Presse et revues
8 pages
Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1950-11-29
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 29 novembre 1950 29 novembre 1950
Description : 1950/11/29 (A5,N1445). 1950/11/29 (A5,N1445).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5101880p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/05/2021
ÉBAUCHE DE L’ÉQUIPE DE FRANCE
après les premiers matches de sélection
(Suite de la première page)
nous avons eu Bernard (à moins
qu’il ne revienne seconde ligne)
Il reste aussi Bienès à revoir.
O. D. — Mais il y a un pilier qui
a montré à Dax qu’il valait lui
aussi la sélection suprême : c’est
Bichendaritz. C’est un roc en mê
lée, et dans le jeu ouvert, il est
toujours en action. J’ai vu quel
que chose de peu banal : sur ra
pide sortie de mêlée en faveur de
l’equipe des Espoirs, le premier
centre est plaqué... Par qui ? Par
Bichendaritz. C’est vous dire sa
promptitude, son ressort et son
élan.
le pays landais, je puis dire que
Pascalin' est réputé pour n’attein
dre sa forme qu’à la fin de dé
cembre. L’an dernier, dans tous
les matches internationaux, Pas
calin était toujours cité dans les
quatre meilleurs avants français.
M. de L. — Il sera sans doute le Nous avons donc de
bienvenu ; aux talonneurs, les
deux de Lyon se 6ont distingués :
Pascalin et Coudray.
G. D. — Pour avoir beaucoup en
tendu, lors de mon séjour dans
LES JEUNES PALOIS N’ONT PAS
"LA TÊTE ENFLÉE"
mais un cœur “gros comme ça”!
(De notre correspondant particulier HEGOBURU)
PAU, — C’est avec infiniment de plaisir que les sportifs palois ont
appris la très belle tenue de leurs jeunes joueurs sélectionnés. Aristouy,
lui, est déjà une valeur confirmée. La presse entière a louangé en bloc
le trio d’attaque palois. Celui-ci, qu un dirigeant, M. Bochet, accompa
gnait, est arrivé à Pau après un très long voyage, véritablement fatigué
par le déplacement Pau-Lyon et retour. « Heureusement la paire Gime-
nez-Carrére s’entend aussi bien à la belote et le temps a paru moins
long », explique Hatchondo.
quoi former les deux premières
lignes avec Bichendaritz, Pasca
lin, Bernard. Mias, Fourès, sans
parler de Bienès, qui est à voir,
et d’Aristouy. Quant à la troi
sième ligne, incertitude complète:
Il y a bien Bourdeu, terriblement
vite Chastanet, très actif,, mais
il faut revoir la triplette Prat.
Basquet, Matheu.
G. D. — Et il serait bon d’adjoindre
à ce lot le joueur que j’ai vu à
Dax : Régis, de Carmaux. Peut-
être les sélectionneurs lui repro
cheront-ils sa tendance à se met
tre un peu à l’affût, mais quel
déboulé... »
Reste à attendre le match de séleo-
tion du 17 décembre, à Tarbes, pour
savoir si ce choix sera celui des sé
lectionneurs.
TRES SERIEUX CANDIDAT A L’EQUIPE DE FRANCE
Lucien Mias est un avant
du type Robert Soro !
Le futur instituteur n'a qu'une terreur : le poids !
(D’un de nos envoyés spéciaux Loys Van LEE)
LYON. — Dimanche, au cours du match de sélection de Lyon, les
avants rouges — l’équipe B — bousculèrent souvent leurs rivaux séna
teurs ! Jean Coudray, le talonneur, et ce à la stupéfaction générale, prit
l’avantage sur son rival Pascalin, principalement au cours de la première
mi-temps.
Quant au tandem Aristouy-B onnus, il fut étouffé par Mias et Fourès.
C’est grâce à la pression des avants rouges que le triangle d’attaque palois
(Gimenez-Hatchondo-Carrère) donna
un récital de ses futures possibilités.
Jusqu’à la fin du match, Mias con
duisit des dribblings, colla à la balle
avec une farouche énergie et un dy
namisme qui impressionna les spec
tateurs du stade des Iris.
Mias, futur Soro ?
