Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1948-04-26
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 26 avril 1948 26 avril 1948
Description : 1948/04/26 (A3,N632). 1948/04/26 (A3,N632).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t599898r
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/04/2021
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BRITISH EUROPEAN AIRWAYS . 38. AV' DE l’OPÉRA . TAITBOUT 60-50
Caput roule à 43 de moyenne et sprinte magistralement
CETTE FOIS, LA TACTIQUE FRANÇAISE
TRIOMPHE
E LA LOGIQUE
(De notre directeur Jacques CODDET)
FOURS. — Ce fulgurant Paris-Tours, effort collectif vers la plus
le vitesse sur route, a joué à point voulu, comme une sorte de
pion, de justification. Il s’est donné à qui l’avait abordé en
L grâce, à qui s'y était le plus sévèrement préparé. Il impose
s vérités essentielles du cyclisme moderne : sont les meilleurs
Li courent le plus, gagnent ceux qui attaquent. Vérités diable-
Virales et hautement sportives. Et d’autant plus agréables à
lier qu’elles sont, pour l’heure, celles des routiers français, celles
du magnifiquement inévitable Monégasco - Franco - Italien
Mini.
yur nous, qui avons suivi la passionnante campagne de Belgique,
Lire de celui que Schotte a surnommé « l’homme-avion », est
çis très compréhensible et très surprenante. Compréhensible
L la classe de Caput est indiscutable et qu’il l’a prouvé en
au Tour des Flandres, qu’il pouvait gagner, s’il avait calibré
fnidemment son effort, puis en escaladant avec allégresse les
ï riennais après avoir été faire le « zigotto » la veille à la
lïoers de Vilvorde. Surprenante, parce que, après l’avoir ramené
|< Gand effondré dans notre voiture, nous le croyions vidé,
He de récupérer.
aaraît évident que dans une forme optimum et les accus complè-
I rechargés, Caput devait être l’homme de Paris-Tours. Après les
U les côtes, la piste qui court vers la Loire lui sembla, le vent
g une douce glissade. Et comme il ne céda pas, cette fois, à sa
K comme il se contint jusqu’au moment M., il sut choisir la
géchappée, au bon moment, entre Amboise et Bléré, à quelque
omètres du vélodrome Victor Lefèvre, sa supériorité put, sur
te, s’exprimer d’une manière écrasante. Il n’y a aucun doute :
tout, le « sprinter V1 » autant qu’ « homme-avion » aurait
se de la même manière, c’est-à-dire de plusieurs longueurs, tous
eigneurs-profiteurs du gros peloton, les Van Steenbergen, les
Lite les Peters, les Middelkamp, les Leoni que d’ailleurs, l’embal-
-iniseur du siècle, Brik Schotte, régla très simplement derrière
i de l’échappée victorieuse.
La vitesse tua les hommes vîtes
1 Plus que toute autre épreuve, Paris-Tours se court en groupe,
léhccxts restant contrôlées et n’atteignant guère deux minutes
1:7 Malgré le système de changement de roues à tout moment
t’a voiture des constructeurs, les hommes qui crèvent ont peu
stance de revenir. A part un très beau retour de Magni et de
fceren, les exploits de l’arrière jurent rares.
■m ces conditions, l’aspect physique de la course, c’est un gros
Meut s’amaigrit lentement, insensiblement, et à l’intérieur duquel
gmes principaux fonctionnent en grand secret. A l’arrivée, on
Bitopsie et l’on découvre des gens de toute espèce, de valeur
■, mais plus oU moins habiles et certainement chanceux.
Biens de citer les noms des super-vedettes que l’on retrouve
■ ‘dans le gros peloton. Félicitons-les, routiers occasionnels,
iigéré les 43 de moyenne. Réjouissons-nous. cependant, de leur
■ certes, Sercu d’abord, Van Steenbergen ensuite, furent les
■ esquisser une contre-offensive après le franchissement de la
■t de Bléré. Mais il n’y avait plus personne près d’eux pour
9mpagner, soutenir leur effort, pas même Brik Schotte qui,
gis encore, temporisa tant qu’il avait oublié de prendre la
rCaput-Tdée.
■hérité tous ces hommes-là, rois de la vitesse, étaient asphyxiés
■rapidité de la course. Ils furent tous incapables de réagir lors-
il poursuite de Mahé, au fort du plus beau coup d’audace de
■se, les hommes décidés se détachèrent en douceur et mirent
gmun, le long du Cher, leur forme de rouleurs aux jambes
■ Je kilomètres.
1 Trop tôt, le tonnerre ?
■ seconde place de Mignat est le plus gros sujet d’étonnement.
guble le succès d’une jeune marque, Olympta-Dunlop et elle
■ un coureur encore jeune qui avait trop tôt quitté la route.
g est récompensé d’avoir roulé sur les routes de l’Ouest l’autre
Joli pédaleur, plein d’aisance, batailleur, aimant ça, et pas
a tout, voilà un excellent élément tout neuf.
get sans doute aussi parce qu’il fait son métier de routier,
■toutes les obligations et les sacrifices que cela comporte, que
allée est, à l’heure actuelle, avec Schotte, le meilleur performer
al Ce n’était pas hier le meilleur idée. Mais celui-ci n’aurait
■ dominer Caput au sprint. Il aurait donc fallu qu’il le lâchât ;
•naurait guère été facile.
au suite des titulaires des accessits se placent les hommes ayant
a up couru dans ce début de saison trop chargé, trop précipité.
gllestion se pose : trop tôt le tonnerre ?
s est pas douteux que l’excellente attitude des routiers fran-
■W, dans ce Paris-Tours, ont tout de même remporté le grand
■ W’ils méritent sur des Belges vraiment trop apathiques et des
M encore mal adaptés au style de nos épreuves et, hier, terri-
91 malchanceux, est motivée par l’attirance du Tour. Le besoin
B élection est un puissant stimulant. S’il est heureux qu’il
ace de cette manière toute la saison, il est indispensable égale-
tle cette grande consommation de kilomètres et d’efforts soit
M temps d’une petite sieste.
tt ceci peut facilement s’accouder, à la condition que nos
V sachent, entre les courses, se soigner, se détendre. Quel beau
■luand on l’exerce avec tant de cœur et qu’on en sait équili-
V dépenses avec les réserves.
et Sommer malchanceux 1
ND PRIX DU ROUSSILLON.
paie en terrain français !
