Titre : Les Annales politiques et littéraires : revue populaire paraissant le dimanche / dir. Adolphe Brisson
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1910-12-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34429261z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 42932 Nombre total de vues : 42932
Description : 25 décembre 1910 25 décembre 1910
Description : 1910/12/25 (A28,T55,N1435). 1910/12/25 (A28,T55,N1435).
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5725579w
Source : Bibliothèque nationale de France, département Collections numérisées, 2009-34518
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 01/12/2010
28e ANNEE(2e SEMESTRE)
TEXTE
Notes de la Semaine
Le Culte du Souvenir LE BONHOMME CHRYSALE
Comment fût créée la Marche.
Funèbre. ......... ZIEM
Vérités, et Paradoxes : Le Pur-
Sang du Pauvre EMILE FAGUET
Nos Projets Littéraires pour
1911 : Le Roman. . . .. . A. B.
Les Échos,,. dE Paris SERGINES...
Revue des Livres : Les Livres
d'Etrennes . . . .. GASTON RAGEOT
— Le Prix Goncourt . .. JULES BOIS
Le Livre du jour De Goupil . , .
à Margot . .. . . . Louis PERGAUD
Mémento Bibliographique . GEORGES DERVILLE
Les Mois Noirs ANSELME CHANGEUR
Don Quichotte, et Sancho. . . EDMOND HARAUCOURT
Sommaire du N° 1435.
Les Miettes de l'Histoire: Le
Dernier Noël d'Henri Re-
gnault. JULES CLARETIE
Noël : Les Peintres Modernes
et la Nativité .... LEON PLÉE
— La Bénédiction du Feu JEAN AICARL
— Noël pour les Bêtes. . FRANÇOIS FABIE
— Les Grands Souliers . JULES LEMAITRE
Histoire de la Semaine. . :. . JACQUES LARDY
Mouvement Scientifique : ....
L'impression des Annales. MAX DE NANSOUTY
Pages Oubliées : Les Deux
Regnault RENÉ VALLERY-RADOT
— Sully Prudhomme. HENRI LAVEDAN
— Poèmes Posthumes . .. SULLY PRUDHOMME
La Vie Féminine
La Jeune Fille dans la Lit-
térature ......... JULES BERTAUT
25 DECEMBRE 1910.
Épousailles. . . ..... SERGINETTE
Les Modes. ......
Les Cercles des Annales. .Y. S.
Roman: Juste Lobel, Alsacien .. ...
(suite). ... . ... .ANDRÉ LICHTENBERGER
Revue . Financière de la Se-
marne ... ......
ILLUSTRATIONS
Frédéric Chopin, d'après A. Besnard. — Compositions de
Gustave Dennery, Ch. Monginot et Henri Pille. —
Dessins de Bida et Léopold Flameng. — Tableaux de
Mme Demont-Breton, Bouguereau, Ed. Dubufe, Anto-
nin Mercié, Ernest Hébert, Lévy-Dhurmer, J.-J. Au-
bert, Henry Bonnefoy et Dagnan-Bouveret. — Portraits
et photographies d'actualité.
MUSIQUE
La Berceuse de Noël. Poésie de THÉODORE BOTREL
— Musique de GASTON PERDUCET
Notes de la Semaine
Le Culte du Souvenir
ous honorons la mémoire de nos
morts illustres. Chacun d'eux est
le dieu d'une petite église qui
voue a sa gloire une piété mi-
nutieuse et fervente. Il y a les Mussettistes,
les Hugotistes, les Balzaciens, les Stendha-
liens, les Lamartiniens. Ces associations:
font d'excellente besogne, et l'on ne sau-
rait trop louer leur sollicitude, désintéres-
sée; celle-ci revêt des formes ingénieuses;
elle évoque le passé, reconstitue l'atmos-
phère où respira le grand homme, assem-
ble ce qu'on a pu conserver de lui, trans-
forme en musée le logis qu'il habita, convie
ses; fidèles à venir y méditer, y organise des
pèlerinages. Cette semaine, plusieurs de
ces touchantes manifestations ont eu lieu.
L'appartement de Sully. Prud'homme,
faubourg Saint-Honoré, s'est rouvert;
les meubles de Balzac, rue Raynouard,
ont été arrachés, aux mains d'un, proprié-
taire avide; le Collège die France a solen-
nellement honoré le savant Regnault,
père du peintre; les dévots de Pasteur ont
décidé d'acquérir sa maison familiale d'Ar-
bois ; enfin, une plaque fut apposée sur
la maison de la place Vendôme, dans la-
quelle,voilà soixante-deux ans, s'éteignit
Chopin. J'assistais à cette dernière céré-
monie. J'eus la surprise et la joie d'y ren-
contrer le seul ami de Chopin qui vive
encore. Il a quatre-vingt-douze ans, un
esprit merveilleusement allègre, une mé-
moire impeccable. Nous regagnâmes en-
semble le paisible quartier d'Auteuil d'où
il ne sort point, isolé dans ses souvenirs,
indifférent au monde qu'il ne connaît plus.