« Lucien, comme le dit d’une façon
si imagée Jules Gadenat, c’est un drôle
de poulet / ». En effet, le « poulet •
pèse 99 kilos et mesure 1 m. 86. Lors
que l’on a vingt ans et deux mois, c’eut
Tous regrettent de n’avoir pu se
livrer davantage à cause du mauvais
temps. Carrère, lui, est vraiment
heureux ; dynamique comme il l’est,
il se minait comme remplaçant tou
te une mi-temps sur la touche.
« J’ai été content de jouer. Je
n’aurais pas voulu faire tant de ki
lomètres pour rien. Et puis, à tous
les trois, on a réussi à marquer l’es
sai vainqueur. »
Avant la nouvelle confrontation
de Tarbes et la sélection qu’ils es
pèrent avoir méritée, la Section Pa
loise doit jouer deux matches de
Championnat contre Angoulême di
manche prochain, et le dimanche
suivant contre La Rochelle chez lui.
« C’est le départ vers le but ».
pense l’entraîneur Albert Cazenave
qui, avec son frère Théo, couve ses
« petits » qui d’ailleurs ne se lais-
Reprise
du Championnat
dimanche
FEDERALE
"Castres 0. o. US Cognas
•AS Béziers o. St- Montois
•US Marmande c. US Bergerae
•AS Bort o. SC Mazamet
•Raoing CF o. CA Périgueux
•AS Roanne s. St. Toulousain
•CS Vienne o. CO Creusot
•St. Bordelais c. FC Auch
C. *Sect. Paloise c. SC Angoulêmo
•FC Lourdes e. St. La Rochelle
•FC Oloron c. SC Albi
•UA Libourne c. St. Tarbais
D. *AS Montferrand c. RC Vichy
•Valence Sp. c. RC Toulon
•US Montélimar c. US Romans
•US Bourg c. Lyon OU
E. *Av. Bayonnais c. CA Bègles
•USA Perpignan o. CA Brive
•Paris UC c. AS Soustons
•US Tyrosse c. US Montauban
P. *U8A Limoges o. US Dax
•US Carmaux o. Biarritz OL
•St. Lavelanet o. CASG
•SU Agen c. RC Narbonne
EXCELLENCE A
•SC Millau c. SC Pamiers
•Céret c. CAO Esperaza
•AS Prades c. S. Port-Vendree
B. *RC Chalon c. US Annecy
•RC La Mure c. CS Lons-ie-Saun.
♦US Métro o. SC Tarare
O. ‘Boucau St. c. St. Hendaye
•Peyrehorade c. CA Lannemezan
•St. Bagnères o. US Roquefort
D. *SA Saint-Sever c. SC Graulhet
•SC Limoux c. SA Mauléon
•St-Jean-de-Luz o. St. Beaumont
E. *St. Nantes c. St. Poitiers
•US Tours o. UA Gujan-Mestra3
•RC Trignao c. ASPTT Parie
F. *US Guéret o. St. Aui’illao
•Poissy AC o. St. Dijon
•St- Français o SA Lyon
G. *SO Chambéry o. FC Grenoble
•SO Givors c. La Voulte Sp.
•RC Chàtsaurenard c. RC Montceau
H. *St. Niort o. SC Decazeville
•FC Moulins o St. Montluçon
•AS St-Junien c. SC Tulle
EXCELLENCE B
A. *US La Seyne c. CS Bourgoln
•CA Le Puy c. US Oyonnax
•AS Mâcon o Lancey Sp.
B- *FC Aix-les-Bains c. US Bellegarde
•CS Annohay c. RC Chagny
•St-Marcellin Sp. c. CS Nuiton
C. *US Nevers c. ASP Police
•SA Vierzon c. SA Verdun
•SCUF c. Saint-Denis US
D. *IS Montluçon c. SC Saint-Nazaire
•T. Elbeuf c. RSVGASM
•CA Chevreuse c. FC Yonnals
B. *US Souillac c. US Fumel
•SC Rieumes c. ASPTT Pau
*S. Cahors c< SA Condom
F. *Larroque-d’Olmes c. RC Cuzy
•JS Elne o. Saint-Girons SC
•US Foix c. SO Villelongue
G. *RC Mussidan c. UA Mimizan
•SA Parthenay c. RAC St-J.-d’Ang.
