Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1948-04-27
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 27 avril 1948 27 avril 1948
Description : 1948/04/27 (A3,N633). 1948/04/27 (A3,N633).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5998993
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/04/2021
MARDI 27
AVRIL 1948
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De Paris - Roubaix à Paris-Tours, records battus 1
LE CYCLISME ROUTIER REPREND EN 1948
ascension interrompue fin 1939 !
is Caput, vedette des
dernières chances
aura des émules
Idée se doit de ne
.ril : Paris-Roubaix. Record de
|à plus de 44 de moyenne.
| avril : Zurich-Lausanne. Record
pas devenir « F éternel
l’épreuve battu et « Ruban Jaune
placé »
» conquis par le vain-
de l’épreuve suisse la plus rapide battu à plus de 40 de
».
avril : Paris-Tours. Record de l’épreuve battu à plus de 43 de moyenne
. le début de- la saison 1948 voit, dans le domaine de la vitesse
a dégringolade de tout ce que l’on considérait, jusqu’à présent,
sommets presque inaccessibles.
Lent expliquer le franchissement de ce nouvel échelon par
Le l'année ? On répondra sans doute, une fois de plus :
les
LE
092
les
Caput a pris confiance
en sentant battre
DEUX REVENANTS ONT
DEPUIS DEUX MOIS
transformé la ligne d'attaque
du nouveau leader
On sifflait Robin...
on boudait Aznar...
sur le vent ! Mais, en 1938, lorsque Rossi réalisa ses 42 km.
Tours ; en 1943, lorsque Marcel Kint dépassa largement
L paris-Roubaix, ce vent soufflait non moins sérieusement qu’il
y a trois semaines ou avant-hier.
| Merci à tous
Levons beaucoup de remer-
— et nous nous en acquit-
L plaisir — à tous’ceux qui
L aidés pour l’organisation
! Paris-Tours : àYa muni-
et à la police de St-Cloud ;
lice motorisée de Seine-et-
nos correspondants et aux
[sportives sur le parcours :
nmissaires et commissaires
s enfin, au Véloce Club de
et à son président, M. Fa-
l également aux Etablisse-
IPicon et à l'Insecticide Timor,
des camions ont rempli leur
k l'an pour conduire les va-
Yautre comme serre-file, à la
Ma générale.
I tous, merci pour le précieux
acours qiils ont a pp o r t é à
RIM pour la réussite de la
Me épreure.
..
Or, les accroissements de moyenne
enregistrés varient entre 1 et 2 kilo
mètres 500. Qui a fait un tant soit
peu de route, soit à vélo, soit même
en voiture, sait pertinemment que
des écarts de cet ordre sont énormes.
L’état des routes s’est-il amélioré ?
Certainement pas et, surtout en ce
qui concerne Paris-Tours, c’est à
peine s’il atteint le niveau 1938. Il
faut donc chercher ailleurs encore.
Il y a, selon nous, en fait de fac
teurs déterminants :
1. Le matériel. Plus nous allons et
plus on attache d’importance, dans les
Services des Courses, aux détails tech
niques. En ce qui concerne le dérail
leur, notamment, on a accompli de
gros progrès. Progrès dans le fonction
nement et le rendement de l’appareil,
progrès dans l’utilisation. On adopte
presque toujours la roue libre à 5 den
tures et, nous l’avons déjà dit, on
obtient tin bien meilleur travail des
organes de transmission en employant,
même pour les courses pratiquement
plates, le dérailleur de pédalier. Les
coureurs, de leur côté, tirent un parti
de plus en plus... raffiné de leurs chan
gements de vitesses ;
2. — L’amélioration de la race hu
maine... Sans doute, va-t-on sourire,
car l’expression est un peu solennelle !
-Mais pourtant? Lorsque vint la guerre,
les résultats avaient tendance à se
bonifier d’année en année. Si une sai
son s’avérait pauvre en exploits sor
tant de l’ordinaire, la suivante com
pensait largement Ce ralentissement
momentané de la progression générale.
Les hostilités et leurs conséquences
interrompirent cette marche ascen
dante : appauvrissement du lot des
concurrents, raréfaction des,,, courses
de premier plan, absence de-contacts
internationaux répétés, alimentation
insuffisante, matériel relativement in
férieur, entraînement irrégulier, rou
tes de plus en plus médiocres, etc...
A considérer la question-, d’un peu
haut et d’assez loin, on acquiert la
certitude qu’une telle situation ne
son cœur
On a beaucoup parlé de l’état
d’âme de Caput au départ de Pa
ris-Tours. On sait qu’il avait con
fiance en ses moyens. Non seule
ment en raison de ses récentes per
formances en Belgique, mais sur
tout parce qu’il avait senti battre
son cœur ! C’est d'ailleurs une
habitude qu’il a prise à la veille
de chaque
pulsations.
« 44, nous
course. Il compte «es
dit-il, est mon chiffre
de grande forme. Au-dessus, je suis
fatigué. Or samedi soir mon cœur
battait à 44, 45 coups à la minute.
C’était donc bon signe... »
A noter que Caput est un des
coureurs cyclistes dont le système
cardiaque est le plus lent avec
Jeff Scherens (10 pulsations).
pouvait être renversée du jour au len
demain ou d’une année à l’autre.
Le cyclisme routier fut, pendant cinq
ans, une machine entretenue tant bien
que mal et tournant au ralenti. Les
coureurs vivaient dans un état de
demi-professionalisme qui incitait
constructeurs et journalistes à l’indul
gence la plus complète. Il fallait donc
une période de réadaptation, période
Claude TILLET.
(Lire la suite page 2,
en rubrique Cyclisme)
ECONOMIES DE BOUTS DE CHANDELLE
JACQUEMET A ENTRAINE
NOS TENNISMEN MAIS...
ne les accompagne pas à Bucarest
Bernard, Abdesselam, Bolelli et Destremau sont
partis pour Bucarest avec M. Le Besnerais
Le rideau est tombé sur les Championnats internationaux de Paris.
