Titre : L'Indépendant des Basses-Pyrénées : paraissant les lundi, mercredi et vendredi ["puis" paraissant tous les jours excepté le dimanche "puis" journal républicain quotidien "puis" le mieux informé des journaux de la région]
Éditeur : [s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1916-04-22
Contributeur : Garet, Émile (1829-1912). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34416250c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 22 avril 1916 22 avril 1916
Description : 1916/04/22 (A49,N156). 1916/04/22 (A49,N156).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
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Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k52747551
Source : Bibliothèque patrimoniale de Pau, Ee 3218
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/06/2020
IP^f Çeux moyens excellents ? L’t
>r me ur| projet de faire apprendre à
foi» le£ deux langues dans les écoli
des dto pays. Et sir Choies; Henr
'riépdïtf libéral, qui a perchiyson flls
ila guerre, nous a développé, en u
discours émopvant les raisons impi
rieuses qui doivent, au lendemain ci
la guerre, pousser nos gouvememeni
à creuser le tunnel sous la Manchi
oui sera comme le symbole du rappr
chôment définitif de nos deux grande
démocraties.
Marcel CACHIN*
A la Chambre.
Séance du 20 Avril.
La Chambre a abordé la discussioi
lu projet, modifié par le Sénat, sur h
taxation des denrées et autres subs
tances. La commission conclut l
l'adoption sans modifications du
projet voté par le Sénat. Les divers
articles du projet sont successivomr,n
adoptés, ainsi qu’un projet prés^nU
par M. Malvy, ministre de lTnt&rieur,
tendant à taxer le lait, le beurre et lef
fromages, et une addition proposé
pan M. Gamuzet, concernant la taxa
tio/u des tourteaux destiCiAs à la nour-
riture du bétail.
On renvoie ensuit^ à ja prochaine
séance la suite de la discussion sur lef
loyers et on aborde la discussion du
projet tendant ci apporter certaines
modifications dans l’exercice des fran-
chises postales accordées aux troupes
en campagne. Le rapporteur fait con-
naître que la Commission des Postes
contrairement à l’avis du gouverne-
îfKmt, refusé absolument de restrein-
dre en quoi que ce soit la franchise
postale accordée aux militaires tant de
1 mtérieur que de la zone des armées,
fja commission propose de refuser la
gratuité a la correspondance d’ordre
«commercial et financier et aux papiers
cfaffaires, journaux, imprimé et
échantillons^ Des débals s'ôtait élevés
& propos d’amemlements présentés
par M. Mistral, M. Sern.bat, ministre
des Travaux Publies, demande lo
renvoi h la commission, qui est ordon-
né.
SÉNAT
Séance du 20 Avril.
M. Clémcntel dépose le projet de loi
complémentaire relatif au ravitaille-
ment de la population civile.
Al. Aimond dépose un rapport ten-
dant à ouvrir un crédit extraordinaire'
AU Ministère de l’Intérieur pour sub-
ventions aux départements envahis.
A la demande de plusieurs séna-
teurs, la proposition de loi tendant à
!''promettre au gouvernement (l’avancer
par décret l’heure légale est renvoyée
aux bureaux.
Le Sénat no paraît pas prendre au
séneux cette proposition à lauuellc il
test visiblement hostile. j
I On vote ensuite un projet autorisant j
fie gouvernement à nrohiber l’entrée
[des marchandises étrangères et à
tenter les droits de douane, par
Wécret, pendant ia durée de la guerre.
NuriiiiiiuiiinHiiiiiii
f DEVANT VERDUN
Aux Dpargee,.
L -le% “ttaaut violente sur
lîf t ,le? AJle-jiantl» ont étendu
P® front u6 bataille Oui. iusou’ici
tait environ 40 ^VoAl Avocom
lïiftfSüîp J? ni5*. Meuse, au sud de Mou-
ihèïrel ’t P- ~ dune dl*alrtô dô kito-
EîSrïSL _EPargcs constituent un épe-
Ln^aViftCé.de 8 Hauts-dé-Meuse dont elles
KîlJKp-a#rée3i u 1 ouost> Par un ravin
tal?di 3 (ïue« vers *estâ elles do-
minent la plaine de Woëvre.
I Dans leur attaques furleus & du Î0 aux
ESSrttTde6Sia ^ d(’s Jes Pondères
lurs rafflW H'^Mnéc’ avait multiplié
Burs ramies d artillerie sur nrerrdè
le» lignes de tranchées. Aprte cefte nréi
PnbM.ntiîlrae,!!.ie mainton“‘ classjquo
lomnlencérent l'^(’nutlP^ts
LBniusau’auatfl’0/ri'eV,par bonds m,cce's*
Cter 'de la voie du chemin
tnrorîiîanU^8* ^ Pied de Colline, S'u-
,ce ^us(iu’à ,a route de Com-
vINL 7^8,Conduisant au sommet.
La ir*n(>s mitrailleuses ne restaient
psir,actifs et faisaient des vides multi-
■iPj dans les rangs ennemis qui, d’après
Xiouyelle. méthode adoptée se suecé-
laient a intervalles de 10 à 20 mètres.
■ Chaque fois que les assaillants se rele-
pfent pour effectuer en rampant un nou-
Bau bond, ils étaient décimés et obligés
B se coucher de nouveau.
[Malgré toute l’énergie que les officiers
[ettatent % pousser leurs hommes en
Bgm, c*te première attaque échoua
[mple^enient. Les survivants, imputa-
nte ,& aborder nos premières lignes,
fc’éîit obligée de se r’eplior et de so laisser
[tajsqr jusqu’au bas de la pente et de
[ércher un abri dans le talus de la 1
Bute et de la voie ferrée.
■C’ëst là que des contingents nouveaux,
[îlenés des trahehées voisines, vinrent 1
m, renforcer pour tenter une seconde
[laque qui, inenée de la mime façon,
Küt pas d’autre effet que d'aggraver
[core leurs pertes. 1
Bn présence de ce résultat, les Alle-
■trias, désireux d’enregistrer à tout prix
[i Suôéès, amenèrent sur la ligne de feu
■ nouveaux contingents, et dirigèrent
[a troisième attaque sur nos lignes à
[ûteur de Combres.
nos tirs de barrage ne purent cette fois
■rôter complètement l’élan des assail-
Rfs, qui parvinrent à prendre nied dans I
B tranchées sur un front de 200 mètres; j i
Ks pe ,progrès réalisé aq prix de pertes <
pglahteé, ne devait être qu’éphémère, j
Es contré-àttaqiie promptement déclan-
Ee surprenait l’ennemi ayant qu’il eût
■ s’organiser contre les positions con-
Eséà par lui, et l’en rejetait aussitôt
Kpfètapient.
U Vialto à* M. Poincaré.
Kirts. -i- Le Président de la Rëpubli- C
E, accompagné du ministre de la guor- <\
■^quitté Paris mardi soir pour se ron- à
l'tt nouyeau à Verdun et dans la ré- I.
El Jprtiflée ffùt, entoure la ville. lia s
Epura loi lecteurs des deux rives de g
in la Meuse et visité tous les corps d’armé
s- If a renouvelé aux troupes ses vives fél
la citations pour leur courage et leur tém
3S cité. Il a remis des croix de la Légio
y d’honneur, des Médailles militaires et de
à de guerre à des officiers, des soui
officiers et des soldats qui s’étaient s
f gnalés, ces jours derniers, par des a<
p* tions d’éclat Au retour, le président e
le le ministre se sont arrêtés au poste d
ts commandement du général Pétain. Il
5, sont rentrés à Paris mercredi
° LES RUSSES EN FRANOE
Marseille. — Le séjour au camp Mira
I1 beau des troupes russes sera de court
durée. Les soldats du tsar, dont la tenu
i est splendide et qui sont supérieuremen
équipée, partiront prochainement, très
prochainement. Mais, déjà, un groupe
ment s’est formé sous le nom des „ AC,
du Soldat russe ». Il se pro^r^ dVntrm
rer ces broves soldats de 'A Cion AE
F*£nce P0^ wmbStre dS
thX atmosphère de eympa
i d^enx 0nr qUi JemPlacer^ Prè:
1 nSifl 1 du possible, le
1 a ^lnidle absentes. On facili
• t^ra i* 1 correspondance entre eux entre
I ™ f leur 9 iarallle 9 leure amis a”
i p^yen ae cartes postales vspéciales en
: I W.HÎ1* rü'sse et française. Il y aura éga-
• le ment une sorte de marrainage où l’on
t acceptera les envoie semblables à ceux qui
) sont faits aux soldats français qui ne
« peuvent, rien attendre des leurs,
’ ii/ maintenant, figurons-nous la belle
i allégresse, l’ardente fierté, le fraternel
. enthousiasme qui éclateront sur notre
. **gno de fou lorsque les solides troupes
msses apparaîtront aux tranchées !
L immense courage de nos soldats sera
’ grandi encore par cette nouvelle manifes
; tation militaire de l’union des Alliés.
I LES ETAT8-UNI8 ET LE8 PIRATES
La Note Américaine.
Washington. — La note à l’Allemagne
est très longue et clairement expliquée
> par l’adresse du président Wilson au
Congrès. Au sujet ou « Sussex », elle dé-
clare que les renseignements qui sont en
pp'rsession du gouvernement américain
j établissent que le « Sussex » fut torpillé
sans avertissement, que la torpille était
(le fabrication allemande et fut lancée
par un sous-marin allemand, fait que
l’on considère comme prouvé.
