Titre : La Dépêche : journal quotidien
Éditeur : [s.n.] (Toulouse)
Date d'édition : 1930-05-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327558876
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 25 mai 1930 25 mai 1930
Description : 1930/05/25 (A61,N22538). 1930/05/25 (A61,N22538).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
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Description : Collection numérique : Presse quotidienne Collection numérique : Presse quotidienne
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4136977c
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-10171
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/02/2019
LA VUE AUX CHAMPS
AU RUCHER
Transvasements de ruche fixe en
ruche fixe
Une ruche à rayons fixes, un
« bue ést. ordinairement; une piu-
tre construction faite de quatre plan-
tes juxtaposées en , tuyau de chemi-
née que la rusticité même qui préside à
M confection prive de toute peinture.
XI en résulte une Vétusté précoce;
IjpAàS précoce de nos jours, .ou ' ' Je
■h bùc a trouve ^énéralenaent exposé
" toutes - les intempéries, qu'autrefois ;
a- temps pu les « îjucs i se plaçaient
* Lis un appentis exposé au midi. Les
« maleon^' cle campagne }J' datant dlun
;cle ont généralement parmi leurs
• pendançes un de ces- pëîit'és' hangars
m 'bâtis, couverts et carrelés en dur.
1 , les * bues » pouvaient;;,.«ans peiîi-
tl, :e, durer beaucoup plus.. Le miel
r .mt veui sucre ïjue CQftnaiê&àiefit
u s arrière-grands-pctes (et, certes,
i.i ne s'en portaient pas plus mal),
cr comprend toute la sollicitude qu'ils
fc... portaient à leur ruchÇ?-
Depuis, peu à peu, le « bue » est
d» .'enu l'accessoire le plus négligé de
tL ferme. Prive de toute couverture,
ti perd ail t pas la moindre des gouttes
■e,. il rué .s.ôhVbîe yènir jamais %' l'i.dle
'4«. ion propriétaire qu'lil devrait le
p- jidre. D'ailleurs, « ça ne s'est jâ-
itr: :i 5 fait .
Quoi qu'il en .soit, entre les baignia-
•tr > 'de l'extérieur iât l'humidité de l'in-
; ieur, si grande au ,moment de reIe-
r if. -de pi'intenips, le Il. bue » a Jes
,|p ..UJeures chances d4 ne pas faire de
v.i yx os. C'est la faute à la lune qui
nuisait lors de la coupe de. Marbre
qui en fourtait les planches, vous dira
Mu propfiëtaire.
Bref, comme un champignon, le
jt >uc. » cepimenœ à périr du pied.
1,> fi rats, 'poiur le compte de. qui doit
|sr ÏJef ladite lune, estimant que leur
t( • r est venu de procéder à la récolte,
s. • 'ngouffreait par ie bois vermoulu de
fcvofl. si apparente que le propriétaire
n cn. saurait ignorer, Force lui est de
•• user . £ changer le x bue » et ceci
ti r\st, pas une petite affaire pour le non
ÏH jiessionnel de l'apiculture. • .
Fransvaser '\l\11 e bue » pIit 'la mé-
fI; , ,de rationn,elle, '.c'est-à-dire lui"'dû-'
v .r le ventre, eu chasser lçs abeilles;, :
te extraire les bâtisses, est un procédé
Qu'oïl ne salirait conseiller qu'à. son
V (s grand ennemi; a moins que l'on
; • s'adresse à quelqu'un de très fami'
liarisé avcc le nia£ii%ment des a.'bë'iil'es.
me soutiens de ce cri du coeur
d'un apïculjteiar jamateur.avec qui j'eus :
'ire Dolémiaue sur une revue apicole : '
a Transvaser une ruche à ravons
i'i'.es ! Ah 1 certes, j'en ai une fois
'i >..ngvasé- u'nç. et ',je «m'en èouvje»- J
"
Evidemment, -e'est ,:Plus aÜsi, 4'en ■
V<. nsvaser. de9.miHa.ers, que d'en trnns.) ,
'tf -er . une. Cependant, à défaut d'a-
'fcitsàc pr'?fess.ionmëli.e, jou p.èut recou- ;
rir à ia ruse, sauf qu'en ceci la ruse 1
provient de la science .{alors- '
Presse est fille., de l'art). -
'.<'.. science Apicole nous enseigne
: le couvain a 'bescMf de beaucoup
;ei.v.illès l'DcUent leur miel à couvain, le
;*>iv.s■ -prè$ possible de l'ouverture 4e' l,,-i
: u • lu\ Il, .résulte, de ucette observation
i technique suivante : ...
Au moment de la grande miellée,
p !.rs qiie les abeilles assez ppni-breu- '
s.:- et l>ien nourries .ont tendance % 1
'tstruirc. et à essaimer on fait': un
i,1 ou en terre à ,côté' du vieux « buc *
•:.i on l'y enterre sens dessus dessous "
.(".Tés avoir enfumé les abeilles bien
emendu). Cela fait, on pla.cc dessus
i ' s exactement le « bue » - neuf au-
î»v â, pour plus de sûreté, on aura fait •
n :M trous à 20, ou 20..jQ£ntimèire.s âw-
. e .sus de ceux qui servent pour l'en-
i'i'â et puis l'on bouchera hermétique-
./lent toutes les .ouvertures qui se trou-
vent plus bas, de façon à ce que la sor-
et l'air, frais se trouvent assez éloi-'
5s du nid a couvain du vieux
« bue ».
Pour parer à cette nouvelle et anor-
r'. le situation, les abeilles .s'empre?- ;
: - ont de construire des rayons dans
' • nouveau « bue » et y déménageront
peu à 'peu. Vers le mois de septembre '
T'en n'aura qu'à décoller les c bues », '
mrttre le nouveau à côté, déterrer, fit
•'.é^oiter' le vieux qui renfermera, 'des
. ra -on.iv avec peut-être du miel, mais
,W.s de couvain.
Victor DUMAS.
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LE PIN SYLVESTRE
Le pin sylvestre est un arbre de
haute taille, possédant tin bois rési-:
aeux susceptible d'être utilisé pour la
construction, Je travail et le chauffag-e.
Cçtte essence n'est jamais soumige
au gem,tnage. Le pin sylvestre se re-
connaît à son écorce bronzée et À son
couvert léger. Les feuilles sont persis-
tantes, toutefois la durée de persis-
tance varie avec les climats et avec
l'âge; pendant les vjnq-cinq à trente
Premières années, elle!,: persistent qua-
tre ans. et c'est pourquoi, durant cette
période. le couvert paraît assez épai-3.
Germination 4pif?'ée; floraison unisexée
monoïque, mai-juin; fructification sep-
tembre-octobre de la deuxième année
suivant la floraison, précoce, interve-
nant vers quinze ans, si l'arbre est
isolé; vers cinquante ans, s'il est en
massif. Abondante tous les cinq ans,
semence légère, graine ailée.
Enracinement généralement pivotani
et développé
Le pin sylvestre est une essence três
rustique, et il n'y a. pas de station où
il ne puisse vivre ou du moins végéter.
Le peuplement régler et pur de pin
sylvestre prend naissance par planta-
tipn ou semis artificiel en terrain dé-
couvert, ou par régénération naturelle.
La uremière .erpissance est très rapide
et îe ïPassif peut être formé wi bout
de six ans..La germination des graines,
l'i-nstallatioi-, et le premier développe-
ment des jeunes plants exigent une
certaine humidité du sol; mais comme
les plantations de pin sylvestre se font
souvent dans de§ statipng médiocres..
dané' de5 terrains maigres et secs, il
se produit des clairières qu'il convient
de combler.
