Titre : Le Monde artiste : théâtre, musique, beaux-arts, littérature
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1893-02-26
Contributeur : Lemoine, Achille (1813-1895). Directeur de publication
Contributeur : Gourdon de Genouillac, Henri (1826-1898). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32818188p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 19764 Nombre total de vues : 19764
Description : 26 février 1893 26 février 1893
Description : 1893/02/26 (A33,N9). 1893/02/26 (A33,N9).
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5454274k
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Z-1096
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
LE MONDE ARTISTE
149
par M. Gailhard. Quant à l'interprétation, elle est
excellente de tous points, et Mlle Mauri a trouvée dans
la Fée des neiges une de ses meilleures créations.
TIC-TAC.
II. - CHRONIQUE DRAMATIQUE
Comédie-Française. — Dimanche, Don Japhet d'Ar-
ménie; lundi, mercredi, vendredi et samedi, Un père
prodigue ; mardi et jeudi, les Demoiselles de Saint-Oyr;
jeudi (matinée), On ne badine pas avec l'amour, les
Fourberies de Scapin.
Odéon. — Dimanche, lundi (soirée d'abonnement),
mardi, mercredi, vendredi (soirée d'abonnement) et
samedi, l'Argent d'autrui; jeudi, matinée-conférence à
une heure, les Précieuses ridicules, conférence de
M. Gustave Larroumet, les Femmes savantes; jeudi soir,
l'Argent d'autrui.
Vaudeville. — Flipote, comédie en trois actes de
M. Jules Lemaître (1re représentation le mercredi
22 février 1893).
Grand-Théâtre. — Pécheur d'Islande, pièce en quatre
actes, tirée du roman de M. Pierre Loti, par
MM. Pierre Loti et Louis Tiercelin (lre représentation
le samedi 18 fév. 1893).
Flipote — le nom lui vient du Conservatoire où,
ratant son prix, elle dit un jour assez drôlement le
vers de Mme Pernelle qui ouvre la comédie de Tar-
tufe — Flipote est l'étoile actuelle du théâtre des
Folies-Plastiques. Tel est son succès, que le baron
des OEillettes s'offre à devenir, au prix qu'elle fixera,
son protecteur en titre, et que son directeur Cour-
bouzon se déclare prêt à passer par les conditions
qu'elle imposera à son rengagement. Mais Flipote est
sage, et n'a d'yeux que pour son camarade, le petit
Emile Leplucheux, — un raté s'il en fût jamais —
dont elle veut faire son mari par devant M. le maire,
et qu'elle associe, au taux de 5,000 francs, à sa for-
tune dramatique. Le baron des OEillettes attendra ;
Courbouzon prendra le lot...
Très joli — sinon très neuf : le thème fut si sou-
vent exploité ! — le premier acte de la comédie de
M. Jules Lemaître. Plus mouvementé, et plein de
piquants détails est le second, qui nous introduit
dans la loge de l'étoile, un soir de première repré-
sentation. Sera-ce un succès? On ne lésait jamais
avant, — ni même après : çà réussit, ou çà ne réus-
sit pas, voilà tout... Toujours est-il que ce brave
Leplucheux vient de se faire « emboîter » dans les
grands prix, et que, furieuse, Flipote a traité les
siffleurs dé « tas de muffes ». On voit si la soirée est
orageuse. Gomment la défaite se change-t-elle tout
à coup en victoire... pour lé petit Leplucheux qui
joue son rôle, d'imbécile avec tant de naturel, que le
public l'acclame et le rappelle avec enthousiasme?
C'est assez invraisemblable, n'est-ce pas ?
Nous assistons alors à un revirement des plus
comiques : Flipote en veut à son mari qui vient d'ob-
tenir un succès aussi imprévu ; Leplucheux en veut
à sa femme qui refuse de croire à son talent. Vous
connaissez la jalousie des comédiens : jamais elle
n'a été mieux prise sur le vif, et le : « Comme c'est
ça ! " sortait l'autre soir de toutes les bouches.
Qu'adviendra-t-il alors du ménage Leplucheux?
