Titre : Le Monde artiste : théâtre, musique, beaux-arts, littérature
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1893-03-05
Contributeur : Lemoine, Achille (1813-1895). Directeur de publication
Contributeur : Gourdon de Genouillac, Henri (1826-1898). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32818188p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 19764 Nombre total de vues : 19764
Description : 05 mars 1893 05 mars 1893
Description : 1893/03/05 (A33,N10). 1893/03/05 (A33,N10).
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5454277t
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Z-1096
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
LE MONDE ARTISTE
167
où la première femme de notre tripoteur, Madeleine
Barrois, qu'on prenait d'abord pour une simple
« invitée », vient supplier — inutilement, du reste
— la seconde femme, Mme Lucy La Faussade, de
sauver à prix d'or l'honneur du nom de son mari et
de ses enfants. Les deux rôles ont été joliment rendus
par Mmes Chassaing-Tarride et Lise Fleury. Mais nous
n'aurons jamais assez d'éloges pour M. Ghautard —
toujours sur la brèche et faisant de ci de là quantitë
de créations de diverses sortes. M. Chautard a joué
La Faussade avec une aisance, un naturel et une
distinction que nous ne saurions trop louer. M. Pau-
let nous donnait une heureuse silhouette de Mon-
tancey ; mais sous prétexte de jouer vrai, M. Dupont
parlait si bas, si bas... qu'on ne l'entendait plus,
même dans la salle Bodinier qui n'est pourtant pas
si vaste. Ce que c'est tout de même que l'influence
d'Antoine!
Les Tricoteurs constituent, à vrai dire, la seule
nouveauté de la semaine. Vient ensuite une reprise,
celle de la Boîte à Bibi, proprement " chipée » par
le directeur de Cluny au théâtre du Palais-Royal,
qui peut-être en eût quelque jour fait ses choux
gras.
Cette « boîte à Bibi » est le sobriquet donné par
les valets de la baronne de Groslaid à l'armoire où
la dame cache son Arthur, lorsque son mari rentre
sans s'être fait annoncer. Or, M. Arthur a une autre
maîtresse, Mlle Vérandah, une chanteuse de café-
concert, rageuse comme une perruche, jalouse
comme une chatte, si bien qu'il va épouser Mlle Ro-
quillon pour se tirer, du même coup, du bec et des
griffes de la cabotine, et du placard étouffant où il
séjourne, plié en quatre comme un drap de lit,
trois fois par semaine.
Mlle Vérandah est exaspérée à la nouvelle de ces
épousailles, et sa colère bleue lui suggère une ven-
geance noire. Elle sait que l'Arthur est allé replon-
ger dans la boîte, pour rompre en douceur avec la
baronne, à qui il a donné un dernier rendez-vous,
le soir même où il doit signer son contrat. Et voilà
notre infortuné jeune homme muré tout vif dans une
oubliette, comme l'amant de la Grande Bretéche, de
Balzac, comme le Guido de Par le Glaive de Riche-
pin ! La baronne apprend son enfouissement, elle
se désole, elle se désespère, elle ne veut pas la mort
de l'infidèle, et elle envoie M. Roquillon, son beau-
père, flanqué du serrurier Cassegoul, l'exhumer, s'il
est temps encore, de cet in-pace.
Cette expédition nocturne avec effraction remplit
tout un acte d'amusants tours de passe-passe et de
quiproquo. Les portes s'ouvrent, se ferment, se
se rouvrent, les serrures crient, les verrous grincent,
les chevillettes se tirent, les bobinettes choient. Il ne
manque même pas une trappe à cet appartement,
machiné comme une tabatière à surprise ; elle est
représentée par un divan qui s'ouvre sur un dedans
qui fait coffre. L'amant sorti de l'armoire est ren-
foncé dans la cheminée, Arthur est jeté dans l'in-
térieur du sofa, le serrurier se pelotonne derrière
un écran et se blottit à quatre pattes sous la table où
le mari soupe... Le travesti s'en mêle et tel person-
nage, sorti par la porte en frac noir et en en cravate
blanche, rentre par la fenêtre sous la livrée et le
chapeau galonné d'un groom.