«Parlez-moi de lui, dis-je. — Je le
veux-bien, à condition que vous n'impri-
miez pas mon nom et ne m'arrachiez
point à ma solitude par des indiscrétions
qui me feraient la proie des reporters. Je
suis et désire demeurer obscur. » Je pro-
mis de respecter sa modestie, mais j'ai
plaisir à transcrire son récit.
M. X... connut Chopin dans des circons-
tances assez particulières. Il venait de pro-
vince à Paris lui demander des conseils.
Il ambitionnait d'être son élève. Le musi-
cien occupait alors un appartement Chaus-
sée d'Antin, à l'endroit pu devait être
percée, plus tard, la rue La-Fayette. Il
avait des séductions infinies. De taille
moyenne, mais bien prise, vêtu avec une
grande recherche, il portait, selon la mode
du temps, l'habit bleu à boutons d'or,
serré sur le gilet blanc, le pantalon gris
perle à sous-pied. Une longue cravate de
batiste s'enroulait autour de son cou flexi-
ble; ses cheveux, naturellement bouclés,
s'élevaient en touffes au-dessus d'un front
large, et délicatement modelé ; la bouche
était un peu dédaigneuse, l'oeil brun clair
(exactement couleur de bière) s'animait,
par moments, et brillait d'un éclat fié-
vreux; la main, petite, fine et allongée;
parcourait le clavier avec une souplesse;
une vivacité sans égales. Chopin, non en-
core atteint du mal terrible qui devait le
terrasser, était un délicieux cavalier. On
en jugera en examinant la lithographie
de Vigneron, reproduite plus loin. C'est
la seule image authentique et ressem-
blante que l'on possède de lui. Il donnait
des leçons par nécessité, sinon toujours
par plaisir. On les lui payait vingt francs;;
il n'avait guère d'autres moyens d'exis-
tence. Les éditeurs lui offraient pour ses
meilleure morceaux une rétribution déri-
soire, qui excédait rarement vingt-cinq.
louis. Il traversait l'épreuve douloureuse
qu'ont à subir les novateurs. Son génie
heurtait les habitudes de la foule, qui
raffolait de la musique italienne et qui
ni'admettait pas qu'il y eût un autre art.
On affectait de voir en lui un fantaisiste,
un excentrique; il essuya les railleries que
connurent, à leurs débuts, Berlioz, Wagner,
César Franck et même l'auteur de
Carmen. Quelques admirations l'en con-
solèrent: elles furent d'autant plus vives
qu'elles savaient réparer une injustice
Cinq ou six femmes du monde, parmi
lesquelles, il convient de citer la princesse
Potocka et Mme de Stirbey, lui étaient pas-
sionnément attachées. Et, tandis que,par-
tout ailleurs, régnaient les favoris de la
mode, les Thalberg, les Stamaty, exécutants:
merveilleux, mais dénués de sincérité, il
fut le roi, je pourrais dire le dieu, dee
ces foyers amis. C'était, pour lui, une
grande douceur de s'y sentir adulé. Il
avait la conscience de sa valeur et souf-
frait de la voir méconnue. Liszt lui-même
lui portait ombrage, et, quoiqu'il l'aimât
d'une affection fraternelle, il ne pouvait
s'empêcher de trouver que son succès
était supérieur à son mérite. Et il ne pou-
vait se défendre d'un peu de mélancolie
en comparant les triomphes que rempor-
taient les pauvres de Liszt au maigre ac-
cueil que recevaient les siennes propres...;
Ajoutons que ses rivaux reconnaissaient
sa haute valeur et rendaient hommage à
sa supériorité. M. X... m'a conté, à ce
propos, une charmante anecdote.
— Ce soir-là, m'a-t-il dit, il y avait
grande soirée chez la comtesse Potocka.
J'aperçus, en entrant dans le salon, un
homme, jeune encore, d'allures très dis-
tinguées et auquel on semblait témoigner
un grand empressement. C'était Thalberg,
le fameux pianiste, qui jouissait d'une
renommée européenne. Monsieur Thal-
berg, jouez-nous quelque chose! — Mon-
sieur Thalberg, laissez-vous fléchir! »
Thalberg se laissa fléchir et se dirigea;
vers l'Erard que 1'on venait d'ouvrir à
son intention. Il allait. poser ses doigts
sur les touches, quandi le valet de cham-
bre annonça : " Mme George Sand ! M.