•US Orthez c. AS St-Médard
H. *T0EC c. Gabardan AS
•US Eluzate o. UAR Puyoô
•A. Aturin o. US Casteljaloux
sent pas gonfler la tête. Des « pe
tits » au demeurant solides qui, dé
tail curieux, tout comme Aristouy
d’ailleurs, sont d’excellents joueurs
de pelote basque (ce qui explique
bien des choses pour leur adresse,
même avec un ballon glissant).
La Section Paloise est flatté^ de
ses succès auprès des sélectionneurs.
C’est rare. Elle a en ce moment,
comme remplaçant, Boyrie qui brilla
contre les Wallabies avec la France
B, et qui est toujours un des meil
leurs centres français et pourrait
louer dans n’importe quel club tant
sa forme actuelle est excellente.
Mais cette abondance de biens
n’existe, hélas ! pas. en troisième
ligne, déplore-t-on ici. Mais pour
quoi les sélectionneurs paraissent-ils
ne p.us penser à Lucien Martin au
talonnage ? On s’en étonne à Pau.
Le Stade Toulousain à la recherche
du joueur capable de remplacer
Bergougnan
Soulié e! 1 Andrieux n'ayant 1 pas convaincu
Brouat sera-f-il le troisième homme ?
(De notre correspondant particulier R. SAUTET)
TOULOUSE. — Rien ne va plus dans les lighes arriéres du Stade
Toulousain. Les blessures de Crayssac et Blanc ont fait des trous pro
fonds. Et, pour ne rien arranger, André Brouat ne réussit pas à trouver
la forme qui en avait fait, les saisons passées, un des meilleurs atta
quants français.
« Ça ne va pas du tout, nous avait-il confessé avant le match de
Coupe contre Cahors. Me voici terriblement enrhumé. Et comme je n’ai
pu reprendre mon poids depuis cette satanée jaunisse qui me cloua au
lit à la fin de la dernière saison, je
ne me sens plus aucun ressort.
Et, de fait, le fameux * toréador
APRES AVOIR « ACCROCHÉ » LE RACING
EN COUPE DE FRANCE
EN MELEE
% CASG e. Dax s* jouera le 11 mars
Jean-Bouin tandis que le match aller
aura lieu le 24 décembre. A ce jour, Ra-
cing et PUC recevront Auch et Brive.
% Voici des nouvelles des clubs pari
tiens : le PUC devra remplacer Becane
Donnet, Dajas, Cazeaux et Lesbats. Au
Racing, Thiery ne pourra tenir sa place
(Moncla suppléant), on espère par contre
que Porthault et Desclaux seront réta
blis. Au CASG, Soyer est indisponible
mais rentrée d’Abadie.
LA C. P. D. E. ESPÈRE RETROUVER
son lustre passé
Le 2* tour de la Coupe de France,
pour ne pas faillir à la tradition, a
vu la chute de quelques « gros
bras » parmi lesquels nous rele
vons : Tyrosse, Albi, Bort, défaits
par des formations modestes, mais à
l’ambition énorme. D’autres Fédé
raux, plus favorisés, se qualifièrent
d’extrême justesse, souventes fois
grâce à... la chance.
Parmi ces derniers, nous devons
citer le Racing Club de France, qui
ne dut son salüt qu’à l’ultime mi
nute après avoir été un tantinet
bousculé par la CPDE.
Les poulains de M. Talis ne
créèrent pas la « surprise du jour »,
mais ils se retirent du débat, le
front très haut, avec les honneurs,
pouvons-nous ajouter, face à un ad
versaire diminué, il est vrai, par
l’absence de plusieurs joueurs sé
lectionnés. Qu’importe, les Racing-
men eurent chaud !
Une école de... rugby !