A la joie d’avoir applaudi à une finale disputée par deux raquettes fran
çaises succède un optimisme relatif. Marcel Bernard n’est plus un espoir
mais plutôt une vedette dont les sautes de forme, l’inconstance des
résultats nous ont jeté au summum de l’espérance pour nous précipiter
ensuite dans le pessimisme le plus sombre lorsqu’une victoire, semblant
à sa portée, lui échappait par lymphatisme. Marcel, tennisman remar
quablement doué semble prisonnier de sa facilité. Surclassant, par exem
ple. Cucelli l’année dernière, notre
champion s’endormait pour se ré
veiller au vestiaire avec les regrets
d’une défaite qu’il n’avait pas l’ex
cuse, si l’on peut dire, d’avoir méri
tée.
Tous deux ont largement contribué à la
"consécration" marseillaise
Les avants, selon Bihel, ont retrouvé
le meilleur style « O. M. »
Dimanche devant le CORT (champion de France 1947), le
trio central d’attaque de l’OM (prétendant n’ I au titre 1948) a
fait florès. Confirmant un retour en forme aussi brillant que
récent, Bihel, s’il n’a marqué aucun but, a étroitement collaboré
à la triple réussite de chacun de ses deux intérieurs Aznar et
Robin. Et le match Racing-Marseille de dimanche à Colombes
est certainement attendu avec
sité que la finale de Coupe Lille-
Lens qui aura lieu une semaine
plus tard ! La confrontation de
l’attaque qui vient d’inscrire six
buts au passif du CORT et de
celle qui en a marqué cinq à la
défense du Stade Français n’en
constituera pas le moindre at
trait...
Sans doute l’équipe marseillaise
n’a point attendu ’la tardive ren
trée des deux « revenants » Aznar
et 'Robin pour affirmer ses pré
tentions au titre de champion
1948, puisqu’à l’époque où se pro
duisit cette double rentrée, l’OM
était depuis un certain temps dans
le sillage de Lille et Reims. Toute
fois il n’est personne aujourd’hui à
Marseille pour douter que, d’une part,
la stabilisation d’une attaque long
temps instable et, d’autre part, le
placement aux postes d’intérieurs de
Aznar le « puncheur » et de Robin
plus d’impatience et..- de curio-
« LEURS » TROIS DERNIERS
MATCHES
s. s. ter. à l’extérieur
MARSEILLE. Metz .... RC Paris
(16 mai) (2 mai)
, Sochaux
(30 mai)
LILLE < A lès .... St-Etienne
(16 mai) (2 mai)
Sète
(30 mai)
REIMS Toulouse Sochaux
(16 mai) (2 mai)
St-Etienne
(30 mai)
le « régulateur » en ont amélioré à)
la fois l'esprit constructif et le sens
réaliste.
Cette amélioration de style et de
rendement est d’ailleurs traduite pair
Jacques de RYSWICK.
Lire la suite p. 3, en rub. Football
Baratte, à bout de ressources alllétques
N’EST PLUS
an avant centre indiscutable
Mais verra-t-on Ben Barek arrière central ?
(De notre envoyé spécial Maurice PEFFERKORNX
LILLE. — Le grand réalisateur du onze lillois, l’avant centre dont
on dit qu’il est toujours à l’affût de la moindre défaillance des défen+
seurs adverses, qu’il est toujours là, à point nommé. pour marquer un
but imprévu, n’a pas été heureux dimanche dans ses conclusions. En
deux occasions, il s’est trouvé en très bonne position de shot ; il les a
Derrière lui Robert Abdesselam
s’impose, sans" conteste, comme notre
second joueur, mais pour être ccura-
geux et régulier ce laborieux des
courts ne possède pas la flamme,
L'AVIRON
BAYONNAIS
l’étincelle du champion. Robert pour
rait passer pour le < chouchou » des
pronostiqueurs. Avec lui pas d’impré-
vu. Sa partie sera toujours la même,
pas de contre-performances à redou
ter pour employer le domaine tech
nique.
Sur les courts de Bucarest
Ces deux joueurs auront la lourde
charge de défendre notre prestige di
manche et mardi dans les simples
qui opposeront nos couleurs aux meil
leurs Roumains qui les attendent de
pied ferme au TC Roumain de Buca
rest pour notre premier tour en
Coupe Davis.
André BOZON.
(Lire la suite p. 2, en rub. Tennis)
E DATE QUI COMPTE
des cycles Olympia (debout derrière lui), de son directeur
v Emile Mulon (à droite) et de Robert Mignat (à gauche)
^put est venu à L’EQUIPE signer le Livre d’Or. « Une date
^pte, dit-il, et que je suis fort aise ”
d’enregistrer ici. »
NUL NE CROYAIT PLUS
CHAMPION DE FRANCE 1946, MAIS...
buis Caput, sur la pente
accroché à une branche
...celle de la volonté
voici de nouveau au sommet !
ea" ont accepté sans sourciller les déclarations de Caput
tiree-hiver, l’ex-champion de France nous déclarait dans son
a," de 9osse des faubaurgs :
as 513 j'ai compris. Je change de genre de vie. Je vais faire mon
niusement... »
ie demon^ 2
un vin
IGEZ UN
TILLO
sae encore ont cru en Lui a P rès son récent Paris-Roubaix où.
[ por" de Wattignies, le pre-
k d les espoirs français.
F ceaille ! Etincelle de classe,
os A ne peut durer. Nous le
le LTOD. » Eh oui ! il fallait
“ SDa8sé de Caput ne plai-
l laveur. Sans doute se
"AL CAMPING
—‘.BOULEVARD VOLTAJRE.PARIS
—OURS LIEUTAUD.MARSEILLE
-UduMARECHALJOFFRE.RENNES
s bons y ins
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routes les bonnes
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Pacs couchage 3.390 t.
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Sacs à dos
• Géant », 3.206 tr
anots pneumatiques
' Bicano », 9.980 tr.
et 11.750 tr.
Tout l’equlpement pr
8 amping et le sport
Tout Dr te nautisme
Canoës bois’
• Clipperton »
Kayaks
“art et Maspo i
, n Propulseurs
Courlis », Lutetia *
etc._
vent en poupe
CONTRE SA
“bête noire”
eCABEGLAIS
dans la Coupe de France
de rugby, qui a « sorti »
trois demi-finalistes du
Championnat.