Le peuplement met huit ans à deve-
nir fourré; puis .commence la période
de forte croissance dont le maximum
a lieu à vingt-cinq ans. Les pousses
annuelles dépassent 0 m. 60; c'est !a
période de 'bas perehis. Les aiguilles
s'accumulent sur le sol et ne tardent
pas à Je couvrir d'une couche protec-
trice de litière qui élève beaucoup sa
fertilité. Le peuplement possède la fa-
culté de ranimer un sol autrefois sté-
rile, et de :relever sa force_ productive.
La caractéristique du pin sylvestre
est un grand besoin de luimiere et d'es-
paçe. Si les dégagements de semis
sont rarement nécessaires, il importe
de pratiquer des dépressagres toutes
les fois' que les semis trop nombreux
se constituent .en fourrés très denses.
L'éclaircie est la base du traitement ,
des essences dp. pleine lumière, dont In
cime franchement desserrée dès le
jeune âge doit occuper au moins le
tiers de la hauteur totale du sujet, et
c'est pourquoi l'éclaircie forte et par-
tiell,e, mais répétée souvent, tous les
dix ans, s'impose. Dans les éclaircies :
successives- Ûy pin, sylvestre, il faut
>noii: pas isoler les cimés, mais eixpôser
progressivement à la lumière toute Ja
: pyramide des branches; au passage de
r ces éclaircies, les pins dominés et les
l sujets mal conformés sont enlevés,
mais on doit s'abstenir d'élaguer les
i branches basses et de faire disparaî-
tre les essences feuillues pouvant se
présenter en me.lang-e dans le massif,
les bonnes essences (bouleaux, chênes)
qui se trouvent en sous-étage à l'état
de buissons, de broussailles ou de jeu-
nes sujets.
L# peuplement de pin sylvestre est
d'une utilité multiple, et donne en peu
de temps un certain nombre de pro-
duits appréciés. Le propriétaire d'un
tel peuplement peut se proposer deux
choses ; relever le degré de fertilité
d'un sol ou produire du bois.
Pans le premier cas, il est bon d'ex-
ploiter le massif à l'âge de quarante
&n£', c'est à ce moment que le sol est le i
mieux préparé par les détritus abon.
dants de la forêt de pins. On opère
ainsi On plante 5.000 sujets à l'hec-
tare, à un espacement de 1 m. 40, tn
tous sens; quand ces pins ont une
moyenne de o m. 10, à hauteur
d'homme à vingt ans, on en retrouve
4..0\}O. On en coupe alors 2.00o; puis
t.ooo. à vingt-cinq ans. Lorsque les
l.wo qui restent ont acquis 0'\ m. 20
de diamètre à trente ans, on en coupe
350, puis 160 à 35 ans. Enfin, quand
les survivants ont 0 m. 30, vers l'âge
de .quarante ans, on peut les exploiter
en bloc, et entreprendre immédiate-
ment soit une culture agricole, soit
une nouvelle culture forestière amélio-
rante.
Dans le deuxième cas, il est néces-
saire de maintenir les pins au delà
de quarante ans, en continuant de les
éclaircir tous les dix ans; mais alors,
l'installation ou la création artificielle
d'un sous-bois de sapin ne saurait
être trop recommandée. Dans de pa-
reils massifs, il y a lieu, vers l'âge de
soixante ans ou plus tard, de com-
mence- les coupes de régénération. La
coupe d'ersemencement est faite très
claire ou plutôt par trouées, et il peut
être opportun de donner une culture
au sol souvent durci, tassé et couvert
de #ous-arbrisseaux de grande taille
et envahis&ants (bruyères, genêts).
L'avenir des massifs de pin sylves-
tre purs et uniformes dès leur jeu-
nesse -st restreint; les inconvénients
du pin sylvestre à l'état pur suffisent
k faire ressortir l'utilité des sous-bois
et l'avantage d'un mélange avec d'au-
tres essences, en peuplements plus ou
moins irréguliers. Dans toutes les sta-
tions movennes, le peuplement pur de ;
pin sylvestre ne devrait être employé
que là où le sol ne peut pas produire
autre chose que du pin sylvestre, à
moins qu'il ne s'agisse de s'en servir ^
uniquement comme essence transitoire
de reboisement.
P. TOURTE,
; ,1: , Dîrec-teUr des Services agricoles
. du CUntal,
CONSEILS PRATIQUES
Remontage du moût par
compression
Pour enfoncer le « chapeau » sufr
B:c:s cuves de vendange en fermeata-
tioal, on employait, jadis, surtout le
« fouilage »..
On l'a remplacé par une claie im-
m,ergée empêchant la m'Mït'ée ou. dia-
pe&u.
Dans certains dispositifs d 'ampho-
res à goulot, on laisse déborder tou-
jours '"écume en arrêtant le chapeau
de m?"c, afin que celui-ci soit toujours
knm>efgé, ...
D'ans d'autres cas, on soutire du vm
en fermentation que l'on renvoie sur
le marc au moyen d'une po'm'pa.
Un Italien, M. Raffae1Jl1() Sernra-
gioltto, propose une opération qui pa-
raît récrip roque et évite l'aération
e X2L§^CipCw.
Il prend le gaz carbonique de fer-
.ment.atMtn à la surface du foudre et le
refoule bous pression dans le pied de
la ciuve. H y ainsi im barbotage car-
jh,,,ni,,,,,, i ni n;nifip f mit pt Tpmipla.Tl Q'f
Ile marc à la niasse eil vin, —
P. L.
Pour les mottes
Nous avons dléjà écrit que les mot-
tes d'automne n'étaient pas nuisîtes,
mais uti.ie.s, carr «lies abritent les plan-
tules germantes et se dei'ite'nt ensuite
sous la gelée, pouf tes reoha.u'sser.
Nous gotmm,es heureux de voir ces
vues confirmées, l'ors de la discussion
su.r la résistance des blés à l'hiver, qui
a eu li-eu à l'Académie parisienne d'a-
griculture.
En Pologne, on préconise les mot-
tes d'automaie
A Grignon, M. S<&rlbaux a cons-
taté que l'abri le plus faible, une pe-
tite pierre, une petite motte de terre
suffisent pour sauver un pied de blé de
l'action mortelle du froid.
Jadis, un Allemand, muni de petits
thermomètres, a montré la différence
énorme de climat suivant le point
choisi entre les motte s.
Durant les vents les plus froids, il
suffit de se coucher dans l'herbe d'urne
friche pour sentir une douce cihaleux,
pour peu que i,ç soleil brille.
La motte est à la plantule ce qu'un
mur est 4 u.n arbuste pour l-e protéger.
Donc n'ayons aucun scrupule de
laisser fies mottes lors des semailles
d'automne.
Et labourons en en soulevant le plus
possible les guérets destinés à être
serons au printemps.
En particuUer, toute planche libre
du jard-in doit être piochée en billons
avec une pioché à dents ou bien soule-
vée à kt fourche pour offrir l'emprise
maxima aux agents atmosphériques.
Ainsi le sol 5e débitera mieux au prin-
temps. On écotnjomisera de lia fatigue
et de l'engrais, par suite de li division
1 extrême des éléments roinénaux.
P. L.
Eclaircie de pins
IL a? faut pas trop tarder pour
éclaircij des puns car il arrive que Les
arbres sont :na:ptes à profiter de l'é.. j
cLa.i'rcie — quand le vent ne les jette j
pa.s par tetrre
Dans une experi.eTine de MM. Hen-
sen et Brcrvvn, un peuplement de
trente-sept ans renfermant six cents
arbres sur 40 ares fut éclairci du
quart environ
Di,x ans après, le cube de.s arbres
restont n'avait augmenté que de 7 %,
ça,r il y a.vait des ailb:res mo.rts, .die
soTte qu'on ne retrouvait pas le cube
t'Otal d'avant -écla.iTci.e.
