Titre : L'Indépendant des Basses-Pyrénées : paraissant les lundi, mercredi et vendredi ["puis" paraissant tous les jours excepté le dimanche "puis" journal républicain quotidien "puis" le mieux informé des journaux de la région]
Éditeur : [s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1926-09-26
Contributeur : Garet, Émile (1829-1912). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34416250c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 26 septembre 1926 26 septembre 1926
Description : 1926/09/26 (A59,N17958)-1926/09/27. 1926/09/26 (A59,N17958)-1926/09/27.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5275490r
Source : Bibliothèque patrimoniale de Pau, Ee 3218
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/04/2020
1ËÇH0S '
Il y a 59 «H
■•*'-'Üt'n*tetAÿlUs dons les villes seule-
ïîM? ne fBpjppirji est ^désormipis rqnié! j <
Ox/ aan# /«'.s campagnes mêthe.
Cette transformation de l’esprit des
campagnes est le grand fait politique, ■
le plus glorieux résultat acquis par la -
sagesse, la droiture et la patriotisme
dei républicains. » ,
j f .t (. . 1 l * * (lNnéT>ENt)ANT * i
V ’ du 27 septembre 1876.)
*
CHRDMQUETTr .r
Vous avez entendu parler de cette Li-
gue des droits du cou qui porte le nom
hippique ,d’« anti-carcan». De S hommes
d’une, certaine notoriété, et qui fussent
pour pointer leur costume avec élégance
. ont décidé d’ad fasse r un manifeste au
pays en vue de la suppression du faux-
’ cOh> et,*par là, ajje la -cravqte»
Ils ne seront plis sifivis, parce que*
t les hommes civilisés oh.1 le dégoût in$-
tmihif m fâià et dxi+dêbtaillé.
B JnmaiH le costume masculin np fut
'• plus sabté, plan simple, plus égalitaire.
■t Le complet-veston est de toutes les clas-
l ses, et chacun le, porte avec son élé-
gance'ou son*inélégance naturelle. Seu-
lement admirez le chic de ceux qui,
'* pour être à l’ai fa ou pour ne pdk payer
de blanchissage, ne portent pas de faux-
col! Otr encore, admirez ceux (mi ayant
un faiix " vate l
* Que le col dur soit une absurdité et
une gêne quand il fait chaud, c’est évi-
c dent. Aussi (v-1-on inventé le col mou
et la: cravate molle. Mais je. défie le
] plus, élégapt promeneur de la place
>• Royale de briller sans col et sans cra-
vaté ou même avec le puéril décolletage
qute ies quinquagénaires horribles d’oin
Ire-Rhin ont mis à la mode sur nos
plages.
K: An fond, je crois que les ligueurs de
V« anti-carcan » ne tiennent pas du tout
^ A la mode hideuse des cous nus trop
gros où des trop maigres, ridés comme
des cous de canard. Seulement il ont
voulu-donntr une leçon aux femmes.
— Ah ! mesdames, vous ne tenez pas
’ compte de nos goûts, vous coupez vos
boucles ?charmantes et 'la parure mer-
veilleuse de vos cheveux, vous montrez
* vos jambes à tous les passants, vous
. vous plaisez à payer plus cher les plus
, petites robes et les plus petits souliers,
‘ vous fumez à l’excès et prenez le tabac
dur et vulgaire des sapeurs... Eh bien,
* nous aussi nous allons en faire à notre
tète: Nous serons négligés et hideux :
pfuS de faux-col, plus de cravate !
"Et les ligueurs espèrent peut-être
qu’une transaction surviendra, les fil-
* tes d’Eve n’aimant plus guère les pom-
mes d’Adam.
j BYZANTIN!.
***
.. Ce grand armateur espagnol avait
juré de faire une belle action si le
, navire qu’il attendait rentrait au
port.
■ - Lorsque, après quelques jours i
d’attente, le navire arriva, l’arrna-
tetir alla à la' direction du Mdnt-
*les gens quî avaient engagé mie rna-
■ chine à coudre, un. matelas, des
meubles usuels, enfin de ces objets
, qui prouvent, que l’un a eu un be-
, soin d’argent impérieux.
Et, ayant fait le total des frais,
il remit un chèque à la direction,
dégageant ainsi tous ces objets au
bénéfice de leurs propriétaires.
Le lendemain et les jours suivants
■ ce fut un défilé de tous ceivx qui ve-
naient chercher les objets de p*e-
. infère nécessité qu’ils avaient été
^ obligés d’engager.
, Cette façon originale de faire la
ch&rité-méritait d’être connue. Elle
peut servir d’exemple.
On lit dans un journal d’Alsace :
i « Le monsieur vêtu dUm complet
i touriste gris-vert, qui, rencontrant
sup le quai de Finkmatt une demoi-
selle à bicyclette, s’est arrêté pour
la regarder, est prié de lui donner
de ses nouvelles, car ',1 a produit sur
elle une p rot on de impression... Ecri-
re a... » ",
Çn, c’est le coup de foudre.
: iiiifniiiiiniifiinifiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiHiiiiiiiiiiifttffititfH
U taxe civique
gérait supprimée
On prête à M. Poincaré* rititen-
tion de supprimer la taxi* civique
dé 40 lranes votée par la Chambre
dans la loi du i avril 19#!, c’est-à-
dire‘hv'ant la constitution du eabi
1 net actuel.
*Mïtt assis, cet impôt' a provoqué
«beaucoup de réclamations. Ses in-
convénients sautent aux yeux, car
la taxé frappe les n ouvres gens. M.
Poiti'caré' n’hésiterart, pas à procé-
der à sa suppression dans le bud-
get do 1927.
;VV 'U ' '*»
U KHI MK
taÈttl irimn-W
• .y.r O.-.,: ‘ '■ •-«; •
•I'ck qirnirt"niffiisfros/’cbVi'StittôaVtf
le conseil économique chargé par <
le gouvernement, délûborer un pro- <
gramme d’organisation de la pro-
duction nationale st de Eoutidlage i
économique; se réuniront lundi ma-
tin ati ministère de l’Intérieur.
r- »■■■«£ <
H. Franklin-Bouillon
TBfrnantitfat auMna-gt-Ols é i
u l7He,'éïëàtftnj‘ a\ï conseil général s
pnur le canton de Maisons-Laffitte, c
en remplacement de AL Rein, dé- !i
eédé, aura lieu dimanche 3 octo- i
brë, : t j,
M. Ërankiîh-Rrfiiiiron, député dë
Seine-^t-Oi^e, est candidat à cette Jî
élection*. d
i • 1 * t >*, .1. :AEk
"" ^ : x_ii ”
à la.manlteUih?. B. H 1. js
> j -j . g'
, t-ES PROJETS DU RICHE »
AWOLAIS ENFANT b
Hn.yfc1AEîi.r’* ricl* biéhage anglais v
sa .rt euf Mit Va se eons'itfPei* u»» pe- 1 i
tite famille. Il va de«aa«tler a«x six
'prtncipaux- pays membres de la S. ». p
N. de lui confier un orphelin. p
tCes enfants adoptff.1-qui ,tous, sc- d,
ront âgés de un à - six ans, recevront di
une éducation identique et seront éle- ci
vés au sqin même de cette famille, dont
ils porteront le nom plus lard.: Les êt
hénêftcjajres, de ce geste généreux se- tr
ront un garçon anglais, une fille fran- ni
çaise et quatre enfants italien, etpa- ><2
fnol, polonais et suédois. re
NoSavellès TXfiAEt M‘HëfitëtiSMs 4'
' w • ? iltfi TT*. m -T^WBWl ■■ ■
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Le Temps *
f ,#v * f li
) heures (irouvert)..,.|*.U'.', H- 13°0
Midi (couvert) .L. f.':. K... . + 20°1
I heures (couvert) + 22°5 i
Maxima ..s + 23«6^
Minima + 1G*2 i
Baroinètre : 741 m/m (en baisse).
HàtiteurSaW Gaves
t BiUiretm du jB^ptemiire 102«.
Lave de Pau Tlmnt de Jurançon),
ftltffidë (TirOMe l’ëéttél’fè'”: 171^sî9 ;
tmiitenr'cfinéttt^ sV-l’échclle : Ifij
(lave* d’Ossali '(Pont de Béost) :
altttmiry
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le plus glorieux résultat acquis par la -
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V ’ du 27 septembre 1876.)
*
CHRDMQUETTr .r
Vous avez entendu parler de cette Li-
gue des droits du cou qui porte le nom
hippique ,d’« anti-carcan». De S hommes
d’une, certaine notoriété, et qui fussent
pour pointer leur costume avec élégance
. ont décidé d’ad fasse r un manifeste au
pays en vue de la suppression du faux-
’ cOh> et,*par là, ajje la -cravqte»
Ils ne seront plis sifivis, parce que*
t les hommes civilisés oh.1 le dégoût in$-
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B JnmaiH le costume masculin np fut
'• plus sabté, plan simple, plus égalitaire.
■t Le complet-veston est de toutes les clas-
l ses, et chacun le, porte avec son élé-
gance'ou son*inélégance naturelle. Seu-
lement admirez le chic de ceux qui,
'* pour être à l’ai fa ou pour ne pdk payer
de blanchissage, ne portent pas de faux-
col! Otr encore, admirez ceux (mi ayant
un faiix
* Que le col dur soit une absurdité et
une gêne quand il fait chaud, c’est évi-
c dent. Aussi (v-1-on inventé le col mou
et la: cravate molle. Mais je. défie le
] plus, élégapt promeneur de la place
>• Royale de briller sans col et sans cra-
vaté ou même avec le puéril décolletage
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plages.
K: An fond, je crois que les ligueurs de
V« anti-carcan » ne tiennent pas du tout
^ A la mode hideuse des cous nus trop
gros où des trop maigres, ridés comme
des cous de canard. Seulement il ont
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— Ah ! mesdames, vous ne tenez pas
’ compte de nos goûts, vous coupez vos
boucles ?charmantes et 'la parure mer-
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* vos jambes à tous les passants, vous
. vous plaisez à payer plus cher les plus
, petites robes et les plus petits souliers,
‘ vous fumez à l’excès et prenez le tabac
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* nous aussi nous allons en faire à notre
tète: Nous serons négligés et hideux :
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Le lendemain et les jours suivants
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ront âgés de un à - six ans, recevront di
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vés au sqin même de cette famille, dont
ils porteront le nom plus lard.: Les êt
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altttmiry
‘J,’é«ïlie.lie•: 485*n 01 ;
hautèur coht«ttUiée';'ù^iÉii)^lè 20
hauteur constatée à l’échelle : 0™. 20.
(TaVet de • Afauèéotp /fi^V^odlos), alth
tutle^ (t« 0 -de Téçmdle : ; 118m 41 i
hauteur constatée ’a l’échele : 0,Jt 20.