Mignat, révélation de la saison, deuxième du petit peloton qui mata les
« profiteurs »... Idée, troisième sans facilité. Jean Lauk, en hauts progrès,
devance l’inévitable Camellini et Mahé qui lança
l’offensive après Châteaurenault
Schotte bat, derrière ces six hommes, les
seigneurs du sprint, et d’abord Leoni !
(D’un de nos envoyés spéciaux Claude TILLET)
TOURS. — A l’arrivée de la Flèche Wallonne, Louis Caput
nous avait paru extrêmement fatigué. Sa mine amaigrie, son
teint de papier mâché nous avaient défavorablement impres
sionnés. Nous pensions que le Tour des Flandres, suivi du Grand
Prix de Vilvorde, puis de. ce Charleroi-Liége-Charleroi, l’avait
momentanément mis hors d’état de remporter une victoire im
portante
. Ainsi, nous nous étions trompés. Ce que nous avions inter
prété comme des signes de dépression n’était que l’indice de
cette grande forme dont on a
souvent dit qu’elle est un état
maladif...
Ce qu’a fait Caput aujourd’hui
comptera parmi les plus grandes
pages du cyclisme routier, au même
titre que le triomphe de Van Steen-
45 km. 500
dans la troisième heure
La marche, heure par heure, des
concurrents de Paris-Tours, est pas
sionnante a suivre. Voici les chiffres :
1re heure : 41 km. ; % heure :
42 km. । 3’ heure : 45, km. 500 ;
4” heure : 43 km. ; 5’ heure : 43 km. ;
6e heure (inachevée) : 36 km. 500.
On se rend compte ainsi que la
Vallée de Chevreuse est un obstacle
et que la route conduisant à Chartres
(2 heure) n’était pas balayée par un
vent 100 % favorable. Par contre, sitôt
après Chartres (3* heure), record
battu avec 45 km. 500.
Remarquez, enfin, que Ton termina
plus vite que l’on avait commencé.
bergen dans Paris-Roubaix ; 1948 est
décidément une bonne année !
Louis triompha au sprint, mais
ce n’est pas en « suceur de roues »
qu’il apporta ce succès à son patron,
M. François Durif, et au directeur
sportif d’Olympia-Dunlop, Emile Mu-
lon. Dans la dernière partie de cette
course, menée à plus de 43 de
moyenne, il participa très activement
à la réussite de l’échappée dont il
était l’une des six unités. Il tra
vailla comme les autres. Et il sprinta
finalement mieux que les autres,
s’assurant la première place dès le
milieu de la ligne opposée, au prix
de « coups de rein » contre lesquels
il n’y avait rien à faire...
Nous retrouvons donc, après une
longue éclipse, un champion fran
çais susceptible de faire jeu égal
avec les vedettes étrangères. Et der
rière Caput, nous avons là joie de
voir apparaître un garçon qui trouve
1 Louis CAPUT, les 251 km, en
5 h, 49’ 27” (moy. 43 km. 096), sur
bic. Olympia, pn. Dunlop ; 2. MI
GNAT, à 3 long. : 3. IDEE, 4, J.
LAUK, 5. Camellini, 6. MAHE 7.
Schotte, 5 h. 51’ 52” ; 8. Leoni, 9.
Ramon,
TEUX,
10. L. LAUK. 11. BUT
: ex æquo : BOBET, Ver
schueren. Middelkamp, Van Steen
bergen, Rosseel, Depredomme, De-
clercq Mollin, G. MARTIN, DIOT,
Magni', GUEGAN, CHRETIEN, Vlae-
mynck. Dupont, Dubuisson, Ant.
ROLLAND. QUEUGNET, Cerami,
CHAPATTE. D E V R E E S E, DE
MUER, GIGUET, Peeters DES
BATS, Schulte, MACORIG ;
39. RIOLAND, 5 h. 54’ 19” ; 40.
Sercu. 41. Marcellak, 42. Meersman,
43. Rondelé, 44. Tacca, 45. DOL-
HATS. 46. LAPEBIE, 5 h. 55’ 1” ;
47. Logli, 5 h,
Y. MARIE,
56’ 4” ; 48. Gens 49.
50.
TEISSEIRE, 5 h. 57
BRULE, 51. L.
V 10” ; 52. Beeck-
man, 53. Oreel, 54. A. LAZARIDES,
55. PIETRE. 5 h. 58’ 6” ; 56. CAFFT,
5 h. 58’ 31”
LEVEQUE,
KERGOET, 59. PAQUET, 5 h,
46” ; 60. PERNAC, 6 h. 0’ 39”
58.
59’
61,
CHUPIN 62. Pasotti, 63. PAWLI-
SIAK. 64. MASSAT., 65. Zanti, 66.
Olivier, 67. P. Neri. 68. AUDAIRE.
69. Loatti, 6 h. 3’ 10” ; 70. Monarl,
6 h. 12’ 15”
piste : Mignat bon deuxième; Mignat,
élève de Julien Prunier, en même
temps que poulain d’Olympia lui
aussi... Le vainqueur des « Quatre
Grands Prix » a montré qu’il peut
se distinguer ailleurs que dans les
compétitions de second ordre aux
résultats discutés. On se demande
vraiment de quoi il pouvait bien par
ler avec Maurice Archambaud après
le tour d’honneur effectué en com
pagnie de Caput, devant la foule
tourangelle !