Dan, s les opérations du tirage au
sort effectuées hier matin au siège
de la Fédération, le hasard n’a pas
trop mal fait les choses, si bien que
les quarts de finale de la Coupe
de France de rugby nous valent en
définitive des matches à sensation.
le
Ainsi le tenant de la ‘Coupe.
Stade Toulousain, est invité w :
contrer Romans. Voilà qui nous rap
pelle un match fameux, un quart de
invité à ren
J. Kramer a distancé
nettement B. Riggs
NEW-YORK. - Jack Kramer, le
n‘ 1 du tennis amateur il y a deux
ans, semble avoir définitivement pris
le meilleur sur Bobby Rigge, qui
l’avait battu lors de leur première
rencontre. Kramer mène après un an
de tournée par 47 victoires à 18. Il a
gagné 32 des 37 dernières rencontres.
EN VUE DU SPRINT
FINAL
A l’arrivée d’une course sur
route il n’y a pas de petits
détails qui n’aient leur im
portance. C’est un boyau dont
il convient de se débarrasser,
un braquet à adopter... Dès
Veretz, à 10 km. 'de Tours.
Caput y avait songé comme
on peut s’en rendre compte.
Plus de bidons, plus de boyau
sur les épaules. Dans quelques
kilomètres il jettera casquette
et lunettes. Et sa manette de
dérailleur tirée à fond, mon
tre qu’il a « mis le grand »,
qu’il entraîne son pignon de
15 dënts. Il est vrai qu’avec le
vent favorable c'est là un bra
quet qu’il avait adopté depuis
un moment. Depuis Bléré
exactement où il se lançait à
fond dans son échappée victo
rieuse avec idée, Mignat, Ca-
mellini, J. Lauk et Mahé. La
flèche indique la position de
la manette de dérailleur, le
cercle souligne l’absence des
bidons. A partir de ce moment
il n’était plus question de ra
lentir sous peine de disparaî
tre ; plus question non plus
d’avoir la « fringale ».
AU "PLAT GOUSSET"
Fernand Vianey étale pour nous
sa richesse
Les cinq sélectionnés de Granville totalisent 100 ans
(De notre envoyé spécial Georges PEETERS)
- GRANVILLE. — Le banquet terminé — le service fut aussi plantu
reux que pour une noce campagnarde de Basse-Normandie — éloges et
plaquettes de L’EQUIPE distribués, discours prononcés, nous allâmes, à
cette heure nocturne voisine de l’aube, en compagnie de Fernand Vianey,
prendre l’air vif et marin au pied des rochers granvillais.
Et sur cette promenade qui s’appelle le « Plat Gousset 7 le sélection
neur unique de l’équipe de France de boxe amateur nous dit combien.
sans faire preuve d’un optimisme, — ,
exagéré, il était dès à présent riche coq. En 1916 et 1917, d arrivdennge
d’psnnirs les leux Olummaues\ du Champtonant de irance contre
a espoirs pour les jeux utympiques ] Deianna et fut cette année éliminé de
de Londres.
reprenait-il après une mauvaise sai
son, mais c’était pour retomber aus
sitôt, glissant de plus en plus rapi
dement sur la pente des échecs répé
tés pour se laisser trop facilement
entraîner, n’avoir pas le courage de
résister aux tentations.
Ainsi Caput faisait oublier ses suc
cès d’amateurs sous les couleurs du
CSI, ses étourdissants débuts de pro
fessionnel qui le voyaient remporter
six courses en 19ht, dont deux en Bel
gique. devant Bonduel et Depredom-
me. Le maillot tricolore aussi qu'il
avait enlevé en 1946 à son ami Tas-
finaie de l’an dernier joué au Parc
ds Princes et gagné de justesse par
les Toulousains
Que pensez-vous également de la
rencontre Pau-Lourdes. en admettant
évidemment que les Lourdais battent
les Montiliens dimanche prochain a
LES QUARTS DE FINALE
DE LA COUPE DE RUG3Y
1, Bègles-Bayonne, à Tarbes.
2. Romans-Toulouse, à Lyon.
3. Castres-Biarritz ou Narbonne,
à Périgueux.
sin...
Trop de
carrière.
Ils ne
trous marquaient sa jeune
Sur la voie de la sagesse
s’expliquent pas autrement
que par un manque de constance dans
l’exercice d'un métier pénible, où la
moindre victoire se forge à force de
volonté et de sérieux.
4. Pau-Lourdes ou Montélimar;
Biarritz ou à Béziers.
Le premier match aura lien
2 mai, les 3 autres le 9 mai.
Narbonne. Pau-Lourdes, c’est la, ré-
plique de la finale 1946 jouée au arc.
c’est le choc des champions de t ance
1946 et 1948. Et puis c’est une question
de suprématie régionale qui se
jeu.
Avec le match Aviron Bayonnai-
c’est un nouvel épisode “ “ne
' - Quelques-uns préten
Car. de la classe, Caput en a à
revendre... Il ne viendrait d'ailleurs 1 Bs,e8, — ----- ----- oreten
à l’idée de personne de discuter de vieille rivalité Quelques-uns p n
ses possibilités. Au sprint comme en 1 dent que l'Aviron na jam
montagne. Car il faut avoir assisté à 1 le CA Réglais
son escalade de la Grande Vicquée. I < En Championnat répliquent a un
dans la Flèche Wallonne, pour ne | air malicieux les Bayonnals,
’ de ses dons de grimpeur. | pas en Coupe ! »
virtuose qui le font s’éle- | Vous le la Coupe de France
de rugby présente un intérStga •
chaque dimanche, se renouv-l
coup y voient un appel du J { ment
rendu précipitamment par, . n-
pionnat. Et la Coupe soulève à nou-
veau les passions. — M. —
L’excellence des combats, les qua
lités des vainqueurs et des finalistes,
venaient de prouver l’utilité de ces
tournois préolympiques de « huit »
patronnés par « L’Equipe » et qui
vont se poursuivre trois semaines du
rant 'sur les rings de Marseille, de
Perpignan et du Mains.
Vianey nous dit tout d’abord qu’il
t était heureux d’avoir pu tirer d’uti-
j les enseignements des deux premières
j épreuves réservées, on le sait, aux
| coq et aux mi-lourds.