Pharmacies de service
Demain dimanche ,26 septembre,
le service des pharmacies sera assuré
par :
M. BRlNOiV, place Gramonl.
M. MENNECHET. rue Léon-Daran.
Al’Ecaleprimairesupériaure degarçans
Inscription d’ëlèue» hotivêiiux* > '
Les inscripüons des élèves nou-
veaux serour reçues à r Ecole pnë Je
Directeur, d# lundi 27 au jeudi 30
septembre inclus, de huit heures à
midi.
Les candidats devront produire
leur bulletin do naissance o|u* le
livret de famille de leurs parents,
le certificat- d’études prémaires élé-
mentaires ’ct un* büWethr de revacci-
nât ion:
, I^D* rentrée aura lieu île vandradj
Pr octobre, à 8 heures.
—
Contre la Vie Chère :
• "Vf |
Le Coihité Econdmîquë -' hépaiîfé^
mental a tenu, hier après-midi, s$
deuxième réunion. M1.' le Préfet M>
reur la présidait. Après r.adopitiou*
d.u procès-verbal de ‘là précédéptè
séance, les délégués de la commis-
sion d’études ont fourni une très ihi--
téressante documentation sur le
prix de revient de diverses denrées
dé consommation courante. Afin^dt
déterminer, d’une faéon précise^
l’énergique campagne qui s’impdsei
divers autres rense'ighements sont
indispensables; La commission d’éî-
tildes va compléter son dossier dfns
le plus bref délai. Après un échangé
de vues entre les membres présent^
la séance a' été levée; Le coihité'
laisse à Ai. le Préfet-le soin dé* le
convoquer dès q;ne la conunisslort
d’études aura parachevé ’sôn eiumê-
te!«e qui 11e-saurait tarder. Par fôiï
excellente méthode.de travail et le|
résolutions *ep,visa$fées,:- i\action IdU
comité économique départementai
s’avère 1 iutelligentë’et efficace, D ’
L7^T~—
A l’Ecole Normale d'iistituteiw?
dt teicir » P;
' — — 1 ; , »
La rentrée .des classes aura lieu
lé 39 septembre. Les élèves devrbnL
être rentrés à l’Ecole à 18 heurëâ*
au plus tardw t ’
A L’OFFICIEL
LES TR AM W AY8 DE R AU
Le Journal '(Officiel poblir le décKt
par lequel est sqmiuvé- l’avenant iuteiv
venu le 29 juillet 19243, neutre le maire
de Pau. au nom de, ta ville, et la so-
ciété béarnaise des trâmways urbains
de,Pan. en vue dé modifier temporaire-
ment les tarifs eh vigueur sur le réseau
de cette société.
MINISTERE DE LA GUERRE
,r (ArtlUotio
Liste, par ordre de njérÛe, dès candi-
dats ayant subi avec succès les
épreuves du brèvet de préparation'
militaire supérieure en 1926.
A. -— Jeunes gens ayant obtenu le dfa
pleine civil exigé et devant être in-
corporés eu novembre, 1926, i
Ca nonne (Kaymond-Jpseph), école
centrale des arts et manufactures, re-
crutement de Bayonne.
Lagranlet (Jeun-Joseph-René), fa- .
eu lié des sciences de Bordeaux, recru- ?
tdincnt de Pau. '
B. — Jeunes gens ayant le diplôme et 5
le brevet et incorporables en mai 1927 j
(ou ultérieurement). i
Pointeau (Louis),, faculté des scion- (
ces de Bordeaux, recrutement de Pau. <
Loustau (Albert-Jacques), institut in-
dustriel du. Nord, recrutement de Pau. ;
C/Hrutchét (Arnaud), institut électro-
Iecbnique de Toulouse, recrutement de
Baycmpe. “
iü-ticgaray (Reqé-]vmile-Anto.ine)„, 1
L-eple nationale d’arts et métiers d’An-
fers, recrutement de Bayonne.
SITUATION DU* MARCHE
DU TRAVAIL
ôl plnCen#n't*s‘;Vde4vlctiCé *10 locaux
.1 homme, 9 fksnmes) ? 41*interlocaux '
32 bonimes, 9 femmes).
2(Hi demandes d’emploi, 103 offres '
l’ont pu être satisfaites. ^
Cffiürâate et IM "
% m* ^
cJkiÈs fl
7 IN VALIDITE,^**- Le* Méire ^rappelle, ji
IUX pensiomrés 4e- la ,giiërrc"bénëflkiai'**
es -d une i>eiwitfmd’lîvèalMlfé, égale oui 0
uperiePTe à 25 %,'que 1» validité des v
artes dont ils sont porfeurs est pro- h
ogee jusqu’au 3P décentré 1926 aliu^ M
e faciliter les o,péraWons|de renouvel-
smeait qui vont s’efféotuér, au cours de
'annéj? 1926. ■ je
Les cartfs seront renolivélees en sél ’b
H sai^L sur J’ordrfiJjlpbabfcfckiHe du nom' ^
0 s ‘‘ben ctfieiaire f fk* preiimééf t rMtfeatiù ' i
étéaifecté au) lofctre» A le second ,
ux lettres G à b; le trm^feine (Ol
res M a R; le ^wa^ièmî» sera affecté
ux lettres S à 2. .
lies demandés dé rçnouùcll&mcnt dés
artes- présentées ëii ■ dehors de l’une
es catégories ci-deksu^ me pourroirt 1
tre aiM’eptées par? le Cofceé dépflrte-
WituL. à ) excë^lo^, dételles .adues-* d<
ées par des .pen si puisés c^i auf (wif su-* h(
1 ,S?-e 4e leur .taux d’in- qi
ahdïtè ou qiii n’àitt*;enf jamais sol- té
tsité le bénéfice de édité eai'te. sa
t.es nouvelles cartel sèronf valables cfi
our une période de deux années. Cette OT
eriode mita nom* pélltt dé détwirt la
«te de delivranqé et menti an expresse le
e sa duree sera faife a|| recto de la (É
■ i iT jv
Les bénéficiai^, dont Ld, carte doit te
|*é renouvelée au cours du' quarrlème Ja
iinestre .1928 ipépHnt, jtlès mainte- ch
5»t. se mettre eh ibstanite à Ig Malrte J’e
* bureau) où leur seronLfournis tous pth
nselgnemefitB sujet. [}^
l
TMimr
Dans le journal Kl Dèbate, M. ifa-
tnori de Olascoaga conseille là:p]a-
tion.ee pt la flerto
sée. Pourquoi l’Espagne s’indignè-
rait-elle des incidents de Genève *■?
Elle 11’a qu’à attendre le rocotnfrien*
cornent de -la tragédie de 1914.
Pourquoi! dette sinistre prédic-
tion «?
M. Ramon de Olascooga-, qüi uie
parle certes pas au nom de tous les
Espagnols, nous explicite ce que
l’Espagne, ^ peutre de ‘ 1914 à 1918,
espère d’une guerre nouvelle v
u Avec notye sptcnd;id&‘ iéolernent*
dit-il, et notre fructueuse neutralité
nous gagnerons beaucoup plus
qu’en jouant le rôle des satelMes-
des Etats actü'elleinent puissants
dans la S. D'. N. »
! L’écrivain du Débat e se désinté-
resse du droit, fmais non du profit.
Pesetas, d’abord. ' , f*
UN PALOIS. -
La rtfernw ÉMMH
■ ■ -4* .■ -’lrwAElAEi.n ',ïj)ÿrtÿ!(?X,
A la Préfecture des Bassas-Fyréaées
Le éourval officiel publie le,décret
proposé par M. Albert Sarraùt, mi-
nistre de rintérieur, à l’approba-
tion du président de la Répjubliquei
par lequel des sous-préfets; et secré-
taires généraux* sont mis à la dispo-
sition des préfets ütins les condi-
tions fixées par l’article 3 du décret
du 10 septembre 1926, avons publié en son temps.
C’est ainsi'que A1M. Rozaru, se-
crétaire général de 2e classe ; Porte*
sous-préfet de 3e classe) ancien sous-
préfet de Afnwléoîb ; Daguerre, sous-
préfet de 3fet ■’d’Orthèz, sont rattachés à la
préfecture des Basses-Pyrénées.
, -A* -
Le Conseil de Préleeture Inlerpépartemenlei
Il est par le même.^décret consti-
tué de la manière suivante :
Président : M. Subra, conseiller
de préfecture des Bàsâes-Pyrénées,
dont nous avons annoncé hier.
•MAI.* Lécrivain, bouvière, conseil-
lers de préfecture des Basses-Pyré-
néeS ; Duplan,. Goureau, conseiilers
dé préfecture des Hautes-Pyrénéés ;
Capperon., conseiller .dei préfecture
du Gers, sont rattachés au nouveau
conseil.
Conseillers : A1M. Tixerant,-
conseiller de préfecture des Landes;
Castes, conseiller de prélecture du
Gers ; Laeau-Baraqué, conseiller
de préfecture dé* lp Corrèze ; Sçvct,
conseiller de préfecture de la DTô-
me.
Lestais de la Fte«t|É
LE ClRCUy iSÜ WLLAÏÏ^H
— Dans Voffre allemande, il y a,
me dit cet homme, quelque cfiose
que je ne comprends pas bien : où
prend-eile l'argent ?
— Elle le prend, Monsieur, où il
est, c'est-à-dire aux Etats-Unis. T<\ut
ce qu'a payé jusqu'à présent l'Alle-
magne viept d,'outre-mer ; ce sont
des dollars Irahsmiiés en rnarks-ot.
+- Alo rs, si a priés avoir reçu ces
marks-or, nous: Ici transformons en
francs pour payer les, Etats-Unis,
les Américains retrouveront les dol-
lars qu'ifs ont prêtés aux Alle-
mands ? (Test, un circuit ?
— Exactement, Monsieur : comme
le circuit des routes pavées ; aussi
dur : le circuit des dettes pçyées.
— Et quel, avantage trouve l'oncle
Sam. à faire ainsi rouler son ar-
gent p
— Le dollar qui roule n'est pas
comme la pierre ; il amasse des
sous sans se faire mousse; il grossit
à vue d'oeil ; d'abord rond comme
une pièce de cent sons, puis large
comme une galétlé, te voici grand-
comme une meule. La meule tourne
doucement sur l'Europe, le mouve.
ment va crescendo, et nous en sen-
tons le mids. L'oncle Sam tient les
leux' bouts de la chaîne, dorée. Il
regarde, souriant, ses dollars s'en-
rôler. II ressemble- mt presiidigita-
le.ur qui vous lance un louis': le
'ouis ne retombe jam/ris, mais il le
Cueille chaque fois au bord de son
duipcau.
(i— Serions-nous donc dupes d'une
llusion, d'une parade de foire ?
•ffe/âxy Monsieur, dans circuit,
’àl dit Victor Hugo, U y a ci renie...
\t meme il y a cuits;.,
S’-F.