Seulement on avait profité du pro-
duit à intérêt composé, ce qui fait que
. l'inirvpTfitifKn f* se soldait pas en perte.
P. L.
Il est inutile de forcer le semis
de betteraves
En attendant qu'on ait trouvé le
moyen de placer une graiiae de bet'te-
rave à chaque place définitive avec ga-
rantie de crocesance. on continue à se-
mer en lignes cinq ou dix fois plus
de graines que de plantes à laisser-
M. Sainte-Marie a semé des bettera-
ves .fourragères aux doses de 15, 22,
30 et 45 kilogrammes par hectare.
1 .-e:¡ rendements ont été du même or-
dre, différant seulement de 2 % en
plus avec le semis le plus fort.
Donc, inuti'e de forcer la dépense
en graice» ce qui coûte fort cher
obliere à un démariaae plus Dallent. p.t
P. L.
lx 0
Saint-Dizier
|p^V CH^ Marne )Tél: 36 <
CLAIR-'
ii 'ndhtpenMMe ^
[j j f pour U <*vag# ^
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rf i>omm« de lefro,
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H Uf&rrd &£ras ■ blbit énorme _vlr9" 1 i,\W J
r'iPr* U| «-TRE* * CHEUflE, ME S'EN- W
H ff caMoe .4MAJS. WUSABLS. J
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v>r*m fibrir—*--
TBOwranwoi/wiBpwHiniM winuiitraiiflinuroiniHi r
IIIS uraeu tBE lE tWl£flocwu •"
J| #om»ek TonoMux. flan. Mimnoln, "
>4 ymtu» A* «iecJiM. aont,^ H
< îf t 49*** *tfi ftmm . ce H
S - Oeavmàtt fceaee »4n «• ' SV ^
Aià&K II s s ssc
LE COURT-NOUE
DE LA VIGNE
Ln ce moment, pas mal de posses-
•> seurs de vignes sont assez surpris de
s Remarquer un ralentissement sensib.e
- ¿¡ans l'évolution des bourgeons de
e leurs vignes. (Jue ce soit en plaineb,
en coteaux ou dans les graves, cttti
) malame paraît avoir atteint, cette an-
t nce. une extension inc.uiétante. Depuis
. Longtemps les savants discutent pour
en connaître les causes sans être ar-
t rives à un accord complet-
i Il semble, cependant, que les années
pluvieuses, comme l'hiver qui vient de
i nous précéder, soient favorables à l'ex
... . tension de ce mal. Tout dernièrement,
; i nous a été donné de vérifier un jeune
plantiez, greffé l'an passé, admirable-
ment bien réussi et bien tenu. La taille
s de cette jeune vigne avait été éxécutée
^ généralement sur le bourgeon unique
et principal que donnent, en général,
les greffes faites sur racinés et sur
; place. taille à la méthode dite en plant
■ levé, c'est-à-dire de quatre à six bour-
i geons el puis deux mérithalles avec
: bourgeons détruits formant ce qu'on
- appelle vulgairement un « guide 1b
, pour permettre la liaison à un tuteur
, ou a un fil de fer inférieur.
i La proportion de plants court-noués
i est de 95 % et ce terrain n'avait ja-
, mais porté de vignes; les greffons pro
venaient de vignes en parfaite santé
; et non court-nouées.
; Devant ce cas spécial, nous avons
fait des fouilles dans le sol pour exa-
miner le système radiculaire et nous
avons trouve les extrémités des radi-
celles pourries, les spong-ioles abs.«îji
nou;s aurions conclu que l'eau
de 1 hiver, quelque peu stagnante,
pourrait être la cause, malgré que le
sol soit de nature graveleuse à sous-
sol assez perméable.
Mais il est un tait qui frappe notre
attention : tous les vignerons savent
que les griffes en place donnent des
pousses annuelles toujours un peu
court-nouées, je développement étant
au ralenti au fùr et à mesure que se
constitue la soudure, et ce n'est qu'en-
suite, lorsqu'elle a p,ris une certaine
ampleur, que la sève, arrivant plus
abondante, le sarment allonge ses mé-
rithalles pour ressembler à tous les
autres sarments de vigne. Aussi, afin
d'éviter les accidents causés par " les
vçnts, il est d'usage, après avoir liga
turé solidement l'a greffe à un tuteur,
de la pincer. Cette opération a pour
conséquence de faire développer des
yeux anticipes qui fournissent des ra-
meaux secondaires, jamais court-
noués ceux-ci.
On sait que les greffes donnent par-
fois une pousse échappée à la verti-
cale pour une cause quelconque et, à
la taille, on se trouve quelquefois de-
vant ce que l'on appelle une baïon-
nette. Si, pour corriger cette baïon-
nette (car ici il est question avant tout
de former urne tige droite dans la me-
sure du possible), on se trouve en face
df,,l'xm Id;e .ces,,,, sarments anticip-és
mentionnés plus haut qui permette
d'atteindre la ve,-tic-ale, on";n'hésite pas
à tailler. dessous et à utiliser ce sar-
ment. pourvu ou'il soit aoûté pour la
constitution de la future tig-e.
Ces détails, un peu trop longs peut-
Mre, nous amènent à dire que toutes
les fois qu'on a fait usage dans le
jeune nlantÍer précité de ces anticipés
à mérithalles allongés, le court-noué
n'a pas sévi. Ce sont les seules souches
(S % peut-être)) ayant poussé normale-
ment et. cependant, les racines de ces
suiets ont subi le sort commun.
D'autre part, dans les coteaux à pen-
tes abruptes, des vignes plantées dans
des terrains argileux à profondeur très
variable, reposant sur un banc rocheux,
on trovvie aussi pas mal de souches
court-nouées, certaines variété^ excep.
tées. le chasselas notamment, et cela
fort heureusement, car les chasselas
sont le plus grand nombre dans les
expositions précitées L'eau a égale-
ment séjourné sur ces bancs rocheux,
à cuvettes soupçonnées mais non visi-
bles. et le court.noué est apparu là
où il n'avait pas été remarqué.
_ Notre compétence dans cette ques-
tion nms borne aux quelques remar. ;
ques ci-des.sus et nous espérons que
les maîtres en viticulture trouveront
une occasion favorable de découvrir ou
les causes ou_ les remèdes. Quand à
nous, nous faisons confiance au soleil,
ce guérisseur de maux, -et nous nous
rappelons avoir vu, à l'époque des yi*
gnes françaises, avant le phyloxéra
Dar conséquent, des- cas .n.¡J' pfu_ sem-
b'ahles. Lorsque le soleil de juin ré-
chauffait tout. les serments allon-
a'ea:en.t leurs mérithalles e,l la végéta-
tion devenait normale.
Il n'empêche que, dans ce s cir-
constances, la fructification subissait
des dommages, mais il n'y avait pas
alors esprit de suite : je veux ■ dire que
la mime vigne n'était pas cour''-nouée
tous les ans. Il est vrai qu'elles étaient
françaises.