La note reproduit en substance les dé-
clarations du président Wilson au Con-
grès, Elle conclut : « A moins que l'Alle-
magne n’annonce immédiatement qu'elle I
abandonne ses méthodes d'attaques sous
marines actuelles contre les navires
transportant des passagers et des mar-
chandises, les Etats-Unis n’auront
d’autre choix que la rupture des rela-
tions diplomatiques, »
Un appendice annonce que des officiers I
américains ont trouvé dans le « Sussex » I
des boulons parelLs à ceux qui ont été I
trouvés sur une torpille allemande qui I
est en possession des autorités navales I
françaises de Toulon. s
La Harangue du Président Wilson. ]
Washington. — Voici la fin de la I
harangue adressée par le président Wil-1
son au Congrès :
« Il m’a donc semblé qu’il était de mon I
devoir de dire au gouvernement allemand I
que, s’il persistait dans son intention de I
faire une guerre implacable et sans I
merci aux navires de commerce à l’aide I
de sous-marins, malgré l’impossibilité I
maintenant certaine de faire cette guerre I
en conformité avec ce que le gouverne-1
ment américain doit, considérer comme I
les règles sacrées et indiscutables du I
droit des gens ct comme les préceptes I
d'humanité universellement reconnus, le I
gouvernement américain serait enfi« 1
forcé d’arriver à cete conclusion "
a nlus qu’une seule ligr^ ’i5 l ,/
qu’il puisse adojder d<;.t ^ndu‘|€
gouvernement blb ÏVlUf e
qu’il déclare
upt -/<>pne eos méthodes de guerre
do- *ltl 0 centre les navires transportant
passagers et des inarchandises et
prenne des mesures à cet effet, le gou-
vernement américain n’aura pas d’autre
alternative que do rompre (complètement
les négociations dipJofiiatiques avec le
gouvernement de l’émpire allemand.
» Je suis amené à cette décision avec le
plus gmud regret. Tous les Américains
cousemncie;,ix envisageront avec une ré-
pugnariCe non dissimulée la possibilité
d eu venir à des actes, j’en suis con-
vaincu. Mais nous ne pouvons pas ou-
blier que nous sommes quelque peu et
pur la force dos circonstances, les porte-
paroles responsables dès droits de l'hu-
manité, et que nous ne pouvons pas
rester silencieux, alors que ces droits
semblent être lancés dans lo «majolsirorn»
de cette terrible guerre. Nous devons
agir, nous le devons au respect die no(
propres droits, comme nation^ et à notre
sens du devoir, comme .représentants des
droits des neutres du monde entier.
» Conformément à la conception admise
des droits de L'humanité, nous avons le
devoir de prendre position maintenant
avec la plus grande solennité et avec la
plus grande, fermeté. J’ai donc pris posi-
tion et je l’ni fait avec la certitude que
vous m approuverez et que vous me sou-
tiendrez., Tous les esprits raisonnables
doivent s’unir pour espérer que l’Alle-
magne, qui en d’antres circonstances fut
le champion de toutes les grandes idées ,
pour lesquelles nous combattons dans
l’intérêt de l’humanité, reconnaîtra la i
justice de nos demandes et lies acceptera I
d'ans l’esprit qui les a dictées. » ]
A la fin du discours, les applaudisse-
ments partirent du banc des démocrate®. 1
Les républicains y joignirent les leurs,
puis les démocrates se levèrent et bien- <
tôt mute 1 assemblée debout acclama le i
président. Les applaudisserweuts durèrent 1
jusqu’à la sortie de M. Wilson. i
IAM !
RS ■
oo ?*
& Régionales. j
—-T-r«r—r-— I 0
II
AVIS II
Le Comte Jean et Alice O’Rourke t(
labitar.t à Rontignon, Cottage Henri IV; f
>ar Pau ( Basses - Pyrénées ), n’oni î!
lucune nouvelle do leur soeur de 2
'lowogpoudek, ni de leur famille.
—®
LA JOURNtB DES VEUVES d
^ n .a°u* haut patronage }*
de M. le Préfit dee Basees-Pyrénéee,
iL’Aesoiclfttlon d'Aide aux Veuves de lr
irande Guerre, déclarée d’utilité pu’ -f‘I
fuie par déoaet du 2» février 1916, ' -ell* «
, Paris et présidée par M. le r’ /ondée \
-acroix, ancien vlce-préeider «noéral de tt
upérieur de la Guerre, *»t du Conseil fa
ra*A* ville, de *gj ksjn
a gionoux et des Sections chargés de venir
i- en aide aux Veuves de la région même.
1‘ Conseil d’Administration die Paris
n a décidé de faire organiser dans chaque
s* signes 1116 ^0Uirn^e de v®nte publique d m-
I’ L® Comité de Pau vient donc faire
^ la générosité de tous pour cette
X vente dont le produit ne sortira pas de
» SSUaeyVKT ***aui Vwes
i Angleterre, on a demandé à chacun
la modeste somme de dix centimes et
Soi? £ produii àes militons. Qui ne pour*
raT^ disposer de dix centimes ?
B «'iu?ir^îite y*01* et la ?rosse offrande
3 rîr0Jlt faveur de celles qui sont les
I •rûs d® ^ Coorre, puisqu’elles ont
Î ooLué à la Patrie ce qui leur était le plus
. « cher : lerur soutien, leur guide, te père de
i I leurs enfants.
-1 . V 33 moins fortunés, comme les plus
I riches, porteront dimanche avec fierté la
j I petite croix de Lorraine, cet insigne de
. I la Journée des Veuves, qui leur donnera
51 la douce satisfaction d’avoir contribué à
II l’oeuvre commune de secours aux gran-
. I des victimes de la guerre.
J LE COMITE DE PAU.
* I —
I RENSEIGNEMENTS MILITAIRES
I/e ministre de la guerre vient d’infor-
| m«r les généraux commandant les ré-
I gions, qu’Tl avait décidé d'accorder des
I permissions de qniatro jours aux hommes
I OA troavant da 11» los dépôts, à partir du
I 20 avril jusqu'au 10 mai.
I T évacuations d’un hôpital sur un
I autre, dans les limites du territoire, no
I peuvent être prescrites que dans les cas
I suivants :
I ui*° ^éccssité de procurer au malade ou
I blessé des soins qu’il ne peut trouver
I dans la formation sanitaire où il est hos-
I pitalisé ;
i 2° Militaires amputés d’un membre ou
I ayant perdu un oeil par énucléation ’hé-
I ou paraplégiques ;
3° Blessés ou malades rapatriés d’Alle-
I magne et dont l’état comporte encore un
I traitement hospitalier ;
I *° Malades ou blessés en traitement de-
I puis un an au moins( a l’exception do
I ceux atteints do troubles nerveux) sans
I lésions matérielles ;
I ri, P®ur la 3e fois ;
I 6 Militaires, blessés ou malades, pères
I d au moins quatre enfants ; v
I , 70_Militaires malades ou blessés qu’il
| 8 do réu/nir dims un mémo hôpital
I avec eur père, fils ou frère également
I malade ou blessé.
—
AU 0DMMI88ARIAT CENTRAL
M. Inssaugire-tto, notre nouveau Com-
missaire central, a pris aujourd’hui pos-
session do ses services. 1
Nous lui reitérons nos souliaits de bien,
venue'. *
——
| UN MORT
AU BOULEVARD BARBANÊGRE
On a trouvé, hier après-midi, sur le
talus du Boulevard Barbanègre, le coda-
aamrné Pa.scal Marco! 4S ans, oS-
\riicr a 1 usine à gaz de notre ville.,
Après enquête de la police et examen
du médecin légiste, il a été reconnu que
e malheureux avait succombé à une run-
ture d’anévrisme. e
II laisse une veuve avec 6 enfants.
—^—
LE8 GAPRIOES D'ANASTASIE
,ALa|Ccn^re nous a supprimé, hier soir,
le fait-divers suivant que noue
matin dans « La Dér>6^' ."OOiiS CO
TENTA- P ',l« ” :
,PA - -«iVE DE SUICIDE. - Le nom-
dat fll,x liai^ infirmier .à Pair,
a tenté de se su'clder en avoJdnt le con-
tinu dune fiole de Laudanum. Transporté
aussitôt u l’hôpital, il a reçu des soins
empressés rjrui ont enrayé immédiate-
ment les funestes effets du poison. L’état
aiu désespéré est des plus sattafai&ahis.
BIBLIOTHÈQUE POPULAIRE DE PAU
AVIS ;
n-K.-1'*(icfasio^dos congés de Pâques, la !