Monsieur acceptera les rendez-vous de Lydie Pastel,
la rivale, au théâtre, de Flipote. Celle-ci acceptera
l'hôtel que lui propose le baron des OEillettes, et
c'est ainsi, comme le dit la tante Anglochère, que
« tout rentrera dans l'ordre D : une actrice ne doit
pas se marier.
C'est ainsi que, sur le thème connu de la fatuité de
la. comédienne et de la vanité du cabotin — de la
«rosserie » de tous les deux, — M. Jules Lemaître
s' est amusé, nous amusant aussi par la même occa-
sion, à écrire une comédie spirituelle et légère dans
le goût des Scènes de la vie de théâtre de M. Abraham
Dreyfus. — Il nous semble qu'il y avait plus d'hu-
mour et d'originalité dans la Bichelte de M. Auguste
Germain...
Prenons pour ce qu'ils sont les trois actes de
M. Jules Lemaître, pleins de franche gaieté et de juste
observation, et saluons avec un vif plaisir la rentrée
de Mlle Maria Legault, retour de Russie. Le rôle de
Flipote va comme un gant à son joli talent fait de
nerfs et d'artifice. M. Galipaux a délicieusement
nuancé celui de Leplucheux. — « Je suis un acteur
de composition », dit le « raté » de M. Lemaître :
M. Galipaux a mis dans l'interprétation de ce per-
sonnage assez complexe une adresse et un tact que
nous ne saurions trop louer, et que, seul, pouvait y
mettre un véritable artiste.
Il faut encore citer Mme Marie Samary, en tante
Cardinal d'un genre assez particulier ; Mlle Luce
Colas, en enfant de la balle d'une effrayante préco-
cité, et M. Dieudonné, en baron des OEillettes, et
M. Lagrange, en directeur Courbouzon, — sans
oublier MM. Peutat et Mangin, qui ont joliment des-
siné la silhouette de l'auteur et du reporter à secré-
taire. — Si tous ceux qui s'intéressent aux « gens de
théâtre » vont voir la mordante esquisse de
M. Jules Lemaître, le Vaudeville ne désemplira pas
de sitôt.,
S'il est toujours difficile de tirer d'un roman une
bonne pièce de théâtre, combien la difficulté ne sera-
t-elle pas plus grande encore s'il s'agit d'un roman de
M.Pierre Loti, et principalement de Pêcheur d'Islande!
Quel est ici le personnage qui prime tous les autres,
conduit leur existence, est le but de leurs sentiments
d'amour ou de crainte? C'est la mer, être imper-
sonnel, sorte d'entité quasi mystique dont la puis-
sance plane sur les hommes en les faisant mouvoir à
son gré. Or, M. Loti excelle dans ces descriptions
de l'Océan qu'il aime et qu'il dépeint en marin et en
poète. Il est, je pense, le seul écrivain français,
avec le Victor Hugo de Travailleurs de la mer, qui
ait chanté dignement ce qui, auparavant, n'avait
guère été pour nos poètes que « l'onde amère » ou
le "sein d'Amphitrite ».
Mais il serait vain de vouloir transporter sur la
scène de telles évocations, en les plaçant sous forme
de tirades ou de véhémentes apostrophes, dans la
bouche des personnages. Les adaptateurs de Pécheur
d'Islande l'ont senti. Ils ont compris également, et
je les en loue, que la meilleure manière de rendre —
par un « à peu près » convenable — la situation que
produit la lecture du roman dans ses parties des-
criptives, était de s'assurer la collaboration de
décorateurs de premier ordre. L'affaire de ceux-ci
consistait à peindre une succession de tableaux
évoquant chacun un coin de la vie du marin, tandis
que les auteurs, à chaque verre de cette lanterne
magique, feraient expliquer par les acteurs la signi-
fication des images. — Sans doute, j'exagère un peu.
Mais observez que les personnages, êtres simples,
tout d'une pièce, nous intéressent principalement
par cette dépendance où ils se sentent de la redou-
table et farouche divinité dont le grondement sert
de « basse continue » aux duos d'amour comme
aux chants funèbres. C'est ainsi que nous avons vu
défiler devant nos yeux, et pour leur plus grand ré-
gal, des toiles de maîtres absolument remarquables:
plusieurs même sont des chefs-d'oeuvre.