TEXTE
Notes de la Semaine
Le Culte du Souvenir LE BONHOMME CHRYSALE
Comment fût créée la Marche.
Funèbre. ......... ZIEM
Vérités, et Paradoxes : Le Pur-
Sang du Pauvre EMILE FAGUET
Nos Projets Littéraires pour
1911 : Le Roman. . . .. . A. B.
Les Échos,,. dE Paris SERGINES...
Revue des Livres : Les Livres
d'Etrennes . . . .. GASTON RAGEOT
— Le Prix Goncourt . .. JULES BOIS
Le Livre du jour De Goupil . , .
à Margot . .. . . . Louis PERGAUD
Mémento Bibliographique . GEORGES DERVILLE
Les Mois Noirs ANSELME CHANGEUR
Don Quichotte, et Sancho. . . EDMOND HARAUCOURT
Sommaire du N° 1435.
Les Miettes de l'Histoire: Le
Dernier Noël d'Henri Re-
gnault. JULES CLARETIE
Noël : Les Peintres Modernes
et la Nativité .... LEON PLÉE
— La Bénédiction du Feu JEAN AICARL
— Noël pour les Bêtes. . FRANÇOIS FABIE
— Les Grands Souliers . JULES LEMAITRE
Histoire de la Semaine. . :. . JACQUES LARDY
Mouvement Scientifique : ....
L'impression des Annales. MAX DE NANSOUTY
Pages Oubliées : Les Deux
Regnault RENÉ VALLERY-RADOT
— Sully Prudhomme. HENRI LAVEDAN
— Poèmes Posthumes . .. SULLY PRUDHOMME
La Vie Féminine
La Jeune Fille dans la Lit-
térature ......... JULES BERTAUT
25 DECEMBRE 1910.
Épousailles. . . ..... SERGINETTE
Les Modes. ......
Les Cercles des Annales. .Y. S.
Roman: Juste Lobel, Alsacien .. ...
(suite). ... . ... .ANDRÉ LICHTENBERGER
Revue . Financière de la Se-
marne ... ......
ILLUSTRATIONS
Frédéric Chopin, d'après A. Besnard. — Compositions de
Gustave Dennery, Ch. Monginot et Henri Pille. —
Dessins de Bida et Léopold Flameng. — Tableaux de
Mme Demont-Breton, Bouguereau, Ed. Dubufe, Anto-
nin Mercié, Ernest Hébert, Lévy-Dhurmer, J.-J. Au-
bert, Henry Bonnefoy et Dagnan-Bouveret. — Portraits
et photographies d'actualité.
MUSIQUE
La Berceuse de Noël. Poésie de THÉODORE BOTREL
— Musique de GASTON PERDUCET
Notes de la Semaine
Le Culte du Souvenir
ous honorons la mémoire de nos
morts illustres. Chacun d'eux est
le dieu d'une petite église qui
voue a sa gloire une piété mi-
nutieuse et fervente. Il y a les Mussettistes,
les Hugotistes, les Balzaciens, les Stendha-
liens, les Lamartiniens. Ces associations:
font d'excellente besogne, et l'on ne sau-
rait trop louer leur sollicitude, désintéres-
sée; celle-ci revêt des formes ingénieuses;
elle évoque le passé, reconstitue l'atmos-
phère où respira le grand homme, assem-
ble ce qu'on a pu conserver de lui, trans-
forme en musée le logis qu'il habita, convie
ses; fidèles à venir y méditer, y organise des
pèlerinages. Cette semaine, plusieurs de
ces touchantes manifestations ont eu lieu.
L'appartement de Sully. Prud'homme,
faubourg Saint-Honoré, s'est rouvert;
les meubles de Balzac, rue Raynouard,
ont été arrachés, aux mains d'un, proprié-
taire avide; le Collège die France a solen-
nellement honoré le savant Regnault,
père du peintre; les dévots de Pasteur ont
décidé d'acquérir sa maison familiale d'Ar-
bois ; enfin, une plaque fut apposée sur
la maison de la place Vendôme, dans la-
quelle,voilà soixante-deux ans, s'éteignit
Chopin. J'assistais à cette dernière céré-
monie. J'eus la surprise et la joie d'y ren-
contrer le seul ami de Chopin qui vive
encore. Il a quatre-vingt-douze ans, un
esprit merveilleusement allègre, une mé-
moire impeccable. Nous regagnâmes en-
semble le paisible quartier d'Auteuil d'où
il ne sort point, isolé dans ses souvenirs,
indifférent au monde qu'il ne connaît plus.
