les Japonai- -bte em-
Fa su depuis, ne s'étaient éloigr comme on
chercher les instruments r ^-eS qu'afin d'aller
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Victor-Emmanuel. 42 42 40 Saragosse OlZlmmobiï. m/ prcnnerst869 i0.. 69.. 15- kil.net.. 90.. 93.. Le théâtre de la Gaite vient de reprendre arec un rail
Chemins de ter romains. 43 50 50 Romains. Charente succès un des meilleurs drames de MM. d'Fnnery et Crânai
SéviUe-Xerès-Cadix Romains. S!0.. 5tS Doeks.de Jfar. 200 200 (liors Paris). r. ̃
Nord de l'Espagne. 70.. fs 459 50 459 Lits militaires 535 Choix 5s Choix 28.. S9 50 A Ambigu-Comique, la Poissarde, le drame popi
Porfnaam. U «S.. ,Cordpue-SeviJ. 160 Gaz M&fconie “|Oïdi^aire, SI WS9 sr.jMme Marie-Laurent. ̃.
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Les victimes de cet horrible, attentat sont
MM. Guillon, aspirant de classe; Lemœur,
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vrier chauffeur; 'Langena,ds Bobès, Mpdest, Tlu-
met, Nouail, Lavie, Bou^aw, Condette, matelots.
SOUVENIRS JUDICIAIRES
L'AFFAIRE MARCELLAN_GE
(Voir le Peti't Journal depuis le 24 avril.)
̃ xv
-LA CONFÉRENCE
Besson souleva le bout. de la couverture
avec ses yâeds et les montra à Louis Achard;
enveloppés de linges, tachés de sang.
A'ii! mon pauvre Jacques! comme la
maladie vous' a arrangé, dit le naïf paysan.
'Oh je ne suis pas solide, allez, répondit
Jacg'ues, et je ne suis pas _près de faire à pied
la r/iute du Puy à Chamblas. Mais qu'est-ce
qui vousamène donc si matin.chez les dames?
Oh! c'est aux dames que je suis chargée
de le dire, mais vous le saurez bientôt et tonte
la ville du Puy aussi, car c'est une grosse af-
faire et,qui fera du brrat dans-la contrée.
Jacques Besson et Marie Baudon interro-
gèrent Louis Ach?*rd, de l'air le plus calme
et le plus .naturel, sur plusieurs personnes de
Chamblas et de Lardeyrol, puis on causa de
la récolte et de l'affermage de Ghamblas,
dont le bail devait être signé, le-jour même,
2 septembre.
Quant à ça, dit. seulement Louis Achard,
c'est différent.
Allons, dit Marie Baudon, ces dames
doivent être levées; descendons.
Louis Achard se leva, serra la main de
Jacques et suivit Marie Baudon.
Un instant après,ils entraient dans un
petit salon, ou se trouvaient les deux dames
en robe de chambre.
Sur un signe de la comtesse, Marie Bau-
don se retira.
Eh bien Achard, dit alors Mme de la
Roche Negly, que se passe-t-il donc à Cham-
blas pour que M. de Marcellange •vous envoie
chez moi à pareille heure?
La comtesse n'hésitait pas à prononcer ce
nom de Marcellange, qui tout à l'heure n'a-
vait pu sortir des lèvres de Jacques ni de
celles de Marie Baudon.
Hélas! madame la comtesse^ répondit le
paysan d'une voix triste, il n'y «, plus de M
de Marcellange à Chamblas.
Où est-il donc? démoda la comtesse,
dont la voix calme et p^surée ne laissait rien
soupçonner de la profonde émotion qui l'a-
H est ro^jr^ madame la comtesse.
Mm=de Marcellange comprit qu'il lui fal-
lait absolument jouer son rôle dads cette co-
mecTie; elle le tenta, mais inutilement, la
parole mourut sur ses lèvres.
Alors elle porta son mouchoir à ses yeux
mais ils étaient secs, et elle n'y put faire ve-
nir une larme,
Que me dites-vous là, Achard? s'écria
enfin 1.4 comtesse, M. de Marcellange, mort!
Uh 1 bien mort, madame la comtesse.
-7- Quoi! comme cela, subitement?.
mais da quoi donc est-il mort?