(Lire 1a suite pag, 2,
en rubrique Cyclisme)
PREMIERS QUALIFIES
sa voie sur les routes après l’avoir
assez brillamment cherchée sur la [ POUR LE CHAMPiONNATDE FRANCE
DE DEMI-FOND
COCHET BATTU PAR L’ACE
AUX CHAMPIONNATS DE PARIS DE TENNIS
A 33 ans Marcel Bernard
a réussi à améliorer
sa technique et sa tactique
Mme Landry, victorieuse sur trois fronts
Les nombreux spectateurs venus assister hier à Roland-Garros aux
finales des Championnats internationaux de Paris ont été déçus et ravis
à la fois
Une certaine amertume, un regret manifeste emplissait leur âme. Le
vieux mousquetaire, le magicien qui, jadis, se jouait de ses adversaires
en les mystifiant par des balles aussi
TRINTIGNANT (Simca)
MEILLEUR ET LE PLUS RAPIDE
A Bordeaux
LESUEUR
avec brio
A Buffalo
CHOCQUE
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In de nos envoyés spéciaux Charles FAROUX)
SGNAN, _ Leg organisateurs perpignanais avaient connu cer-
iétudes la veille de l'épreuve, tant le ciel était chargé de
rds, poussés par un vent de tempête. Si la violence du vent
3 diminué dimanche du moins retrouvions-nous l’azur d’un'
t pur, il n'empêche que tous nos hommes ont été gênés par la
deux éliminatoires qui, ainsi qu’on pouvait le prévoir, n’appor-
i ne surprise notable, hormis l’abandon de Schell, qui avait
11 cependant mis à son actif un bon
_ — début de course, onze voitures s’ali-
g, , gnaient dans la finale qui devait
1 th ely -ac nous ménager quelques coups de
K O. Te théâtre.
IiA/gy ss Dès le départ, Wimille s’envole et
7 » WWwB surgit du virage placé à 200 mètres
(Lire la suite p. 2, rub. Automobile)
VALENTIN'
W."O D£s SA6urcHO(/cs
"s"VELLEP,eSDen.
ULLE - STRASBOURG
CLASSEMENT DE LA FINALE
1. Maurice TRINTIGNANT (Simca,
pn. Dunlop), 40 tours, soit 101 km.
536, en 1 h. 4’ 8” 8/10 (moyenne:
94 km. 972) ; 2. Robert Manzon
(Cisitalia), 39 tours, 1 h. 5 23 ,5/19
3. Raymond Sommer (Ferrari), 38
tours, 1 h. 4’ 44” 6/10 ; 4. Prince
Igor (Simca), 38 tours, 1 h 4 4a
9/10 ; 5. René Bonnet (D B.) 36 t.,
1 h 5’ 10” 1/10; 6. Hue (Fiat),
35 tours, 1 h. 5’ 26” 5/10 ; 7. Berte
(Berte Spéciale), 30 tours, 1 h. 4
6” 4/10.
MEILLEUR TOUR : Trintignant
(Simca), t’ 32” 9/10 (moyenne:
98 km. 366).
subtiles que définitives venait d’être
terrassé en trois sets faciles. Henri,
l’homme au coup de patte incompa
rable, avait laissé le sceptre entre
des mains françaises, en celles d’un
Bernard au style facile et intelli
gent. Cette victoire adoucit à nos
yeux la chute du maître parce que
somptôme rassurant à la veille de
notre première rencontre en Coupe
Davis.
Cochet avait pourtant pris un dé-
part rapide lui permettant de de
vancer Bernard à la marque, mais
ce dernier, d'habitude très len' à
s'échauffer, rattrapait son aîné pour
lui enlever la première manche par
six jeux à quatre. Dans le second set.
Cochet gagna son service mais Ber
nard en faisait autant pour se trou
ver ensuite trois partout et eur sa
lancée s’adjuger six jeux de rang
qui lui permettaient de mener par
trois à zéro dans la troisième manche.
Malgré deux sursauts de Cochet, Ber
nard s’adjugeait le titre sur une dou
ble faute du Lyonnais.
4 aucun moment. Bernard ne se
trouva en réelle difficulté. Sa, balle
liftée de gaucher mettait à dure épreu-
André BOZON.
(Lire les détails page 3
en rubrique Cyclisme)
(Lire la suite page 3
en rubrique Tennis)
LE PREMIER DES CINQ... Paris Vaast - Moreel
effectua, hier au Parc, un début de match transcendant. Grâce à
elle le gardien Domingo fut battu deux fois en neuf minutes.
Sur notre photo, Vaast marque le premier des deux buts qui mirent
le Stade k.o. De g. à dr. : Grégoire, Grillon, Vaast et Domingo.
(La rubrique Football en pages 3 et 4)
se
s
LE CLASSEMENT PAR
ANTICIPATION TOU.RS. — Mous sommes aux portes
----- de Pours, à moins de 10 km. du but,
et les positions sont déjà acquises. D’ailleurs Caput, en tête, le sourire aux lèvres, semble bien le plus
frais. Dans sa roue, Mignat grimace et Idée, en troisième position, laisse voir sur son visage des signes
de lassitude. Derrière Mignat , à demi-caché, on aperçoit Jean Lauk
UN GRAIN A L’HORIZON DE LA COUPE DE FRANCE DES XV
Toulon, finaliste du Championnat
EST MIS K.-O. PAR NARBONNE
Devant le P.V,C. 9 les champions de France de
Lourdes ont frisé la défaite ! L’Aviron Bayonnais
et le Stade Toulousain au premier plan
Quand on disait que Lourdes serait éliminé, sur son terrain, par le
PUC, que Toulon serait défait par Narbonne, que le Stade Toulousain
serait battu par Cognac et quand on prévoyait quelques autres résultats
qui semblaient relever d’une pure fantaisie, on en riait. On ne voulait
pas croire qu’une tempête se lèverait avec les huitièmes et les seizièmes
de finale de la Coupe de France On n’osait espérer qu’elle renverserait.
hier, l’ordre des valeurs solidement
construit par le Championnat, et on
le regrettait pour la Coupe elle-mê
me. C’était, en vérité, trop médire
de cette compétition, car, si elle n’a
pas provoqué une impossible révo
lution, elle n’en a pas moins ébranlé,
avec violence, un certain nombre de
préjugés favorables aux grands clubs
ou aux seigneurs du Championnat.
Le PUC succombe en beauté
Comment ne s’arrêterait-on pas tout
d’abord à la magnifique partie du
PUC à Lourdes : il s’en est fallu de
bien peu que les champions de Fran
ce ne soient éliminés. S’il était écrit
que le PUC ne devait pas créer la
sensation du jour, la fortune, au
contraire, a bien voulu sourire aux
audacieux Narbonnais, nullement
impressionnés par le prestige d’un
Georges DUTHEN.