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CONTRE LES INCENDIES DE FORETS
Voici venue la saison où le danger
des incendies de forêts va à nouveau
se manifester. Revoyons par la pen-
sée les surfaces incendiées que nous
eûmes l'occasion de parcourir l'été
dernier et récapitulons les divers
dommages qui en résultèrent. Nous
pourrons ainsi nous faire une opi-
nion sur l'utilité de prendre des me-
sures.
hnwneration des divers dommages
causes par' les incendias de forets
la Des bois arrivés à leur pleine
valeur marchande peuvent êt.e dé-
truits ou endommagés, soit sur pied,
soit apros abatage ;
20 Les dépenses faites pour amé-
liorer la forêt (clôtures, gemmage, dé-
masclage éclaircieG, dégagements de
semis) deviennent sans effet utile ;
3° Des bâtiments situés en forêt
peuvent ét.e brûlés avec tous les
stocks de marchandises- qu'ils con-
tiennent ;
40 La croissance des arbres qui
échappent à la destruction est tou-
jours fortement ralentie, de même
que la production de la gemme. Il
résulte, en effet, de récentes expé-
riences effectuées dans les pineraies
du sud-est des Etats-Unis, que la
pratique de l'écobuage annuel (petit
incendie surveillé et contrôlé en vue
de la destruction du sous-bois inflam-
mable) entraine une perte d'un bon
tiers de la récolte de térébenthine.
Si un tel incendie surveillé en vue
de fins utiles et ne prenant pas les
allures d'un sinistre suffit à jet. r
un tel trouble dans la biologie de
, 3a forêt, on peut se faire -une idée j
des effets du véritable incendie dé-
chaîné sans frein dans le sous-bois ;
50 Une grande quantité de graines
d'arbres et de jeunes sujets sont dé-
truits par le feu ;
Les grands arbres qui restent
indemnes, ou qui paraissent le
rester, sont rendus plus sujets aux
maladies cryptogamiques et aux in-
vasions d'insectes ; leur fructification
est souvent fortement diminuée ;
70 La fertilité du sol est affaiblie
par la destruction du terreau fores-
tier et des bactéries ; peut-être aussi
par celle du mycélium des cham-
pignons formant les mycorhizes ;
80 L'érosion de la surface des ter- .
rains en pente est augmentée et le
régime des eaux s'en trouve aggravé ;
90 Enfin, l'agrément touristique et
la valeur de la chasse sont forte.
ment diminués.
*
* *
Je puis donc que répéter ce
que j ai déjà eu l'occasion de dire ici
menie :
« I our lutter efficacement contre
es incendies de forêts, propriétaires
associez-vous ! L'Etat, par l'intemé-
c'iaire des eaux et forêts, vous
aidera. »
Cette utiilité de l'association est
soulignée dans une lettre que M. îe
sénateur Daraignez écrivait l'an
dernier au président du comité fo-
restier du Sud-Ouest ;
Voulez-vous me permettre une sim-
ple observation au sujet d'un voeu sur
les incendies de forêts : question capi-
tale pour notre région et pour la-
quelle une loi que vous connaissez
bien fut votée il y a peu de temps.
Cette loi a été peu ou pas appli-
quée dans les Landes. Or,' elle -^po-
sait toue entière sur la création de syn-
dicats de défense pouvant être subven-
tionnes par l'Etat. Ne croyez-vous pas
que c est par la création de ces syn-
dicats qu il y aurait lieu de commencer
Stylisation de la lutte nécessaire ?
L h-taî écoutera d'autant mieux nos
doléances que nous aurons pris pius
d initiatives et nous aidera dans la
mesure où nous serons nous-mêmes
aidés.
Je crains bien qu'en dehors de cette
organisation locale préalable vous
n obteniez pruère de résultats.
Et combien notre intervention serait
plus efficace si nous avions à deman-
der a 1 administra;ion son aide, pré-
vue par la loi, pour des syndicats que
cette même loi, rand, si je ne
trompe, obligatoires.
*
+
Propriétaires, ne laissez pas s'ef-
ta,cer les t:'a,ces des incend'es dl'
forêts de l'été 1929 sans les visiter
à chaque occasion et sans b:en vous
pénétrer des ^ dommages considéra-
bles^ qui en résultent chaque année.
C'est dès le début de l'hiver qu'il
faut songer à organiser 8a survet'-
tance et la lutte pour l'été suivant.
Aussitôt la saison sèche arrivée, !c
danger est à nos portes et il est tro::
talà.
Ecoutez le consul donné par Je
sénateur docteur Daraignez : « Asso-
ciez-vous en syndicats de défense et
dites à l'Etat : « Aide-nous ».
L. F. TESSIER,
Ancien Conservateur des eaux
et forêts.
Soufre "INSECTIL"
. ~ Au [ormbsol et chlorure -de baryum
Détruit l'OmlU!\I
et les VERS DE LA GRAPPE
A PROPOS DE TRACTEUR
dtsis les résidus sinistrées
«a#
On parle souvent de l'organisation 4e
certaines marqùes étrangères. A ce pro-'
pos, nous ne devons pais omettre de vous
signaler le gros effort fourni par une im-
portante marque française, spécialement
pour vernir en aide aux régions sinistrées
du Midi. 11 s'agit d-u tracteur à chenilles
TH. SCHNETDÉR, vendu par la Sociét-é
S. A. D. I. M.. 65, rue de Châtea'udun, à
Paris, et fabriqué dans ses puissantes
usines de Besançon.
Pour accélérer les livraisons, diminuer
les frais de transports et faciliter l'ap-
provisionnement en pièces de rechange,
elle a c.reé des stocks à Agen, Avignon^
Béziers, Carcassonne, Lézignan (Aude),
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Il est de notoriété publique <»r
connu par 1 élite des agriculteurs ,
le travail des nouvelles taueno,
comportant de vér,tables efi
héheoidaux et des pièces en acier t4
Jll?„ue est le nJus sur — les organe
étant plus
Leur travail dans les champs le,,
montre de faron concluante, et a i
rantie île cinq ans accordée nar t?
tfi.ifSiSll"é et Signé, par leur Ccî.îtf
teur, en est un témo,gnage ci,ull. "
leur incontestable et définitive. "
f Les paroles, les promesses verK-
s envolent: 103 écrits restent.
Les Faucn<:u.$es no 1<;, et n° u f
dèle IQ:';O. tabriquées par Amour
i'jeres, sont J.es seules au monde r i
portant des pièces en acier electr,
en tant que rrançsis^ nous pouvez »
Bien d autres avantages as,j,utefl
supériorité de ces machines re111arr
b,les,' en particulier leurs véritables
grenages Ilélicoïdaux, silencieux e
taihle usure, à denture tte grands c
bure, semblables à eaux des tiiiïe
tiels d'automobiles et ayant Touji
trois dents en prise directe, résil
que l'on ne peut obtenir avec le
gTcn.affes à denture droite ou de '
inclinaison.
Cinq coussinets en bronze, des -
ments à billes, une vitesse de lanï
celerée permettent une coupp irn
chable au' pas de labour des bœuf.
une grande douceur de tractioh.
[La, Faneuse type F. 4. modèle :
fabriquée par Amoureux Frères
aussi très soignée comme constnic
et l'agriculteur ^ qui l'examine
frappé par une impression très
de robustesse.
Ses pièces de fatigue. sont aussi ;
- acier electrique et elle comporte 1
dispositif de relavage automatique b
3 yeté" d'une simplicité parfaits et d'u:
- inspiration bien française.
t Ce sont des machines de haute qu
lite, qui ont fait leurs preuves,
travaillent bien et longtemps.
Elles comportent le minimum !
pièces et do boulons.
De plus, leurs prix sont les mini
pour tous les acheteurs.
1 L'application des prix fixes et/nsi
preuve de loyauté envers -, ses cte'
dont on ,Ife ,T>eut,,que.Jélki£erL.lay^«
tjrês^ht'atitsi-1 '• '-to': ' i
On m'objectera que ces raacls
sent un peu plus chères que d'au?
fL'asricu'.teur avisé ei écons
comme 'd'ailleurs tout acheteur :
denne, sait fort bien que le bon is
ohé coûte très cher et ou'en* définit
c'est une éocnom i e mal compr-i se.