Il nous confirma ensuite son inten-
| tion de faire boxer le jeune Nancéien
; Marcel Mathieu dans les poids mou-
i che. La vedette du CP Lorrain venait
en effet de lui affirmer qu’il pouvait
descendre facilement à la limite de la
catégorie. Mathieu, qui vient d’avoir
22 ans, a fait jusqu’à présent, semble-t-
il par erreur, sa carrière dans les
MARCEL CERDAN
AU TRAVAIL
Marcel Cerdan, hier, a repris contact
avec la salle Lepesant Entrainement lé
ger qui se borna à 2 reprises de saut
à la corde et 4 de shadow.
Aujourd'hui, travail un peu plus pous
sé. « Mais d’ores et déjà le champion
d’Europe est physiquement très bien et
moralement prêt pour affronter Delan-
noit le 23 mai à Bruxelles », nous a
confié Albert Lepesant
justesse par Forni.
Garçon solide, râblé, rapide « bat
tant », c’est un excellent boxeur de
compétition.
La grande révélation : Jean Grenot
Fernand Vianey devait nous faire
part également des grands espoirs qu’il
fondait sur Jean Grenot, boxeur
complet dont le dynamisme est éton
nant. . . .
Nous avons revu Grenot ce matin a
Granville avant qu’il ne reparte pour
Lyon en compagnie de son professeur.
M. Stublin.
G-renot, qui termine cette année ses
études à l’école nationale La Martimè-
re, nous confia qu’il fut déjà cham
pion de France universitaire poids
mouche en 191,6 et poids coq en 191,7.
Il prit sa première leçon en salle à
l’âge de quinze ans mais n’a disputé
jusqu’à présent que 88 combats.
« Jusqu’au moment où je me ren
drai à Uriage pour rejoindre mes ca
marades du stage préolympique, nous
dit-il, je vais travailler mon droit à
l’école et ma droite à la salle d'en-
manquées toutes les deux.
Jean Baratte est en déclin de for»
me. Son moral paraît ébranlé. Mai»
aussi il semble avoir le dégoût, mo-
mentané sans doute, du poste qu’È
occupe. Les arrières centraux qui le
marquent prennent en somme asse
aisément l’avantage sur lui depuis
quelques semaines.
Mais il faut se rendre compte que
Ce joueur dynamique a fait pendant
toute cette saison un large appel à see
ressources athlétiques, et que celles-of
sont assez fortement entamées. Il se
rait bon, croyons-nous, de ne pas le
maintenir au poste d’avant centre en
cette fin de saison. Nous ne savons pas
si son club peut se permettre de 1»
faire jouer intérieur et de lui trouver
un remplaçant convenable. Cependant,
si nous considérons Baratte du point
de vue de l’équipe de France, la ques
tion peut se poser, si d’ici un moi»
Baratte n’a pas récupéré.
L’attaque lilloise souffre d’une ca
rence plug manifeste encore: c’est celle
de Vandooren. L’ailier du LOSC n‘&
pas les mêmes excuses à faire valoir
que l’avant centre. Il ne s’est pas dé
pensé comme l’a fait Baratte. Au lieu
de parler de surmenage en ce qui 1e
concerne, ne serait-il pas plus juste de
parler de négligence dans les soins
qu’un joueur pro doit apporter al
maintien de sa condition athlétique F
Policeman en finesse
L’un des joueurs les plus spectacu-
laires du match Lille-Rennes fut l’ar
rière central rennais, Pordié. Il est de
la catégorie des joueurs de couleur
Lire la suite p, 3, en rub. Football»
Trois millions
pour Prouff...
Pour le passage de Prouff à
Reims, tout le monde semble d’ac-
cord : l’intéressé, M. Germain
(Reims), M. Oelisle (Rennes). Le
prix du transfert serait de 3 mil-
lior’s.
Qui sait si Mindonnet ne serait
pas désireux de retourner à Reims,
où il fit une brusque apparition
avant d’aller à Strasbourg ? Et
les dirigeants de Reims ne seraient
pas tellement hostiles au retour
de l’enfar prodigue.
Prouff et Mindonnet : deux
bons domis...
point douter
Des dons
ver vers
gère.
de
le
sommet d’une pédale lé-
Albert de WETTER.
(Lire la suit, page 2,
en rubrique Cyclisme)
confirmera-t-il, a Bucarest
SA FORME ACTUELLE ?
Marcel Bernard vient d’enlever le Championnat international
de Paris. Nous le voyons ici très concentré, exécutant avec facilité
un revers, sur un service que Cochet lui a renvoyé. L’excellence de
sa forme actuelle nous surprend agréablement à huit jours du |
match de Coupe Davis qui opposera nos représentants aux Roumains i
à Bucarest.
OLSSON NAGE 58”
AVEC 39 DE FIEVRE
3’ 58” 8/10 aux 4 x 100
mètres pour la Suède.
Gros succès pour Mady
Moreau, Heinkelé et
Caza.
(De notre corr. gén. Wolf LYBERG)
STOCKHOLM. — Mady Moreau et
Heinkelé: ainsi f que leur entraîneur
Caza qui fit une exhibition très goû-
tée, on: triomphé sans difficulté à
Stoçkhom ou ils ont été aclamés.
L équipé de 4.100 m de Suède appro-
cha.]e rcord de l'équipe de France
(3 57 7/10) en nageant en 3’ 58” 8/10
(Johansson 1 1” V10, Englund 1’,
Synnerholm 59” 7/10, Olsson 58”). Ce
dernier, malade, avait 39 de fièvre.
(Lire la suite p. 2, en rubrique Boxe)
1ÛÜS LES o.
HUNGARIA
CRITÉRIUM DE LA QUALITÉ ET DE LA RENOMMÉE
EN VENTE DANS TOUTES LES BONNES MAISONS DE SPORT ■
AVRIL 1948
•SSIo
EME division
et Nice (1)
b. Mans (19* 1-1
Douai (13) ’ ■ 3-1
- *ANGouI q 2.0
t BORD 93) 6.1
LENS (6) 5) ■ 0-0
•t VALenc • 3.1
b CAP <201 ’ &;
b. Amiens (12) 13
b - Avign. (17) 3.3
pu
G.