Bibliothèque Populaire sera fermée le
jour de Pâques et le dimanche 80 Avril ]
A L'ORDRE DU jÔÜft ;
Notre compatriote, Henri Espelette, «
aons-lieutenant au 18e d’infanterie; vient \
d être cité à l’ordre du jour dans les ter- <
mes suivants : ‘
« Chargé lo 4 avril 1910 de tendre une i
embuscade en avant de nos lignes par t
une nuit obscure, s’est heurté à de fortes
patrouilles allemandes. Avec un coutügè
et un sang-lroid dignes d’élogw, à fait \
prendre à sa troupe lea plus heiureuses 1
dispositions, à engagé un combat au *
fusil et à la grenade, et a mis en fuite i
1 ennemi qui a dû laisser un mort sur lo 1
terrain. Avait déjà, au mois dé février, f
exécuté de nuit une reconnaissance très *
hardie des ouvrages avancés de l’ennemi f
et avait rapporté des reneeigiTèments très !
précis. » £
Cotte citation comporte l’attribution S
de la Croix de guerre, ï
Le sous-lteuitenant Espelette est le ré- [
Pifté demi d’ouverture de la Section Pa* ü
loise. Joueur de foot-ball de premier or-
rire, c’est aussi le meilleur camarade II C
ne compte qiue des sympathies à Pau et V
ses nombreux amis Se réjouiront de la p
[jello distinction dont il vient d’être u
[objet. “ ’ /|
Nous luii adressons nos vives félici- D
utious. g
A ce sujet, rendons hommage, une .fois ri
mcore, a notre vaàllante société u Là
section Paloise » qui, depuis le début do
a guerre, a donné tant d’exemples d’ab- U
légation, do bruvourç «t d’héroïsme, el
■ "• b
P00T-BALL RUGBY JJ
Dimanche prochain, lé public nalort e*t H
mivié à un grand materSo ï-Sgby qui d«
lé lea, <(iniipe« premières d1
Bâcquoise et de la
Sî riA in r «^Ailique ter-
d© la Croix-dû^-Prince. ti
Le quinze landais s’est classé cette sai- tfi
•on parmi les meilleurs clubs français d<
^“brnîSff frîlîl?hi ““ H?n« redoutable K
ttrrtiiiSi 1 Gdtehemurra.ïnternationol.i «
rtra3 avi1l’“ta'0mi^ ^ « 1» J
»irff^OElSlr 9 ,ots ««'étonné, B'en-; pi
6 avec So 11 partenaire dé cc
SSiuT' deoit*. i 1''
uAEîr“s irpi6- £
par leur vitesse. ’ dange-
ôrdelais0^0^) °du du Stade i
lub, du Sportm " Bordeaux-Etudiants ; ®*
>mment de J” .^g-Club Aviation et ré- , J*
l pôtnts ’ Union Sportive Paloise par \ Ç
Le v - e 0. t «
f team landais se déplacera aiu grand > a!
omalet ôt fea rencontre avec la Section j ni
3ârotae s'annonce comme le « great A<
vent » sportif die la saison de rugby
915-lôiA ' • • - ' «
Prik de^ Pkcwi : Lôiÿs ; 1 fr, W ; Tri-
wtteS, i ft*. j Pelôttaê, () fr. 60 : Tribunes
filitairee, 0 fr. 50 ; Pelouse (militaires et J JJ
solaire*), 0 fr. 25. f P
| Héolame du SAMEDI 22 Avril 1916
I-ZS33BT—■ ' ■■ tt.'Vg.I l. ■U. — 11 .a. ■ ."I» 1 g» —.-F.- w. ■■ vmmrmW ' n 111 P1 ■ I. I».
JOLI 0HAPELIER pour dames, benga- '
line, coiffant très seyant noir, cham-
pagne, marine.
Le chapelier g.26
CHAPELIER sôuple bengaline piquée,
garni côtelé soie, belle qualité, pour
dames et fillettes, tous coloris.
Lo chapelier 4.50 et 4 »»
FORME CANOTIER riz pour dames,
noir, marine et blanc.
La forme 2»»
GRANDE FORME CAPELINE riz fin,
pour dames et jeunes filles, noir et
marine.
La forme 3,50
BOTTES à boutons chevrette glacée
jaune, pour dames, forme américaine,
, très chaussante.
La paire 12 »;>
BOTTES à boutons, chevrette glacée
jaune, forme mode pour hommes.
La paire 12»»
RUBAN satin diamant toutes teintes
mode, n0 80.
Lo mètre 1 »»
FAILLETINE souple pour modes, toutes
teintes et noir n° 80.
Le mètre 0.90
JEAN-BART paille Canton calotte boule, 1
garni velours noir et ruban bleu ma-
rine, pour garçonnets et fillettes.
Lo Jean-Bart 3.75
OANOTIERS rustic, galon côtelé, forme
mode, pour messieurs et jeunes gens.
Le canotier 3,75
COL fantaisie pour dames, organdi
blanc, rose, bleu Joffre, ou lilas, for-
mes variées.
Lo col o.90
GUIMPES tulle uni, ou point d’esprit,
col droit baleiné, monté jour, se fait
en blanc, noir ou crème.
La guimpe 1.50
CEINTURES cuir, verni noir pour da- I
mes et enfants, 4 7» do largeur.
La ceinture 0.75
JUPON tussor naturel, haut volant*
plissé plat.
Le jupon 8-50
JUPON percale pékin, haut volant
plissé, garni bandes travers, noir et
blanc, et marine et blanc,
Le jupon 3 »»
BLOU8E batiste noiro manches raglan,
col mode plissé.
La blouse 6.50
BLOUSE percalo pékin, manches raglan,
col et garnitures piqué blanc, nuance»
moda
La blouse 3 »»
CULOTTE coton mercerisé, jarretière
choux ruban teintes mode, grand teint.
La culotte 3.25
BAS mousseline, nuances mode, talon»
et semelles renforcés.
Au choix. La paire 1.7S
CHAUSSETTES coton noir ou rayure»
fantaisie, talons et semelles doubles,
article d’usage.
Au choix. La paire 1.25
FAUX-COLS percale très fine, bien tri-
plée, toutes formes nouvelles, hauti
rabattu.
Le faux-col C/,S
CRAVATE A NOUER grande forme, so a
fantaisie, nuances mode.
La cravate 2.75
REGATE monture cellule ou tour de cou
soio fantaisie couleur.
La régate 2 >»
CANNE nouveauté pour Messieurs t,
jeune» gens, frêne, jonc ou fnçoq
ébène et piment.
La canne 4.'‘9
TAILLBQ.lt POPB MESSIEDaS — TAÜLSPa POU! 0AMSS
* • JW*
A 1 occasion de Pâques aura lieu sur
le terrain de la Ligue d’Education Phy-
sique à Jurançon une magnifique partio
de rugby qui mettra aux prises les équi-
pes premières du Sporting-Club Aviation
et de 1 Union Sportive Paloise.
On a déjà vu, dans ses match avec la
Section Paloise, que le S. G. Aviation
était en grand progrès puisqu’il a môme
battu une fois cette dernière. Dans sa
ferme volonté de vaincre il a encore fait
un effort et Sô jirésentera devant l’Union
avec un quinze remarquable et bien en-
traîné.
De son côté le team do l’Union, vain-
Sueur de la Section Paloise et du Club
lympiquo Tarifais, fera son possible
pour ajouter une victoire à la liste déjà
longue do ses succès et nous sommes sûrs
que nos jeune» Diables-Rouges nous
feront assister une fois de plus à du beau
rugby.
La partie sera âprement disputée mais
toute amicale et des plus courtoises. Nous
espérons que tous les fervents du ballon
ovale se rendront en foule sur lo terrain
do la Ligue pour encourager nos jeunes
footballeurs.
Le coup d’envoi sera sifflé à 2. h. 3/4.
Prix de» places. — Tribunes, 0 fr. 50 ;
Pelouses, 0 fr. 25.
——
COMPAGNIE DE8 CHEMINS DE FER
DU MIDI
L’Assemblée générale des Actionnaires
de cette Compagnie a eu lieu le 14 avril
dernier. Elle a entendu la lecture du rap-
port du Comseil d’Administration qui
renferme d’intéressants renseignements
Sur l’exploitation du réseau pendant
l'exercice 1915.
Los recettes ont dépassé 141 millions.
Elles présentaient) par rapport à l'exer-
cice 1914, une nugmèntatldu de près d(3
6 millions. Mais elles n’en restent pàd
moins, en raison des hostilités, inférieu-
res de 16 millions à celtes de 1913. L’amé-
lioration, (lu trafic s’est, manifestée à
partit 1 Hti moment Ôù U a. été possible
d’organiser un service hfiftwix .adapté prix
transactions commerciales. Lo dévelop-
pement considérable qui a été donné aux
établissements de la guerre situés sur le
réseau du Midi et la création, dans lo
Sud-Ouest, d’importantes industries tra-
vaillant pottr la Défense Nationale ont
largement contribué à l’aceroissdment
J,ôs transports. Par contre, la récolte de
1915 ayant été des plus médiocres, no-
;dmfilent celle des vins, les recettes s’en
>ont naturellement ressenties. G’e^t ainsi
jue les transports de marchandises accû
sent un fléchissement do 10 millions par
'apport à 1913, bien que par rapport à
I9i4, les recettes soient de ce chef en
LUgmentatioti de 4 millions et demi.
Là Compmgniô du Midi a continué à
lonneir à J'administration, de ,1a guerre
’aido la plus désintéressée, Le perfeé-
ionnement de son outillage lui a permis
Lo développer la production (les muni-
ions. D’autre part, elle a mis à la dlspo-
lition des fabriques d’explosifs la force rno-
riee dç son usine d» Soulom. Enfin, ello
1 souscrit bout* utle su mine de il millions
t l’emprunt de guerre du mois de décem-
ire diernier et elle n’a cessé de placer scs
lisponibilités de trésorerie en Bons de la
ïétemso ; ses achats successifs en ont
ait passer pour 117 millions do francs
lans son portefeuille.
Dan» up ordre d’idées analogue, cette
iompugniie, soucieuse de restreindra,
emploi de3 Billets de Banque daas ses
aiements. a fait accepter par ses four-
isseurs et entrepreneurs comme par ses
.ctionnaires et Obligataires le mode de
aiement par virements sur la Banque
e France. Cette innovation a donné des
èsuttats intéressants (pour les finances
italiques.