On ne peut obtenir à bas prix :
Faucheuses, des Faneus'es, des L;
ses., _d,e la ficelle de h^ute qualité!
rantie, pas plus que du bétail ou :
semences d'& ch-oix à prix réduit.
« On n'en a iamais que pour!
argent. JI
La petite différence de prix oir
sentent les machines Amouroux Fre-
est largement CRmpensôo par leur '
rée, la sOret,! rie lejfr travail et If
faible coût d'entretien.
Prenonis l'exe,mpie d'une pièce
raiite : le doi^t. On ronmlace V .
fois moins de doigts. coulés en "' I
électrique s'Ur les .Faucheuses AT
roux Frères oue'sur Ia plupart des;
dèles étrangers les plus connus.
pen!;eig-.ne,-Vous — c'est .un r:
facre à vérifier
Les fauchaiisons vont commet',
suivez le travail des Faucheuses et
r fuses Amouroux dans tes of*?
M:pux encore que dn.Tis les exnosit:'
c'est 1ft nu'nn peut juger un ifj!
aarricole.
Arirès vous _être bien rendu co:
de leur fonctionnement et vous
rensjv«ïïiiés .aun.rès de vos pis ^
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(mpeta-I 1
journal ",lep figa', I I
AU RUCHER
Transvasements de ruche fixe en
ruche fixe
Une ruche à rayons fixes, un
« bue ést. ordinairement; une piu-
tre construction faite de quatre plan-
tes juxtaposées en , tuyau de chemi-
née que la rusticité même qui préside à
M confection prive de toute peinture.
XI en résulte une Vétusté précoce;
IjpAàS précoce de nos jours, .ou ' ' Je
■h bùc a trouve ^énéralenaent exposé
" toutes - les intempéries, qu'autrefois ;
a- temps pu les « îjucs i se plaçaient
* Lis un appentis exposé au midi. Les
« maleon^' cle campagne }J' datant dlun
;cle ont généralement parmi leurs
• pendançes un de ces- pëîit'és' hangars
m 'bâtis, couverts et carrelés en dur.
1 , les * bues » pouvaient;;,.«ans peiîi-
tl, :e, durer beaucoup plus.. Le miel
r .mt veui sucre ïjue CQftnaiê&àiefit
u s arrière-grands-pctes (et, certes,
i.i ne s'en portaient pas plus mal),
cr comprend toute la sollicitude qu'ils
fc... portaient à leur ruchÇ?-
Depuis, peu à peu, le « bue » est
d» .'enu l'accessoire le plus négligé de
tL ferme. Prive de toute couverture,
ti perd ail t pas la moindre des gouttes
■e,. il rué .s.ôhVbîe yènir jamais %' l'i.dle
'4«. ion propriétaire qu'lil devrait le
p- jidre. D'ailleurs, « ça ne s'est jâ-
itr: :i 5 fait .
Quoi qu'il en .soit, entre les baignia-
•tr > 'de l'extérieur iât l'humidité de l'in-
; ieur, si grande au ,moment de reIe-
r if. -de pi'intenips, le Il. bue » a Jes
,|p ..UJeures chances d4 ne pas faire de
v.i yx os. C'est la faute à la lune qui
nuisait lors de la coupe de. Marbre
qui en fourtait les planches, vous dira
Mu propfiëtaire.
Bref, comme un champignon, le
jt >uc. » cepimenœ à périr du pied.
1,> fi rats, 'poiur le compte de. qui doit
|sr ÏJef ladite lune, estimant que leur
t( • r est venu de procéder à la récolte,
s. • 'ngouffreait par ie bois vermoulu de
fcvofl. si apparente que le propriétaire
n cn. saurait ignorer, Force lui est de
•• user . £ changer le x bue » et ceci
ti r\st, pas une petite affaire pour le non
ÏH jiessionnel de l'apiculture. • .
Fransvaser '\l\11 e bue » pIit 'la mé-
fI; , ,de rationn,elle, '.c'est-à-dire lui"'dû-'
v .r le ventre, eu chasser lçs abeilles;, :
te extraire les bâtisses, est un procédé
Qu'oïl ne salirait conseiller qu'à. son
V (s grand ennemi; a moins que l'on
; • s'adresse à quelqu'un de très fami'
liarisé avcc le nia£ii%ment des a.'bë'iil'es.
me soutiens de ce cri du coeur
d'un apïculjteiar jamateur.avec qui j'eus :
'ire Dolémiaue sur une revue apicole : '
a Transvaser une ruche à ravons
i'i'.es ! Ah 1 certes, j'en ai une fois
'i >..ngvasé- u'nç. et ',je «m'en èouvje»- J
"
Evidemment, -e'est ,:Plus aÜsi, 4'en ■
V<. nsvaser. de9.miHa.ers, que d'en trnns.) ,
'tf -er . une. Cependant, à défaut d'a-
'fcitsàc pr'?fess.ionmëli.e, jou p.èut recou- ;
rir à ia ruse, sauf qu'en ceci la ruse 1
provient de la science .{alors
Presse est fille., de l'art). -
'.<'.. science Apicole nous enseigne
: le couvain a 'bescMf de beaucoup
;ei.v.illès l'DcUent leur miel à couvain, le
;*>iv.s■ -prè$ possible de l'ouverture 4e' l,,-i
: u • lu\ Il, .résulte, de ucette observation
i technique suivante : ...
Au moment de la grande miellée,
p !.rs qiie les abeilles assez ppni-breu- '
s.:- et l>ien nourries .ont tendance % 1
'tstruirc. et à essaimer on fait': un
i,1 ou en terre à ,côté' du vieux « buc *
•:.i on l'y enterre sens dessus dessous "
.(".Tés avoir enfumé les abeilles bien
emendu). Cela fait, on pla.cc dessus
i ' s exactement le « bue » - neuf au-
î»v â, pour plus de sûreté, on aura fait •
n :M trous à 20, ou 20..jQ£ntimèire.s âw-
. e .sus de ceux qui servent pour l'en-
i'i'â et puis l'on bouchera hermétique-
./lent toutes les .ouvertures qui se trou-
vent plus bas, de façon à ce que la sor-
et l'air, frais se trouvent assez éloi-'
5s du nid a couvain du vieux
« bue ».
Pour parer à cette nouvelle et anor-
r'. le situation, les abeilles .s'empre?- ;
: - ont de construire des rayons dans
' • nouveau « bue » et y déménageront
peu à 'peu. Vers le mois de septembre '
T'en n'aura qu'à décoller les c bues », '
mrttre le nouveau à côté, déterrer, fit
•'.é^oiter' le vieux qui renfermera, 'des
. ra -on.iv avec peut-être du miel, mais
,W.s de couvain.
Victor DUMAS.
Agriculteurs
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I TOURS,) 10^, rae Georg^ T0UKS
■ Repr^«entsnta de-andéis
LE PIN SYLVESTRE
Le pin sylvestre est un arbre de
haute taille, possédant tin bois rési-:
aeux susceptible d'être utilisé pour la
construction, Je travail et le chauffag-e.
Cçtte essence n'est jamais soumige
au gem,tnage. Le pin sylvestre se re-
connaît à son écorce bronzée et À son
couvert léger. Les feuilles sont persis-
tantes, toutefois la durée de persis-
tance varie avec les climats et avec
l'âge; pendant les vjnq-cinq à trente
Premières années, elle!,: persistent qua-
tre ans. et c'est pourquoi, durant cette
période. le couvert paraît assez épai-3.