7-+-
Un COmBNUffllBt ilKMÜB
Ml élelnt p»r UB pflnpUr
L apparlehicnt de ItfLlL:. est situé
[4, rue d’Etigny. Il y a, dans cet
ppartem'enf, une chambre dilë •
hamliré des débarras. CeS débarras
ht fifti" par côfnprendre qu’ils f
faieht terriblernént embarrassants et ^
^ 0111 cherché le moyen de dispâraî A
re; Tout, simplement hier soi* ils jj
nt pris feu, sans songer qu’ils pou- d
aient communiquer leur flamme à
1 chambre et à la maison tout en-
ère.
M. B... a pris un seau d’eau, les
icatqjres ont pris des seaux d’eau,
uis ëst arrive un pompier. „
Al°r£, les pauvres débarras ont î
m&ncé 'à*Tëür^Më, de disparaître
i lç’feu s’est éteint, 1J
* »T - I * *
Al Bosqugtayiat T g
La .molinée récréative,'Wui hura lieu ' ,
amain dimiiifhe 26 septembre à 14 e<
Bures 30 dans l’enceinte de l’école Bos- '
:iet, sera certainement des plus gaû- r
n’a été négligé-pou* doimcr „
rtisfactmo aux nnirdibeaK, spectateurs * 1
u vlendront se délecter sous tes frais
uurages' dfe cet enipiâcënieht idéal. , A,
U prit dtenteée est fiîfé à 2 ff. pour Ü<
s 'peasmmee étrange*»* atr Comité. cc
«teée par 1A pprte de la Tuai^haijâa-
iLesi .mèrt*b1rcs 4«,ét jfè
lir fabtillc entreront' gratuitement par Li
iljorte d® boulevard BaHbfchêgre. Ites iP<
aises et bamjs sfroljt iastftliqs ncelnte de 1‘érole. Pour toüs, indls- .
uïtement, tes chaises seront louées 1
tue* les baltes 0,50 cetttlmei. 1 IG
Nous nofs'm'nS'sliiPécho, il y ;
a quelques jours d’un bruit qui avait 1
coUrü lavée persistance et( d^lir^s le-' *
quel la musique du, 18e R. I. aurait ,
fTtmtSé’ Ph’Ü Jîte BâVÔriHe.f ]
bien éjé quesBofL.de ce départ ; mais I
dés protestations se soht' élevées qtji
ortt eti pèlih’ rësiiltat* d’ém^échër
que la mesure' 'MIS 1 prise. Nous nous 1
en réjouissons et tous Içs Palois avëc
nëiis. " ’ ■; 1
Voici d’ailleurs la note que nous
communique la mairie :
:Lfs^eoncç]Hs. pwltfic* ,'&c jp mu- '
sique du 18e Régiment d'infanterie
reprendront le lufiili 27 -.dt courant,
et auront lieu sur la place Royale,
jusqu'à nouvel avis; lé Mndpysâfr
dé 20 h. 45 à ai h. 45
D autre part nous,, croyons pou-
voir affirmer que d’importantes mo-
icafjdation.s subviendraient dans * Id
composition de l’orchestre du Palais
d Hiver. Nous nfe saurions trop fé-
liciter la Direction du Palais de ce
qu’elle fait à ce propos!
CHBMtN PniSRRT
"VK'f
si«"iiii
dédiée‘aÉ'cWfeifrfîBlo 1:
VaUfre ■■ Màaiimè, m ’ éhduffârâ
écrasait à Ridart üti pauvre chien;
et il sepropriétaire âfc èhien vint réclamér
vengeance auprès * des gendarmes ;
le chef lui répondît :
» Monsieur, je plains votre infortune,
niais je ne puis bous donner satisfac-
tion, puisque vous n’avez pas le nu-
méro de.la voiture dont le conducteur
a lui votre .ami;, en outrer je vous prfa
défis qile si obus maintenez votre
plainte, je me verrai forcé de vous
dresser contravention.
r— Pourqùoii? ,
7-1 Parce :aùc vous avez laissé voire
chieh circuler sur la voie publique, sans
laisse, ni muselière et que ce sont là
deux délits licitement caractérisés.
Le propriétaire (ju chien 6’cil
alla, mais le gëtimrihc rëfèchil
qu'il fallait une shntlion, car il
av&it VdHie juste.'‘li ? arrive trop
souvent qu'un individu paie pour ta
collectivité. Cetté fois, ce fut Ift col-
lectivité qui paya pour Vindividu,
ainsi qu'on va de voir. Le gendar-
me se posta au sommet de là côte
■dé Ridart,- gueitàM toutes 'les voi-
tures qyi r eu fraient à Biarritz, et
il arrêta; toutes lek càmimnettês ;
vous u'ignorez pas qiic le dimanche
■ les Camionnettes sc muent en àiitos
de petit tourisme le possesseur
Hl'mri. de c eh bchitütes y installe ü£ s
chaises dç'•pqiUiç- afin, d'y promener
'•Sa. fnniüM H v-efaf charmant. *La
camionnette, Vest le torpédo du
petit-Commerçant.
v Lé gendarme sifflait, et la torpé-
do improvisée s'arrêtait : « Avez-
vous la carte verte ? >» disait le re-
présentant de j'autorité au chauf-
feur nui se cjrdy ail’ bien an. régie
avec l'aulorité.
— J’ai ma Carte grise et mon rem
des contributions.
• Ça ne-suffit- jiasl doits faut en
outre une cftrfa verte, qui vous autorise
a promener vos palettisée dimanche;
sinon, vous êtes en contravention et
! Etat va vous réclamer six pour cent
du prix d’achat de votre voiture.
— Je l’ai payée quinze billets; ça va
donc me coûter 900 francs de plus !
— ‘Vous l’aVet dit, ajouter aussi les
frais de contravention, jugement, signi-
fication, pour .arrondir lu somme. ‘
-— MAIS j’ignorais quHt fallût une
carte verte ! #
— Nul n’est censé ignorer la loi,
— Et de quand doter cette loi ?
— D'avril dernier. Elle a parti à T Of-
ficiel.
— Jè&t-ce que je lis fOfficiet ?
— TT est pourtant une bonne lecture!
Sur dix propriétaires {le camion-
nettes, un seul possédait la fameuse
carte. Donc t'Etah a gdgur. 9.009/r.
mi coup. Calculez ce que ça peut lui ;
rapporter dans toute fies France .
Mais trouvez-vous le procédé- très -
loyal ? Et jfiA peut-on transporter
(tés gens vivants dans le camion
qui emporte durant la semaine des
cochons morJ^s ?
ISii) 1
15 V» RÔOUOTION t 1
! Jusqu’au 30/ Septembre b
; BERLITZ; 22, Rne Ifetréctot fiel.
^BIHURBA I
Le Oorrodtirs de Chanté
A la liste des membres' du Jury p
lue nous avons publiée hier il con- c
;ient d’ajouter les noms de Mme (
>atet - Jetiotte, professeur do chant, k
- l’Ecole de musique de Pau, et ^
é’Af. Vaguet, le célèbre baryton
e l’Opéra.
* ^ C
Eta^Civil A
Naissances, -b André Marie Claude
1s de Thomas Pierre Juin, indus- A
del, et de MAicello Pauletté Alfiric
tèhriette Piejrri^eatfrs. pr.
Publientiim. i-—Jufcn Pedfo Vic-
w CaiTüclMî. commerçant, et Jeanne
orrfâs, dijfclÿldgranhd. , ' ’ '
: ^ ^piiÿàt/charpehtlèi 4 ’sà
i CàMieiiiié Lajihdù 1, cuisinière. cU
Mariages,. AhiOnio RomuaWd ^
asabon, maçon, et Ahtria Repaediox
mi, s. pr. , ' ,
Emile Louis Jean Gaulé, employé
Î commerce, et Juliette Parafait,
mttirière.
Honoré Pierre Costém'ate, cîiauf- t
ur, et Baeil^ne Adèle Montori, cm-
oyêe. ' -u j
Décès. — Henri Léon Mespié-Du- rpo
ur, cultivateur; né à Boeil-Bezing,. du
***** i et
• r: ; ;:f ;4 ; . ; r . ,. .
«S» i^àiËa'Hilitf
Ce Air JflfedliWs septeîfilSIe, à
?1 heures, au Paîmarium, grand
îpeefcàcte 1 dtjvèMfÉaRi Wilfittm*‘Fox*i
présentera L*Êntif ‘ de là Vie * »f
grand, drame hors série. j
«éfhâNtti|lit»WI*»ibdocuinentaire. e
cflimaîïWwi,(^eptembi-e, à 17 h.,
ail ' Patmitmmv Grand' Dancing-
Jazz-Boüle. ' ‘
Éh soirée, grand spectacle de ci-
néma. Changement de programme.
Prddwe^on-iyità^réiphJTîfiiAlhPiillina
Lecouvreur », drame, hors série.
UBBSSSSSlSS&ItTiST^
•»«*(»[ doramen-
taire.. . . .
Pendant les entractes éf après le
spectacle, Dàneingfjazz
ÀLWH. zé;
Tournée Ch. BARET : « LES NOU-
VEAUX MESSIEURS. tJn des plus
'gra4ids**suc£ès de ljal^saisèh.^■-? * -J
" THEATRE SAINT-LOUJS
A 20 h. 90.
Tournée A. LEVY : «-LE ROMAN
D'UN 'BUltEvR.^i^ce grand spec-
tacle. 16 artistes ; 6 danseuses ; 8
décors. Le Gliampion Bob Seanlon
qui joue et boxe dansi le: roman'
d’un* boxeur. lies Clack-Withs, les
célébrés danseurs de l’Empire.
Rïiprésentation unique;
: Location ouverte au Théâtre St-
Louis. ;
. « AU REVOIR ET MERCI » au
CASINO'PALA$E. — Une intrigue
des.* plus divertissantes, des situa-*
tfoïts»* bfenv parisiennes, des décors
ultra modernes, une action ronde-
ment menée, des artistes « très à la'
page» telles'sont les carnetéristiqués
de « AU REVOIR ET MERCI » un
filin original et qui s’évade des
sentiers .battus.* Nous vofcn Aàv^o le
8e* épisode de « JEAN CHOUAN », à
l’épilogue dé cette belle et émouvan-
te 1' reéonSt itution^- hlstort^dë ’ 'dont
chaque' tablèau est vraiment remar-
quable! Et nous pouvons citer : le
combat, décisif , des blancs et des
bleus, le châtiment de la citoyenne
Fleurus, la mort dramatique dë Jean
Clibuan et de Afdouiu, les fran-
çaçilles émouvantes de Jacques et de
Marie-Glaire, enfin l’entente suprê-
me dés soldats de France. Au début
un curieux documentaire sur les
peuplades sahariennes et les actua-
lités. Trois dernières, ce soir same-
di, demain diïnanche, en matinée
et soirée.