(Lire la suite page 3,
en rubrique Rugby XV)
A Granville, sous le patronage de 973 2/ /02)3
" . aorga*sj**o**
l’étudiant lyonnais Jean Grenot
coq de 19 ans...
SE CONFIRME AVEC ECLAT
Roude, le meilleur mi-lourd, Rubini, Grenot
Mathieu, Le Guillou iront à Uriage
(De notre envoyé spécial Georges PEETERS)
GRANVILLE. — Vieux nid de corsaires avec ses remparts et ses rues
étroites où s’engouffrent le vent. Granville, deux jours durant, vient
d’accueillir, de la plus gracieuse façon, boxeurs et dirigeants venus en
ce pittoresque pays de Basse-Normandie à l’occasion des deux premiers
huit » préolympiques organisés par la FFB, le Comité de
le BC de Granville, sous le patronage de L’EQUIPE.
tournois de «
Normandie et
Jean Grenot
Aux monis
un brillant et sérieux
espoir
de Humezt, Nowiasz
et Escudié, nos plus sérieux espoirs
pour les Jeux Olympiques de Lon
dres, nous pouvons ajouter aujour
d’hui celui d’un jeune étudian’,
lyonnais qui vient d’avoir dix-neuf
O'ViDr DE
9219
SANS
LES PREMIERS SELECTIONNES
POUR URIAGE
Fernand Vianney, qui nous a dit
combien il était satisfait de ces
deux premiers tournois de « huit »
disputés à - Granville, nous a com
muniqué sa première liste de sé
lectionnés pour le stage préolym
pique d’Uriage, Elle s’établit comme
suit :
COQ : Grenot (Lyon», Mathieu
(Nancy) Le Guillou (Colombes) ;
MI-LOURDS : Roude (Villeurbanne),
Rubini (Verdun)
Il nous a également rappelé les
sélectionnés d’office, qui sont :
LEGERS: Caulet (Montpellier);
MI-MOY. : Humezt (Hénin-Liétard) ;
MOY ENS : Escudié (Béziers), No-
wiasz (Hénin-Liétard
ans : Jean Grenot. Par son dyna
misme. son allant, son sens de la
bexa, le poids coq Jean Grenot. a
enthousiasmé Fernand Vianney et
M. Rabret.
Grenot qui, dans les Championnats
de France à Lyon, avait été battu
d'extrême justesse par le Pantinois
Forni. nous est apparu en nets pro
grès Dans ses trois combats, il eut
tout de suite sa distance, se montra
intelligent, varié, mobile, ranide n
suit à merveille, sait fort bien se
couvrir. Sa garde est bonne. Lorsqu 1
aura amélioré sa position d’attaque.
(Lire la suite p. 3, en rubrique Boxe)
COUPE DE FRANCE
(SEIZIEMES DE FINALE)
A Lourdes : LOURDES b. PUC 8 - 5
A Lyon : Narb. b. TOULON.. 3-0
(HUITIEMES DE FINALE)
A Toulouse : BAY. b. VIENNE 15 - 9
A Bord. : TOULOUSE b. Cogn. 18-12
A Pau : Castr b. ST. MONT. 14 - 0
A Bay. : BEGL. b. Tyr. (prol.) 6 - 3
A Carc. : PAU b. Grenoble .. 16-3
A Romans : ROMANS b. Val. 15-0
LES MARSEILLAIS DD JEU A13
émules des footballeurs de ‘O.M
Ils joueront contre Carcassonne
la finale de la Coupe de France
Les rugbymen marseillais ne seront pas en reste avec leurs collègues
footballeurs. Ceux-ci se sont installés confortablement à la première
place de leur Championnat ; eux, de leur côté, ont tenu a remporter leur
demi-finale de Coupe avec un brio exceptionnel.
Il ne restait plus, dans ces conditions, aux Toulousains qua s in-
•• ” — moins l'ont-ils fait avec élégance.
cliner sans contestation possible. Du
ce qui a valu au public biterrois —
dont les XIII comptent obtenir les
suffrages
une partie
agréable, sanctionnée par
à « l’anglaise ».
Quelques individualités
claire et
un score
toulousai-
nes ressortirent : Sabarthes, Melet,
Cantc-ni, mais l’ensemble fut dominé
COUPE DE FRANCE
(Demi-finales)
CARCASSONNE b. Paris .... 16-4
MARSEILLE b. Toulouse .... 34-27
ainsi que nous
voir. par un
l’avions laissé pré-
XIII
et dont le style est
affirmé.
Nous aurons donc
plus athlétique
beaucoup plus
une finale de
Coupe Carcassonne-Marseille qui s’é-
quilibrera fort bien avec celle du
Championnat, Carcassonne - Roanne.
Mais les Carcassonnais, s'ils peuvent
se flatter de figurer sur les deux ta-
Roger BASTIDE.
(Lire la suite p. 3, rub. Rugby XIII)
Taiite la Heuiceeti fsWile
LE «JOURNAL INTIME
lisegle
EVA BRAUN
7ANS DE VIE COMMUNE AVEC HITLER
e—‘' 29, Braun /
_ 1. dépeint P ar publie l
e Le Hitl7,Anat intime, “trement |
dans sonJ, », est “he celui <
jrrance - ^ burlesque a
poussé eTS dsvereis chatlie“adrret
2ont nous o ue i coup même
publié T n 12 ' . Et peut-etre
a l’hitlémsme, AAON -
4 la guerre, FePr5aro,2 avm.X
FYSI DANS )—a
France-soir
i LE PLUS FORT TIRAGE ET LA PLUS
FORTE VENTE.DE TOUS LES JOURNAUX FRANÇAIS
DUEL AU SOLEIL
LA SAUVAGE PASSION DE
Le roman d’amour le plus audacieux
et le plus violent publié aux Etats-
Unis. Il a provoqué une levée de
boucliers des ligues puritaines -aux
U.S.A., mais fut le livre le plus
lu par les G. l.’s... Un drame
brutal, . aux
multiples péripéties,
autour d’une troublante méfisse
PEA RL CH AVEZ
dans le Far-West.