Mais sans plus tarder, nous allons
vous faire pénétrer dans l’antre de
la CPDE. Ce club, qui dispute le
Championnat de l’Ile-de-France —
où il est en tête actuellement —
possède un passé digne d’éloges. Il
fut même classe, dans les saisons qui
précédèrent 1940, en Division d’Ex-
cellence ; c'est l’époque faste où il
fit mordre la poussière à bon nom
bre de ténors. Mais 'avec la guerre,
et son lourd fardeau de misères,
cette société dut interrompre son
activité. A la Libération, quelques
volontés, à la tête desquelles nous
retrouvons M. Lalis, l’actuel prési
dent, se mirent en quête de redon
ner au coquet stade de Rueii un
peu de son activité d’antan.
« Les débuts furent très difficiles,
nous assure celui qui veille comme
une mère poule aux destinées du
club. Nous dûmes faire nos classes
et prendre ce second départ en 2 e
série. Peu à peu. nous gravissons les'
échelons qui doivent nous conduire
vers l’Excellence B. Nous mettons à
profit cette période de réadaptation
pour renouveler nos cadres, car, à
la place des anciens qui avaient prê
té leur concours pour la « reprise »,
nous mettons des jeunes à la vo
lonté bien définie.
— Comment s’effectue votre recru
tement ? questionnons-nous.
— Nos jeunes sont exclusivement
choisis dans notre corporation, ré
pond notre interlocuteur, lui-même
maintes fois sélectionné. Nous pos
sédons à Gurcy-le-Châtel (Seine-et-
Marne), une école des cadres de
l’Electricité de France où. sous la
bienveillante attention de M. Lam
bert, le sport — et particulièrement
le rugby — est à l’honneur parmi
ces jeunes gens venus de tous les
coins de France. Ainsi, la relève est-
elle assurée par ceg joueurs, leur
stage terminé. »
L’évolution des Boissière, Maga
na, du Catalan Lévy à la classe in
née ne fut-il pas capitaine des
juniors du XIII Catalan, champions
de France ? — relevait du meilleur
rugby. Sous la conduite du capitaine
Cousin, excellent 3 e ligne, ces ju
niors ne peuvent que progresser.
L’amateurisme (le plus) complet !
Après la partie, ,dans le club-house,
il nous fut possible de bavarder
avec cette joyeuse troupe de copains.
Nous avons constaté la bonne cama
raderie qui régnait parmi la soixan
taine de licenciés ; car trois équipes
défendent chaque dimanche les cou
leurs « bleu et rouge ».
L’ambiance ne faisait pas défaut,
je vous l’assure ! Et pourtant, lors
que vous saurez que les joueurs
achètent leurs équipements, paient
leurs déplacements et leurs repas,
peut-être serez-vous étonnés d’ap
prendre que cette équipe a obtenu
de si bons résultats cette saison.
Pour notre part, nous pensons que
c’est précisément ce lien bâti sur
une base on ne peut plus primaire,
qui est la source des succès des
« Electriciens ».
Voici les quinze équipiers qui, di
manche, se distinguèrent : Caplan-
ne ; Magana, Lévy, Baldin, Cour-
teaux ; (o) Mora, (m) Cortet ; Cou
sin (cap.), Murasiol, Bidegambery ;
Manchon. Boissière; Rabel, Barrier
(tel.), Viéville.
René DURAND.
fit, pe, après, une de ses plus mauvai
ses exhibitions de sa carrière contre
une équipe de Cahors pourtant pas
terriblement armée.
Chacune de ses interventions au
pied se terminait par une mala
dresse. Où donc était le ber attaquant
qu’on préférait à Jean Dauger lui-
même ?
Et cette méforme met d’autant plus
dâns l’embarras les dirigeants tou
lousains qu’ils avaient un moment
pensé de placer Brouat à la mêlée où
l’absence de Bergougnan est des plus
préjudiciables.
« Cela m’aurait évidemment beau
coup plu, nous confia l’intéressé.
N’ai-je pas joué quatre saisons à ce
poste ? Il fallut même qu’un acci
dent advienne au demi ^.e mêlée de
Villeneuve XIII de l’époque pour que
je sois incorporé dans la ligne de
trois-quarts. Depuis, j’y suis resté,
mais je ne serais pas fâché de re
trouver la place de mes débuts. »
Mais cette idée n’a pas été aban
donnée par M. Camica8 qui a soin,
avec Fourès, de former l’équipe.