Jeudi 30 septembre
(en mathtéé)
RÉOUVERTURE
* ■ ‘“•oiss.r*
aveèr 5- f -
LesMisfift ARLES
CASINO PÂLÂfeÈ. — Arardi 28
septeriibre, giamr aalà d’opérette
niodeVné; « PAC'sUflTLA BOUCMÈ)]
Lotatlbn duvérte Lundi' io heures,
* ■■■ ■ n <»:■ '■ i;,;# ,v; s.,-
Concerts ^ pufelics
PltOGRAMatÉ;
DU SAMEDI 25 SEPTEMBRE
Place. Royale, 20 h. 45
avec, le copcours
de M! STÂLFOBT, baryton,
et de la LYRE PALOISE
L Strasbourg (Andriéu).
i GW’frtuivTte Dromethée (Beethoven).
3. IMHépienbe (Bteet),
i. Pasiorate.’
lit InlermezjMt;
lift' Menuet.; i».
iv! Farandole.
4. La coupe du Roi de Tliulé (Diaz).
M. Staliforti >
5. Riaolelto (Vèrdî-Tavàn).
6. Air béarnais (Mesplé-L-escazes).
/. Faust, choeur des soldats (Gounod).
La Lyre Paloise.
"■ .■ •
PROGRAMME
DU DIMANCHE 26 SEPTEMBRE
Parc Beaumont, 15 h. 45.
I. C’est la fête du Muguet (Vercolier).
1. Les clématites (Cairanne). '
J. L’Enfant prodigue (Auher-Mouton).
4. Ballet Egyptien (Luigmi),
Lucie de Lammernïoor (Donizelli).
Plùce Royale, 17 h. 15.
L Cincinnati (Benoît).
2. Gage d’amour (Bertrand).
Ü. Mmitana, ouverture (Wallace).
4. Une. journée à Capri (Mfdessi).
5. Hérodiade (Massenel-Tavau).
6. Une matinée chez les Ilàntietons
(Mercier).
•*^fe
Place Royale, 20 h. 45.
L Marche du 20" siècle (Simon).
2. Nuits larisiehnes (Scassola).
3. Ainina. (Linche).
i. Les joyeuses commères de XVinsdor
(Nieolaï)'.
5. La Maladetta (Vidal). ,, _
I. Danse Pyrénéenne * ' ,
JJ. Menuet.
III. Pas. des chasseurs.
IV. Mazurkit;
V. Adagio,
VI. Valse.
i. Faust (Goùnod-Tavan).
■BHÜHMMHMHVMIK
POURQUOI;.! !
ri *•
Allez-voiîë" rë|ulièrein.ent et de
référence.: . . T .
hez : HEKA1ÈS, rué Algréchal-Foch '
à •Pair ; ' i
hez : HERAIÈS, à Biarritz,
Pour choisir la plus belle ma-
roquinerie.... i
hez : GAfeŸ, rue Afaréchal-Foch, 1
Pour avoir une Robe dernier 11
cri.... 4
L’HERAIINE, rue du Lycée,
Poùr acheter une Fourrure en
tèlaté .confiateee.... .. J
l’AGENtlS HAVAS,' rue des Cor- c
dëliefs, ' ■' 1 • d
iwur demander un renseigne- J
mfint, _ faire de la publicité, *s
ou admirer les photos d’ac- f
. tuéHté. lt:
Parce que vems-étes sûrs d’y être
liisfaits... Parce que vous y-voyez
M#*.. -Mafe vous y; voyez clair.,
ircp que J’InstaHatidn d’Eclaira- Ci
i .Electrique, est fàite' par q
ELECTRO-R^DIO DU BEARN «
... G GRE^ALLIERi c]
4, rue Alai^çhal-Foqh, PAU
* él
Comtek 14J
Le>0*f|ïlté»sar^a«i«e ‘if9)burf damai» „
manclfe, à. 21 heures, une Fête
piulaire au quarter* de la Croix- Se
-Prince, Humiliations, orchestre d*
Jazz. - pt
1 ^■———mmm i II —*—n ü i i un, ■ tenu ■ m ■■ ■ ■ n i «
4Departement
TiiiniiiiurjfeHniiiiiiiiiimmiiiiiinjfttfniiimiimiimiiiiiijiitiffHiiiiiiiHMtjijujijîjüiiuiitFiiiuiiimimin/H)
©LORGMN
Dans ose lettre adressée^ an Maire
d Jloron, Mt. Louis Bsrthou dédire
QUÉ la ré iolution du gouveroement
ait* irrévocable
Sollicité par upe. délibération de -
la municipalité d’Oloron-Ste-Màtie,
de surseoir à l’ex'éciilron du décret
qui supprime* ce trîbünal. AL Lbuis
Barthou*, garde des sèeaux, minis-
tre de la justice, a répondu par la
lettre suivante :
Mon cher maire,
J’ai qiesé tous les ternies de la déli-
■ Itération du conseil municipal d’OIoron
> dans la réciprocité xles sentiments af-
ï fcctiicnx qui l’ont inspirée. Aucune des
raisons qu’elle fait valoir et aucun (les
souvenirs qu’elle évoque ne peuvent me
laisser indifférent. J’en ai été ému,
. rndis- le< principe dit décret et les réso-
lutig,)!«* irrévocable# dp gouverne me#!
: ne me permettent pas de- consentir au
1 sursis que.vous me demandez avec ■ tant
i de, force persuasive. Je sais tout ce que
r je dois a nia vftle naiàle ; ma qrati-
g tilde et mon dévouement potir cite ne
cesseront qu’avec moi, mats appelé par
un grand Français à* faire partit dil
gouvernement dc>la France, je sets mon
- pays dans un poste difficile qui m’im-
pose la rigueur d’une attitude impar-
ttdli,
t* » Avant de procéder à la rèorganisa-
3 tion judiciaire, j’avais envisagé et ac-
-* cépté. toutes■ les conséquences de cet
s acte, Je > ne puis pas me résigner à
_ croire qu’il brisera des liens purlicu-
£ lièrement chers, mais, si par impossi-
ble il en était autrement, j’aurais la
R fierté de fermer, après trente-sept ans,
1 le livre de ma vie politique en sacri-
i fiant ma situation personnelle aux né-
e cessités impérieuses d!un devoir pu-
k blic.
Croyez, mon cher Maire, à mes sen-
! timènts cordialement dévoués.
. Signé : Louis BARTHOU.
e ***
* La dernière audience
n du Tribunal correctionnel/
,6 Ces quelques’ lignes seront-elles les
'! dernières consacrées dans la chronique
* oloronaise aux audiences correctionnel-:
8 les. Le Tribunal de notre ville est, en
l- effet, supprimé et a tenu vendredi der-
>. nier son ultime audience. Au début de
e la séance, en termes très heureux, M.
Touzet dit les adieux des membres du
Tribunal aux avocats et aux avoués et
"* se félicite des excellentes relations qui
ont toujours existé entre magistrats cl
membres du barreau. M' Lavignc, bâ-
touiiier,.au nom des avoués et des avo-
cats, exprime les regrets du barreau de
se séparer du Tribunal et il espère ar-
demment que, la séparation ne sera que
unomçntanée; si cet espoir ne se réalise
pas, Je.barreau aura du moins la con-
solation -d’avoir ainsi, malgré l’impor-
tance du sacrifice, contribué au relève-
ment financier du pays. M" Gabe n’ou-
_ blte pas qu’il est maire d’Dloron et dit
un vibraut a,u,ievoir aux magistrats du
° siège; jl est convaincu qu’ils repren-
e drqpt bièpïfit ,leur place.
» Le Trrhuual liquide ensuite les der-
nières‘affaires en, cours :
-* 30 fr. d’amende par défaut au nom-
,, mé G..., d’Oloron, pour pèche pendant
la nuit,
“TT 8 jours de prison à deux Espa-
gnols pour infraction à arreté d’expul-
sion.
— 50 fr,. d’ameude à un habitant de
Louvie-.Tuzon pour bris de clôture.
— 3 mois de i)iison à un nommé S...,
sujet espagnol, quréta-it récemment en-
tré chez M. boucher, et avait été
surpris au moment où il touillait un
tiroir.
. — Un gamin de Moneih avait, par
Km prudence, nus le feu à une fouge-
raie : 50 fr. d’amende avec sursis.
— Le nommé N..., de Bidos, ouvrier
aux Grandes Entreprises Méridionales
à Laruns, a dérobé à l’un de. ses epma-
rades un fusil et une (mire de souliers:
50 fr. d’amende a’vee sursis.
— Suivant'une tradition que l’on rie
saurait trop réprouver, dès jeunes gens
, d’Accous faisaient un charivari soigné
à un veuf qui convolait en secondes
noces; mais les gendarmes vinrent,-et
s’emparèrent de plusieurs dés musi-
ciens nocturnes. Au cours de l’arresta-
tion, les représentants de l’autorité fu-
rent quelque peu malmenés. C’est cc
qui amène trois jeunes hommes sur les
bancs de .la correctionnelle deux d’en-
tre eux sont condamnés à. 100 fr. d’a-
mèndc, le troisième bénéficie du doute
et est relaxé.
— A la suite d’une discussion avec
le chef de gare d’Ôloron, au sujet d’un
parapluie encombrant placé dôris un
wagon, u ii, imarchand forain crut spi-
rituel de déposer une réclamation au
registre de la gare de Phn. L’enquête
poursuivie par le service intéresse dé-
montre que.ee marchand n’avait pas le
beau rôle dans l’affaire et la Compa-
gnie déposa une plainte; le prévenu est
frappé d’une amende - de 58 fpahes.
L’A VENTE DES COUPES DE ROIS A
ETE FRUCTUEUSE. — C’est sous la
présidence de M. Antelme, sous-préfet,
et'de- M-. Cha-miieau, conservateur des
Eaux et Forêts, qu’a eu lieu hier matin ;
la vente annuelle de coupes de bois
sises dans les forêts communales de
l’arrondissement. Fait sans précédent,
toutes les coupes, à,l’exccp.tion d’une
seule, ont été vendues. Elles ont pro- ■
duit la somme de 2.Ï08.000 fi'anes ! Ce
chiffre, est-il utile de l’ajouter, n’avait 1
jamais été atteint. Parmi les couimu- s
nés ayant réalisé une recette particù- 1
lièrement élevée, citons les suivantes : ^
Arudy,. ,123-700 fr.; Bielle et Bilhèrcs, î.