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Marseille, l’équipe fraîche, seule en tête
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BRITISH EUROPEAN AIRWAYS . 38. AV' DE l’OPÉRA . TAITBOUT 60-50
Caput roule à 43 de moyenne et sprinte magistralement
CETTE FOIS, LA TACTIQUE FRANÇAISE
TRIOMPHE
E LA LOGIQUE
(De notre directeur Jacques CODDET)
FOURS. — Ce fulgurant Paris-Tours, effort collectif vers la plus
le vitesse sur route, a joué à point voulu, comme une sorte de
pion, de justification. Il s’est donné à qui l’avait abordé en
L grâce, à qui s'y était le plus sévèrement préparé. Il impose
s vérités essentielles du cyclisme moderne : sont les meilleurs
Li courent le plus, gagnent ceux qui attaquent. Vérités diable-
Virales et hautement sportives. Et d’autant plus agréables à
lier qu’elles sont, pour l’heure, celles des routiers français, celles
du magnifiquement inévitable Monégasco - Franco - Italien
Mini.
yur nous, qui avons suivi la passionnante campagne de Belgique,
Lire de celui que Schotte a surnommé « l’homme-avion », est
çis très compréhensible et très surprenante. Compréhensible
L la classe de Caput est indiscutable et qu’il l’a prouvé en
au Tour des Flandres, qu’il pouvait gagner, s’il avait calibré
fnidemment son effort, puis en escaladant avec allégresse les
ï riennais après avoir été faire le « zigotto » la veille à la
lïoers de Vilvorde. Surprenante, parce que, après l’avoir ramené
|< Gand effondré dans notre voiture, nous le croyions vidé,
He de récupérer.
aaraît évident que dans une forme optimum et les accus complè-
I rechargés, Caput devait être l’homme de Paris-Tours. Après les
U les côtes, la piste qui court vers la Loire lui sembla, le vent
g une douce glissade. Et comme il ne céda pas, cette fois, à sa
K comme il se contint jusqu’au moment M., il sut choisir la
géchappée, au bon moment, entre Amboise et Bléré, à quelque
omètres du vélodrome Victor Lefèvre, sa supériorité put, sur
te, s’exprimer d’une manière écrasante. Il n’y a aucun doute :
tout, le « sprinter V1 » autant qu’ « homme-avion » aurait
se de la même manière, c’est-à-dire de plusieurs longueurs, tous
eigneurs-profiteurs du gros peloton, les Van Steenbergen, les
Lite les Peters, les Middelkamp, les Leoni que d’ailleurs, l’embal-
-iniseur du siècle, Brik Schotte, régla très simplement derrière
i de l’échappée victorieuse.
La vitesse tua les hommes vîtes
1 Plus que toute autre épreuve, Paris-Tours se court en groupe,
léhccxts restant contrôlées et n’atteignant guère deux minutes
1:7 Malgré le système de changement de roues à tout moment
t’a voiture des constructeurs, les hommes qui crèvent ont peu
stance de revenir. A part un très beau retour de Magni et de
fceren, les exploits de l’arrière jurent rares.
■m ces conditions, l’aspect physique de la course, c’est un gros
Meut s’amaigrit lentement, insensiblement, et à l’intérieur duquel
gmes principaux fonctionnent en grand secret. A l’arrivée, on
Bitopsie et l’on découvre des gens de toute espèce, de valeur
■, mais plus oU moins habiles et certainement chanceux.
Biens de citer les noms des super-vedettes que l’on retrouve
■ ‘dans le gros peloton. Félicitons-les, routiers occasionnels,
iigéré les 43 de moyenne. Réjouissons-nous. cependant, de leur
■ certes, Sercu d’abord, Van Steenbergen ensuite, furent les
■ esquisser une contre-offensive après le franchissement de la
■t de Bléré. Mais il n’y avait plus personne près d’eux pour
9mpagner, soutenir leur effort, pas même Brik Schotte qui,
gis encore, temporisa tant qu’il avait oublié de prendre la
rCaput-Tdée.
■hérité tous ces hommes-là, rois de la vitesse, étaient asphyxiés
■rapidité de la course. Ils furent tous incapables de réagir lors-
il poursuite de Mahé, au fort du plus beau coup d’audace de
■se, les hommes décidés se détachèrent en douceur et mirent
gmun, le long du Cher, leur forme de rouleurs aux jambes
■ Je kilomètres.
1 Trop tôt, le tonnerre ?
■ seconde place de Mignat est le plus gros sujet d’étonnement.
guble le succès d’une jeune marque, Olympta-Dunlop et elle
■ un coureur encore jeune qui avait trop tôt quitté la route.
g est récompensé d’avoir roulé sur les routes de l’Ouest l’autre
Joli pédaleur, plein d’aisance, batailleur, aimant ça, et pas
a tout, voilà un excellent élément tout neuf.
get sans doute aussi parce qu’il fait son métier de routier,
■toutes les obligations et les sacrifices que cela comporte, que
allée est, à l’heure actuelle, avec Schotte, le meilleur performer
al Ce n’était pas hier le meilleur idée. Mais celui-ci n’aurait
■ dominer Caput au sprint. Il aurait donc fallu qu’il le lâchât ;
•naurait guère été facile.
au suite des titulaires des accessits se placent les hommes ayant
a up couru dans ce début de saison trop chargé, trop précipité.
gllestion se pose : trop tôt le tonnerre ?
s est pas douteux que l’excellente attitude des routiers fran-
■W, dans ce Paris-Tours, ont tout de même remporté le grand
■ W’ils méritent sur des Belges vraiment trop apathiques et des
M encore mal adaptés au style de nos épreuves et, hier, terri-
91 malchanceux, est motivée par l’attirance du Tour. Le besoin
B élection est un puissant stimulant. S’il est heureux qu’il
ace de cette manière toute la saison, il est indispensable égale-
tle cette grande consommation de kilomètres et d’efforts soit
M temps d’une petite sieste.
tt ceci peut facilement s’accouder, à la condition que nos
V sachent, entre les courses, se soigner, se détendre. Quel beau
■luand on l’exerce avec tant de cœur et qu’on en sait équili-
V dépenses avec les réserves.
et Sommer malchanceux 1
ND PRIX DU ROUSSILLON.
paie en terrain français !