De nouvelles mesures ont ôté prises par
1, Compu^rdè «u faveur de son personnéî
i aux Indemnités de natures diverses ai-
mées à tou» le» Agents dans le temps de
oix pour cherté de vie, charges de là-
lille, maladies, etc., aux gratifications j
i primes, sont venues s'ajouter des in- j
Binnités nouvelles poiur renchérissemient I
u pain aihsl qps des allocations excep- {
onuçlles dans les localités où le prix de (
«telle» â subi Plie augmentation par- j
culièrement élevée du fait (tes circons* j
mees. Quant aux Agents mobilisés ayant l
ss charges de famille, ils continuent à t
nocher soit la solde entière? soit la demi-
ddô, suivant les cas. La Compagnie en
>le périodiquement à ceux qui sont pri-,
►nniers de guerre des vêtements,ou des
avisions, Enfin, elle accorde dés se-
nirs aux familles de ses agents tués à
înaiemi ou décédés de maladies contràc-
os en campagne, de même qu’aux pa-
*nt‘B des prisonniers de guerre, privés de
«sources. , . 1
En terminant son exposé, le rapport
gnale « le zèle, et le déivauement inlassa- ç
«s que* les fonctionnaires et agents du •
idi ont apportés dans l'accomplissement (
3 leur devoLr ». Tous les service» ont été
tsurés sans défaillance. Le Conseil d'Ad-
dnistration a adressé, au nomt de L’As-
wnbléè, toutes se» félicitations à ceux de
•g Agents qui combattent au front et s’y ^
induisent si vaillamment, II, a donné un
wyettir ému à ceux qui sont tombés sur *
> champ de bataille et envoyé à leurs
imilles l'expression de sa profonde sym-
athie. \
BAZARS 9gfttSIEN TERRÉ
Htonrtl TC* SD Vt .Wt ËC «Wooo«»aar
A l’occasion des Foires de Pâques
Grande Réclâme Samedi 22 et Lundi 24 Avril.
PAPETERIES 50 feuilles et 50 envelop-
pes, beau papier vergé.
Lu boite t,; 1.45
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Le stylo../.,., o.70
PARAPLUIE8 pour Dames et Messieurs,
tringle acier, article d’usage.
Lo parapluie 4.45
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Bretonnes ». Le pain 0.35
La boîte de 3 pains 0.90
OABAS JAPONAIS forme réticule, don*
blés toile fantaisio.
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GANTS po il’ dames, coton blanc et
couleur, 2 pressions. La paire.. 1.49
JEAN-b^PT pour enfant, piqué blanc,
envers bleu, ruban aveè inscription.
Le chapeau 2.75
JUPONS moirés, coloris variés, grand
volant plissé.
Le jupon 5.95
CHEMINS DE FER DU MIDI
La Commission du Réseau du Midi a
l’honneur d’informer le Public qu’en
raison des difficultés croissantes rencon-
trées duns l’approvisionnement du çom-
bustible, le nombre des trains de voya-
geurs sera réduit, *> partir du 1er mai
prochain, sur la presque totalité des li-
gnes du réseau exploitée» au moyen de lu
traction à vapeur.
Pour atténuer les conséquences de cette
mesure, les voyageurs seront admis en
fie classe dans un certain nombre de
trains de marchandises. Dès que les cir-
constances en donneront la possibilité
lo régime djourd'hui, sera remis eri vigueur, soit en
totalité, soit par périodes eucoossives.
ONEMÀ^PÀLACE
Du mercredi au dimanche, Représen-
tation* à 8 h. 8/4 ; Matlnéee, jaudit, di-
manches et Fêtes à 8 heures.
Changement de programme tmis les
mercredis.
ORTHEZ, — Surtaxe eur l'aloool à
la promulgation dô la loi cl-après :
l’Octroi. — Le « Journal officiel » publie
Article premier. — Est al/te risée la
pCirbe^tion jusqu’au fil décembre 1920
înclusivenuënî, h l’octroi d’Orthez, d’iuie
surtaxe de G freines (0 fr.) par hectolitre
d’alcool pur contenu dans fe» eux-do-vie,
osprits, liqueurs, fruits à l’eau-de-vio et
antres li més, ;
Grttte surface est indépendante du droit
de 9 fr. établi à titre (Je taxe principale. 1
Art. 2. — I^Î produit de U surtaxe au- [
toriséo par l’article précédent est spécia- n
lement affecté au payement des dépenses ;
die l’assistance aux vieillards, infirmes et
incurables. L’administration locale sera
tenue de justifier, ohauue année, au pré-
fet, de l’emploi de ce produit, dont un
compte général, tant en recette qu’en dé-
pense, devra être fourni à l’expiration du
délai .fixé par la présente loi.
OLORON. — Nos compatriote» au feu. f
Ceux qui se distinguent.
Le docteur Oirt, de Louvie-Juzon, aide- •
major de Ire classe au 9e bataillon de î
cbasseiu's, s’est distingué tout partie»- «
lièrcmênt alE: combats des G, 7 et 8 mars I
1915 (Bagatelle) èt & combat du 29Juin
1915 (ravin de Souvaux). 11 a été cité à j
1 Wdrè du Jour du Régiment pAt' le cote- j
nel die la 2Î>4# tîriffdrhi '
— Le tirai 11 eorr-rn i irai 1 Leu r* Rhosper At-
kin», d’Oloron, s'était distingué U 14
septembre 1914 et sa conduite lui a/voit
valu une citation élogicuso à la date du
27 Janvief d«rnler; cc brave vient de réci- .
diver (*t, le 14 mars (Jeirnier, il a été de j
nooveau cité, non moins élogieusement, ï
eornmé agent de liaison (l’une section de f
mltnaiileu.ses ; }
Nos félicitations au major Ort et au «
mitrailleur Prosper Atkin». j
—-'O/—
BULLETIN MËTË0R0L08IQUE
Observations de la Maison DAIGNAS,
14, rue Alexandre-Taylor.
Vendredi 21 Avril. *
A neuf heures du matin, Soleil.. + 13°2
A midi, Soleil... +
A trois heures, fteuvert + 18°3 t
Maxima de la journée -f 19°5
Miniima de la nuit. . . + 7°5
Le baromètre eût à 731 m/m en baisse.
b-, ’t)A T
EXTRA! A
des Registres de l’Etat Civil.
Dé»èa.
Bertrand Sacazie, cultivateur, né & La-
runs, 36 ona.
Achille Cam-Chanasende, rentier, né à
Montpellier (Hérault), 68 ans.
Marie GOÜlticq, épouse Ferras, née à f
Lestar, ménogèr, 72 ans.
j Pierre Bourdalé, sans profession, né ù
Geeoau, 7G ans.
Pascnal-Viccnte Marco, né à Estapon»
pravincô de Mûlaga (Espagne), 47 ans.
LUNtfül FUNtBRfc
Mme Veuve Achille CJiau.sserîdo ; M. cfi
Mme Farret (de Béziers) ; M. et Mme
Franco et leurs enfants ; M. et Mm<* Jean
Bonnafon et leurs enfants ; M. et Mme
Jean Brun et leur fiJIo, ont Ja dont leur d«
faire part à leurs amis et C'tnnnjssanccs
de la perte cruedio (ju’ils vienm ;it (i’é-
preu/ver en la porwmne de
Monsieur Achille Cam. CHAUSSENDE
et vous prient do bien vouloir assister h
: ses obsèques qui auront lieu en l’églis»
/ Notre-Dame le lundi Zi courant, à fit h.
• On se réunira à la maison mortuaire,
20, rue Portenouvo, à P heures 1/2.
I>es Dames sont priéos- de se rendre di-
rectement à F église.
Vu les circonstances, A1 présent avîê
i (tendra lieu de lettre de faire port,
i On est prié de n'apporter ni fleurs ni
couronnes.
i—«lyreitM,!
> OBSÈQUES
Les Membres (fe Ja Société de Secouri
Mutuels » la lTnion Espafiola » de Pau
sont priés d’assister aux obsèques (j,-*
sodétairo
Paecual MARCO
qui auront lieu samedi 22 avril à 2 h. 1/2.
Réunion au domicile, fi, rue Itellooq.
REMERCIEMENT
Mme Yfanve Maurice Garrot ; M. AimCI
Garrot, aux Années, et Mme Aimé Gar-
rot ; M. Henri Garrot, aide-major aux
Armée», Mme Henri Garrot et leur» en-
fants ; Mme Gabilten née fiai rot, M. Ca-
billon et leimj entants ; MJle Anna Car-
rot, remercient bien sincèrement tes per-
sonnes (jui leur ont fuit l'honneur d^is*
sister aux obsè<|ues dé
Monsieur Maurleae QARRfUT
Notaire,
Préeldent de la. Ch&mh* deK Notalrê»
de l’aiTondissemenf de J’ort,
Décoré de la àlédaille de 187®
et d« la Médaille dTta'b*,-
(•MfclWt-.î*- ■> .. vt, H,
UN JOLI BADEAU DE PAQUES
pour voe Amis en Angleterre.
KaUte an d Fanclee from the Pyrénées
pas Alfred EMBJRRSON
Publié au berîéfice de la Croix-Rouge.
Prix seulement : 3 fr. 50.
Llbrairlee : Pédcutour, 9, Ptepe drifia-
lais-de-Justice ; Lufon, 3, vn# Henn IV.
FAMILLE PROTESTANTE demande
Gouvernante sérieuse très recommandée,
aimant la campagne, pour enseigner
français, piano. C. S. Bureau de i’ « in-
dépendant ».
PERDU Chienne Samoyèdc entièrement
blanche, puils longe, beau paiiache, nez
marron, munie d’un collier avec adresse.
— Prière la ramener à la Préfecture, —
Récompense.