194.000 fr. ; Castet, 64.500 fr. ; Goès, *
25.080 fr. ; La nuis, 348:080 fr. ; Ance, 1
47.000 fr.; Arannits,,181.300 .fr.; Arctte, i
133.000 fr. ; Borce, 42.000 fr. ; Etsaut, 1
86.000-fr. ; Issôr, 60.000 fr. ; Oloron, '
413.600ifr.; Asaap, 42.000-fr. 11
— 1 ~ ■■■ '* ■ c
1/2 SuWi et Barriques 1
à vendre, très, bon étaù. sonrifié^ cr
moitié pTix. P tôt frères, Vins,' 18,
avenue Thiers, Pau. 0
ir" ‘1- 1 '■•]■ '[u Iji
BIELLE
LA FETE. — La jeunesse de hi com-
mune de Bielle a organisé une nouvelle
Pl,ur lè dinianche 26. septembre. A U1
ce! elBet efle -s’est assu-ré le concours] c<
jazr-hîwd, du manège c<:
Mçreadier déjà installé, et de nombreu- !"
s«s attrftçWQns foraines (tir, loterie !•!
etça.), Nril>doute (|ite cetté fêté, qui sera 14
très briUsante, attirera dans uotre gen-, ^
tille cortimtinc de nondireux visiteurs. 111
' EAUX-BONNES t
ELECTIONS; — tes électeurs de la ca
SL1L1 ^ffet dMne un conseiller anu- ««
nîclpêi en remplacement -de M. Abadie- av
tejimc, (teiçassionaaire, pour le dîman- fir
-né 3 octobre. pt
Les candhtets à cette succession ne a*
se font jHia.encore fait côiinoître et les ü#i
liL,e*U?rJl£,lles ^oacupent. bien re
îf élection, jugeant sans dou- te
e que quël qtte sriit l’élu' la situation (Si
issez précaire* des finances, de la eom- pa
mine n en sera guère améliorée. mi
.3.Pij,on dominerait cependant do
jeMjJt.de voir le nouveau maire rési- na
tant dans la commune et étant du pays su
►ouf «d ml eut connaître les beeoldi? 1 da
ORTHEZ
*——7
LES journées agricoles d’octobre
; T'Trrw ' v •
L’drgàiiilatiou des journées agri-
coles des 3, 4 et 5 octobre se pour-
suit'activement, et* le* succès s’nn-
• nonce comme très brillant.
De nombreux concurrente ont don-
né leur adhésion et l’expo^ition-
concnarR dir lundi promet d’être des
plus intéressantes: tant par le nom-
bre' des produits qui seront exposés
que par leur qütelîffT
Les animaux de basse-cour soi-
gneusement sélectionnés formeront
un lot attrayant ; les céréales, les
fleurs feront l’objet d’une intallation
particulière, les vins des meilleurs
crus'dé ïa région seront soumis à
un Jury de choix, i’avicullure sera
présentée par des* spécialistes et de
nombreux coustrueteurs de iuaebi-
nes agricoles ont signé leur enga-
gement.
(Je concours attirera, dans notée
ville tout ce que la région compte
de compétences agricoles et vinico-
les et l’empressement mis à, répon-
dre à l'appel des organisateurs té-
moigne de l’intérêt que porte notre
population à- tout ce (fui touche à la
culture du sol et à l’élevage.
Les exposants de machines agri-
coles devront terminer leur installa-
tion dans la journée du samedi 2
octobre, a 8 b. 1/2, le Jury devant
commencer des opérations à neuf
heures précises.
f uie place sera réservée à chaque
concurrent dès réception de son ins-
cription.
i Aucun droit de plaçage ne sera
perçu.
•—O—
Demtin an Stade Eugène Lsrroque
TU* SyO* jouera contre la S. P.
La venue, des. verts Palqir, coïncide
a\ee 1 inauguration des récentes instal-
lations du Stade Eugène Larroque'. Le
public sportif s’est bien rendu compte
quon le conviait à un gala dont la
seule partie sportive présente toi inte-
ret exceptionnel. On sait, eu effet, qu’à
J ombre de la bannière >< vert et blanc »
se sont groupés de nombreux et grands
spécialistes du ballon ovale. Liions par-
mi les plus connus : en avants le
Nayais, Châtelain, cl l’ex-champioù de
t*rance, Lazcnavc. qui vont seconder les
lailliuitou, les IIceaborde el les C.lou-
zet. Lu lignes arrières, nous retrouvons
eutr autres le trio Uéehède, Hauser
Guimont, tandis que l’autre N a vais,
Aiounes, défeml les buts,
j L’équipe, dans sou-ensemble, pvali-
qne un jeu élégant dont l’efficacité a
■ .ja été confirmée au cours des pre-
jmieres rencontres et justifie les meil-
leurs espoirs de ses dirigeants.
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Mi 1 n
», . , , ,,,..SAUES-OE-BEABN î
septembre : Larnrrtrdr ŸVefte:.Icanm‘ ;
~ 1-2 : Boiretd’aule-Marie.;.—r 17 : prat
Giuette-Hylène-.Iosèphe; — 21 : Dom-
p é Fc nia n de-Lo u i se.
„ Décès.— 12 septembre : Comy Emile,
(1 ans; —r 17 : Larroque Jeanne, veuve
Lapouble, 76 ans;— 21 : Lapou'We Clo-
tilde, veuve Darryuet, 68 ans.
Mariages. — 11 septembre : Pascal
Hndaux Léon et lierthe Lescarboura.
Publications : Camousseigt Jacques
et Eelhay Marie ; Sangla Bernard et
Sarrailh Marie-Jeanne ; Baigts Julien
et Maniiechez Louise,
ARZACQ
J',LlETE DE L’ -ALERTE ARZAC-
JclJJSL ». — L’est dimanche prochain
26 septemJire, qu’aura lieu la fête de
Alerte Arzaequoise. l'ne grande repré-
sentation théâtrale donnée dans nos co-
quettes arènes, sera le clou de cette
tete. Une troupe de Bordeaux, sous la
urectiou de AL Frqucis Grangier, pro-
esseur a* Conservatoire municipal,
louera Le Chemineau, le chef-d’oeuvre
, H. Jean Hichepin, rançaisc. Le spectacle est d’une iu.no-
ation pom- Arzàcq, nui doute qu’elle
1 attire beaucoup de monde.
Ln bal champêtre à grand orchestre
loturera la fête; avant l’ouverture du
,aJ ««e inqîortante tomteia sera tirée
Le concours- mnmençe le 12, se terminera à 18 heu-
es. Avis aux amateurs.
«B fi&Bpp
l"r, 35Ü fr.; 2. 250 Pt?.; 3. 150 fr.• 4.
11e paire de boyaux; 5. 100 fr • 6 Vm *
>upe argent ; 7. un lpçvau; 8. uiie‘selle
mise; 9. un guidonplO. une selle* 11
le statut tic (groupe); 12. une mire
nettes; 1.!. un litre Eau de Cologne*
. necessaire lnineau; 15. «ne paire de
•dates; 16 une paîre cale-pieds et une
lt*l?,1-'i*CSoi/’o«/* mie bouteille
îeritif; 21, 22", vingt francs; 23* au
1-, Les prix, n’avant pas été encore dé-
ises pur les généreux donateurs à la
tisse.du Comité, seront publiés et af-
*hes devant le café Glacier, lieu du
nlrtdc de départ, dinianche, matin,
'«mt la remisg des dossards. De nom-
Pnracs qp espèces seront dis-
itecs a 1 arriver de chaque contrôle et
1 teyinuais d’étape. Nous rappelons
,c„.#£Vè™r foJS a«x coureurs, que la
muse des dossards afin meure ra à neuf
*rex très précises, an café Glacier
Pt Cantons) et que le premier dé-
Snr^L^°PMV',? heures exacte-
uL II est rappelé aux cadreurs qu’ils
H eut présenter leurs licences en ve-
*« retirer leurs dossards et que tous
iveurs, soigneurs sont interdits, sauf
u< lea contrôlei.
hautèur coht«ttUiée';'ù^iÉii)^lè 20
hauteur constatée à l’échelle : 0™. 20.
(TaVet de • Afauèéotp /fi^V^odlos), alth
tutle^ (t« 0 -de Téçmdle : ; 118m 41 i
hauteur constatée ’a l’échele : 0,Jt 20.
Pharmacies de service
Demain dimanche ,26 septembre,
le service des pharmacies sera assuré
par :
M. BRlNOiV, place Gramonl.
M. MENNECHET. rue Léon-Daran.
Al’Ecaleprimairesupériaure degarçans
Inscription d’ëlèue» hotivêiiux* > '
Les inscripüons des élèves nou-
veaux serour reçues à r Ecole pnë Je
Directeur, d# lundi 27 au jeudi 30
septembre inclus, de huit heures à
midi.
Les candidats devront produire
leur bulletin do naissance o|u* le
livret de famille de leurs parents,
le certificat- d’études prémaires élé-
mentaires ’ct un* büWethr de revacci-
nât ion:
, I^D* rentrée aura lieu île vandradj
Pr octobre, à 8 heures.
—
Contre la Vie Chère :
• "Vf |
Le Coihité Econdmîquë -' hépaiîfé^
mental a tenu, hier après-midi, s$
deuxième réunion. M1.' le Préfet M>
reur la présidait. Après r.adopitiou*
d.u procès-verbal de ‘là précédéptè
séance, les délégués de la commis-
sion d’études ont fourni une très ihi--
téressante documentation sur le
prix de revient de diverses denrées
dé consommation courante. Afin^dt
déterminer, d’une faéon précise^
l’énergique campagne qui s’impdsei
divers autres rense'ighements sont
indispensables; La commission d’éî-
tildes va compléter son dossier dfns
le plus bref délai. Après un échangé
de vues entre les membres présent^
la séance a' été levée; Le coihité'
laisse à Ai. le Préfet-le soin dé* le
convoquer dès q;ne la conunisslort
d’études aura parachevé ’sôn eiumê-
te!«e qui 11e-saurait tarder. Par fôiï
excellente méthode.de travail et le|
résolutions *ep,visa$fées,:- i\action IdU
comité économique départementai
s’avère 1 iutelligentë’et efficace, D ’
L7^T~—
A l’Ecole Normale d'iistituteiw?
dt teicir » P;
' — — 1 ; , »
La rentrée .des classes aura lieu
lé 39 septembre. Les élèves devrbnL
être rentrés à l’Ecole à 18 heurëâ*
au plus tardw t ’
A L’OFFICIEL
LES TR AM W AY8 DE R AU
Le Journal '(Officiel poblir le décKt
par lequel est sqmiuvé- l’avenant iuteiv
venu le 29 juillet 19243, neutre le maire
de Pau. au nom de, ta ville, et la so-
ciété béarnaise des trâmways urbains
de,Pan. en vue dé modifier temporaire-
ment les tarifs eh vigueur sur le réseau
de cette société.
MINISTERE DE LA GUERRE
,r (ArtlUotio
Liste, par ordre de njérÛe, dès candi-
dats ayant subi avec succès les
épreuves du brèvet de préparation'
militaire supérieure en 1926.
A. -— Jeunes gens ayant obtenu le dfa
pleine civil exigé et devant être in-
corporés eu novembre, 1926, i
Ca nonne (Kaymond-Jpseph), école
centrale des arts et manufactures, re-
crutement de Bayonne.