Je ne sais plus trop, je l'avoue, comment se dé-
brouille cet imbroglio à tous crins. Des folies pa-
reilles ne se racontent pas plus que les pantomimes,
on en rit lorsqu'elles sont plaisantes, et celles-ci est
irrésistible. Elle vous emporte d'un train de galop,
dans sa farandole; ses voltiges extravagantes sont suf-
fisamment motivées, son gros comique a de la fran-
chise ; ce sera à Cluny comme autrefois au Palais-
Royal, un succès d'hilarité prolongée.
Ajoutons que, sans comparaison avec les trois
bouffons admirables : Brasseur, Gil-Pérés et Lhéritier,
qui créèrent la pièce il y a quatorze ans, MM. Lureau,
Dorgat et Véret enlèvent fort gaiement les rôles de
Cassegoul, de Roquillon, et du Baron ; que M. Le
Gallo rend plaisamment les ahurissements du trop
heureux Arthur, et que Mlles Lantelme, Azimont et
Marcilly jouent avec naturel, avec entrain, absolument
comme si elles n'étaient pas assez jolies pour se
passer de talent.
EDMOND STOULLIG.
Autres spectacles de la semaine :
Grand-Théâtre : Pêcheur d'Islande. — Vaudeville : Fli-
pote.— Gymnase : Las Amants légitimes.— Porte-Saint-
Martin : Le Bossu. — Théâtre-Lyrique : Les Contes
d'Hoffmann. — Bouffes-Parisiens : L'Enfant prodigue. —
Variétés : Le Premier mari de France. — Ambigu : Mère
et Martyre. — Palais-Royal : Le Veglione. —Nouveautés:
Champignol malgré lui. — Déjazet : Ferdinand le
Noceur. — Folies-Dramatiques : Miss Robinson. — Gaîté :
Le Talisman. — Nouveau-Théâtre : Bouton d'Or. —
Menus Plaisirs : Tararaboum Revue. — Chateau-d'Eau :
Crime d'Orcival.
Théâtres de quartier. — BATIGNOLLES : Le Savetier de
la rue Quincampoix. — MONTMARTRE : Les Cadets de la
Reine. — BELLEVILLE : Le Maître d'armes. — MONTPAR
NASSE : Le Roi s'amuse. — LES GOBELINS : Les 28 jours de
Clairette. — GRENELLE : Les Millions de l'émigré —
TIVOLI : Le Sergent Bellerose. — VOLTAIRE : Le Vieux
Caporal.— BOUFFES-DU-NORD : Jean Mayeux.
Nouveau-Cirque, représentations équestres; Folies-
Bergère, Nouveau-Théâtre, Moulin-Rouge, spectacles-
concerts.
Matinées du jeudi 2 mars 1893 :
Théâtre-Français. — Le Mariage de Victorine et Don
Japhet d'Arménie.
Odéon. — L'Acte de naissance ; conférence de M. Fran-
cisque Sarcey : Nicomède.
Nouveau-Cirque. — Paris-Clown, le Kanguroo boxeur
et les lions.
Folies-Bergère. — Matinée de gala avec la Loïe Fuller.
Matinées du dimanche 5 mars 1893.
Opéra. — Représentation populaire : la Juive.
Théâtre-Français. — Arlequin poli par l'amour, Jean
Darlot, le Monde où l'on s'amuse.
Opéra-Comique. — Mignon, le Sourd.
Odéon. — Matinée populaire à prix réduits : le Lion
amoureux, le Sourd ou l'Auberge pleine.
Grand-Théâtre. — Lysistrata.
Gymnase, Vaudeville, Variétés, Palais-Royal, Bouffes-
Parisiens, Nouveautés, Gaîté, Ambigu, Folies-Drama-
tiques, Nouveau-Théâtre, Porte Saint-Martin, Menus-
Plaisirs, Cluny, Déjazet, Château-d'Eau, Folies-Bergère,
Casino de Paris, Eldorado, Scala, Ba-Ta-Clan, Concert-
Parisien, Moulin Rouge, Cirque d'Hiver, Nouveau-Cirque,
Cirque Fernando : même spectacle que le soir.
III. — CONCERTS
Ah! cette fois, petite Ouvreuse du Cirque d'Été, je
vous prends en flagrant délit... d'erreur. Si l'on s'en
rapportait à votre dire, on m'imputerait un crime
que je n'ai point commis, et l'on croirait que je
dénigre votre patron, quand précisément je l'admire.