N.
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t)
50
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31
31
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Recette : 250.000 1
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• Lyon : Danko (16,
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attant Lens sur soi
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Avignon, 5-0 (1-0)
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PARIS (9’)
TAIt bout 70 -80
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Afriq. du Nord 7 fr.
...a0sono/On-Do/On/0-100/004/00/0r0n-0oo-ono/00
d LE QUOTIDIEN J
tororcencrcoooorOnOOOOVOO/OGOVO/VO/Oen/oOP
De Paris - Roubaix à Paris-Tours, records battus 1
LE CYCLISME ROUTIER REPREND EN 1948
ascension interrompue fin 1939 !
is Caput, vedette des
dernières chances
aura des émules
Idée se doit de ne
.ril : Paris-Roubaix. Record de
|à plus de 44 de moyenne.
| avril : Zurich-Lausanne. Record
pas devenir « F éternel
l’épreuve battu et « Ruban Jaune
placé »
» conquis par le vain-
de l’épreuve suisse la plus rapide battu à plus de 40 de
».
avril : Paris-Tours. Record de l’épreuve battu à plus de 43 de moyenne
. le début de- la saison 1948 voit, dans le domaine de la vitesse
a dégringolade de tout ce que l’on considérait, jusqu’à présent,
sommets presque inaccessibles.
Lent expliquer le franchissement de ce nouvel échelon par
Le l'année ? On répondra sans doute, une fois de plus :
les
LE
092
les
Caput a pris confiance
en sentant battre
DEUX REVENANTS ONT
DEPUIS DEUX MOIS
transformé la ligne d'attaque
du nouveau leader
On sifflait Robin...
on boudait Aznar...
sur le vent ! Mais, en 1938, lorsque Rossi réalisa ses 42 km.
Tours ; en 1943, lorsque Marcel Kint dépassa largement
L paris-Roubaix, ce vent soufflait non moins sérieusement qu’il
y a trois semaines ou avant-hier.
| Merci à tous
Levons beaucoup de remer-
— et nous nous en acquit-
L plaisir — à tous’ceux qui
L aidés pour l’organisation
! Paris-Tours : àYa muni-
et à la police de St-Cloud ;
lice motorisée de Seine-et-
nos correspondants et aux
[sportives sur le parcours :
nmissaires et commissaires
s enfin, au Véloce Club de
et à son président, M. Fa-
l également aux Etablisse-
IPicon et à l'Insecticide Timor,
des camions ont rempli leur
k l'an pour conduire les va-
Yautre comme serre-file, à la
Ma générale.
I tous, merci pour le précieux
acours qiils ont a pp o r t é à
RIM pour la réussite de la
Me épreure.
..
Or, les accroissements de moyenne
enregistrés varient entre 1 et 2 kilo
mètres 500. Qui a fait un tant soit
peu de route, soit à vélo, soit même
en voiture, sait pertinemment que
des écarts de cet ordre sont énormes.
L’état des routes s’est-il amélioré ?
Certainement pas et, surtout en ce
qui concerne Paris-Tours, c’est à
peine s’il atteint le niveau 1938. Il
faut donc chercher ailleurs encore.
Il y a, selon nous, en fait de fac
teurs déterminants :
1. Le matériel. Plus nous allons et
plus on attache d’importance, dans les
Services des Courses, aux détails tech
niques. En ce qui concerne le dérail
leur, notamment, on a accompli de
gros progrès. Progrès dans le fonction
nement et le rendement de l’appareil,
progrès dans l’utilisation. On adopte
presque toujours la roue libre à 5 den
tures et, nous l’avons déjà dit, on
obtient tin bien meilleur travail des
organes de transmission en employant,
même pour les courses pratiquement
plates, le dérailleur de pédalier. Les
coureurs, de leur côté, tirent un parti
de plus en plus... raffiné de leurs chan
gements de vitesses ;
2. — L’amélioration de la race hu
maine... Sans doute, va-t-on sourire,
car l’expression est un peu solennelle !
-Mais pourtant? Lorsque vint la guerre,
les résultats avaient tendance à se
bonifier d’année en année. Si une sai
son s’avérait pauvre en exploits sor
tant de l’ordinaire, la suivante com
pensait largement Ce ralentissement
momentané de la progression générale.
Les hostilités et leurs conséquences
interrompirent cette marche ascen
dante : appauvrissement du lot des
concurrents, raréfaction des,,, courses
de premier plan, absence de-contacts
internationaux répétés, alimentation
insuffisante, matériel relativement in
férieur, entraînement irrégulier, rou
tes de plus en plus médiocres, etc...
A considérer la question-, d’un peu
haut et d’assez loin, on acquiert la
certitude qu’une telle situation ne
son cœur
On a beaucoup parlé de l’état
d’âme de Caput au départ de Pa
ris-Tours. On sait qu’il avait con
fiance en ses moyens. Non seule
ment en raison de ses récentes per
formances en Belgique, mais sur
tout parce qu’il avait senti battre
son cœur ! C’est d'ailleurs une
habitude qu’il a prise à la veille
de chaque
pulsations.
« 44, nous
course. Il compte «es
dit-il, est mon chiffre
de grande forme. Au-dessus, je suis
fatigué. Or samedi soir mon cœur
battait à 44, 45 coups à la minute.
C’était donc bon signe... »
A noter que Caput est un des
coureurs cyclistes dont le système
cardiaque est le plus lent avec
Jeff Scherens (10 pulsations).
pouvait être renversée du jour au len
demain ou d’une année à l’autre.
Le cyclisme routier fut, pendant cinq
ans, une machine entretenue tant bien
que mal et tournant au ralenti. Les
coureurs vivaient dans un état de
demi-professionalisme qui incitait
constructeurs et journalistes à l’indul
gence la plus complète. Il fallait donc
une période de réadaptation, période
Claude TILLET.
(Lire la suite page 2,
en rubrique Cyclisme)
ECONOMIES DE BOUTS DE CHANDELLE
JACQUEMET A ENTRAINE
NOS TENNISMEN MAIS...
ne les accompagne pas à Bucarest
Bernard, Abdesselam, Bolelli et Destremau sont
partis pour Bucarest avec M. Le Besnerais
Le rideau est tombé sur les Championnats internationaux de Paris.