«Parlez-moi de lui, dis-je. — Je le
veux-bien, à condition que vous n'impri-
miez pas mon nom et ne m'arrachiez
point à ma solitude par des indiscrétions
qui me feraient la proie des reporters. Je
suis et désire demeurer obscur. » Je pro-
mis de respecter sa modestie, mais j'ai
plaisir à transcrire son récit.
M. X... connut Chopin dans des circons-
tances assez particulières. Il venait de pro-
vince à Paris lui demander des conseils.
Il ambitionnait d'être son élève. Le musi-
cien occupait alors un appartement Chaus-
sée d'Antin, à l'endroit pu devait être
percée, plus tard, la rue La-Fayette. Il
avait des séductions infinies. De taille
moyenne, mais bien prise, vêtu avec une
grande recherche, il portait, selon la mode
du temps, l'habit bleu à boutons d'or,
serré sur le gilet blanc, le pantalon gris
perle à sous-pied. Une longue cravate de
batiste s'enroulait autour de son cou flexi-
ble; ses cheveux, naturellement bouclés,
s'élevaient en touffes au-dessus d'un front
large, et délicatement modelé ; la bouche
était un peu dédaigneuse, l'oeil brun clair
(exactement couleur de bière) s'animait,
par moments, et brillait d'un éclat fié-
vreux; la main, petite, fine et allongée;
parcourait le clavier avec une souplesse;
une vivacité sans égales. Chopin, non en-
core atteint du mal terrible qui devait le
terrasser, était un délicieux cavalier. On
en jugera en examinant la lithographie
de Vigneron, reproduite plus loin. C'est
la seule image authentique et ressem-
blante que l'on possède de lui. Il donnait
des leçons par nécessité, sinon toujours
par plaisir. On les lui payait vingt francs;;
il n'avait guère d'autres moyens d'exis-
tence. Les éditeurs lui offraient pour ses
meilleure morceaux une rétribution déri-
soire, qui excédait rarement vingt-cinq.
louis. Il traversait l'épreuve douloureuse
qu'ont à subir les novateurs. Son génie
heurtait les habitudes de la foule, qui
raffolait de la musique italienne et qui
ni'admettait pas qu'il y eût un autre art.
On affectait de voir en lui un fantaisiste,
un excentrique; il essuya les railleries que
connurent, à leurs débuts, Berlioz, Wagner,
César Franck et même l'auteur de
Carmen. Quelques admirations l'en con-
solèrent: elles furent d'autant plus vives
qu'elles savaient réparer une injustice
Cinq ou six femmes du monde, parmi
lesquelles, il convient de citer la princesse
Potocka et Mme de Stirbey, lui étaient pas-
sionnément attachées. Et, tandis que,par-
tout ailleurs, régnaient les favoris de la
mode, les Thalberg, les Stamaty, exécutants:
merveilleux, mais dénués de sincérité, il
fut le roi, je pourrais dire le dieu, dee
ces foyers amis. C'était, pour lui, une
grande douceur de s'y sentir adulé. Il
avait la conscience de sa valeur et souf-
frait de la voir méconnue. Liszt lui-même
lui portait ombrage, et, quoiqu'il l'aimât
d'une affection fraternelle, il ne pouvait
s'empêcher de trouver que son succès
était supérieur à son mérite. Et il ne pou-
vait se défendre d'un peu de mélancolie
en comparant les triomphes que rempor-
taient les pauvres de Liszt au maigre ac-
cueil que recevaient les siennes propres...;
Ajoutons que ses rivaux reconnaissaient
sa haute valeur et rendaient hommage à
sa supériorité. M. X... m'a conté, à ce
propos, une charmante anecdote.
— Ce soir-là, m'a-t-il dit, il y avait
grande soirée chez la comtesse Potocka.
J'aperçus, en entrant dans le salon, un
homme, jeune encore, d'allures très dis-
tinguées et auquel on semblait témoigner
un grand empressement. C'était Thalberg,
le fameux pianiste, qui jouissait d'une
renommée européenne. Monsieur Thal-
berg, jouez-nous quelque chose! — Mon-
sieur Thalberg, laissez-vous fléchir! »
Thalberg se laissa fléchir et se dirigea;
vers l'Erard que 1'on venait d'ouvrir à
son intention. Il allait. poser ses doigts
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