Mignat, révélation de la saison, deuxième du petit peloton qui mata les
« profiteurs »... Idée, troisième sans facilité. Jean Lauk, en hauts progrès,
devance l’inévitable Camellini et Mahé qui lança
l’offensive après Châteaurenault
Schotte bat, derrière ces six hommes, les
seigneurs du sprint, et d’abord Leoni !
(D’un de nos envoyés spéciaux Claude TILLET)
TOURS. — A l’arrivée de la Flèche Wallonne, Louis Caput
nous avait paru extrêmement fatigué. Sa mine amaigrie, son
teint de papier mâché nous avaient défavorablement impres
sionnés. Nous pensions que le Tour des Flandres, suivi du Grand
Prix de Vilvorde, puis de. ce Charleroi-Liége-Charleroi, l’avait
momentanément mis hors d’état de remporter une victoire im
portante
. Ainsi, nous nous étions trompés. Ce que nous avions inter
prété comme des signes de dépression n’était que l’indice de
cette grande forme dont on a
souvent dit qu’elle est un état
maladif...
Ce qu’a fait Caput aujourd’hui
comptera parmi les plus grandes
pages du cyclisme routier, au même
titre que le triomphe de Van Steen-
45 km. 500
dans la troisième heure
La marche, heure par heure, des
concurrents de Paris-Tours, est pas
sionnante a suivre. Voici les chiffres :
1re heure : 41 km. ; % heure :
42 km. । 3’ heure : 45, km. 500 ;
4” heure : 43 km. ; 5’ heure : 43 km. ;
6e heure (inachevée) : 36 km. 500.
On se rend compte ainsi que la
Vallée de Chevreuse est un obstacle
et que la route conduisant à Chartres
(2 heure) n’était pas balayée par un
vent 100 % favorable. Par contre, sitôt
après Chartres (3* heure), record
battu avec 45 km. 500.
Remarquez, enfin, que Ton termina
plus vite que l’on avait commencé.
bergen dans Paris-Roubaix ; 1948 est
décidément une bonne année !
Louis triompha au sprint, mais
ce n’est pas en « suceur de roues »
qu’il apporta ce succès à son patron,
M. François Durif, et au directeur
sportif d’Olympia-Dunlop, Emile Mu-
lon. Dans la dernière partie de cette
course, menée à plus de 43 de
moyenne, il participa très activement
à la réussite de l’échappée dont il
était l’une des six unités. Il tra
vailla comme les autres. Et il sprinta
finalement mieux que les autres,
s’assurant la première place dès le
milieu de la ligne opposée, au prix
de « coups de rein » contre lesquels
il n’y avait rien à faire...
Nous retrouvons donc, après une
longue éclipse, un champion fran
çais susceptible de faire jeu égal
avec les vedettes étrangères. Et der
rière Caput, nous avons là joie de
voir apparaître un garçon qui trouve
1 Louis CAPUT, les 251 km, en
5 h, 49’ 27” (moy. 43 km. 096), sur
bic. Olympia, pn. Dunlop ; 2. MI
GNAT, à 3 long. : 3. IDEE, 4, J.
LAUK, 5. Camellini, 6. MAHE 7.
Schotte, 5 h. 51’ 52” ; 8. Leoni, 9.
Ramon,
TEUX,
10. L. LAUK. 11. BUT
: ex æquo : BOBET, Ver
schueren. Middelkamp, Van Steen
bergen, Rosseel, Depredomme, De-
clercq Mollin, G. MARTIN, DIOT,
Magni', GUEGAN, CHRETIEN, Vlae-
mynck. Dupont, Dubuisson, Ant.
ROLLAND. QUEUGNET, Cerami,
CHAPATTE. D E V R E E S E, DE
MUER, GIGUET, Peeters DES
BATS, Schulte, MACORIG ;
39. RIOLAND, 5 h. 54’ 19” ; 40.
Sercu. 41. Marcellak, 42. Meersman,
43. Rondelé, 44. Tacca, 45. DOL-
HATS. 46. LAPEBIE, 5 h. 55’ 1” ;
47. Logli, 5 h,
Y. MARIE,
56’ 4” ; 48. Gens 49.
50.
TEISSEIRE, 5 h. 57
BRULE, 51. L.
V 10” ; 52. Beeck-
man, 53. Oreel, 54. A. LAZARIDES,
55. PIETRE. 5 h. 58’ 6” ; 56. CAFFT,
5 h. 58’ 31”
LEVEQUE,
KERGOET, 59. PAQUET, 5 h,
46” ; 60. PERNAC, 6 h. 0’ 39”
58.
59’
61,
CHUPIN 62. Pasotti, 63. PAWLI-
SIAK. 64. MASSAT., 65. Zanti, 66.
Olivier, 67. P. Neri. 68. AUDAIRE.
69. Loatti, 6 h. 3’ 10” ; 70. Monarl,
6 h. 12’ 15”
piste : Mignat bon deuxième; Mignat,
élève de Julien Prunier, en même
temps que poulain d’Olympia lui
aussi... Le vainqueur des « Quatre
Grands Prix » a montré qu’il peut
se distinguer ailleurs que dans les
compétitions de second ordre aux
résultats discutés. On se demande
vraiment de quoi il pouvait bien par
ler avec Maurice Archambaud après
le tour d’honneur effectué en com
pagnie de Caput, devant la foule
tourangelle !