Donc, nous avons vu naître, au cours d'un
« pardon », l'amour du bon et silencieux Yann pour
la douce et jolie Gaud. Un bal de noces nous a montré
le même Yann; saisi d'une crise d'entêtement qu'il
ne s'explique pas lui-même, et repoussant la jeune
fille qu'il aime pourtant et dont il est aimé. Voici
149
par M. Gailhard. Quant à l'interprétation, elle est
excellente de tous points, et Mlle Mauri a trouvée dans
la Fée des neiges une de ses meilleures créations.
TIC-TAC.
II. - CHRONIQUE DRAMATIQUE
Comédie-Française. — Dimanche, Don Japhet d'Ar-
ménie; lundi, mercredi, vendredi et samedi, Un père
prodigue ; mardi et jeudi, les Demoiselles de Saint-Oyr;
jeudi (matinée), On ne badine pas avec l'amour, les
Fourberies de Scapin.
Odéon. — Dimanche, lundi (soirée d'abonnement),
mardi, mercredi, vendredi (soirée d'abonnement) et
samedi, l'Argent d'autrui; jeudi, matinée-conférence à
une heure, les Précieuses ridicules, conférence de
M. Gustave Larroumet, les Femmes savantes; jeudi soir,
l'Argent d'autrui.
Vaudeville. — Flipote, comédie en trois actes de
M. Jules Lemaître (1re représentation le mercredi
22 février 1893).
Grand-Théâtre. — Pécheur d'Islande, pièce en quatre
actes, tirée du roman de M. Pierre Loti, par
MM. Pierre Loti et Louis Tiercelin (lre représentation
le samedi 18 fév. 1893).
Flipote — le nom lui vient du Conservatoire où,
ratant son prix, elle dit un jour assez drôlement le
vers de Mme Pernelle qui ouvre la comédie de Tar-
tufe — Flipote est l'étoile actuelle du théâtre des
Folies-Plastiques. Tel est son succès, que le baron
des OEillettes s'offre à devenir, au prix qu'elle fixera,
son protecteur en titre, et que son directeur Cour-
bouzon se déclare prêt à passer par les conditions
qu'elle imposera à son rengagement. Mais Flipote est
sage, et n'a d'yeux que pour son camarade, le petit
Emile Leplucheux, — un raté s'il en fût jamais —
dont elle veut faire son mari par devant M. le maire,
et qu'elle associe, au taux de 5,000 francs, à sa for-
tune dramatique. Le baron des OEillettes attendra ;
Courbouzon prendra le lot...
Très joli — sinon très neuf : le thème fut si sou-
vent exploité ! — le premier acte de la comédie de
M. Jules Lemaître. Plus mouvementé, et plein de
piquants détails est le second, qui nous introduit
dans la loge de l'étoile, un soir de première repré-
sentation. Sera-ce un succès? On ne lésait jamais
avant, — ni même après : çà réussit, ou çà ne réus-
sit pas, voilà tout... Toujours est-il que ce brave
Leplucheux vient de se faire « emboîter » dans les
grands prix, et que, furieuse, Flipote a traité les
siffleurs dé « tas de muffes ». On voit si la soirée est
orageuse. Gomment la défaite se change-t-elle tout
à coup en victoire... pour lé petit Leplucheux qui
joue son rôle, d'imbécile avec tant de naturel, que le
public l'acclame et le rappelle avec enthousiasme?
C'est assez invraisemblable, n'est-ce pas ?
Nous assistons alors à un revirement des plus
comiques : Flipote en veut à son mari qui vient d'ob-
tenir un succès aussi imprévu ; Leplucheux en veut
à sa femme qui refuse de croire à son talent. Vous
connaissez la jalousie des comédiens : jamais elle
n'a été mieux prise sur le vif, et le : « Comme c'est
ça ! " sortait l'autre soir de toutes les bouches.
Qu'adviendra-t-il alors du ménage Leplucheux?
Monsieur acceptera les rendez-vous de Lydie Pastel,
la rivale, au théâtre, de Flipote. Celle-ci acceptera
l'hôtel que lui propose le baron des OEillettes, et
c'est ainsi, comme le dit la tante Anglochère, que
« tout rentrera dans l'ordre D : une actrice ne doit
pas se marier.