J'avais critiqué l'ouverture de Coriolan jouée par
M. Colonne, il y a quinze jours, mais non l'ouverture
de Coriolan jouée par M. Lamoureux, il y a huit jours.
Or vous avez reporté sur ce dernier, le blâme iro-
nique infligé au premier ; c'est ce qu'on appelle inter-
vertir l'ordre des facteurs. Le plus « carriolant » des
deux n'était donc pas celui que vous pensiez ; c'est
à la place du Châtelet et non aux Champs-Elysées
167
où la première femme de notre tripoteur, Madeleine
Barrois, qu'on prenait d'abord pour une simple
« invitée », vient supplier — inutilement, du reste
— la seconde femme, Mme Lucy La Faussade, de
sauver à prix d'or l'honneur du nom de son mari et
de ses enfants. Les deux rôles ont été joliment rendus
par Mmes Chassaing-Tarride et Lise Fleury. Mais nous
n'aurons jamais assez d'éloges pour M. Ghautard —
toujours sur la brèche et faisant de ci de là quantitë
de créations de diverses sortes. M. Chautard a joué
La Faussade avec une aisance, un naturel et une
distinction que nous ne saurions trop louer. M. Pau-
let nous donnait une heureuse silhouette de Mon-
tancey ; mais sous prétexte de jouer vrai, M. Dupont
parlait si bas, si bas... qu'on ne l'entendait plus,
même dans la salle Bodinier qui n'est pourtant pas
si vaste. Ce que c'est tout de même que l'influence
d'Antoine!
Les Tricoteurs constituent, à vrai dire, la seule
nouveauté de la semaine. Vient ensuite une reprise,
celle de la Boîte à Bibi, proprement " chipée » par
le directeur de Cluny au théâtre du Palais-Royal,
qui peut-être en eût quelque jour fait ses choux
gras.
Cette « boîte à Bibi » est le sobriquet donné par
les valets de la baronne de Groslaid à l'armoire où
la dame cache son Arthur, lorsque son mari rentre
sans s'être fait annoncer. Or, M. Arthur a une autre
maîtresse, Mlle Vérandah, une chanteuse de café-
concert, rageuse comme une perruche, jalouse
comme une chatte, si bien qu'il va épouser Mlle Ro-
quillon pour se tirer, du même coup, du bec et des
griffes de la cabotine, et du placard étouffant où il
séjourne, plié en quatre comme un drap de lit,
trois fois par semaine.
Mlle Vérandah est exaspérée à la nouvelle de ces
épousailles, et sa colère bleue lui suggère une ven-
geance noire. Elle sait que l'Arthur est allé replon-
ger dans la boîte, pour rompre en douceur avec la
baronne, à qui il a donné un dernier rendez-vous,
le soir même où il doit signer son contrat. Et voilà
notre infortuné jeune homme muré tout vif dans une
oubliette, comme l'amant de la Grande Bretéche, de
Balzac, comme le Guido de Par le Glaive de Riche-
pin ! La baronne apprend son enfouissement, elle
se désole, elle se désespère, elle ne veut pas la mort
de l'infidèle, et elle envoie M. Roquillon, son beau-
père, flanqué du serrurier Cassegoul, l'exhumer, s'il
est temps encore, de cet in-pace.
Cette expédition nocturne avec effraction remplit
tout un acte d'amusants tours de passe-passe et de
quiproquo. Les portes s'ouvrent, se ferment, se
se rouvrent, les serrures crient, les verrous grincent,
les chevillettes se tirent, les bobinettes choient. Il ne
manque même pas une trappe à cet appartement,
machiné comme une tabatière à surprise ; elle est
représentée par un divan qui s'ouvre sur un dedans
qui fait coffre. L'amant sorti de l'armoire est ren-
foncé dans la cheminée, Arthur est jeté dans l'in-
térieur du sofa, le serrurier se pelotonne derrière
un écran et se blottit à quatre pattes sous la table où
le mari soupe... Le travesti s'en mêle et tel person-
nage, sorti par la porte en frac noir et en en cravate
blanche, rentre par la fenêtre sous la livrée et le
chapeau galonné d'un groom.