(Lire 1a suite pag, 2,
en rubrique Cyclisme)
PREMIERS QUALIFIES
sa voie sur les routes après l’avoir
assez brillamment cherchée sur la [ POUR LE CHAMPiONNATDE FRANCE
DE DEMI-FOND
COCHET BATTU PAR L’ACE
AUX CHAMPIONNATS DE PARIS DE TENNIS
A 33 ans Marcel Bernard
a réussi à améliorer
sa technique et sa tactique
Mme Landry, victorieuse sur trois fronts
Les nombreux spectateurs venus assister hier à Roland-Garros aux
finales des Championnats internationaux de Paris ont été déçus et ravis
à la fois
Une certaine amertume, un regret manifeste emplissait leur âme. Le
vieux mousquetaire, le magicien qui, jadis, se jouait de ses adversaires
en les mystifiant par des balles aussi
TRINTIGNANT (Simca)
MEILLEUR ET LE PLUS RAPIDE
A Bordeaux
LESUEUR
avec brio
A Buffalo
CHOCQUE
au finish
aspard — Boisse"chat
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y, Wallendorf Enth
la. De Mareyis : 1
VALENCIEN NFG aspar
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ry — Minel “Entrai"
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dit de Besançon
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Amiens sera, de pr
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ttu le record du tour à 98 km. 366 de moyenne
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battus, 2. permea” 1
se est es 5 ®’ *
In de nos envoyés spéciaux Charles FAROUX)
SGNAN, _ Leg organisateurs perpignanais avaient connu cer-
iétudes la veille de l'épreuve, tant le ciel était chargé de
rds, poussés par un vent de tempête. Si la violence du vent
3 diminué dimanche du moins retrouvions-nous l’azur d’un'
t pur, il n'empêche que tous nos hommes ont été gênés par la
deux éliminatoires qui, ainsi qu’on pouvait le prévoir, n’appor-
i ne surprise notable, hormis l’abandon de Schell, qui avait
11 cependant mis à son actif un bon
_ — début de course, onze voitures s’ali-
g, , gnaient dans la finale qui devait
1 th ely -ac nous ménager quelques coups de
K O. Te théâtre.
IiA/gy ss Dès le départ, Wimille s’envole et
7 » WWwB surgit du virage placé à 200 mètres
(Lire la suite p. 2, rub. Automobile)
VALENTIN'
W."O D£s SA6urcHO(/cs
"s"VELLEP,eSDen.
ULLE - STRASBOURG
CLASSEMENT DE LA FINALE
1. Maurice TRINTIGNANT (Simca,
pn. Dunlop), 40 tours, soit 101 km.
536, en 1 h. 4’ 8” 8/10 (moyenne:
94 km. 972) ; 2. Robert Manzon
(Cisitalia), 39 tours, 1 h. 5 23 ,5/19
3. Raymond Sommer (Ferrari), 38
tours, 1 h. 4’ 44” 6/10 ; 4. Prince
Igor (Simca), 38 tours, 1 h 4 4a
9/10 ; 5. René Bonnet (D B.) 36 t.,
1 h 5’ 10” 1/10; 6. Hue (Fiat),
35 tours, 1 h. 5’ 26” 5/10 ; 7. Berte
(Berte Spéciale), 30 tours, 1 h. 4
6” 4/10.
MEILLEUR TOUR : Trintignant
(Simca), t’ 32” 9/10 (moyenne:
98 km. 366).
subtiles que définitives venait d’être
terrassé en trois sets faciles. Henri,
l’homme au coup de patte incompa
rable, avait laissé le sceptre entre
des mains françaises, en celles d’un
Bernard au style facile et intelli
gent. Cette victoire adoucit à nos
yeux la chute du maître parce que
somptôme rassurant à la veille de
notre première rencontre en Coupe
Davis.
Cochet avait pourtant pris un dé-
part rapide lui permettant de de
vancer Bernard à la marque, mais
ce dernier, d'habitude très len' à
s'échauffer, rattrapait son aîné pour
lui enlever la première manche par
six jeux à quatre. Dans le second set.
Cochet gagna son service mais Ber
nard en faisait autant pour se trou
ver ensuite trois partout et eur sa
lancée s’adjuger six jeux de rang
qui lui permettaient de mener par
trois à zéro dans la troisième manche.
Malgré deux sursauts de Cochet, Ber
nard s’adjugeait le titre sur une dou
ble faute du Lyonnais.
4 aucun moment. Bernard ne se
trouva en réelle difficulté. Sa, balle
liftée de gaucher mettait à dure épreu-
André BOZON.
(Lire les détails page 3
en rubrique Cyclisme)
(Lire la suite page 3
en rubrique Tennis)
LE PREMIER DES CINQ... Paris Vaast - Moreel
effectua, hier au Parc, un début de match transcendant. Grâce à
elle le gardien Domingo fut battu deux fois en neuf minutes.
Sur notre photo, Vaast marque le premier des deux buts qui mirent
le Stade k.o. De g. à dr. : Grégoire, Grillon, Vaast et Domingo.
(La rubrique Football en pages 3 et 4)
se
s
LE CLASSEMENT PAR
ANTICIPATION TOU.RS. — Mous sommes aux portes
----- de Pours, à moins de 10 km. du but,
et les positions sont déjà acquises. D’ailleurs Caput, en tête, le sourire aux lèvres, semble bien le plus
frais. Dans sa roue, Mignat grimace et Idée, en troisième position, laisse voir sur son visage des signes
de lassitude. Derrière Mignat , à demi-caché, on aperçoit Jean Lauk
UN GRAIN A L’HORIZON DE LA COUPE DE FRANCE DES XV
Toulon, finaliste du Championnat
EST MIS K.-O. PAR NARBONNE
Devant le P.V,C. 9 les champions de France de
Lourdes ont frisé la défaite ! L’Aviron Bayonnais
et le Stade Toulousain au premier plan
Quand on disait que Lourdes serait éliminé, sur son terrain, par le
PUC, que Toulon serait défait par Narbonne, que le Stade Toulousain
serait battu par Cognac et quand on prévoyait quelques autres résultats
qui semblaient relever d’une pure fantaisie, on en riait. On ne voulait
pas croire qu’une tempête se lèverait avec les huitièmes et les seizièmes
de finale de la Coupe de France On n’osait espérer qu’elle renverserait.
hier, l’ordre des valeurs solidement
construit par le Championnat, et on
le regrettait pour la Coupe elle-mê
me. C’était, en vérité, trop médire
de cette compétition, car, si elle n’a
pas provoqué une impossible révo
lution, elle n’en a pas moins ébranlé,
avec violence, un certain nombre de
préjugés favorables aux grands clubs
ou aux seigneurs du Championnat.