Lagranlet (Jeun-Joseph-René), fa- .
eu lié des sciences de Bordeaux, recru- ?
tdincnt de Pau. '
B. — Jeunes gens ayant le diplôme et 5
le brevet et incorporables en mai 1927 j
(ou ultérieurement). i
Pointeau (Louis),, faculté des scion- (
ces de Bordeaux, recrutement de Pau. <
Loustau (Albert-Jacques), institut in-
dustriel du. Nord, recrutement de Pau. ;
C/Hrutchét (Arnaud), institut électro-
Iecbnique de Toulouse, recrutement de
Baycmpe. “
iü-ticgaray (Reqé-]vmile-Anto.ine)„, 1
L-eple nationale d’arts et métiers d’An-
fers, recrutement de Bayonne.
SITUATION DU* MARCHE
DU TRAVAIL
ôl plnCen#n't*s‘;Vde4vlctiCé *10 locaux
.1 homme, 9 fksnmes) ? 41*interlocaux '
32 bonimes, 9 femmes).
2(Hi demandes d’emploi, 103 offres '
l’ont pu être satisfaites. ^
Cffiürâate et IM "
% m* ^
cJkiÈs fl
7 IN VALIDITE,^**- Le* Méire ^rappelle, ji
IUX pensiomrés 4e- la ,giiërrc"bénëflkiai'**
es -d une i>eiwitfmd’lîvèalMlfé, égale oui 0
uperiePTe à 25 %,'que 1» validité des v
artes dont ils sont porfeurs est pro- h
ogee jusqu’au 3P décentré 1926 aliu^ M
e faciliter les o,péraWons|de renouvel-
smeait qui vont s’efféotuér, au cours de
'annéj? 1926. ■ je
Les cartfs seront renolivélees en sél ’b
H sai^L sur J’ordrfiJjlpbabfcfckiHe du nom' ^
0 s ‘‘ben ctfieiaire f fk* preiimééf t rMtfeatiù ' i
étéaifecté au) lofctre» A le second ,
ux lettres G à b; le trm^feine (Ol
res M a R; le ^wa^ièmî» sera affecté
ux lettres S à 2. .
lies demandés dé rçnouùcll&mcnt dés
artes- présentées ëii ■ dehors de l’une
es catégories ci-deksu^ me pourroirt 1
tre aiM’eptées par? le Cofceé dépflrte-
WituL. à ) excë^lo^, dételles .adues-* d<
ées par des .pen si puisés c^i auf (wif su-* h(
1 ,S?-e 4e leur .taux d’in- qi
ahdïtè ou qiii n’àitt*;enf jamais sol- té
tsité le bénéfice de édité eai'te. sa
t.es nouvelles cartel sèronf valables cfi
our une période de deux années. Cette OT
eriode mita nom* pélltt dé détwirt la
«te de delivranqé et menti an expresse le
e sa duree sera faife a|| recto de la (É
■ i iT jv
Les bénéficiai^, dont Ld, carte doit te
|*é renouvelée au cours du' quarrlème Ja
iinestre .1928 ipépHnt, jtlès mainte- ch
5»t. se mettre eh ibstanite à Ig Malrte J’e
* bureau) où leur seronLfournis tous pth
nselgnemefitB sujet. [}^
l
TMimr
Dans le journal Kl Dèbate, M. ifa-
tnori de Olascoaga conseille là:p]a-
tion.ee pt la flerto
sée. Pourquoi l’Espagne s’indignè-
rait-elle des incidents de Genève *■?
Elle 11’a qu’à attendre le rocotnfrien*
cornent de -la tragédie de 1914.
Pourquoi! dette sinistre prédic-
tion «?
M. Ramon de Olascooga-, qüi uie
parle certes pas au nom de tous les
Espagnols, nous explicite ce que
l’Espagne, ^ peutre de ‘ 1914 à 1918,
espère d’une guerre nouvelle v
u Avec notye sptcnd;id&‘ iéolernent*
dit-il, et notre fructueuse neutralité
nous gagnerons beaucoup plus
qu’en jouant le rôle des satelMes-
des Etats actü'elleinent puissants
dans la S. D'. N. »
! L’écrivain du Débat e se désinté-
resse du droit, fmais non du profit.
Pesetas, d’abord. ' , f*
UN PALOIS. -
La rtfernw ÉMMH
■ ■ -4* .■ -’lrwAElAEi.n ',ïj)ÿrtÿ!(?X,
A la Préfecture des Bassas-Fyréaées
Le éourval officiel publie le,décret
proposé par M. Albert Sarraùt, mi-
nistre de rintérieur, à l’approba-
tion du président de la Répjubliquei
par lequel des sous-préfets; et secré-
taires généraux* sont mis à la dispo-
sition des préfets ütins les condi-
tions fixées par l’article 3 du décret
du 10 septembre 1926, avons publié en son temps.
C’est ainsi'que A1M. Rozaru, se-
crétaire général de 2e classe ; Porte*
sous-préfet de 3e classe) ancien sous-
préfet de Afnwléoîb ; Daguerre, sous-
préfet de 3
préfecture des Basses-Pyrénées.
, -A* -
Le Conseil de Préleeture Inlerpépartemenlei
Il est par le même.^décret consti-
tué de la manière suivante :
Président : M. Subra, conseiller
de préfecture des Bàsâes-Pyrénées,
dont nous avons annoncé hier.
•MAI.* Lécrivain, bouvière, conseil-
lers de préfecture des Basses-Pyré-
néeS ; Duplan,. Goureau, conseiilers
dé préfecture des Hautes-Pyrénéés ;
Capperon., conseiller .dei préfecture
du Gers, sont rattachés au nouveau
conseil.
Conseillers : A1M. Tixerant,-
conseiller de préfecture des Landes;
Castes, conseiller de prélecture du
Gers ; Laeau-Baraqué, conseiller
de préfecture dé* lp Corrèze ; Sçvct,
conseiller de préfecture de la DTô-
me.
Lestais de la Fte«t|É
LE ClRCUy iSÜ WLLAÏÏ^H
— Dans Voffre allemande, il y a,
me dit cet homme, quelque cfiose
que je ne comprends pas bien : où
prend-eile l'argent ?
— Elle le prend, Monsieur, où il
est, c'est-à-dire aux Etats-Unis. T<\ut
ce qu'a payé jusqu'à présent l'Alle-
magne viept d,'outre-mer ; ce sont
des dollars Irahsmiiés en rnarks-ot.
+- Alo rs, si a priés avoir reçu ces
marks-or, nous: Ici transformons en
francs pour payer les, Etats-Unis,
les Américains retrouveront les dol-
lars qu'ifs ont prêtés aux Alle-
mands ? (Test, un circuit ?
— Exactement, Monsieur : comme
le circuit des routes pavées ; aussi
dur : le circuit des dettes pçyées.
— Et quel, avantage trouve l'oncle
Sam. à faire ainsi rouler son ar-
gent p
— Le dollar qui roule n'est pas
comme la pierre ; il amasse des
sous sans se faire mousse; il grossit
à vue d'oeil ; d'abord rond comme
une pièce de cent sons, puis large
comme une galétlé, te voici grand-
comme une meule. La meule tourne
doucement sur l'Europe, le mouve.
ment va crescendo, et nous en sen-
tons le mids. L'oncle Sam tient les
leux' bouts de la chaîne, dorée. Il
regarde, souriant, ses dollars s'en-
rôler. II ressemble- mt presiidigita-
le.ur qui vous lance un louis': le
'ouis ne retombe jam/ris, mais il le
Cueille chaque fois au bord de son
duipcau.
(i— Serions-nous donc dupes d'une
llusion, d'une parade de foire ?
•ffe/âxy Monsieur, dans circuit,
’àl dit Victor Hugo, U y a ci renie...
\t meme il y a cuits;.,
S’-F.
7-+-
Un COmBNUffllBt ilKMÜB
Ml élelnt p»r UB pflnpUr
L apparlehicnt de ItfLlL:. est situé
[4, rue d’Etigny. Il y a, dans cet
ppartem'enf, une chambre dilë •
hamliré des débarras. CeS débarras
ht fifti" par côfnprendre qu’ils f
faieht terriblernént embarrassants et ^
^ 0111 cherché le moyen de dispâraî A
re; Tout, simplement hier soi* ils jj
nt pris feu, sans songer qu’ils pou- d
aient communiquer leur flamme à
1 chambre et à la maison tout en-
ère.
M. B... a pris un seau d’eau, les
icatqjres ont pris des seaux d’eau,
uis ëst arrive un pompier. „
Al°r£, les pauvres débarras ont î
m&ncé 'à*Tëür^Më, de disparaître
i lç’feu s’est éteint, 1J
* »T - I * *
Al Bosqugtayiat T g
La .molinée récréative,'Wui hura lieu ' ,
amain dimiiifhe 26 septembre à 14 e<
Bures 30 dans l’enceinte de l’école Bos- '
:iet, sera certainement des plus gaû- r
n’a été négligé-pou* doimcr „
rtisfactmo aux nnirdibeaK, spectateurs * 1
u vlendront se délecter sous tes frais
uurages' dfe cet enipiâcënieht idéal. , A,
U prit dtenteée est fiîfé à 2 ff. pour Ü<
s 'peasmmee étrange*»* atr Comité. cc
«teée par 1A pprte de la Tuai^haijâa-
iLesi .mèrt*b1rcs 4«,ét jfè
lir fabtillc entreront' gratuitement par Li
iljorte d® boulevard BaHbfchêgre. Ites iP<
aises et bamjs sfroljt iastftliqs
uïtement, tes chaises seront louées 1
tue* les baltes 0,50 cetttlmei. 1 IG
Nous nofs'm'nS'sliiPécho, il y ;
a quelques jours d’un bruit qui avait 1
coUrü lavée persistance et( d^lir^s le-' *
quel la musique du, 18e R. I. aurait ,
fTtmtSé’ Ph’Ü Jîte BâVÔriHe.f ]
bien éjé quesBofL.de ce départ ; mais I
dés protestations se soht' élevées qtji
ortt eti pèlih’ rësiiltat* d’ém^échër
que la mesure' 'MIS 1 prise. Nous nous 1
en réjouissons et tous Içs Palois avëc
nëiis. " ’ ■; 1
Voici d’ailleurs la note que nous
communique la mairie :
:Lfs^eoncç]Hs. pwltfic* ,'&c jp mu- '
sique du 18e Régiment d'infanterie
reprendront le lufiili 27 -.dt courant,
et auront lieu sur la place Royale,
jusqu'à nouvel avis; lé Mndpysâfr
dé 20 h. 45 à ai h. 45
D autre part nous,, croyons pou-
voir affirmer que d’importantes mo-
icafjdation.s subviendraient dans * Id
composition de l’orchestre du Palais
d Hiver. Nous nfe saurions trop fé-
liciter la Direction du Palais de ce
qu’elle fait à ce propos!