* Bergougnan, dont nous attendons
tous le retour, serait évidemment
seul, nous déclara l’international, à
pouvoir nous sortir d’embarras. Mais
se décidera-t-il ? Aussi, n’est-il pas
impossible que nous confiions à Brouat
ce poste clef. Il nous faut évidem
ment là un homme dont l’antorité
se communique à ses avants en mê
me temps qu’à ses trois-quarts. Nous
avons essayé Soulié, puis Andrieux.
Peut-être serons-nous obligés de faire
confiance à Montaugé, dont mon ami
Clément, Dupont fait, à Joinville,
l’éducation à ce poste délicat. Mais,
évidemment, quand Brouat aura re
trouvé une meilleure condition phy
sique — ce qui ne saurait tarder —
il serait l’homme rêvé. »
Voilà donc le Stade dans l’embar
ras Ah ! si Bergougnan revenait sur
sa décision, il aplanirait bien des dif
ficultés.
COMMENT SE SONT COMPORTÉS
LES PARISIENS EN COUPE
P.U.C., RACING et C.A.S.G.
n'ont pas eu la partie facile contre
Chartres, C.P.D.E. et Galeries Lafayette !
Les clubs du bassin parisien ont été soumis à rude épreuve lors du
deuxième tour de la Coupe de France, et si finalement les favoris l’ont
emporté, ce fut souvent avec grand peine, et cette difficulté est déjà
une surprise.
L’ASPTT est la seule exception puisque les postiers éliminèrent le
CO Savigny (25-3). Par contre, le Racing eut un mal inouï pour défaire
la CPDE (3-0). Il s’en est même fallu de peu que le finaliste du Cham
pionnat ne disparaisse prématuré-
— A Nottingham, les Nottingham
Panthers ont battu la Suisse par 8 à 1
(0-0. 2-0 6-11
ment.
Le PUC fut lui aussi accroché par
le SC Chartres (11-6), les Chartrains
montrent ainsi que leur redressement
en Championnat de Promotion n’est
pas un accident.
Le, troisième « fédéral » de la ca
pitale, le CASG n’a pas eu non plus
la partie facile contre la courageuse
équipe des Galeries Lafayette qui ne
ferma jamais le jeu malgré le dan
ger des 3/4 du CASG et ne s’inclina
que par 11 à 3.
Poissy domina le Lille UC . (12-0)
sans pour cela faire cavalier seul
comme on le pensait.
Comme le dimanche précédent en
Championnat, la rencontre Saint-
Denis-AS Police fut extrêmement
serrée, mais une fois encore le capi
taine dyonisien Durand conduisit son
équipe au succès, remportant une
difficile victoire (3-0). Assurément,
les rencontres Saint-Denis-AS Police
sont d’un rare équilibre.
Le CSPSE défendit âprement sa
chance contre PUS Tours d'Excellen
ce A (6-0), tandis que le RC Com-
Vous voilà rase de près, net,
frais et vous n’avez rien senti. ^
p Comme c’est agréable de se raser
avec une lame Mince ! Quelle différence avec
ces lames épaisses qui tirent sur le poil ! Voyez pourquoi i |
Une lame ordinaire épaisse entaille le poil |
à moitié, puis le couche et tire dessus avant ^
de le couper complètement.
La lame Mince au contraire coupe net, d’un ^
seul élan, le poil à la base, parce que son ^
tranchant est sans épaisseur.
Acier sélectionné ★ Tranchant sans morfil ★ Contrôle à l'unité ^
ADûpnz i/ume
n
?
U
"L'WJ ~W"M~TEî
AUX CHAMPIONNATS
DU MONDE
Les Turcs veulent
prendre leur revanche
(De notre oorresp. partie. L. FUMELLI)
ISTANBUL — Conformément à la dé
cision Çu Conseil de la F.I.L., les re
vanches des Championnats du monde 1950
à Stockholm auront lieu les 2 et 3 dé
cembre au Palais des Sports d’Istanbul
Les lutteurs turcs, qui ont obtenu la
deuxième p ace aux Championnats de
Stockholm, tiennent effectivement à pren
dre une réelle revanche et à écarter tout
autre prétendant à des titres qui de
vraient être propriété exclusive des plus
forts du monde Ne dit-on pas : « fort
comme un Turc » ?