ON DEMANDE des Mouleurs et des
Oeueeure pour Machino Blacke. — S'a-
dresser.chez M. teibitte, fabrique de san-
dales, 40, rue Gassiee, Pau.
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A LOUER GARAGE pour Autos. —
Adressé au journal.
EMPLOYE connaissant Epicerie ou Dro-
guerie est demandé. — Droguerie Solle-
nave, Pau.
, .M. «—IW»
Pau •— Imprimerie Garet-IIaristoy.
Le Gérant : Maurice SONGEUX,
>r
foi» le£ deux langues dans les écoli
des dto pays. Et sir Choies; Henr
'riépdïtf libéral, qui a perchiyson flls
ila guerre, nous a développé, en u
discours émopvant les raisons impi
rieuses qui doivent, au lendemain ci
la guerre, pousser nos gouvememeni
à creuser le tunnel sous la Manchi
oui sera comme le symbole du rappr
chôment définitif de nos deux grande
démocraties.
Marcel CACHIN*
A la Chambre.
Séance du 20 Avril.
La Chambre a abordé la discussioi
lu projet, modifié par le Sénat, sur h
taxation des denrées et autres subs
tances. La commission conclut l
l'adoption sans modifications du
projet voté par le Sénat. Les divers
articles du projet sont successivomr,n
adoptés, ainsi qu’un projet prés^nU
par M. Malvy, ministre de lTnt&rieur,
tendant à taxer le lait, le beurre et lef
fromages, et une addition proposé
pan M. Gamuzet, concernant la taxa
tio/u des tourteaux destiCiAs à la nour-
riture du bétail.
On renvoie ensuit^ à ja prochaine
séance la suite de la discussion sur lef
loyers et on aborde la discussion du
projet tendant ci apporter certaines
modifications dans l’exercice des fran-
chises postales accordées aux troupes
en campagne. Le rapporteur fait con-
naître que la Commission des Postes
contrairement à l’avis du gouverne-
îfKmt, refusé absolument de restrein-
dre en quoi que ce soit la franchise
postale accordée aux militaires tant de
1 mtérieur que de la zone des armées,
fja commission propose de refuser la
gratuité a la correspondance d’ordre
«commercial et financier et aux papiers
cfaffaires, journaux, imprimé et
échantillons^ Des débals s'ôtait élevés
& propos d’amemlements présentés
par M. Mistral, M. Sern.bat, ministre
des Travaux Publies, demande lo
renvoi h la commission, qui est ordon-
né.
SÉNAT
Séance du 20 Avril.
M. Clémcntel dépose le projet de loi
complémentaire relatif au ravitaille-
ment de la population civile.
Al. Aimond dépose un rapport ten-
dant à ouvrir un crédit extraordinaire'
AU Ministère de l’Intérieur pour sub-
ventions aux départements envahis.
A la demande de plusieurs séna-
teurs, la proposition de loi tendant à
!''promettre au gouvernement (l’avancer
par décret l’heure légale est renvoyée
aux bureaux.
Le Sénat no paraît pas prendre au
séneux cette proposition à lauuellc il
test visiblement hostile. j
I On vote ensuite un projet autorisant j
fie gouvernement à nrohiber l’entrée
[des marchandises étrangères et à
tenter les droits de douane, par
Wécret, pendant ia durée de la guerre.
NuriiiiiiuiiinHiiiiiii
f DEVANT VERDUN
Aux Dpargee,.
L -le% “ttaaut violente sur
lîf t ,le? AJle-jiantl» ont étendu
P® front u6 bataille Oui. iusou’ici
tait environ 40 ^VoAl Avocom
lïiftfSüîp J? ni5*. Meuse, au sud de Mou-
ihèïrel ’t P- ~ dune dl*alrtô dô kito-
EîSrïSL _EPargcs constituent un épe-
Ln^aViftCé.de 8 Hauts-dé-Meuse dont elles
KîlJKp-a#rée3i u 1 ouost> Par un ravin
tal?di 3 (ïue« vers *estâ elles do-
minent la plaine de Woëvre.
I Dans leur attaques furleus & du Î0 aux
ESSrttTde6Sia ^ d(’s Jes Pondères
lurs rafflW H'^Mnéc’ avait multiplié
Burs ramies d artillerie sur nrerrdè
le» lignes de tranchées. Aprte cefte nréi
PnbM.ntiîlrae,!!.ie mainton“‘ classjquo
lomnlencérent l'^(’nutlP^ts
LBniusau’auatfl’0/ri'eV,par bonds m,cce's*
Cter 'de la voie du chemin
tnrorîiîanU^8* ^ Pied de Colline, S'u-
,ce ^us(iu’à ,a route de Com-
v
La ir*n(>s mitrailleuses ne restaient
psir,actifs et faisaient des vides multi-
■iPj dans les rangs ennemis qui, d’après
Xiouyelle. méthode adoptée se suecé-
laient a intervalles de 10 à 20 mètres.
■ Chaque fois que les assaillants se rele-
pfent pour effectuer en rampant un nou-
Bau bond, ils étaient décimés et obligés
B se coucher de nouveau.
[Malgré toute l’énergie que les officiers
[ettatent % pousser leurs hommes en
Bgm, c*te première attaque échoua
[mple^enient. Les survivants, imputa-
nte ,& aborder nos premières lignes,
fc’éîit obligée de se r’eplior et de so laisser
[tajsqr jusqu’au bas de la pente et de
[ércher un abri dans le talus de la 1
Bute et de la voie ferrée.
■C’ëst là que des contingents nouveaux,
[îlenés des trahehées voisines, vinrent 1
m, renforcer pour tenter une seconde
[laque qui, inenée de la mime façon,
Küt pas d’autre effet que d'aggraver
[core leurs pertes. 1
Bn présence de ce résultat, les Alle-
■trias, désireux d’enregistrer à tout prix
[i Suôéès, amenèrent sur la ligne de feu
■ nouveaux contingents, et dirigèrent
[a troisième attaque sur nos lignes à
[ûteur de Combres.
nos tirs de barrage ne purent cette fois
■rôter complètement l’élan des assail-
Rfs, qui parvinrent à prendre nied dans I
B tranchées sur un front de 200 mètres; j i
Ks pe ,progrès réalisé aq prix de pertes <
pglahteé, ne devait être qu’éphémère, j
Es contré-àttaqiie promptement déclan-
Ee surprenait l’ennemi ayant qu’il eût
■ s’organiser contre les positions con-
Eséà par lui, et l’en rejetait aussitôt
Kpfètapient.
U Vialto à* M. Poincaré.
Kirts. -i- Le Président de la Rëpubli- C
E, accompagné du ministre de la guor- <\
■^quitté Paris mardi soir pour se ron- à
l'tt nouyeau à Verdun et dans la ré- I.
El Jprtiflée ffùt, entoure la ville. lia s
Epura loi lecteurs des deux rives de g
in la Meuse et visité tous les corps d’armé
s- If a renouvelé aux troupes ses vives fél
la citations pour leur courage et leur tém
3S cité. Il a remis des croix de la Légio
y d’honneur, des Médailles militaires et de
à de guerre à des officiers, des soui
officiers et des soldats qui s’étaient s
f gnalés, ces jours derniers, par des a<
p* tions d’éclat Au retour, le président e
le le ministre se sont arrêtés au poste d
ts commandement du général Pétain. Il
5, sont rentrés à Paris mercredi
° LES RUSSES EN FRANOE
Marseille. — Le séjour au camp Mira
I1 beau des troupes russes sera de court
durée. Les soldats du tsar, dont la tenu
i est splendide et qui sont supérieuremen
équipée, partiront prochainement, très
prochainement. Mais, déjà, un groupe
ment s’est formé sous le nom des „ AC,
du Soldat russe ». Il se pro^r^ dVntrm
rer ces broves soldats de 'A Cion AE
F*£nce P0^ wmbStre dS
thX atmosphère de eympa
i d^enx 0nr qUi JemPlacer^ Prè:
1 nSifl 1 du possible, le
1 a ^lnidle absentes. On facili
• t^ra i* 1 correspondance entre eux entre
I ™ f leur 9 iarallle 9 leure amis a”
i p^yen ae cartes postales vspéciales en
: I W.HÎ1* rü'sse et française. Il y aura éga-
• le ment une sorte de marrainage où l’on
t acceptera les envoie semblables à ceux qui
) sont faits aux soldats français qui ne
« peuvent, rien attendre des leurs,
’ ii/ maintenant, figurons-nous la belle
i allégresse, l’ardente fierté, le fraternel
. enthousiasme qui éclateront sur notre
. **gno de fou lorsque les solides troupes
msses apparaîtront aux tranchées !
L immense courage de nos soldats sera
’ grandi encore par cette nouvelle manifes
; tation militaire de l’union des Alliés.
I LES ETAT8-UNI8 ET LE8 PIRATES
La Note Américaine.
Washington. — La note à l’Allemagne
est très longue et clairement expliquée
> par l’adresse du président Wilson au
Congrès. Au sujet ou « Sussex », elle dé-
clare que les renseignements qui sont en
pp'rsession du gouvernement américain
j établissent que le « Sussex » fut torpillé
sans avertissement, que la torpille était
(le fabrication allemande et fut lancée
par un sous-marin allemand, fait que
l’on considère comme prouvé.