CHBMtN PniSRRT
"VK'f
si«"iiii
dédiée‘aÉ'cWfeifrfîBlo 1:
VaUfre ■■ Màaiimè, m ’ éhduffârâ
écrasait à Ridart üti pauvre chien;
et il se
vengeance auprès * des gendarmes ;
le chef lui répondît :
» Monsieur, je plains votre infortune,
niais je ne puis bous donner satisfac-
tion, puisque vous n’avez pas le nu-
méro de.la voiture dont le conducteur
a lui votre .ami;, en outrer je vous prfa
défis qile si obus maintenez votre
plainte, je me verrai forcé de vous
dresser contravention.
r— Pourqùoii? ,
7-1 Parce :aùc vous avez laissé voire
chieh circuler sur la voie publique, sans
laisse, ni muselière et que ce sont là
deux délits licitement caractérisés.
Le propriétaire (ju chien 6’cil
alla, mais le gëtimrihc rëfèchil
qu'il fallait une shntlion, car il
av&it VdHie juste.'‘li ? arrive trop
souvent qu'un individu paie pour ta
collectivité. Cetté fois, ce fut Ift col-
lectivité qui paya pour Vindividu,
ainsi qu'on va de voir. Le gendar-
me se posta au sommet de là côte
■dé Ridart,- gueitàM toutes 'les voi-
tures qyi r eu fraient à Biarritz, et
il arrêta; toutes lek càmimnettês ;
vous u'ignorez pas qiic le dimanche
■ les Camionnettes sc muent en àiitos
de petit tourisme le possesseur
Hl'mri. de c eh bchitütes y installe ü£ s
chaises dç'•pqiUiç- afin, d'y promener
'•Sa. fnniüM H v-efaf charmant. *La
camionnette, Vest le torpédo du
petit-Commerçant.
v Lé gendarme sifflait, et la torpé-
do improvisée s'arrêtait : « Avez-
vous la carte verte ? >» disait le re-
présentant de j'autorité au chauf-
feur nui se cjrdy ail’ bien an. régie
avec l'aulorité.
— J’ai ma Carte grise et mon rem
des contributions.
• Ça ne-suffit- jiasl doits faut en
outre une cftrfa verte, qui vous autorise
a promener vos palettisée dimanche;
sinon, vous êtes en contravention et
! Etat va vous réclamer six pour cent
du prix d’achat de votre voiture.
— Je l’ai payée quinze billets; ça va
donc me coûter 900 francs de plus !
— ‘Vous l’aVet dit, ajouter aussi les
frais de contravention, jugement, signi-
fication, pour .arrondir lu somme. ‘
-— MAIS j’ignorais quHt fallût une
carte verte ! #
— Nul n’est censé ignorer la loi,
— Et de quand doter cette loi ?
— D'avril dernier. Elle a parti à T Of-
ficiel.
— Jè&t-ce que je lis fOfficiet ?
— TT est pourtant une bonne lecture!
Sur dix propriétaires {le camion-
nettes, un seul possédait la fameuse
carte. Donc t'Etah a gdgur. 9.009/r.
mi coup. Calculez ce que ça peut lui ;
rapporter dans toute fies France .
Mais trouvez-vous le procédé- très -
loyal ? Et jfiA peut-on transporter
(tés gens vivants dans le camion
qui emporte durant la semaine des
cochons morJ^s ?
ISii) 1
15 V» RÔOUOTION t 1
! Jusqu’au 30/ Septembre b
; BERLITZ; 22, Rne Ifetréctot fiel.
^BIHURBA I
Le Oorrodtirs de Chanté
A la liste des membres' du Jury p
lue nous avons publiée hier il con- c
;ient d’ajouter les noms de Mme (
>atet - Jetiotte, professeur do chant, k
- l’Ecole de musique de Pau, et ^
é’Af. Vaguet, le célèbre baryton
e l’Opéra.
* ^ C
Eta^Civil A
Naissances, -b André Marie Claude
1s de Thomas Pierre Juin, indus- A
del, et de MAicello Pauletté Alfiric
tèhriette Piejrri^eatfrs. pr.
Publientiim. i-—Jufcn Pedfo Vic-
w CaiTüclMî. commerçant, et Jeanne
orrfâs, dijfclÿldgranhd. , ' ’ '
: ^ ^piiÿàt/charpehtlèi 4 ’sà
i CàMieiiiié Lajihdù 1, cuisinière. cU
Mariages,. AhiOnio RomuaWd ^
asabon, maçon, et Ahtria Repaediox
mi, s. pr. , ' ,
Emile Louis Jean Gaulé, employé
Î commerce, et Juliette Parafait,
mttirière.
Honoré Pierre Costém'ate, cîiauf- t
ur, et Baeil^ne Adèle Montori, cm-
oyêe. ' -u j
Décès. — Henri Léon Mespié-Du- rpo
ur, cultivateur; né à Boeil-Bezing,. du
***** i et
• r: ; ;:f ;4 ; . ; r . ,. .
«S» i^àiËa'Hilitf
Ce Air JflfedliWs septeîfilSIe, à
?1 heures, au Paîmarium, grand
îpeefcàcte 1 dtjvèMfÉaRi Wilfittm*‘Fox*i
présentera L*Êntif ‘ de là Vie * »f
grand, drame hors série. j
«éfhâNtti|lit»WI*»ibdocuinentaire. e
cflimaîïWwi,(^eptembi-e, à 17 h.,
ail ' Patmitmmv Grand' Dancing-
Jazz-Boüle. ' ‘
Éh soirée, grand spectacle de ci-
néma. Changement de programme.
Prddwe^on-iyità^réiphJTîfiiAlhPiillina
Lecouvreur », drame, hors série.
UBBSSSSSlSS&ItTiST^
•»«*(»[ doramen-
taire.. . . .
Pendant les entractes éf après le
spectacle, Dàneingfjazz
ÀLWH. zé;
Tournée Ch. BARET : « LES NOU-
VEAUX MESSIEURS. tJn des plus
'gra4ids**suc£ès de ljal^saisèh.^■-? * -J
" THEATRE SAINT-LOUJS
A 20 h. 90.
Tournée A. LEVY : «-LE ROMAN
D'UN 'BUltEvR.^i^ce grand spec-
tacle. 16 artistes ; 6 danseuses ; 8
décors. Le Gliampion Bob Seanlon
qui joue et boxe dansi le: roman'
d’un* boxeur. lies Clack-Withs, les
célébrés danseurs de l’Empire.
Rïiprésentation unique;
: Location ouverte au Théâtre St-
Louis. ;
. « AU REVOIR ET MERCI » au
CASINO'PALA$E. — Une intrigue
des.* plus divertissantes, des situa-*
tfoïts»* bfenv parisiennes, des décors
ultra modernes, une action ronde-
ment menée, des artistes « très à la'
page» telles'sont les carnetéristiqués
de « AU REVOIR ET MERCI » un
filin original et qui s’évade des
sentiers .battus.* Nous vofcn Aàv^o le
8e* épisode de « JEAN CHOUAN », à
l’épilogue dé cette belle et émouvan-
te 1' reéonSt itution^- hlstort^dë ’ 'dont
chaque' tablèau est vraiment remar-
quable! Et nous pouvons citer : le
combat, décisif , des blancs et des
bleus, le châtiment de la citoyenne
Fleurus, la mort dramatique dë Jean
Clibuan et de Afdouiu, les fran-
çaçilles émouvantes de Jacques et de
Marie-Glaire, enfin l’entente suprê-
me dés soldats de France. Au début
un curieux documentaire sur les
peuplades sahariennes et les actua-
lités. Trois dernières, ce soir same-
di, demain diïnanche, en matinée
et soirée.
Jeudi 30 septembre
(en mathtéé)
RÉOUVERTURE
* ■ ‘“•oiss.r*
aveèr 5- f -
LesMisfift ARLES
CASINO PÂLÂfeÈ. — Arardi 28
septeriibre, giamr aalà d’opérette
niodeVné; « PAC'sUflTLA BOUCMÈ)]
Lotatlbn duvérte Lundi' io heures,
* ■■■ ■ n <»:■ '■ i;,;# ,v; s.,-
Concerts ^ pufelics
PltOGRAMatÉ;
DU SAMEDI 25 SEPTEMBRE
Place. Royale, 20 h. 45
avec, le copcours
de M! STÂLFOBT, baryton,
et de la LYRE PALOISE
L Strasbourg (Andriéu).
i GW’frtuivTte Dromethée (Beethoven).
3. IMHépienbe (Bteet),
i. Pasiorate.’
lit InlermezjMt;
lift' Menuet.; i».
iv! Farandole.
4. La coupe du Roi de Tliulé (Diaz).
M. Staliforti >
5. Riaolelto (Vèrdî-Tavàn).
6. Air béarnais (Mesplé-L-escazes).
/. Faust, choeur des soldats (Gounod).
La Lyre Paloise.
"■ .■ •
PROGRAMME
DU DIMANCHE 26 SEPTEMBRE
Parc Beaumont, 15 h. 45.
I. C’est la fête du Muguet (Vercolier).
1. Les clématites (Cairanne). '
J. L’Enfant prodigue (Auher-Mouton).
4. Ballet Egyptien (Luigmi),
Lucie de Lammernïoor (Donizelli).
Plùce Royale, 17 h. 15.
L Cincinnati (Benoît).
2. Gage d’amour (Bertrand).
Ü. Mmitana, ouverture (Wallace).
4. Une. journée à Capri (Mfdessi).
5. Hérodiade (Massenel-Tavau).
6. Une matinée chez les Ilàntietons
(Mercier).
•*^fe
Place Royale, 20 h. 45.
L Marche du 20" siècle (Simon).
2. Nuits larisiehnes (Scassola).
3. Ainina. (Linche).
i. Les joyeuses commères de XVinsdor
(Nieolaï)'.
5. La Maladetta (Vidal). ,, _
I. Danse Pyrénéenne * ' ,
JJ. Menuet.
III. Pas. des chasseurs.
IV. Mazurkit;
V. Adagio,
VI. Valse.
i. Faust (Goùnod-Tavan).
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TiiiniiiiurjfeHniiiiiiiiiimmiiiiiinjfttfniiimiimiimiiiiiijiitiffHiiiiiiiHMtjijujijîjüiiuiitFiiiuiiimimin/H)
©LORGMN
Dans ose lettre adressée^ an Maire
d Jloron, Mt. Louis Bsrthou dédire
QUÉ la ré iolution du gouveroement
ait* irrévocable
Sollicité par upe. délibération de -
la municipalité d’Oloron-Ste-Màtie,
de surseoir à l’ex'éciilron du décret
qui supprime* ce trîbünal. AL Lbuis
Barthou*, garde des sèeaux, minis-
tre de la justice, a répondu par la
lettre suivante :
Mon cher maire,
J’ai qiesé tous les ternies de la déli-
■ Itération du conseil municipal d’OIoron
> dans la réciprocité xles sentiments af-
ï fcctiicnx qui l’ont inspirée. Aucune des
raisons qu’elle fait valoir et aucun (les
souvenirs qu’elle évoque ne peuvent me
laisser indifférent. J’en ai été ému,
. rndis- le< principe dit décret et les réso-
lutig,)!«* irrévocable# dp gouverne me#!