A la joie d’avoir applaudi à une finale disputée par deux raquettes fran
çaises succède un optimisme relatif. Marcel Bernard n’est plus un espoir
mais plutôt une vedette dont les sautes de forme, l’inconstance des
résultats nous ont jeté au summum de l’espérance pour nous précipiter
ensuite dans le pessimisme le plus sombre lorsqu’une victoire, semblant
à sa portée, lui échappait par lymphatisme. Marcel, tennisman remar
quablement doué semble prisonnier de sa facilité. Surclassant, par exem
ple. Cucelli l’année dernière, notre
champion s’endormait pour se ré
veiller au vestiaire avec les regrets
d’une défaite qu’il n’avait pas l’ex
cuse, si l’on peut dire, d’avoir méri
tée.
Tous deux ont largement contribué à la
"consécration" marseillaise
Les avants, selon Bihel, ont retrouvé
le meilleur style « O. M. »
Dimanche devant le CORT (champion de France 1947), le
trio central d’attaque de l’OM (prétendant n’ I au titre 1948) a
fait florès. Confirmant un retour en forme aussi brillant que
récent, Bihel, s’il n’a marqué aucun but, a étroitement collaboré
à la triple réussite de chacun de ses deux intérieurs Aznar et
Robin. Et le match Racing-Marseille de dimanche à Colombes
est certainement attendu avec
sité que la finale de Coupe Lille-
Lens qui aura lieu une semaine
plus tard ! La confrontation de
l’attaque qui vient d’inscrire six
buts au passif du CORT et de
celle qui en a marqué cinq à la
défense du Stade Français n’en
constituera pas le moindre at
trait...
Sans doute l’équipe marseillaise
n’a point attendu ’la tardive ren
trée des deux « revenants » Aznar
et 'Robin pour affirmer ses pré
tentions au titre de champion
1948, puisqu’à l’époque où se pro
duisit cette double rentrée, l’OM
était depuis un certain temps dans
le sillage de Lille et Reims. Toute
fois il n’est personne aujourd’hui à
Marseille pour douter que, d’une part,
la stabilisation d’une attaque long
temps instable et, d’autre part, le
placement aux postes d’intérieurs de
Aznar le « puncheur » et de Robin
plus d’impatience et..- de curio-
« LEURS » TROIS DERNIERS
MATCHES
s. s. ter. à l’extérieur
MARSEILLE. Metz .... RC Paris
(16 mai) (2 mai)
, Sochaux
(30 mai)
LILLE < A lès .... St-Etienne
(16 mai) (2 mai)
Sète
(30 mai)
REIMS Toulouse Sochaux
(16 mai) (2 mai)
St-Etienne
(30 mai)
le « régulateur » en ont amélioré à)
la fois l'esprit constructif et le sens
réaliste.
Cette amélioration de style et de
rendement est d’ailleurs traduite pair
Jacques de RYSWICK.
Lire la suite p. 3, en rub. Football
Baratte, à bout de ressources alllétques
N’EST PLUS
an avant centre indiscutable
Mais verra-t-on Ben Barek arrière central ?
(De notre envoyé spécial Maurice PEFFERKORNX
LILLE. — Le grand réalisateur du onze lillois, l’avant centre dont
on dit qu’il est toujours à l’affût de la moindre défaillance des défen+
seurs adverses, qu’il est toujours là, à point nommé. pour marquer un
but imprévu, n’a pas été heureux dimanche dans ses conclusions. En
deux occasions, il s’est trouvé en très bonne position de shot ; il les a
Derrière lui Robert Abdesselam
s’impose, sans" conteste, comme notre
second joueur, mais pour être ccura-
geux et régulier ce laborieux des
courts ne possède pas la flamme,
L'AVIRON
BAYONNAIS
l’étincelle du champion. Robert pour
rait passer pour le < chouchou » des
pronostiqueurs. Avec lui pas d’impré-
vu. Sa partie sera toujours la même,
pas de contre-performances à redou
ter pour employer le domaine tech
nique.
Sur les courts de Bucarest
Ces deux joueurs auront la lourde
charge de défendre notre prestige di
manche et mardi dans les simples
qui opposeront nos couleurs aux meil
leurs Roumains qui les attendent de
pied ferme au TC Roumain de Buca
rest pour notre premier tour en
Coupe Davis.
André BOZON.
(Lire la suite p. 2, en rub. Tennis)
E DATE QUI COMPTE
des cycles Olympia (debout derrière lui), de son directeur
v Emile Mulon (à droite) et de Robert Mignat (à gauche)
^put est venu à L’EQUIPE signer le Livre d’Or. « Une date
^pte, dit-il, et que je suis fort aise ”
d’enregistrer ici. »
NUL NE CROYAIT PLUS
CHAMPION DE FRANCE 1946, MAIS...
buis Caput, sur la pente
accroché à une branche
...celle de la volonté
voici de nouveau au sommet !
ea" ont accepté sans sourciller les déclarations de Caput
tiree-hiver, l’ex-champion de France nous déclarait dans son
a," de 9osse des faubaurgs :
as 513 j'ai compris. Je change de genre de vie. Je vais faire mon
niusement... »
ie demon^ 2
un vin
IGEZ UN
TILLO
sae encore ont cru en Lui a P rès son récent Paris-Roubaix où.
[ por" de Wattignies, le pre-
k d les espoirs français.
F ceaille ! Etincelle de classe,
os A ne peut durer. Nous le
le LTOD. » Eh oui ! il fallait
“ SDa8sé de Caput ne plai-
l laveur. Sans doute se
"AL CAMPING
—‘.BOULEVARD VOLTAJRE.PARIS
—OURS LIEUTAUD.MARSEILLE
-UduMARECHALJOFFRE.RENNES
s bons y ins
rILLON "
routes les bonnes
tentes 3 places
tissu Resistex 8.970 t.
Pacs couchage 3.390 t.
“ts camp a Dream »
onture durai 3.386 t
Sacs à dos
• Géant », 3.206 tr
anots pneumatiques
' Bicano », 9.980 tr.
et 11.750 tr.