C'est ainsi que, sur le thème connu de la fatuité de
la. comédienne et de la vanité du cabotin — de la
«rosserie » de tous les deux, — M. Jules Lemaître
s' est amusé, nous amusant aussi par la même occa-
sion, à écrire une comédie spirituelle et légère dans
le goût des Scènes de la vie de théâtre de M. Abraham
Dreyfus. — Il nous semble qu'il y avait plus d'hu-
mour et d'originalité dans la Bichelte de M. Auguste
Germain...
Prenons pour ce qu'ils sont les trois actes de
M. Jules Lemaître, pleins de franche gaieté et de juste
observation, et saluons avec un vif plaisir la rentrée
de Mlle Maria Legault, retour de Russie. Le rôle de
Flipote va comme un gant à son joli talent fait de
nerfs et d'artifice. M. Galipaux a délicieusement
nuancé celui de Leplucheux. — « Je suis un acteur
de composition », dit le « raté » de M. Lemaître :
M. Galipaux a mis dans l'interprétation de ce per-
sonnage assez complexe une adresse et un tact que
nous ne saurions trop louer, et que, seul, pouvait y
mettre un véritable artiste.
Il faut encore citer Mme Marie Samary, en tante
Cardinal d'un genre assez particulier ; Mlle Luce
Colas, en enfant de la balle d'une effrayante préco-
cité, et M. Dieudonné, en baron des OEillettes, et
M. Lagrange, en directeur Courbouzon, — sans
oublier MM. Peutat et Mangin, qui ont joliment des-
siné la silhouette de l'auteur et du reporter à secré-
taire. — Si tous ceux qui s'intéressent aux « gens de
théâtre » vont voir la mordante esquisse de
M. Jules Lemaître, le Vaudeville ne désemplira pas
de sitôt.,
S'il est toujours difficile de tirer d'un roman une
bonne pièce de théâtre, combien la difficulté ne sera-
t-elle pas plus grande encore s'il s'agit d'un roman de
M.Pierre Loti, et principalement de Pêcheur d'Islande!
Quel est ici le personnage qui prime tous les autres,
conduit leur existence, est le but de leurs sentiments
d'amour ou de crainte? C'est la mer, être imper-
sonnel, sorte d'entité quasi mystique dont la puis-
sance plane sur les hommes en les faisant mouvoir à
son gré. Or, M. Loti excelle dans ces descriptions
de l'Océan qu'il aime et qu'il dépeint en marin et en
poète. Il est, je pense, le seul écrivain français,
avec le Victor Hugo de Travailleurs de la mer, qui
ait chanté dignement ce qui, auparavant, n'avait
guère été pour nos poètes que « l'onde amère » ou
le "sein d'Amphitrite ».
Mais il serait vain de vouloir transporter sur la
scène de telles évocations, en les plaçant sous forme
de tirades ou de véhémentes apostrophes, dans la
bouche des personnages. Les adaptateurs de Pécheur
d'Islande l'ont senti. Ils ont compris également, et
je les en loue, que la meilleure manière de rendre —
par un « à peu près » convenable — la situation que
produit la lecture du roman dans ses parties des-
criptives, était de s'assurer la collaboration de
décorateurs de premier ordre. L'affaire de ceux-ci
consistait à peindre une succession de tableaux
évoquant chacun un coin de la vie du marin, tandis
que les auteurs, à chaque verre de cette lanterne
magique, feraient expliquer par les acteurs la signi-
fication des images. — Sans doute, j'exagère un peu.
Mais observez que les personnages, êtres simples,
tout d'une pièce, nous intéressent principalement
par cette dépendance où ils se sentent de la redou-
table et farouche divinité dont le grondement sert
de « basse continue » aux duos d'amour comme
aux chants funèbres. C'est ainsi que nous avons vu
défiler devant nos yeux, et pour leur plus grand ré-
gal, des toiles de maîtres absolument remarquables:
plusieurs même sont des chefs-d'oeuvre.
Donc, nous avons vu naître, au cours d'un
« pardon », l'amour du bon et silencieux Yann pour
la douce et jolie Gaud. Un bal de noces nous a montré
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