Le PUC succombe en beauté
Comment ne s’arrêterait-on pas tout
d’abord à la magnifique partie du
PUC à Lourdes : il s’en est fallu de
bien peu que les champions de Fran
ce ne soient éliminés. S’il était écrit
que le PUC ne devait pas créer la
sensation du jour, la fortune, au
contraire, a bien voulu sourire aux
audacieux Narbonnais, nullement
impressionnés par le prestige d’un
Georges DUTHEN.
(Lire la suite page 3,
en rubrique Rugby XV)
A Granville, sous le patronage de 973 2/ /02)3
" . aorga*sj**o**
l’étudiant lyonnais Jean Grenot
coq de 19 ans...
SE CONFIRME AVEC ECLAT
Roude, le meilleur mi-lourd, Rubini, Grenot
Mathieu, Le Guillou iront à Uriage
(De notre envoyé spécial Georges PEETERS)
GRANVILLE. — Vieux nid de corsaires avec ses remparts et ses rues
étroites où s’engouffrent le vent. Granville, deux jours durant, vient
d’accueillir, de la plus gracieuse façon, boxeurs et dirigeants venus en
ce pittoresque pays de Basse-Normandie à l’occasion des deux premiers
huit » préolympiques organisés par la FFB, le Comité de
le BC de Granville, sous le patronage de L’EQUIPE.
tournois de «
Normandie et
Jean Grenot
Aux monis
un brillant et sérieux
espoir
de Humezt, Nowiasz
et Escudié, nos plus sérieux espoirs
pour les Jeux Olympiques de Lon
dres, nous pouvons ajouter aujour
d’hui celui d’un jeune étudian’,
lyonnais qui vient d’avoir dix-neuf
O'ViDr DE
9219
SANS
LES PREMIERS SELECTIONNES
POUR URIAGE
Fernand Vianney, qui nous a dit
combien il était satisfait de ces
deux premiers tournois de « huit »
disputés à - Granville, nous a com
muniqué sa première liste de sé
lectionnés pour le stage préolym
pique d’Uriage, Elle s’établit comme
suit :
COQ : Grenot (Lyon», Mathieu
(Nancy) Le Guillou (Colombes) ;
MI-LOURDS : Roude (Villeurbanne),
Rubini (Verdun)
Il nous a également rappelé les
sélectionnés d’office, qui sont :
LEGERS: Caulet (Montpellier);
MI-MOY. : Humezt (Hénin-Liétard) ;
MOY ENS : Escudié (Béziers), No-
wiasz (Hénin-Liétard
ans : Jean Grenot. Par son dyna
misme. son allant, son sens de la
bexa, le poids coq Jean Grenot. a
enthousiasmé Fernand Vianney et
M. Rabret.
Grenot qui, dans les Championnats
de France à Lyon, avait été battu
d'extrême justesse par le Pantinois
Forni. nous est apparu en nets pro
grès Dans ses trois combats, il eut
tout de suite sa distance, se montra
intelligent, varié, mobile, ranide n
suit à merveille, sait fort bien se
couvrir. Sa garde est bonne. Lorsqu 1
aura amélioré sa position d’attaque.
(Lire la suite p. 3, en rubrique Boxe)
COUPE DE FRANCE
(SEIZIEMES DE FINALE)
A Lourdes : LOURDES b. PUC 8 - 5
A Lyon : Narb. b. TOULON.. 3-0
(HUITIEMES DE FINALE)
A Toulouse : BAY. b. VIENNE 15 - 9
A Bord. : TOULOUSE b. Cogn. 18-12
A Pau : Castr b. ST. MONT. 14 - 0
A Bay. : BEGL. b. Tyr. (prol.) 6 - 3
A Carc. : PAU b. Grenoble .. 16-3
A Romans : ROMANS b. Val. 15-0
LES MARSEILLAIS DD JEU A13
émules des footballeurs de ‘O.M
Ils joueront contre Carcassonne
la finale de la Coupe de France
Les rugbymen marseillais ne seront pas en reste avec leurs collègues
footballeurs. Ceux-ci se sont installés confortablement à la première
place de leur Championnat ; eux, de leur côté, ont tenu a remporter leur
demi-finale de Coupe avec un brio exceptionnel.
Il ne restait plus, dans ces conditions, aux Toulousains qua s in-
•• ” — moins l'ont-ils fait avec élégance.
cliner sans contestation possible. Du
ce qui a valu au public biterrois —
dont les XIII comptent obtenir les
suffrages
une partie
agréable, sanctionnée par
à « l’anglaise ».
Quelques individualités
claire et
un score
toulousai-
nes ressortirent : Sabarthes, Melet,
Cantc-ni, mais l’ensemble fut dominé
COUPE DE FRANCE
(Demi-finales)
CARCASSONNE b. Paris .... 16-4
MARSEILLE b. Toulouse .... 34-27
ainsi que nous
voir. par un
l’avions laissé pré-
XIII
et dont le style est
affirmé.
Nous aurons donc
plus athlétique
beaucoup plus
une finale de
Coupe Carcassonne-Marseille qui s’é-
quilibrera fort bien avec celle du
Championnat, Carcassonne - Roanne.
Mais les Carcassonnais, s'ils peuvent
se flatter de figurer sur les deux ta-
Roger BASTIDE.
(Lire la suite p. 3, rub. Rugby XIII)
Taiite la Heuiceeti fsWile
LE «JOURNAL INTIME
lisegle
EVA BRAUN
7ANS DE VIE COMMUNE AVEC HITLER
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France-soir
i LE PLUS FORT TIRAGE ET LA PLUS
FORTE VENTE.DE TOUS LES JOURNAUX FRANÇAIS
DUEL AU SOLEIL
LA SAUVAGE PASSION DE
Le roman d’amour le plus audacieux
et le plus violent publié aux Etats-
Unis. Il a provoqué une levée de
boucliers des ligues puritaines -aux
U.S.A., mais fut le livre le plus
lu par les G. l.’s... Un drame
brutal, . aux
multiples péripéties,
autour d’une troublante méfisse
PEA RL CH AVEZ
dans le Far-West.
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