D'un. coup de fusil; madame la com-
tesse.
Tt Assassiné" Est-ce possible!
Oni, madame la comtesse, assassiné!
La comtesse, elle aussi, eût voulu se mon-
trer émue en ce moment, car elle compre-
nait, comme sa fille, que cet entretien avec
Achard allait être rapporté à Chamblas, puis
commenté jusque dans ses moindres, détails,
mais sa nature sèche et impitoyable se refu-
sait à ce genre de dissimulation.
Elle se contenta donc de dire .̃•̃̃
Malgré mes démêlés avec M. de Mar-
cellange et les torts que j'étais en droit de lui
reprocher, la nouvelle decette.mo.rt m'affecte
profondément.
Elle reprit après une pause
Quand donc ce malheur est-il arrivé?
Hier soir, vers huit heures et deinie,
madame la comtesse.
L'assassin est arrêté, sans doute?
Malheureusement non, il aééhappé.
Est-on sur sa trace, au moins?
Quant à présent, non, madame la com-
tesse.
À-t-on quelques soupçons?
Pas le moindre.
Quoi! on n'a pas prononcé un nom?
',Quelques-uns, mais au hasard et bien
vaguement.
Enfin, ces noms? demanda la comtesse
avec une violente palpitation de coeur.
Dame on a nommé "Baissonet, Pierre
Villedieu. •
Achard s'arrêta et parut chercher.
Après ? demanda la comtesse, penchée
vers le paysan.
Jean Martin dit Boudoul, Besson.
Hein? fit la comtesse en se redressant
brusquement, on a dit Besson ?
Elle avait pâli et un frisson convulsif agi-
tait ses lèvres.
Oh! dit Achard avec bonhomie, pas
Jacques! oh! non! mais un ou plutôt deux de
ses frères, Besson dit Cédat, et Michel Bes-
son, dit le décrotteur aveugle, qui a demandé
l'aumône à M. de Marcellange .hier dans le
jour,: càest-à^dire quelques heures avant le
coup. ̃ ̃
La comtesse était déjà remise. r
Oh! dit-elle, je n'ai jamais pensé un
instant que le soupçorrpût s'attacher à Jac-s
ques. ̃̃ ̃ ̃ ̃
Puis se levant à I
C'est bien, Achard, dites à M. Berger
que'nous comptons sur son dévouement pour
nous rèmplacer dans' cette pénible circons-
tance et faire ce qu'il jugera convenable â
nos intérêts.
Louis Achard se leva comme elle, la salua
et retourna à la cuisine, où il demeura quel-
ques instants avec Marie Baudon; après
quoi-, il quitta la maison des dames pour re-
tourner à Chamblas.
Dès qu'il fut sorti, Marie Baudon courut
au petit salon où étaient restées la .comtesse
et sa fille, pensant bien qu'elles devraient
avoir à lui parler.
A moitié couchée dans un fauteuil, Mme
Théodora était accablée, inerte, 1'oeil, fixe,
sans regard et sans pensée.
Là comtesse, au contraire,, les traits ani-
més.. et l'oeil étincelant, allait et venait, en
proie à une violente agitation, jetant de temps
à autre quelque phrase inintelligible, s'arrê-
tant brusquement et recommençant à mar-
cher aussitôt;
Eh bien, demanda Marie Baudon en en-
trant, que s'est-il passé?
Assassiné! voilà tout ce qu'on sait, ré-
pondit la comtesse.*
Ah! et le meurtrier?
Nulle trace; nul soupçon.
La comtesse réfléchit un instant, puis d'une
voix brève
Va dire à Jacques de se lever et de se
rendre ici.
La servante sortit et alla transmettre cet
ordre à Jacques Besson qui se hâta d'obéir.
Un instant après il descendait lentement
l'escalier, souffrant à chaque pas d'intoléra-
bles tortures, et se rendait près des dames.
On le fit asseoir dans le meilleur faute,uil,
puis Marie Baudon fut appelée,'car la com-
tesse avait autant de confiance.dans son bon
sens que dans son dévouement, et il y eut en-
tre ces quatre individus un long colloque,
dont nous connaîtrons bientôt le résultat.
(La sitite à demain.) constant GUÉROULR.
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