Germination 4pif?'ée; floraison unisexée
monoïque, mai-juin; fructification sep-
tembre-octobre de la deuxième année
suivant la floraison, précoce, interve-
nant vers quinze ans, si l'arbre est
isolé; vers cinquante ans, s'il est en
massif. Abondante tous les cinq ans,
semence légère, graine ailée.
Enracinement généralement pivotani
et développé
Le pin sylvestre est une essence três
rustique, et il n'y a. pas de station où
il ne puisse vivre ou du moins végéter.
Le peuplement régler et pur de pin
sylvestre prend naissance par planta-
tipn ou semis artificiel en terrain dé-
couvert, ou par régénération naturelle.
La uremière .erpissance est très rapide
et îe ïPassif peut être formé wi bout
de six ans..La germination des graines,
l'i-nstallatioi-, et le premier développe-
ment des jeunes plants exigent une
certaine humidité du sol; mais comme
les plantations de pin sylvestre se font
souvent dans de§ statipng médiocres..
dané' de5 terrains maigres et secs, il
se produit des clairières qu'il convient
de combler.
Le peuplement met huit ans à deve-
nir fourré; puis .commence la période
de forte croissance dont le maximum
a lieu à vingt-cinq ans. Les pousses
annuelles dépassent 0 m. 60; c'est !a
période de 'bas perehis. Les aiguilles
s'accumulent sur le sol et ne tardent
pas à Je couvrir d'une couche protec-
trice de litière qui élève beaucoup sa
fertilité. Le peuplement possède la fa-
culté de ranimer un sol autrefois sté-
rile, et de :relever sa force_ productive.
La caractéristique du pin sylvestre
est un grand besoin de luimiere et d'es-
paçe. Si les dégagements de semis
sont rarement nécessaires, il importe
de pratiquer des dépressagres toutes
les fois' que les semis trop nombreux
se constituent .en fourrés très denses.
L'éclaircie est la base du traitement ,
des essences dp. pleine lumière, dont In
cime franchement desserrée dès le
jeune âge doit occuper au moins le
tiers de la hauteur totale du sujet, et
c'est pourquoi l'éclaircie forte et par-
tiell,e, mais répétée souvent, tous les
dix ans, s'impose. Dans les éclaircies :
successives- Ûy pin, sylvestre, il faut
>noii: pas isoler les cimés, mais eixpôser
progressivement à la lumière toute Ja
: pyramide des branches; au passage de
r ces éclaircies, les pins dominés et les
l sujets mal conformés sont enlevés,
mais on doit s'abstenir d'élaguer les
i branches basses et de faire disparaî-
tre les essences feuillues pouvant se
présenter en me.lang-e dans le massif,
les bonnes essences (bouleaux, chênes)
qui se trouvent en sous-étage à l'état
de buissons, de broussailles ou de jeu-
nes sujets.
L# peuplement de pin sylvestre est
d'une utilité multiple, et donne en peu
de temps un certain nombre de pro-
duits appréciés. Le propriétaire d'un
tel peuplement peut se proposer deux
choses ; relever le degré de fertilité
d'un sol ou produire du bois.
Pans le premier cas, il est bon d'ex-
ploiter le massif à l'âge de quarante
&n£', c'est à ce moment que le sol est le i
mieux préparé par les détritus abon.
dants de la forêt de pins. On opère
ainsi On plante 5.000 sujets à l'hec-
tare, à un espacement de 1 m. 40, tn
tous sens; quand ces pins ont une
moyenne de o m. 10, à hauteur
d'homme à vingt ans, on en retrouve
4..0\}O. On en coupe alors 2.00o; puis
t.ooo. à vingt-cinq ans. Lorsque les
l.wo qui restent ont acquis 0'\ m. 20
de diamètre à trente ans, on en coupe
350, puis 160 à 35 ans. Enfin, quand
les survivants ont 0 m. 30, vers l'âge
de .quarante ans, on peut les exploiter
en bloc, et entreprendre immédiate-
ment soit une culture agricole, soit
une nouvelle culture forestière amélio-
rante.
Dans le deuxième cas, il est néces-
saire de maintenir les pins au delà
de quarante ans, en continuant de les
éclaircir tous les dix ans; mais alors,
l'installation ou la création artificielle
d'un sous-bois de sapin ne saurait
être trop recommandée. Dans de pa-
reils massifs, il y a lieu, vers l'âge de
soixante ans ou plus tard, de com-
mence- les coupes de régénération. La
coupe d'ersemencement est faite très
claire ou plutôt par trouées, et il peut
être opportun de donner une culture
au sol souvent durci, tassé et couvert
de #ous-arbrisseaux de grande taille
et envahis&ants (bruyères, genêts).
L'avenir des massifs de pin sylves-
tre purs et uniformes dès leur jeu-
nesse -st restreint; les inconvénients
du pin sylvestre à l'état pur suffisent
k faire ressortir l'utilité des sous-bois
et l'avantage d'un mélange avec d'au-
tres essences, en peuplements plus ou
moins irréguliers. Dans toutes les sta-
tions movennes, le peuplement pur de ;
pin sylvestre ne devrait être employé
que là où le sol ne peut pas produire
autre chose que du pin sylvestre, à
moins qu'il ne s'agisse de s'en servir ^
uniquement comme essence transitoire
de reboisement.
P. TOURTE,
; ,1: , Dîrec-teUr des Services agricoles
. du CUntal,
CONSEILS PRATIQUES
Remontage du moût par
compression
Pour enfoncer le « chapeau » sufr
B:c:s cuves de vendange en fermeata-
tioal, on employait, jadis, surtout le
« fouilage »..
On l'a remplacé par une claie im-
m,ergée empêchant la m'Mït'ée ou. dia-
pe&u.
Dans certains dispositifs d 'ampho-
res à goulot, on laisse déborder tou-
jours '"écume en arrêtant le chapeau
de m?"c, afin que celui-ci soit toujours
knm>efgé, ...
D'ans d'autres cas, on soutire du vm
en fermentation que l'on renvoie sur
le marc au moyen d'une po'm'pa.
Un Italien, M. Raffae1Jl1() Sernra-
gioltto, propose une opération qui pa-
raît récrip roque et évite l'aération
e X2L§^CipCw.
Il prend le gaz carbonique de fer-
.ment.atMtn à la surface du foudre et le
refoule bous pression dans le pied de
la ciuve. H y ainsi im barbotage car-
jh,,,ni,,,,,, i ni n;nifip f mit pt Tpmipla.Tl Q'f
Ile marc à la niasse eil vin, —
P. L.
Pour les mottes
Nous avons dléjà écrit que les mot-
tes d'automne n'étaient pas nuisîtes,
mais uti.ie.s, carr «lies abritent les plan-
tules germantes et se dei'ite'nt ensuite
sous la gelée, pouf tes reoha.u'sser.
Nous gotmm,es heureux de voir ces
vues confirmées, l'ors de la discussion
su.r la résistance des blés à l'hiver, qui
a eu li-eu à l'Académie parisienne d'a-
griculture.
En Pologne, on préconise les mot-
tes d'automaie
A Grignon, M. S<&rlbaux a cons-
taté que l'abri le plus faible, une pe-
tite pierre, une petite motte de terre
suffisent pour sauver un pied de blé de
l'action mortelle du froid.
Jadis, un Allemand, muni de petits
thermomètres, a montré la différence
énorme de climat suivant le point
choisi entre les motte s.
Durant les vents les plus froids, il
suffit de se coucher dans l'herbe d'urne
friche pour sentir une douce cihaleux,
pour peu que i,ç soleil brille.
La motte est à la plantule ce qu'un
mur est 4 u.n arbuste pour l-e protéger.