La note reproduit en substance les dé-
clarations du président Wilson au Con-
grès, Elle conclut : « A moins que l'Alle-
magne n’annonce immédiatement qu'elle I
abandonne ses méthodes d'attaques sous
marines actuelles contre les navires
transportant des passagers et des mar-
chandises, les Etats-Unis n’auront
d’autre choix que la rupture des rela-
tions diplomatiques, »
Un appendice annonce que des officiers I
américains ont trouvé dans le « Sussex » I
des boulons parelLs à ceux qui ont été I
trouvés sur une torpille allemande qui I
est en possession des autorités navales I
françaises de Toulon. s
La Harangue du Président Wilson. ]
Washington. — Voici la fin de la I
harangue adressée par le président Wil-1
son au Congrès :
« Il m’a donc semblé qu’il était de mon I
devoir de dire au gouvernement allemand I
que, s’il persistait dans son intention de I
faire une guerre implacable et sans I
merci aux navires de commerce à l’aide I
de sous-marins, malgré l’impossibilité I
maintenant certaine de faire cette guerre I
en conformité avec ce que le gouverne-1
ment américain doit, considérer comme I
les règles sacrées et indiscutables du I
droit des gens ct comme les préceptes I
d'humanité universellement reconnus, le I
gouvernement américain serait enfi« 1
forcé d’arriver à cete conclusion "
a nlus qu’une seule ligr^ ’i5 l ,/
qu’il puisse adojder d<;.t ^ndu‘|€
gouvernement blb ÏVlUf e
qu’il déclare
upt -/<>pne eos méthodes de guerre
do- *ltl 0 centre les navires transportant
passagers et des inarchandises et
prenne des mesures à cet effet, le gou-
vernement américain n’aura pas d’autre
alternative que do rompre (complètement
les négociations dipJofiiatiques avec le
gouvernement de l’émpire allemand.
» Je suis amené à cette décision avec le
plus gmud regret. Tous les Américains
cousemncie;,ix envisageront avec une ré-
pugnariCe non dissimulée la possibilité
d eu venir à des actes, j’en suis con-
vaincu. Mais nous ne pouvons pas ou-
blier que nous sommes quelque peu et
pur la force dos circonstances, les porte-
paroles responsables dès droits de l'hu-
manité, et que nous ne pouvons pas
rester silencieux, alors que ces droits
semblent être lancés dans lo «majolsirorn»
de cette terrible guerre. Nous devons
agir, nous le devons au respect die no(
propres droits, comme nation^ et à notre
sens du devoir, comme .représentants des
droits des neutres du monde entier.
» Conformément à la conception admise
des droits de L'humanité, nous avons le
devoir de prendre position maintenant
avec la plus grande solennité et avec la
plus grande, fermeté. J’ai donc pris posi-
tion et je l’ni fait avec la certitude que
vous m approuverez et que vous me sou-
tiendrez., Tous les esprits raisonnables
doivent s’unir pour espérer que l’Alle-
magne, qui en d’antres circonstances fut
le champion de toutes les grandes idées ,
pour lesquelles nous combattons dans
l’intérêt de l’humanité, reconnaîtra la i
justice de nos demandes et lies acceptera I
d'ans l’esprit qui les a dictées. » ]
A la fin du discours, les applaudisse-
ments partirent du banc des démocrate®. 1
Les républicains y joignirent les leurs,
puis les démocrates se levèrent et bien- <
tôt mute 1 assemblée debout acclama le i
président. Les applaudisserweuts durèrent 1
jusqu’à la sortie de M. Wilson. i
IAM !
RS ■
oo ?*
& Régionales. j
—-T-r«r—r-— I 0
II
AVIS II
Le Comte Jean et Alice O’Rourke t(
labitar.t à Rontignon, Cottage Henri IV; f
>ar Pau ( Basses - Pyrénées ), n’oni î!
lucune nouvelle do leur soeur de 2
'lowogpoudek, ni de leur famille.
—®
LA JOURNtB DES VEUVES d
^ n .a°u* haut patronage }*
de M. le Préfit dee Basees-Pyrénéee,
iL’Aesoiclfttlon d'Aide aux Veuves de lr
irande Guerre, déclarée d’utilité pu’ -f‘I
fuie par déoaet du 2» février 1916, ' -ell* «
, Paris et présidée par M. le r’ /ondée \
-acroix, ancien vlce-préeider «noéral de tt
upérieur de la Guerre, *»t du Conseil fa
ra*A* ville, de *gj ksjn
a gionoux et des Sections chargés de venir
i- en aide aux Veuves de la région même.
1‘ Conseil d’Administration die Paris
n a décidé de faire organiser dans chaque
s* signes 1116 ^0Uirn^e de v®nte publique d m-
I’ L® Comité de Pau vient donc faire
^ la générosité de tous pour cette
X vente dont le produit ne sortira pas de
» SSUaeyVKT ***aui Vwes
i Angleterre, on a demandé à chacun
la modeste somme de dix centimes et
Soi? £ produii àes militons. Qui ne pour*
raT^ disposer de dix centimes ?
B «'iu?ir^îite y*01* et la ?rosse offrande
3 rîr0Jlt faveur de celles qui sont les
I •rûs d® ^ Coorre, puisqu’elles ont
Î ooLué à la Patrie ce qui leur était le plus
. « cher : lerur soutien, leur guide, te père de
i I leurs enfants.
-1 . V 33 moins fortunés, comme les plus
I riches, porteront dimanche avec fierté la
j I petite croix de Lorraine, cet insigne de
. I la Journée des Veuves, qui leur donnera
51 la douce satisfaction d’avoir contribué à
II l’oeuvre commune de secours aux gran-
. I des victimes de la guerre.
J LE COMITE DE PAU.
* I —
I RENSEIGNEMENTS MILITAIRES
I/e ministre de la guerre vient d’infor-
| m«r les généraux commandant les ré-
I gions, qu’Tl avait décidé d'accorder des
I permissions de qniatro jours aux hommes
I OA troavant da 11» los dépôts, à partir du
I 20 avril jusqu'au 10 mai.
I T évacuations d’un hôpital sur un
I autre, dans les limites du territoire, no
I peuvent être prescrites que dans les cas
I suivants :
I ui*° ^éccssité de procurer au malade ou
I blessé des soins qu’il ne peut trouver
I dans la formation sanitaire où il est hos-
I pitalisé ;
i 2° Militaires amputés d’un membre ou
I ayant perdu un oeil par énucléation ’hé-
I ou paraplégiques ;
3° Blessés ou malades rapatriés d’Alle-
I magne et dont l’état comporte encore un
I traitement hospitalier ;
I *° Malades ou blessés en traitement de-
I puis un an au moins( a l’exception do
I ceux atteints do troubles nerveux) sans
I lésions matérielles ;
I ri, P®ur la 3e fois ;
I 6 Militaires, blessés ou malades, pères
I d au moins quatre enfants ; v
I , 70_Militaires malades ou blessés qu’il
| 8 do réu/nir dims un mémo hôpital
I avec eur père, fils ou frère également
I malade ou blessé.
—
AU 0DMMI88ARIAT CENTRAL
M. Inssaugire-tto, notre nouveau Com-
missaire central, a pris aujourd’hui pos-
session do ses services. 1
Nous lui reitérons nos souliaits de bien,
venue'. *
——
| UN MORT
AU BOULEVARD BARBANÊGRE
On a trouvé, hier après-midi, sur le
talus du Boulevard Barbanègre, le coda-
aamrné Pa.scal Marco! 4S ans, oS-
\riicr a 1 usine à gaz de notre ville.,
Après enquête de la police et examen
du médecin légiste, il a été reconnu que
e malheureux avait succombé à une run-
ture d’anévrisme. e
II laisse une veuve avec 6 enfants.
—^—
LE8 GAPRIOES D'ANASTASIE
,ALa|Ccn^re nous a supprimé, hier soir,
le fait-divers suivant que noue
matin dans « La Dér>6^' ."OOiiS CO
TENTA- P ',l« ” :
,PA - -«iVE DE SUICIDE. - Le nom-
dat fll,x liai^ infirmier .à Pair,
a tenté de se su'clder en avoJdnt le con-
tinu dune fiole de Laudanum. Transporté
aussitôt u l’hôpital, il a reçu des soins
empressés rjrui ont enrayé immédiate-
ment les funestes effets du poison. L’état
aiu désespéré est des plus sattafai&ahis.
BIBLIOTHÈQUE POPULAIRE DE PAU
AVIS ;
n-K.-1'*(icfasio^dos congés de Pâques, la !