Ce n’est pas tout comme grandes ren
contres de lutte en Turquie, car on at
tend pour la fin du mois de décembre
l'arrivée d une équipe de lutteurs amérl
cains. On sait que les Américains n’ont
nas pris part aux Championnats du monde
de Stockholm On ne saurait donc se pro
noncer sur la valeur exacte des lutteurs
amateurs des U.S.A. Mais il ne semble pas
que les universitaires américains qui ex
cellent dans les autres sports, soient en
retard dans celui-ci.
LES CHAMPIONNATS DE PARIS
A Vlncennes, les Championnats de Pa
ris de lutte libre avaient réuni 25 concur
renst de 2« série. . Ils donnèrent les résul
tats suivants : 52 kg. : N Gu yen tCOBi
57 kg. : Gesland (Crédit Lyon.l: 62 kg :
Lamirault (VAC); 67 kg. : Rondaux
(CLV); 73 kg. : Ferouelle (Vers ), 79 Kg
Sauvage (US Métro); mt-lourds : Ernest
(NyPl.); lourds: Caboche (Vincennesi
Par club : 1 VAC. 9 pts; 2 USMT. 6 pts
3. CLV. 6 pts. etc..
PETITES NOUVELLES
— Les Championnats de libre G'* sé
rie) débuteront samedi à Vincennes pour
les 52, 57 et 62 kg.
—, Dimanche, à Vincennes, finales des
2* série gréco et les qualifiés de la
ibre de la veille
TOUS LES JOURS
LISEZ « L'EQUIPE
piègne, confirmant sa place de lea
der de Division d’Honneur, élimina
le CS Homécourt après un match
très serré (3-0).
Henri GARCIA.
impressionnant, ne trouvez-vous pas ?
Lucien est Catalan de pèrj et de
mère, mais « les gensses de la rrrace »
— du moins jusqu’à présent — le re
niaient quelque peu sous le prétexte
fallacieux qu’il est né au beau pays
d’Arles. I
Mias est élève de quatrième année a
Lucien MIAS
LE CELTIC DE PARIS
A CONQUIS AVIGNON
(De notre corresp. part Luc NITARD)
AVIGNON. — Les amateurs provençaux
de jeu à XIII ont toujours été favora
bles à l’idée de voir Paris doté d une
grande équipe. La magnifique production
réussie par le Oeltic à Avignon ne fera
que confirmer ce désir. Sous le signe de
'.'amitié, les joueurs de M. Tardy ont
fourni une exhibition extrêmement plai
sante. Cette équipe, complète en tous
points, possède une ligne de trois-quarts
que lui envieraient bien des formations
de Nationale. Elle tira, en première mi-
temps, un véritable feu d’artifice de jeu
ouvert, recueillant de chaleureux applau
dissements et atteignant le repos avec
une marge de 12 points. Par la suite,
les Avignonnajs se ressaisirent et, sous
les exhortations de leur capitaine Fran
çois Rivière, qui pour la circonstance
avait repris de l’activité, remontèrent à
la marque.
Le score de 15-11 en faveur des Pari
siens a permis de constater la reelle
valeur du Celtic et la meilleure des ap
probations a été donnée par Rivière à son
vieil ami Roland Moreau :
« Vous serez de méchants clients en
Coupe ! » lui a-t-il déclaré.
Conseil (encore !)
aux sélectionneurs :
Reconstituer le tandem
Calaup-Torrens •
en équipe de France !
(De notre
corresp. part. COUSTEAUX)
TOULOUSE. — La blessure du Catalan
Paul Déjean venant après l’exhibition de
Duffort à Leeds pose à nouveau avec
acuité le problème des lignes arrières
dans l’équipe de France de rugby à XIII
Le match Toulouse-Albi nous a, diman
che, présenté trois hommes que les plus
difficiles souhaiteraient voir réunis à
Bordeaux : Galaup, Cantoni vedette du
récent Angleterre-France, et Torrens.
l’école normale de Carcassonne. L’an
prochain, il sera instituteur dan
l'Aude et saura se faire respecter uni
quement en faisant la grosse voix
Lucien n’a qu’une terreur dans la vie
engraisser ! Actuellement, il est sans
tissus adipeux, mais il a peur de pren
dre du poids.