Je ne sais plus trop, je l'avoue, comment se dé-
brouille cet imbroglio à tous crins. Des folies pa-
reilles ne se racontent pas plus que les pantomimes,
on en rit lorsqu'elles sont plaisantes, et celles-ci est
irrésistible. Elle vous emporte d'un train de galop,
dans sa farandole; ses voltiges extravagantes sont suf-
fisamment motivées, son gros comique a de la fran-
chise ; ce sera à Cluny comme autrefois au Palais-
Royal, un succès d'hilarité prolongée.
Ajoutons que, sans comparaison avec les trois
bouffons admirables : Brasseur, Gil-Pérés et Lhéritier,
qui créèrent la pièce il y a quatorze ans, MM. Lureau,
Dorgat et Véret enlèvent fort gaiement les rôles de
Cassegoul, de Roquillon, et du Baron ; que M. Le
Gallo rend plaisamment les ahurissements du trop
heureux Arthur, et que Mlles Lantelme, Azimont et
Marcilly jouent avec naturel, avec entrain, absolument
comme si elles n'étaient pas assez jolies pour se
passer de talent.
EDMOND STOULLIG.
Autres spectacles de la semaine :
Grand-Théâtre : Pêcheur d'Islande. — Vaudeville : Fli-
pote.— Gymnase : Las Amants légitimes.— Porte-Saint-
Martin : Le Bossu. — Théâtre-Lyrique : Les Contes
d'Hoffmann. — Bouffes-Parisiens : L'Enfant prodigue. —
Variétés : Le Premier mari de France. — Ambigu : Mère
et Martyre. — Palais-Royal : Le Veglione. —Nouveautés:
Champignol malgré lui. — Déjazet : Ferdinand le
Noceur. — Folies-Dramatiques : Miss Robinson. — Gaîté :
Le Talisman. — Nouveau-Théâtre : Bouton d'Or. —
Menus Plaisirs : Tararaboum Revue. — Chateau-d'Eau :
Crime d'Orcival.
Théâtres de quartier. — BATIGNOLLES : Le Savetier de
la rue Quincampoix. — MONTMARTRE : Les Cadets de la
Reine. — BELLEVILLE : Le Maître d'armes. — MONTPAR
NASSE : Le Roi s'amuse. — LES GOBELINS : Les 28 jours de
Clairette. — GRENELLE : Les Millions de l'émigré —
TIVOLI : Le Sergent Bellerose. — VOLTAIRE : Le Vieux
Caporal.— BOUFFES-DU-NORD : Jean Mayeux.
Nouveau-Cirque, représentations équestres; Folies-
Bergère, Nouveau-Théâtre, Moulin-Rouge, spectacles-
concerts.
Matinées du jeudi 2 mars 1893 :
Théâtre-Français. — Le Mariage de Victorine et Don
Japhet d'Arménie.
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cisque Sarcey : Nicomède.
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et les lions.
Folies-Bergère. — Matinée de gala avec la Loïe Fuller.
Matinées du dimanche 5 mars 1893.
Opéra. — Représentation populaire : la Juive.
Théâtre-Français. — Arlequin poli par l'amour, Jean
Darlot, le Monde où l'on s'amuse.
Opéra-Comique. — Mignon, le Sourd.
Odéon. — Matinée populaire à prix réduits : le Lion
amoureux, le Sourd ou l'Auberge pleine.
Grand-Théâtre. — Lysistrata.
Gymnase, Vaudeville, Variétés, Palais-Royal, Bouffes-
Parisiens, Nouveautés, Gaîté, Ambigu, Folies-Drama-
tiques, Nouveau-Théâtre, Porte Saint-Martin, Menus-
Plaisirs, Cluny, Déjazet, Château-d'Eau, Folies-Bergère,
Casino de Paris, Eldorado, Scala, Ba-Ta-Clan, Concert-
Parisien, Moulin Rouge, Cirque d'Hiver, Nouveau-Cirque,
Cirque Fernando : même spectacle que le soir.
III. — CONCERTS
Ah! cette fois, petite Ouvreuse du Cirque d'Été, je
vous prends en flagrant délit... d'erreur. Si l'on s'en
rapportait à votre dire, on m'imputerait un crime
que je n'ai point commis, et l'on croirait que je
dénigre votre patron, quand précisément je l'admire.
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M. Colonne, il y a quinze jours, mais non l'ouverture
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deux n'était donc pas celui que vous pensiez ; c'est
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