Donc n'ayons aucun scrupule de
laisser fies mottes lors des semailles
d'automne.
Et labourons en en soulevant le plus
possible les guérets destinés à être
serons au printemps.
En particuUer, toute planche libre
du jard-in doit être piochée en billons
avec une pioché à dents ou bien soule-
vée à kt fourche pour offrir l'emprise
maxima aux agents atmosphériques.
Ainsi le sol 5e débitera mieux au prin-
temps. On écotnjomisera de lia fatigue
et de l'engrais, par suite de li division
1 extrême des éléments roinénaux.
P. L.
Eclaircie de pins
IL a? faut pas trop tarder pour
éclaircij des puns car il arrive que Les
arbres sont :na:ptes à profiter de l'é.. j
cLa.i'rcie — quand le vent ne les jette j
pa.s par tetrre
Dans une experi.eTine de MM. Hen-
sen et Brcrvvn, un peuplement de
trente-sept ans renfermant six cents
arbres sur 40 ares fut éclairci du
quart environ
Di,x ans après, le cube de.s arbres
restont n'avait augmenté que de 7 %,
ça,r il y a.vait des ailb:res mo.rts, .die
soTte qu'on ne retrouvait pas le cube
t'Otal d'avant -écla.iTci.e.
Seulement on avait profité du pro-
duit à intérêt composé, ce qui fait que
. l'inirvpTfitifKn f* se soldait pas en perte.
P. L.
Il est inutile de forcer le semis
de betteraves
En attendant qu'on ait trouvé le
moyen de placer une graiiae de bet'te-
rave à chaque place définitive avec ga-
rantie de crocesance. on continue à se-
mer en lignes cinq ou dix fois plus
de graines que de plantes à laisser-
M. Sainte-Marie a semé des bettera-
ves .fourragères aux doses de 15, 22,
30 et 45 kilogrammes par hectare.
1 .-e:¡ rendements ont été du même or-
dre, différant seulement de 2 % en
plus avec le semis le plus fort.
Donc, inuti'e de forcer la dépense
en graice» ce qui coûte fort cher
obliere à un démariaae plus Dallent. p.t
P. L.
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Saint-Dizier
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S - Oeavmàtt fceaee »4n «• ' SV ^
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LE COURT-NOUE
DE LA VIGNE
Ln ce moment, pas mal de posses-
•> seurs de vignes sont assez surpris de
s Remarquer un ralentissement sensib.e
- ¿¡ans l'évolution des bourgeons de
e leurs vignes. (Jue ce soit en plaineb,
en coteaux ou dans les graves, cttti
) malame paraît avoir atteint, cette an-
t nce. une extension inc.uiétante. Depuis
. Longtemps les savants discutent pour
en connaître les causes sans être ar-
t rives à un accord complet-
i Il semble, cependant, que les années
pluvieuses, comme l'hiver qui vient de
i nous précéder, soient favorables à l'ex
... . tension de ce mal. Tout dernièrement,
; i nous a été donné de vérifier un jeune
plantiez, greffé l'an passé, admirable-
ment bien réussi et bien tenu. La taille
s de cette jeune vigne avait été éxécutée
^ généralement sur le bourgeon unique
et principal que donnent, en général,
les greffes faites sur racinés et sur
; place. taille à la méthode dite en plant
■ levé, c'est-à-dire de quatre à six bour-
i geons el puis deux mérithalles avec
: bourgeons détruits formant ce qu'on
- appelle vulgairement un « guide 1b
, pour permettre la liaison à un tuteur
, ou a un fil de fer inférieur.
i La proportion de plants court-noués
i est de 95 % et ce terrain n'avait ja-
, mais porté de vignes; les greffons pro
venaient de vignes en parfaite santé
; et non court-nouées.
; Devant ce cas spécial, nous avons
fait des fouilles dans le sol pour exa-
miner le système radiculaire et nous
avons trouve les extrémités des radi-
celles pourries, les spong-ioles abs.«îji
nou;s aurions conclu que l'eau
de 1 hiver, quelque peu stagnante,
pourrait être la cause, malgré que le
sol soit de nature graveleuse à sous-
sol assez perméable.
Mais il est un tait qui frappe notre
attention : tous les vignerons savent
que les griffes en place donnent des
pousses annuelles toujours un peu
court-nouées, je développement étant
au ralenti au fùr et à mesure que se
constitue la soudure, et ce n'est qu'en-
suite, lorsqu'elle a p,ris une certaine
ampleur, que la sève, arrivant plus
abondante, le sarment allonge ses mé-
rithalles pour ressembler à tous les
autres sarments de vigne. Aussi, afin
d'éviter les accidents causés par " les
vçnts, il est d'usage, après avoir liga
turé solidement l'a greffe à un tuteur,
de la pincer. Cette opération a pour
conséquence de faire développer des
yeux anticipes qui fournissent des ra-
meaux secondaires, jamais court-
noués ceux-ci.
On sait que les greffes donnent par-
fois une pousse échappée à la verti-
cale pour une cause quelconque et, à
la taille, on se trouve quelquefois de-
vant ce que l'on appelle une baïon-
nette. Si, pour corriger cette baïon-
nette (car ici il est question avant tout
de former urne tige droite dans la me-
sure du possible), on se trouve en face
df,,l'xm Id;e .ces,,,, sarments anticip-és
mentionnés plus haut qui permette
d'atteindre la ve,-tic-ale, on";n'hésite pas
à tailler. dessous et à utiliser ce sar-
ment. pourvu ou'il soit aoûté pour la
constitution de la future tig-e.
Ces détails, un peu trop longs peut-
Mre, nous amènent à dire que toutes
les fois qu'on a fait usage dans le
jeune nlantÍer précité de ces anticipés
à mérithalles allongés, le court-noué
n'a pas sévi. Ce sont les seules souches
(S % peut-être)) ayant poussé normale-
ment et. cependant, les racines de ces
suiets ont subi le sort commun.
D'autre part, dans les coteaux à pen-
tes abruptes, des vignes plantées dans
des terrains argileux à profondeur très
variable, reposant sur un banc rocheux,
on trovvie aussi pas mal de souches
court-nouées, certaines variété^ excep.
tées. le chasselas notamment, et cela
fort heureusement, car les chasselas
sont le plus grand nombre dans les
expositions précitées L'eau a égale-
ment séjourné sur ces bancs rocheux,
à cuvettes soupçonnées mais non visi-
bles. et le court.noué est apparu là
où il n'avait pas été remarqué.
_ Notre compétence dans cette ques-
tion nms borne aux quelques remar. ;
ques ci-des.sus et nous espérons que
les maîtres en viticulture trouveront
une occasion favorable de découvrir ou
les causes ou_ les remèdes. Quand à
nous, nous faisons confiance au soleil,
ce guérisseur de maux, -et nous nous
rappelons avoir vu, à l'époque des yi*
gnes françaises, avant le phyloxéra
Dar conséquent, des- cas .n.¡J' pfu_ sem-
b'ahles. Lorsque le soleil de juin ré-
chauffait tout. les serments allon-
a'ea:en.t leurs mérithalles e,l la végéta-
tion devenait normale.
Il n'empêche que, dans ce s cir-
constances, la fructification subissait
des dommages, mais il n'y avait pas
alors esprit de suite : je veux ■ dire que
la mime vigne n'était pas cour''-nouée
tous les ans. Il est vrai qu'elles étaient
françaises.