« Si je reste deux jours sans faire
de footing, je prends facilement trou
kilos, nous confiait-il hier. Je suis donc
dans le genre de Soro I »
Souhaitons-lui d’avoir la même car
rière internationale que le bon géant
de Romans l
Mias marathonien I
Mias est un des rares rugbymen pra
tiquant le footing. Il doit cette hab
tude au professeur d'Education phy
sique de l’école normale, M. Jean
qui l’entraîne quotidiennement et lui
fait 'faire chaque jour une demi-heure
de culture physique. Gaston Meyei
pensera que Mias devrait lancer le
poids l Hélas I Lucien trouve
concours fastidieux, mais il nous
avouait n’avoir qu’un désir dans la
vie : être marathonien. Il connaît ses
classiques sportifs et n'ignore pas que
l’on n’a jamais vu — jusqu'à présent
— un cent kilos qui mît en vedette
pour l’éternité l’hoplite Phidipidès
D’ailleurs, madame Mias, « Minou
pour son mari, ne le lui permettrait
pas.
« Tu resteras à la maison pour amu
ser le petit », lui assure « Minou
Car Lucien est un futur père de fa
mille !
Malgré un léger astigmatisme qui lui
fait porter des lunettes dans le civil
Mias débuta à quatorze arts à l’ASCN
comme deuxième ligne ou troisième li
gne centre. Ensuite, il passg aux Che
minois de Carcassonne. Il fut, sous les
couleurs de « la cité », international
junior en 191,7 contre le Pays de Gai
les, à Cardiff. Il effectua, l'an der
nier, la tournée en Espagne. Cç garçon
adore les voyages, et il déclara for
fait à l’occasion du déplacement, en
Tunisie afin de disputer un match
avec son club. Jusqu'à présent, ce
voyage manqué est le regret de sa vie
Il a signé, cette année, à Mazamet
et c'est, vous le croirez sans peine, le
joyau de la ligne d’avants mazamé
taine !
Pomathios
capitaine-entraîneur
du L.O.U.
LYON. — Junquas a subi ce matin
l’opération du ménisque gauche. Tout
s’est bien passé, mais l’entraineur
lyonnais devra observer un long
temps de repos. En son absence, il a
confié le caoitanat de l’équipe et la
direction de l’entrainement à Poma
thios
Dimanche la tâche sera rude de
vant Bourg ; et comme un malheur
n’arrlve jamais seul, le « 3» ligne »
Walter, blessé dans un accident de
voiture, sera lui aussi Indisponible.
Comme, d’autre part, le talonneur
Fabre ne sera qualifié que lundi, le
L.O.U. devra s’employer pour vaincre.
— Rivière.
APRES BIEN DES DÉBOIRES
LE RED STAR- V. G. A. S. M.
amorce un beau redressement !
La saison dernière n’apporta pas au Red Star les satisfactions atten
dues. Classé le dernier de sa poule en Championnat de France Excellence A
il fut contraint de disputer les matches de barrage en ce début de saison
La « sorcière » s’acharna à nouveau sur les hommes du président Moulinier
et les voici relégués en Excellence B.
Ce nouveau coup du sort semble avoir donné un autre moral à tous
les joueurs, qui ont fermement pro
mis de sortir le vieux club audonien
de l’ornière dans laquelle il s’est en
gagé.
Après avoir triomphé des Ilets de
Montluçon (chez l’adversaire, s’il
vous plaît !); les poulains de Jo-
chem, pour leur deuxième rencon
tre, ont réussi un match nul sur le
terrain de Chevreuse, face à la re
doutable équipe locale qui n’a pas
pour principe de se laisser manœu
vrer devant son public.