Bibliothèque Populaire sera fermée le
jour de Pâques et le dimanche 80 Avril ]
A L'ORDRE DU jÔÜft ;
Notre compatriote, Henri Espelette, «
aons-lieutenant au 18e d’infanterie; vient \
d être cité à l’ordre du jour dans les ter- <
mes suivants : ‘
« Chargé lo 4 avril 1910 de tendre une i
embuscade en avant de nos lignes par t
une nuit obscure, s’est heurté à de fortes
patrouilles allemandes. Avec un coutügè
et un sang-lroid dignes d’élogw, à fait \
prendre à sa troupe lea plus heiureuses 1
dispositions, à engagé un combat au *
fusil et à la grenade, et a mis en fuite i
1 ennemi qui a dû laisser un mort sur lo 1
terrain. Avait déjà, au mois dé février, f
exécuté de nuit une reconnaissance très *
hardie des ouvrages avancés de l’ennemi f
et avait rapporté des reneeigiTèments très !
précis. » £
Cotte citation comporte l’attribution S
de la Croix de guerre, ï
Le sous-lteuitenant Espelette est le ré- [
Pifté demi d’ouverture de la Section Pa* ü
loise. Joueur de foot-ball de premier or-
rire, c’est aussi le meilleur camarade II C
ne compte qiue des sympathies à Pau et V
ses nombreux amis Se réjouiront de la p
[jello distinction dont il vient d’être u
[objet. “ ’ /|
Nous luii adressons nos vives félici- D
utious. g
A ce sujet, rendons hommage, une .fois ri
mcore, a notre vaàllante société u Là
section Paloise » qui, depuis le début do
a guerre, a donné tant d’exemples d’ab- U
légation, do bruvourç «t d’héroïsme, el
■ "• b
P00T-BALL RUGBY JJ
Dimanche prochain, lé public nalort e*t H
mivié à un grand materSo ï-Sgby qui d«
lé lea, <(iniipe« premières d1
Bâcquoise et de la
Sî riA in r «^Ailique ter-
d© la Croix-dû^-Prince. ti
Le quinze landais s’est classé cette sai- tfi
•on parmi les meilleurs clubs français d<
^“brnîSff frîlîl?hi ““ H?n« redoutable K
ttrrtiiiSi 1 Gdtehemurra.ïnternationol.i «
rtra3 avi1l’“ta'0mi^ ^ « 1» J
»irff^OElSlr 9 ,ots ««'étonné, B'en-; pi
6 avec So 11 partenaire dé cc
SSiuT' deoit*. i 1''
uAEîr“s irpi6- £
par leur vitesse. ’ dange-
ôrdelais0^0^) °du du Stade i
lub, du Sportm " Bordeaux-Etudiants ; ®*
>mment de J” .^g-Club Aviation et ré- , J*
l pôtnts ’ Union Sportive Paloise par \ Ç
Le v - e 0. t «
f team landais se déplacera aiu grand > a!
omalet ôt fea rencontre avec la Section j ni
3ârotae s'annonce comme le « great A<
vent » sportif die la saison de rugby
915-lôiA ' • • - ' «
Prik de^ Pkcwi : Lôiÿs ; 1 fr, W ; Tri-
wtteS, i ft*. j Pelôttaê, () fr. 60 : Tribunes
filitairee, 0 fr. 50 ; Pelouse (militaires et J JJ
solaire*), 0 fr. 25. f P
| Héolame du SAMEDI 22 Avril 1916
I-ZS33BT—■ ' ■■ tt.'Vg.I l. ■U. — 11 .a. ■ ."I» 1 g» —.-F.- w. ■■ vmmrmW ' n 111 P1 ■ I. I».
JOLI 0HAPELIER pour dames, benga- '
line, coiffant très seyant noir, cham-
pagne, marine.
Le chapelier g.26
CHAPELIER sôuple bengaline piquée,
garni côtelé soie, belle qualité, pour
dames et fillettes, tous coloris.
Lo chapelier 4.50 et 4 »»
FORME CANOTIER riz pour dames,
noir, marine et blanc.
La forme 2»»
GRANDE FORME CAPELINE riz fin,
pour dames et jeunes filles, noir et
marine.
La forme 3,50
BOTTES à boutons chevrette glacée
jaune, pour dames, forme américaine,
, très chaussante.
La paire 12 »;>
BOTTES à boutons, chevrette glacée
jaune, forme mode pour hommes.
La paire 12»»
RUBAN satin diamant toutes teintes
mode, n0 80.
Lo mètre 1 »»
FAILLETINE souple pour modes, toutes
teintes et noir n° 80.
Le mètre 0.90
JEAN-BART paille Canton calotte boule, 1
garni velours noir et ruban bleu ma-
rine, pour garçonnets et fillettes.
Lo Jean-Bart 3.75
OANOTIERS rustic, galon côtelé, forme
mode, pour messieurs et jeunes gens.
Le canotier 3,75
COL fantaisie pour dames, organdi
blanc, rose, bleu Joffre, ou lilas, for-
mes variées.
Lo col o.90
GUIMPES tulle uni, ou point d’esprit,
col droit baleiné, monté jour, se fait
en blanc, noir ou crème.
La guimpe 1.50
CEINTURES cuir, verni noir pour da- I
mes et enfants, 4 7» do largeur.
La ceinture 0.75
JUPON tussor naturel, haut volant*
plissé plat.
Le jupon 8-50
JUPON percale pékin, haut volant
plissé, garni bandes travers, noir et
blanc, et marine et blanc,
Le jupon 3 »»
BLOU8E batiste noiro manches raglan,
col mode plissé.
La blouse 6.50
BLOUSE percalo pékin, manches raglan,
col et garnitures piqué blanc, nuance»
moda
La blouse 3 »»
CULOTTE coton mercerisé, jarretière
choux ruban teintes mode, grand teint.
La culotte 3.25
BAS mousseline, nuances mode, talon»
et semelles renforcés.
Au choix. La paire 1.7S
CHAUSSETTES coton noir ou rayure»
fantaisie, talons et semelles doubles,
article d’usage.
Au choix. La paire 1.25
FAUX-COLS percale très fine, bien tri-
plée, toutes formes nouvelles, hauti
rabattu.
Le faux-col C/,S
CRAVATE A NOUER grande forme, so a
fantaisie, nuances mode.
La cravate 2.75
REGATE monture cellule ou tour de cou
soio fantaisie couleur.
La régate 2 >»
CANNE nouveauté pour Messieurs t,
jeune» gens, frêne, jonc ou fnçoq
ébène et piment.
La canne 4.'‘9
TAILLBQ.lt POPB MESSIEDaS — TAÜLSPa POU! 0AMSS
* • JW*
A 1 occasion de Pâques aura lieu sur
le terrain de la Ligue d’Education Phy-
sique à Jurançon une magnifique partio
de rugby qui mettra aux prises les équi-
pes premières du Sporting-Club Aviation
et de 1 Union Sportive Paloise.
On a déjà vu, dans ses match avec la
Section Paloise, que le S. G. Aviation
était en grand progrès puisqu’il a môme
battu une fois cette dernière. Dans sa
ferme volonté de vaincre il a encore fait
un effort et Sô jirésentera devant l’Union
avec un quinze remarquable et bien en-
traîné.
De son côté le team do l’Union, vain-
Sueur de la Section Paloise et du Club
lympiquo Tarifais, fera son possible
pour ajouter une victoire à la liste déjà
longue do ses succès et nous sommes sûrs
que nos jeune» Diables-Rouges nous
feront assister une fois de plus à du beau
rugby.
La partie sera âprement disputée mais
toute amicale et des plus courtoises. Nous
espérons que tous les fervents du ballon
ovale se rendront en foule sur lo terrain
do la Ligue pour encourager nos jeunes
footballeurs.
Le coup d’envoi sera sifflé à 2. h. 3/4.
Prix de» places. — Tribunes, 0 fr. 50 ;
Pelouses, 0 fr. 25.
——
COMPAGNIE DE8 CHEMINS DE FER
DU MIDI
L’Assemblée générale des Actionnaires
de cette Compagnie a eu lieu le 14 avril
dernier. Elle a entendu la lecture du rap-
port du Comseil d’Administration qui
renferme d’intéressants renseignements
Sur l’exploitation du réseau pendant
l'exercice 1915.
Los recettes ont dépassé 141 millions.
Elles présentaient) par rapport à l'exer-
cice 1914, une nugmèntatldu de près d(3
6 millions. Mais elles n’en restent pàd
moins, en raison des hostilités, inférieu-
res de 16 millions à celtes de 1913. L’amé-
lioration, (lu trafic s’est, manifestée à
partit 1 Hti moment Ôù U a. été possible
d’organiser un service hfiftwix .adapté prix
transactions commerciales. Lo dévelop-
pement considérable qui a été donné aux
établissements de la guerre situés sur le
réseau du Midi et la création, dans lo
Sud-Ouest, d’importantes industries tra-
vaillant pottr la Défense Nationale ont
largement contribué à l’aceroissdment
J,ôs transports. Par contre, la récolte de
1915 ayant été des plus médiocres, no-
;dmfilent celle des vins, les recettes s’en
>ont naturellement ressenties. G’e^t ainsi
jue les transports de marchandises accû
sent un fléchissement do 10 millions par
'apport à 1913, bien que par rapport à
I9i4, les recettes soient de ce chef en
LUgmentatioti de 4 millions et demi.
Là Compmgniô du Midi a continué à
lonneir à J'administration, de ,1a guerre
’aido la plus désintéressée, Le perfeé-
ionnement de son outillage lui a permis
Lo développer la production (les muni-
ions. D’autre part, elle a mis à la dlspo-
lition des fabriques d’explosifs la force rno-
riee dç son usine d» Soulom. Enfin, ello
1 souscrit bout* utle su mine de il millions
t l’emprunt de guerre du mois de décem-
ire diernier et elle n’a cessé de placer scs
lisponibilités de trésorerie en Bons de la
ïétemso ; ses achats successifs en ont
ait passer pour 117 millions do francs
lans son portefeuille.
Dan» up ordre d’idées analogue, cette
iompugniie, soucieuse de restreindra,
emploi de3 Billets de Banque daas ses
aiements. a fait accepter par ses four-
isseurs et entrepreneurs comme par ses
.ctionnaires et Obligataires le mode de
aiement par virements sur la Banque
e France. Cette innovation a donné des
èsuttats intéressants (pour les finances
italiques.