Tout l’equlpement pr
8 amping et le sport
Tout Dr te nautisme
Canoës bois’
• Clipperton »
Kayaks
“art et Maspo i
, n Propulseurs
Courlis », Lutetia *
etc._
vent en poupe
CONTRE SA
“bête noire”
eCABEGLAIS
dans la Coupe de France
de rugby, qui a « sorti »
trois demi-finalistes du
Championnat.
Dan, s les opérations du tirage au
sort effectuées hier matin au siège
de la Fédération, le hasard n’a pas
trop mal fait les choses, si bien que
les quarts de finale de la Coupe
de France de rugby nous valent en
définitive des matches à sensation.
le
Ainsi le tenant de la ‘Coupe.
Stade Toulousain, est invité w :
contrer Romans. Voilà qui nous rap
pelle un match fameux, un quart de
invité à ren
J. Kramer a distancé
nettement B. Riggs
NEW-YORK. - Jack Kramer, le
n‘ 1 du tennis amateur il y a deux
ans, semble avoir définitivement pris
le meilleur sur Bobby Rigge, qui
l’avait battu lors de leur première
rencontre. Kramer mène après un an
de tournée par 47 victoires à 18. Il a
gagné 32 des 37 dernières rencontres.
EN VUE DU SPRINT
FINAL
A l’arrivée d’une course sur
route il n’y a pas de petits
détails qui n’aient leur im
portance. C’est un boyau dont
il convient de se débarrasser,
un braquet à adopter... Dès
Veretz, à 10 km. 'de Tours.
Caput y avait songé comme
on peut s’en rendre compte.
Plus de bidons, plus de boyau
sur les épaules. Dans quelques
kilomètres il jettera casquette
et lunettes. Et sa manette de
dérailleur tirée à fond, mon
tre qu’il a « mis le grand »,
qu’il entraîne son pignon de
15 dënts. Il est vrai qu’avec le
vent favorable c'est là un bra
quet qu’il avait adopté depuis
un moment. Depuis Bléré
exactement où il se lançait à
fond dans son échappée victo
rieuse avec idée, Mignat, Ca-
mellini, J. Lauk et Mahé. La
flèche indique la position de
la manette de dérailleur, le
cercle souligne l’absence des
bidons. A partir de ce moment
il n’était plus question de ra
lentir sous peine de disparaî
tre ; plus question non plus
d’avoir la « fringale ».
AU "PLAT GOUSSET"
Fernand Vianey étale pour nous
sa richesse
Les cinq sélectionnés de Granville totalisent 100 ans
(De notre envoyé spécial Georges PEETERS)
- GRANVILLE. — Le banquet terminé — le service fut aussi plantu
reux que pour une noce campagnarde de Basse-Normandie — éloges et
plaquettes de L’EQUIPE distribués, discours prononcés, nous allâmes, à
cette heure nocturne voisine de l’aube, en compagnie de Fernand Vianey,
prendre l’air vif et marin au pied des rochers granvillais.
Et sur cette promenade qui s’appelle le « Plat Gousset 7 le sélection
neur unique de l’équipe de France de boxe amateur nous dit combien.
sans faire preuve d’un optimisme, — ,
exagéré, il était dès à présent riche coq. En 1916 et 1917, d arrivdennge
d’psnnirs les leux Olummaues\ du Champtonant de irance contre
a espoirs pour les jeux utympiques ] Deianna et fut cette année éliminé de
de Londres.
reprenait-il après une mauvaise sai
son, mais c’était pour retomber aus
sitôt, glissant de plus en plus rapi
dement sur la pente des échecs répé
tés pour se laisser trop facilement
entraîner, n’avoir pas le courage de
résister aux tentations.
Ainsi Caput faisait oublier ses suc
cès d’amateurs sous les couleurs du
CSI, ses étourdissants débuts de pro
fessionnel qui le voyaient remporter
six courses en 19ht, dont deux en Bel
gique. devant Bonduel et Depredom-
me. Le maillot tricolore aussi qu'il
avait enlevé en 1946 à son ami Tas-
finaie de l’an dernier joué au Parc
ds Princes et gagné de justesse par
les Toulousains
Que pensez-vous également de la
rencontre Pau-Lourdes. en admettant
évidemment que les Lourdais battent
les Montiliens dimanche prochain a
LES QUARTS DE FINALE
DE LA COUPE DE RUG3Y
1, Bègles-Bayonne, à Tarbes.
2. Romans-Toulouse, à Lyon.
3. Castres-Biarritz ou Narbonne,
à Périgueux.
sin...
Trop de
carrière.
Ils ne
trous marquaient sa jeune
Sur la voie de la sagesse
s’expliquent pas autrement
que par un manque de constance dans
l’exercice d'un métier pénible, où la
moindre victoire se forge à force de
volonté et de sérieux.
4. Pau-Lourdes ou Montélimar;
Biarritz ou à Béziers.
Le premier match aura lien
2 mai, les 3 autres le 9 mai.
Narbonne. Pau-Lourdes, c’est la, ré-
plique de la finale 1946 jouée au arc.
c’est le choc des champions de t ance
1946 et 1948. Et puis c’est une question
de suprématie régionale qui se
jeu.
Avec le match Aviron Bayonnai-
c’est un nouvel épisode “ “ne
' - Quelques-uns préten
Car. de la classe, Caput en a à
revendre... Il ne viendrait d'ailleurs 1 Bs,e8, — ----- ----- oreten
à l’idée de personne de discuter de vieille rivalité Quelques-uns p n
ses possibilités. Au sprint comme en 1 dent que l'Aviron na jam
montagne. Car il faut avoir assisté à 1 le CA Réglais
son escalade de la Grande Vicquée. I < En Championnat répliquent a un
dans la Flèche Wallonne, pour ne | air malicieux les Bayonnals,
’ de ses dons de grimpeur. | pas en Coupe ! »
virtuose qui le font s’éle- | Vous le la Coupe de France
de rugby présente un intérStga •
chaque dimanche, se renouv-l
coup y voient un appel du J { ment
rendu précipitamment par, . n-
pionnat. Et la Coupe soulève à nou-
veau les passions. — M. —
L’excellence des combats, les qua
lités des vainqueurs et des finalistes,
venaient de prouver l’utilité de ces
tournois préolympiques de « huit »
patronnés par « L’Equipe » et qui
vont se poursuivre trois semaines du
rant 'sur les rings de Marseille, de
Perpignan et du Mains.