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CONTRE LES INCENDIES DE FORETS
Voici venue la saison où le danger
des incendies de forêts va à nouveau
se manifester. Revoyons par la pen-
sée les surfaces incendiées que nous
eûmes l'occasion de parcourir l'été
dernier et récapitulons les divers
dommages qui en résultèrent. Nous
pourrons ainsi nous faire une opi-
nion sur l'utilité de prendre des me-
sures.
hnwneration des divers dommages
causes par' les incendias de forets
la Des bois arrivés à leur pleine
valeur marchande peuvent êt.e dé-
truits ou endommagés, soit sur pied,
soit apros abatage ;
20 Les dépenses faites pour amé-
liorer la forêt (clôtures, gemmage, dé-
masclage éclaircieG, dégagements de
semis) deviennent sans effet utile ;
3° Des bâtiments situés en forêt
peuvent ét.e brûlés avec tous les
stocks de marchandises- qu'ils con-
tiennent ;
40 La croissance des arbres qui
échappent à la destruction est tou-
jours fortement ralentie, de même
que la production de la gemme. Il
résulte, en effet, de récentes expé-
riences effectuées dans les pineraies
du sud-est des Etats-Unis, que la
pratique de l'écobuage annuel (petit
incendie surveillé et contrôlé en vue
de la destruction du sous-bois inflam-
mable) entraine une perte d'un bon
tiers de la récolte de térébenthine.
Si un tel incendie surveillé en vue
de fins utiles et ne prenant pas les
allures d'un sinistre suffit à jet. r
un tel trouble dans la biologie de
, 3a forêt, on peut se faire -une idée j
des effets du véritable incendie dé-
chaîné sans frein dans le sous-bois ;
50 Une grande quantité de graines
d'arbres et de jeunes sujets sont dé-
truits par le feu ;
Les grands arbres qui restent
indemnes, ou qui paraissent le
rester, sont rendus plus sujets aux
maladies cryptogamiques et aux in-
vasions d'insectes ; leur fructification
est souvent fortement diminuée ;
70 La fertilité du sol est affaiblie
par la destruction du terreau fores-
tier et des bactéries ; peut-être aussi
par celle du mycélium des cham-
pignons formant les mycorhizes ;
80 L'érosion de la surface des ter- .
rains en pente est augmentée et le
régime des eaux s'en trouve aggravé ;
90 Enfin, l'agrément touristique et
la valeur de la chasse sont forte.
ment diminués.
*
* *
Je puis donc que répéter ce
que j ai déjà eu l'occasion de dire ici
menie :
« I our lutter efficacement contre
es incendies de forêts, propriétaires
associez-vous ! L'Etat, par l'intemé-
c'iaire des eaux et forêts, vous
aidera. »
Cette utiilité de l'association est
soulignée dans une lettre que M. îe
sénateur Daraignez écrivait l'an
dernier au président du comité fo-
restier du Sud-Ouest ;
Voulez-vous me permettre une sim-
ple observation au sujet d'un voeu sur
les incendies de forêts : question capi-
tale pour notre région et pour la-
quelle une loi que vous connaissez
bien fut votée il y a peu de temps.
Cette loi a été peu ou pas appli-
quée dans les Landes. Or,' elle -^po-
sait toue entière sur la création de syn-
dicats de défense pouvant être subven-
tionnes par l'Etat. Ne croyez-vous pas
que c est par la création de ces syn-
dicats qu il y aurait lieu de commencer
Stylisation de la lutte nécessaire ?
L h-taî écoutera d'autant mieux nos
doléances que nous aurons pris pius
d initiatives et nous aidera dans la
mesure où nous serons nous-mêmes
aidés.
Je crains bien qu'en dehors de cette
organisation locale préalable vous
n obteniez pruère de résultats.
Et combien notre intervention serait
plus efficace si nous avions à deman-
der a 1 administra;ion son aide, pré-
vue par la loi, pour des syndicats que
cette même loi, rand, si je ne
trompe, obligatoires.
*
+
Propriétaires, ne laissez pas s'ef-
ta,cer les t:'a,ces des incend'es dl'
forêts de l'été 1929 sans les visiter
à chaque occasion et sans b:en vous
pénétrer des ^ dommages considéra-
bles^ qui en résultent chaque année.
C'est dès le début de l'hiver qu'il
faut songer à organiser 8a survet'-
tance et la lutte pour l'été suivant.
Aussitôt la saison sèche arrivée, !c
danger est à nos portes et il est tro::
talà.
Ecoutez le consul donné par Je
sénateur docteur Daraignez : « Asso-
ciez-vous en syndicats de défense et
dites à l'Etat : « Aide-nous ».
L. F. TESSIER,
Ancien Conservateur des eaux
et forêts.
Soufre "INSECTIL"
. ~ Au [ormbsol et chlorure -de baryum
Détruit l'OmlU!\I
et les VERS DE LA GRAPPE
A PROPOS DE TRACTEUR
dtsis les résidus sinistrées
«a#
On parle souvent de l'organisation 4e
certaines marqùes étrangères. A ce pro-'
pos, nous ne devons pais omettre de vous
signaler le gros effort fourni par une im-
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Jll?„ue est le nJus sur — les organe
étant plus
Leur travail dans les champs le,,
montre de faron concluante, et a i
rantie île cinq ans accordée nar t?
tfi.ifSiSll"é et Signé, par leur Ccî.îtf
teur, en est un témo,gnage ci,ull. "
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dèle IQ:';O. tabriquées par Amour
i'jeres, sont J.es seules au monde r i
portant des pièces en acier electr,
en tant que rrançsis^ nous pouvez »
Bien d autres avantages as,j,utefl
supériorité de ces machines re111arr
b,les,' en particulier leurs véritables
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bure, semblables à eaux des tiiiïe
tiels d'automobiles et ayant Touji
trois dents en prise directe, résil
que l'on ne peut obtenir avec le
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inclinaison.
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ments à billes, une vitesse de lanï
celerée permettent une coupp irn
chable au' pas de labour des bœuf.
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[La, Faneuse type F. 4. modèle :
fabriquée par Amoureux Frères
aussi très soignée comme constnic
et l'agriculteur ^ qui l'examine
frappé par une impression très
de robustesse.
Ses pièces de fatigue. sont aussi ;
- acier electrique et elle comporte 1
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3 yeté" d'une simplicité parfaits et d'u:
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lite, qui ont fait leurs preuves,
travaillent bien et longtemps.
Elles comportent le minimum !
pièces et do boulons.
De plus, leurs prix sont les mini
pour tous les acheteurs.
1 L'application des prix fixes et/nsi
preuve de loyauté envers -, ses cte'
dont on ,Ife ,T>eut,,que.Jélki£erL.lay^«
tjrês^ht'atitsi-1 '• '-to': ' i
On m'objectera que ces raacls
sent un peu plus chères que d'au?
fL'asricu'.teur avisé ei écons
comme 'd'ailleurs tout acheteur :
denne, sait fort bien que le bon is
ohé coûte très cher et ou'en* définit
c'est une éocnom i e mal compr-i se.
On ne peut obtenir à bas prix :
Faucheuses, des Faneus'es, des L;
ses., _d,e la ficelle de h^ute qualité!
rantie, pas plus que du bétail ou :
semences d'& ch-oix à prix réduit.
« On n'en a iamais que pour!
argent. JI
La petite différence de prix oir
sentent les machines Amouroux Fre-
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rée, la sOret,! rie lejfr travail et If
faible coût d'entretien.
Prenonis l'exe,mpie d'une pièce
raiite : le doi^t. On ronmlace V .
fois moins de doigts. coulés en "' I
électrique s'Ur les .Faucheuses AT
roux Frères oue'sur Ia plupart des;
dèles étrangers les plus connus.
pen!;eig-.ne,-Vous — c'est .un r:
facre à vérifier
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suivez le travail des Faucheuses et
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Arirès vous _être bien rendu co:
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