De nouvelles mesures ont ôté prises par
1, Compu^rdè «u faveur de son personnéî
i aux Indemnités de natures diverses ai-
mées à tou» le» Agents dans le temps de
oix pour cherté de vie, charges de là-
lille, maladies, etc., aux gratifications j
i primes, sont venues s'ajouter des in- j
Binnités nouvelles poiur renchérissemient I
u pain aihsl qps des allocations excep- {
onuçlles dans les localités où le prix de (
«telle» â subi Plie augmentation par- j
culièrement élevée du fait (tes circons* j
mees. Quant aux Agents mobilisés ayant l
ss charges de famille, ils continuent à t
nocher soit la solde entière? soit la demi-
ddô, suivant les cas. La Compagnie en
>le périodiquement à ceux qui sont pri-,
►nniers de guerre des vêtements,ou des
avisions, Enfin, elle accorde dés se-
nirs aux familles de ses agents tués à
înaiemi ou décédés de maladies contràc-
os en campagne, de même qu’aux pa-
*nt‘B des prisonniers de guerre, privés de
«sources. , . 1
En terminant son exposé, le rapport
gnale « le zèle, et le déivauement inlassa- ç
«s que* les fonctionnaires et agents du •
idi ont apportés dans l'accomplissement (
3 leur devoLr ». Tous les service» ont été
tsurés sans défaillance. Le Conseil d'Ad-
dnistration a adressé, au nomt de L’As-
wnbléè, toutes se» félicitations à ceux de
•g Agents qui combattent au front et s’y ^
induisent si vaillamment, II, a donné un
wyettir ému à ceux qui sont tombés sur *
> champ de bataille et envoyé à leurs
imilles l'expression de sa profonde sym-
athie. \
BAZARS 9gfttSIEN TERRÉ
Htonrtl TC* SD Vt .Wt ËC «Wooo«»aar
A l’occasion des Foires de Pâques
Grande Réclâme Samedi 22 et Lundi 24 Avril.
PAPETERIES 50 feuilles et 50 envelop-
pes, beau papier vergé.
Lu boite t,; 1.45
PORTE-PLUME réservoir, plume doi%£-
Le stylo../.,., o.70
PARAPLUIE8 pour Dames et Messieurs,
tringle acier, article d’usage.
Lo parapluie 4.45
SAVONS DE TOILETTE « Violettes
Bretonnes ». Le pain 0.35
La boîte de 3 pains 0.90
OABAS JAPONAIS forme réticule, don*
blés toile fantaisio.
Le cabas 0.75, 0.95, 1.40 et 1.C®
GANTS po il’ dames, coton blanc et
couleur, 2 pressions. La paire.. 1.49
JEAN-b^PT pour enfant, piqué blanc,
envers bleu, ruban aveè inscription.
Le chapeau 2.75
JUPONS moirés, coloris variés, grand
volant plissé.
Le jupon 5.95
CHEMINS DE FER DU MIDI
La Commission du Réseau du Midi a
l’honneur d’informer le Public qu’en
raison des difficultés croissantes rencon-
trées duns l’approvisionnement du çom-
bustible, le nombre des trains de voya-
geurs sera réduit, *> partir du 1er mai
prochain, sur la presque totalité des li-
gnes du réseau exploitée» au moyen de lu
traction à vapeur.
Pour atténuer les conséquences de cette
mesure, les voyageurs seront admis en
fie classe dans un certain nombre de
trains de marchandises. Dès que les cir-
constances en donneront la possibilité
lo régime djourd'hui, sera remis eri vigueur, soit en
totalité, soit par périodes eucoossives.
ONEMÀ^PÀLACE
Du mercredi au dimanche, Représen-
tation* à 8 h. 8/4 ; Matlnéee, jaudit, di-
manches et Fêtes à 8 heures.
Changement de programme tmis les
mercredis.
ORTHEZ, — Surtaxe eur l'aloool à
la promulgation dô la loi cl-après :
l’Octroi. — Le « Journal officiel » publie
Article premier. — Est al/te risée la
pCirbe^tion jusqu’au fil décembre 1920
înclusivenuënî, h l’octroi d’Orthez, d’iuie
surtaxe de G freines (0 fr.) par hectolitre
d’alcool pur contenu dans fe» eux-do-vie,
osprits, liqueurs, fruits à l’eau-de-vio et
antres li
Grttte surface est indépendante du droit
de 9 fr. établi à titre (Je taxe principale. 1
Art. 2. — I^Î produit de U surtaxe au- [
toriséo par l’article précédent est spécia- n
lement affecté au payement des dépenses ;
die l’assistance aux vieillards, infirmes et
incurables. L’administration locale sera
tenue de justifier, ohauue année, au pré-
fet, de l’emploi de ce produit, dont un
compte général, tant en recette qu’en dé-
pense, devra être fourni à l’expiration du
délai .fixé par la présente loi.
OLORON. — Nos compatriote» au feu. f
Ceux qui se distinguent.
Le docteur Oirt, de Louvie-Juzon, aide- •
major de Ire classe au 9e bataillon de î
cbasseiu's, s’est distingué tout partie»- «
lièrcmênt alE: combats des G, 7 et 8 mars I
1915 (Bagatelle) èt & combat du 29Juin
1915 (ravin de Souvaux). 11 a été cité à j
1 Wdrè du Jour du Régiment pAt' le cote- j
nel die la 2Î>4# tîriffdrhi '
— Le tirai 11 eorr-rn i irai 1 Leu r* Rhosper At-
kin», d’Oloron, s'était distingué U 14
septembre 1914 et sa conduite lui a/voit
valu une citation élogicuso à la date du
27 Janvief d«rnler; cc brave vient de réci- .
diver (*t, le 14 mars (Jeirnier, il a été de j
nooveau cité, non moins élogieusement, ï
eornmé agent de liaison (l’une section de f
mltnaiileu.ses ; }
Nos félicitations au major Ort et au «
mitrailleur Prosper Atkin». j
—-'O/—
BULLETIN MËTË0R0L08IQUE
Observations de la Maison DAIGNAS,
14, rue Alexandre-Taylor.
Vendredi 21 Avril. *
A neuf heures du matin, Soleil.. + 13°2
A midi, Soleil... +
A trois heures, fteuvert + 18°3 t
Maxima de la journée -f 19°5
Miniima de la nuit. . . + 7°5
Le baromètre eût à 731 m/m en baisse.
b-, ’t)A T
EXTRA! A
des Registres de l’Etat Civil.
Dé»èa.
Bertrand Sacazie, cultivateur, né & La-
runs, 36 ona.
Achille Cam-Chanasende, rentier, né à
Montpellier (Hérault), 68 ans.
Marie GOÜlticq, épouse Ferras, née à f
Lestar, ménogèr, 72 ans.
j Pierre Bourdalé, sans profession, né ù
Geeoau, 7G ans.
Pascnal-Viccnte Marco, né à Estapon»
pravincô de Mûlaga (Espagne), 47 ans.
LUNtfül FUNtBRfc
Mme Veuve Achille CJiau.sserîdo ; M. cfi
Mme Farret (de Béziers) ; M. et Mme
Franco et leurs enfants ; M. et Mm<* Jean
Bonnafon et leurs enfants ; M. et Mme
Jean Brun et leur fiJIo, ont Ja dont leur d«
faire part à leurs amis et C'tnnnjssanccs
de la perte cruedio (ju’ils vienm ;it (i’é-
preu/ver en la porwmne de
Monsieur Achille Cam. CHAUSSENDE
et vous prient do bien vouloir assister h
: ses obsèques qui auront lieu en l’églis»
/ Notre-Dame le lundi Zi courant, à fit h.
• On se réunira à la maison mortuaire,
20, rue Portenouvo, à P heures 1/2.
I>es Dames sont priéos- de se rendre di-
rectement à F église.
Vu les circonstances, A1 présent avîê
i (tendra lieu de lettre de faire port,
i On est prié de n'apporter ni fleurs ni
couronnes.
i—«lyreitM,!
> OBSÈQUES
Les Membres (fe Ja Société de Secouri
Mutuels » la lTnion Espafiola » de Pau
sont priés d’assister aux obsèques (j,-*
sodétairo
Paecual MARCO
qui auront lieu samedi 22 avril à 2 h. 1/2.
Réunion au domicile, fi, rue Itellooq.
REMERCIEMENT
Mme Yfanve Maurice Garrot ; M. AimCI
Garrot, aux Années, et Mme Aimé Gar-
rot ; M. Henri Garrot, aide-major aux
Armée», Mme Henri Garrot et leur» en-
fants ; Mme Gabilten née fiai rot, M. Ca-
billon et leimj entants ; MJle Anna Car-
rot, remercient bien sincèrement tes per-
sonnes (jui leur ont fuit l'honneur d^is*
sister aux obsè<|ues dé
Monsieur Maurleae QARRfUT
Notaire,
Préeldent de la. Ch&mh* deK Notalrê»
de l’aiTondissemenf de J’ort,
Décoré de la àlédaille de 187®
et d« la Médaille dTta'b*,-
(•MfclWt-.î*- ■> .. vt, H,
UN JOLI BADEAU DE PAQUES
pour voe Amis en Angleterre.
KaUte an d Fanclee from the Pyrénées
pas Alfred EMBJRRSON
Publié au berîéfice de la Croix-Rouge.
Prix seulement : 3 fr. 50.
Llbrairlee : Pédcutour, 9, Ptepe drifia-
lais-de-Justice ; Lufon, 3, vn# Henn IV.
FAMILLE PROTESTANTE demande
Gouvernante sérieuse très recommandée,
aimant la campagne, pour enseigner
français, piano. C. S. Bureau de i’ « in-
dépendant ».
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marron, munie d’un collier avec adresse.
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Récompense.
ON DEMANDE des Mouleurs et des
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guerie est demandé. — Droguerie Solle-
nave, Pau.
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Pau •— Imprimerie Garet-IIaristoy.
Le Gérant : Maurice SONGEUX,
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