Vianey nous dit tout d’abord qu’il
t était heureux d’avoir pu tirer d’uti-
j les enseignements des deux premières
j épreuves réservées, on le sait, aux
| coq et aux mi-lourds.
Il nous confirma ensuite son inten-
| tion de faire boxer le jeune Nancéien
; Marcel Mathieu dans les poids mou-
i che. La vedette du CP Lorrain venait
en effet de lui affirmer qu’il pouvait
descendre facilement à la limite de la
catégorie. Mathieu, qui vient d’avoir
22 ans, a fait jusqu’à présent, semble-t-
il par erreur, sa carrière dans les
MARCEL CERDAN
AU TRAVAIL
Marcel Cerdan, hier, a repris contact
avec la salle Lepesant Entrainement lé
ger qui se borna à 2 reprises de saut
à la corde et 4 de shadow.
Aujourd'hui, travail un peu plus pous
sé. « Mais d’ores et déjà le champion
d’Europe est physiquement très bien et
moralement prêt pour affronter Delan-
noit le 23 mai à Bruxelles », nous a
confié Albert Lepesant
justesse par Forni.
Garçon solide, râblé, rapide « bat
tant », c’est un excellent boxeur de
compétition.
La grande révélation : Jean Grenot
Fernand Vianey devait nous faire
part également des grands espoirs qu’il
fondait sur Jean Grenot, boxeur
complet dont le dynamisme est éton
nant. . . .
Nous avons revu Grenot ce matin a
Granville avant qu’il ne reparte pour
Lyon en compagnie de son professeur.
M. Stublin.
G-renot, qui termine cette année ses
études à l’école nationale La Martimè-
re, nous confia qu’il fut déjà cham
pion de France universitaire poids
mouche en 191,6 et poids coq en 191,7.
Il prit sa première leçon en salle à
l’âge de quinze ans mais n’a disputé
jusqu’à présent que 88 combats.
« Jusqu’au moment où je me ren
drai à Uriage pour rejoindre mes ca
marades du stage préolympique, nous
dit-il, je vais travailler mon droit à
l’école et ma droite à la salle d'en-
manquées toutes les deux.
Jean Baratte est en déclin de for»
me. Son moral paraît ébranlé. Mai»
aussi il semble avoir le dégoût, mo-
mentané sans doute, du poste qu’È
occupe. Les arrières centraux qui le
marquent prennent en somme asse
aisément l’avantage sur lui depuis
quelques semaines.
Mais il faut se rendre compte que
Ce joueur dynamique a fait pendant
toute cette saison un large appel à see
ressources athlétiques, et que celles-of
sont assez fortement entamées. Il se
rait bon, croyons-nous, de ne pas le
maintenir au poste d’avant centre en
cette fin de saison. Nous ne savons pas
si son club peut se permettre de 1»
faire jouer intérieur et de lui trouver
un remplaçant convenable. Cependant,
si nous considérons Baratte du point
de vue de l’équipe de France, la ques
tion peut se poser, si d’ici un moi»
Baratte n’a pas récupéré.
L’attaque lilloise souffre d’une ca
rence plug manifeste encore: c’est celle
de Vandooren. L’ailier du LOSC n‘&
pas les mêmes excuses à faire valoir
que l’avant centre. Il ne s’est pas dé
pensé comme l’a fait Baratte. Au lieu
de parler de surmenage en ce qui 1e
concerne, ne serait-il pas plus juste de
parler de négligence dans les soins
qu’un joueur pro doit apporter al
maintien de sa condition athlétique F
Policeman en finesse
L’un des joueurs les plus spectacu-
laires du match Lille-Rennes fut l’ar
rière central rennais, Pordié. Il est de
la catégorie des joueurs de couleur
Lire la suite p, 3, en rub. Football»
Trois millions
pour Prouff...
Pour le passage de Prouff à
Reims, tout le monde semble d’ac-
cord : l’intéressé, M. Germain
(Reims), M. Oelisle (Rennes). Le
prix du transfert serait de 3 mil-
lior’s.
Qui sait si Mindonnet ne serait
pas désireux de retourner à Reims,
où il fit une brusque apparition
avant d’aller à Strasbourg ? Et
les dirigeants de Reims ne seraient
pas tellement hostiles au retour
de l’enfar prodigue.
Prouff et Mindonnet : deux
bons domis...
point douter
Des dons
ver vers
gère.
de
le
sommet d’une pédale lé-
Albert de WETTER.
(Lire la suit, page 2,
en rubrique Cyclisme)
confirmera-t-il, a Bucarest
SA FORME ACTUELLE ?
Marcel Bernard vient d’enlever le Championnat international
de Paris. Nous le voyons ici très concentré, exécutant avec facilité
un revers, sur un service que Cochet lui a renvoyé. L’excellence de
sa forme actuelle nous surprend agréablement à huit jours du |
match de Coupe Davis qui opposera nos représentants aux Roumains i
à Bucarest.
OLSSON NAGE 58”
AVEC 39 DE FIEVRE
3’ 58” 8/10 aux 4 x 100
mètres pour la Suède.
Gros succès pour Mady
Moreau, Heinkelé et
Caza.
(De notre corr. gén. Wolf LYBERG)
STOCKHOLM. — Mady Moreau et
Heinkelé: ainsi f que leur entraîneur
Caza qui fit une exhibition très goû-
tée, on: triomphé sans difficulté à
Stoçkhom ou ils ont été aclamés.
L équipé de 4.100 m de Suède appro-
cha.]e rcord de l'équipe de France
(3 57 7/10) en nageant en 3’ 58” 8/10
(Johansson 1 1” V10, Englund 1’,
Synnerholm 59” 7/10, Olsson 58”). Ce
dernier, malade, avait 39 de fièvre.
(Lire la suite p. 2, en rubrique Boxe)
1ÛÜS LES o.
HUNGARIA
CRITÉRIUM DE LA QUALITÉ ET DE LA RENOMMÉE
EN VENTE DANS TOUTES LES BONNES MAISONS DE SPORT ■
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