: ne me permettent pas de- consentir au
1 sursis que.vous me demandez avec ■ tant
i de, force persuasive. Je sais tout ce que
r je dois a nia vftle naiàle ; ma qrati-
g tilde et mon dévouement potir cite ne
cesseront qu’avec moi, mats appelé par
un grand Français à* faire partit dil
gouvernement dc>la France, je sets mon
- pays dans un poste difficile qui m’im-
pose la rigueur d’une attitude impar-
ttdli,
t* » Avant de procéder à la rèorganisa-
3 tion judiciaire, j’avais envisagé et ac-
-* cépté. toutes■ les conséquences de cet
s acte, Je > ne puis pas me résigner à
_ croire qu’il brisera des liens purlicu-
£ lièrement chers, mais, si par impossi-
ble il en était autrement, j’aurais la
R fierté de fermer, après trente-sept ans,
1 le livre de ma vie politique en sacri-
i fiant ma situation personnelle aux né-
e cessités impérieuses d!un devoir pu-
k blic.
Croyez, mon cher Maire, à mes sen-
! timènts cordialement dévoués.
. Signé : Louis BARTHOU.
e ***
* La dernière audience
n du Tribunal correctionnel/
,6 Ces quelques’ lignes seront-elles les
'! dernières consacrées dans la chronique
* oloronaise aux audiences correctionnel-:
8 les. Le Tribunal de notre ville est, en
l- effet, supprimé et a tenu vendredi der-
>. nier son ultime audience. Au début de
e la séance, en termes très heureux, M.
Touzet dit les adieux des membres du
Tribunal aux avocats et aux avoués et
"* se félicite des excellentes relations qui
ont toujours existé entre magistrats cl
membres du barreau. M' Lavignc, bâ-
touiiier,.au nom des avoués et des avo-
cats, exprime les regrets du barreau de
se séparer du Tribunal et il espère ar-
demment que, la séparation ne sera que
unomçntanée; si cet espoir ne se réalise
pas, Je.barreau aura du moins la con-
solation -d’avoir ainsi, malgré l’impor-
tance du sacrifice, contribué au relève-
ment financier du pays. M" Gabe n’ou-
_ blte pas qu’il est maire d’Dloron et dit
un vibraut a,u,ievoir aux magistrats du
° siège; jl est convaincu qu’ils repren-
e drqpt bièpïfit ,leur place.
» Le Trrhuual liquide ensuite les der-
nières‘affaires en, cours :
-* 30 fr. d’amende par défaut au nom-
,, mé G..., d’Oloron, pour pèche pendant
la nuit,
“TT 8 jours de prison à deux Espa-
gnols pour infraction à arreté d’expul-
sion.
— 50 fr,. d’ameude à un habitant de
Louvie-.Tuzon pour bris de clôture.
— 3 mois de i)iison à un nommé S...,
sujet espagnol, quréta-it récemment en-
tré chez M. boucher, et avait été
surpris au moment où il touillait un
tiroir.
. — Un gamin de Moneih avait, par
Km prudence, nus le feu à une fouge-
raie : 50 fr. d’amende avec sursis.
— Le nommé N..., de Bidos, ouvrier
aux Grandes Entreprises Méridionales
à Laruns, a dérobé à l’un de. ses epma-
rades un fusil et une (mire de souliers:
50 fr. d’amende a’vee sursis.
— Suivant'une tradition que l’on rie
saurait trop réprouver, dès jeunes gens
, d’Accous faisaient un charivari soigné
à un veuf qui convolait en secondes
noces; mais les gendarmes vinrent,-et
s’emparèrent de plusieurs dés musi-
ciens nocturnes. Au cours de l’arresta-
tion, les représentants de l’autorité fu-
rent quelque peu malmenés. C’est cc
qui amène trois jeunes hommes sur les
bancs de .la correctionnelle deux d’en-
tre eux sont condamnés à. 100 fr. d’a-
mèndc, le troisième bénéficie du doute
et est relaxé.
— A la suite d’une discussion avec
le chef de gare d’Ôloron, au sujet d’un
parapluie encombrant placé dôris un
wagon, u ii, imarchand forain crut spi-
rituel de déposer une réclamation au
registre de la gare de Phn. L’enquête
poursuivie par le service intéresse dé-
montre que.ee marchand n’avait pas le
beau rôle dans l’affaire et la Compa-
gnie déposa une plainte; le prévenu est
frappé d’une amende - de 58 fpahes.
L’A VENTE DES COUPES DE ROIS A
ETE FRUCTUEUSE. — C’est sous la
présidence de M. Antelme, sous-préfet,
et'de- M-. Cha-miieau, conservateur des
Eaux et Forêts, qu’a eu lieu hier matin ;
la vente annuelle de coupes de bois
sises dans les forêts communales de
l’arrondissement. Fait sans précédent,
toutes les coupes, à,l’exccp.tion d’une
seule, ont été vendues. Elles ont pro- ■
duit la somme de 2.Ï08.000 fi'anes ! Ce
chiffre, est-il utile de l’ajouter, n’avait 1
jamais été atteint. Parmi les couimu- s
nés ayant réalisé une recette particù- 1
lièrement élevée, citons les suivantes : ^
Arudy,. ,123-700 fr.; Bielle et Bilhèrcs, î.
194.000 fr. ; Castet, 64.500 fr. ; Goès, *
25.080 fr. ; La nuis, 348:080 fr. ; Ance, 1
47.000 fr.; Arannits,,181.300 .fr.; Arctte, i
133.000 fr. ; Borce, 42.000 fr. ; Etsaut, 1
86.000-fr. ; Issôr, 60.000 fr. ; Oloron, '
413.600ifr.; Asaap, 42.000-fr. 11
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BIELLE
LA FETE. — La jeunesse de hi com-
mune de Bielle a organisé une nouvelle
Pl,ur lè dinianche 26. septembre. A U1
ce! elBet efle -s’est assu-ré le concours] c<
jazr-hîwd, du manège c<:
Mçreadier déjà installé, et de nombreu- !"
s«s attrftçWQns foraines (tir, loterie !•!
etça.), Nril>doute (|ite cetté fêté, qui sera 14
très briUsante, attirera dans uotre gen-, ^
tille cortimtinc de nondireux visiteurs. 111
' EAUX-BONNES t
ELECTIONS; — tes électeurs de la ca
SL1L1 ^ffet dMne un conseiller anu- ««
nîclpêi en remplacement -de M. Abadie- av
tejimc, (teiçassionaaire, pour le dîman- fir
-né 3 octobre. pt
Les candhtets à cette succession ne a*
se font jHia.encore fait côiinoître et les ü#i
liL,e*U?rJl£,lles ^oacupent. bien re
îf élection, jugeant sans dou- te
e que quël qtte sriit l’élu' la situation (Si
issez précaire* des finances, de la eom- pa
mine n en sera guère améliorée. mi
.3.Pij,on dominerait cependant do
jeMjJt.de voir le nouveau maire rési- na
tant dans la commune et étant du pays su
►ouf «d ml eut connaître les beeoldi? 1 da
ORTHEZ
*——7
LES journées agricoles d’octobre
; T'Trrw ' v •
L’drgàiiilatiou des journées agri-
coles des 3, 4 et 5 octobre se pour-
suit'activement, et* le* succès s’nn-
• nonce comme très brillant.
De nombreux concurrente ont don-
né leur adhésion et l’expo^ition-
concnarR dir lundi promet d’être des
plus intéressantes: tant par le nom-
bre' des produits qui seront exposés
que par leur qütelîffT
Les animaux de basse-cour soi-
gneusement sélectionnés formeront
un lot attrayant ; les céréales, les
fleurs feront l’objet d’une intallation
particulière, les vins des meilleurs
crus'dé ïa région seront soumis à
un Jury de choix, i’avicullure sera
présentée par des* spécialistes et de
nombreux coustrueteurs de iuaebi-
nes agricoles ont signé leur enga-
gement.
(Je concours attirera, dans notée
ville tout ce que la région compte
de compétences agricoles et vinico-
les et l’empressement mis à, répon-
dre à l'appel des organisateurs té-
moigne de l’intérêt que porte notre
population à- tout ce (fui touche à la
culture du sol et à l’élevage.
Les exposants de machines agri-
coles devront terminer leur installa-
tion dans la journée du samedi 2
octobre, a 8 b. 1/2, le Jury devant
commencer des opérations à neuf
heures précises.
f uie place sera réservée à chaque
concurrent dès réception de son ins-
cription.
i Aucun droit de plaçage ne sera
perçu.
•—O—
Demtin an Stade Eugène Lsrroque
TU* SyO* jouera contre la S. P.
La venue, des. verts Palqir, coïncide
a\ee 1 inauguration des récentes instal-
lations du Stade Eugène Larroque'. Le
public sportif s’est bien rendu compte
quon le conviait à un gala dont la
seule partie sportive présente toi inte-
ret exceptionnel. On sait, eu effet, qu’à
J ombre de la bannière >< vert et blanc »
se sont groupés de nombreux et grands
spécialistes du ballon ovale. Liions par-
mi les plus connus : en avants le
Nayais, Châtelain, cl l’ex-champioù de
t*rance, Lazcnavc. qui vont seconder les
lailliuitou, les IIceaborde el les C.lou-
zet. Lu lignes arrières, nous retrouvons
eutr autres le trio Uéehède, Hauser
Guimont, tandis que l’autre N a vais,
Aiounes, défeml les buts,
j L’équipe, dans sou-ensemble, pvali-
qne un jeu élégant dont l’efficacité a
■ .ja été confirmée au cours des pre-
jmieres rencontres et justifie les meil-
leurs espoirs de ses dirigeants.
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JclJJSL ». — L’est dimanche prochain
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Alerte Arzaequoise. l'ne grande repré-
sentation théâtrale donnée dans nos co-
quettes arènes, sera le clou de cette
tete. Une troupe de Bordeaux, sous la
urectiou de AL Frqucis Grangier, pro-
esseur a* Conservatoire municipal,
louera Le Chemineau, le chef-d’oeuvre
, H. Jean Hichepin,
ation pom- Arzàcq, nui doute qu’elle
1 attire beaucoup de monde.
Ln bal champêtre à grand orchestre
loturera la fête; avant l’ouverture du
,aJ ««e inqîortante tomteia sera tirée
Le concours-
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11e paire de boyaux; 5. 100 fr • 6 Vm *
>upe argent ; 7. un lpçvau; 8. uiie‘selle
mise; 9. un guidonplO. une selle* 11
le statut tic (groupe); 12. une mire
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îeritif; 21, 22", vingt francs; 23* au
1-, Les prix, n’avant pas été encore dé-
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