La raison de ce redressement nous
est donnée par M. Moulinier ;
« Nous possédons les éléments sus
ceptibles de nous redonner la place
que nous occupions naguère. Notre
quinze, qui s’est enrichi d’éléments
jeunes, au courage inaltérable, pos
sède beaucoup d’allant. Aussi fai
sons-nous entièrement confiance à
Jochem et ses camarades dans l’ave
nir ; pour peu que la malchance
veuille (enfin) nous abandonner. »
Cette confiance, nous en saisis
sions exactement la portée, en
voyant les hommes au maillot
« vert » faire face avec tout leur
cœur au fougueux pack de Che
vreuse
Du talonneur Acédo, un Basque
qui, aussi paradoxal que cela puisse
P araître, n’avait jamais joué au rug-
y lorsqu’il y a trois ans il débar
qua à Paris, à l’arrière Thourisseau,
il n’y avait pas de « traînards ».
Avec le succès
le moral est revenu 1
Sous la douche, ces quinze bons
copains ne pensaient qu’au bon
tour que le Red Star venait de
jouer à ses détracteurs, qui s’em
pressaient, un peu tôt. de l’enter
rer. Jochem explosait :
« Le Red Star n’est pas mort, il
s’en faut. Nous voici sur le bon che
min et nous espérons bien ne pas
nous arrêter là, ayant disputé deûx
très durs matches à l’extérieur. » —
R. D.
-Kôtëi de
Le tirage de la tombola des voyages
— Le tirage aura lieu publiquement le sa
medi 2 décembre, à 19 h., a la C.R F
6, rue de Berri On peut encore trouver
quelques billets disponibles dans tous les
guichets dé vente et guérites spécialisées
de loterie.
Les Basco-Parisiens
aiment évidemment
le jeu... à la bayonnaise !
Les Basco-Parisiens sont, comme leur
nom l’indique, composés d’éléments nés
au Pays Basque (ou en Béarn) et fixés
à Paris. Revêtus d’un maillot azur qui
rappelle le « Céou de Paou ». ce groupe
de leunes artistes miniature nous fit
assister contre le CSPSE à un feu d’ar
tifice digne des grands attaquants bas
ques.
Us durent endiguer le flot des attaques
de leurs adversaires durant quarante
minutes, consentir même un essai au
cours du début de la 2 e mi-temps, mais
il en fallait plus que cela pour les abat
tre
Loin de s’avouer vaincus, ils construi
sirent des contre-attaques d’un style très
pur d’une adresse et d’une souplesse
étonnantes.
L’arrière Hégoburu (de Mauléon) se fit
applaudir par son adresse et ses longs
dégagements; Labarrène et Laffont for
ment une aile redoutable et l’intercep
tion du premier qui lança le second ame
na Laffont dans les buts après’ un splen
dide sprint des cinquante mètres. Char
tier au centre, fut l’organisateur de la
défense.
La paire desdemis, minuscule, s’en tira
tout à son honneur et Boisan sut trans
mettre à son ouvreur Ugonte dans les
meilleures conditions; ce dernier fut un
véritable jongleur, prit toutes les balles
et servit ses arrières en toutes occasions
Le pack d’avants, malheureusement
trop léger, ne baissa Jamais les bras
et sut compenser cette infériorité par
une souplesse et une mobilité qui fit
l’admiration des spectateurs. Il sérail
injuste de ne pas associer les 8 hommes
dans les éloges, mais une mention va
peut-être à leur capitaine Dubanet qui
conduisit ses troupes... en souplesse et
dut se contenter d’un nul 3-3,
Leur président M. Cazeaux et leur dé
voué dirigeant M. Dupouy nous disaient
leurs modestes ambitions ;
« Nous souhaitons rester en Division
d’Honneur, être agréables à nos Joueurs
qui nous le rendent bien et les voir jouer
le vrai jeu comme les Basques savent le
faire, c’est pour nous une satisfaction ».
Les Basques d’Orthez, de Mauléon, de
Pontacq sont bien des Basco-Parisiens. —
Marcel Fitte.
%- Castro a con/irmé a Firminy qu’il
était devenu beaucoup plus régulier au
centre, mais il manque toujours dans les
lignes arrières du XV roannais un joueur
de tête et d'autorité. « Ah I si Jean
Dauger était à côté de moi » s’exclame
souvent Robert Griffon.
On peut s'étonner de nous voir dési
gner à l’attention des sélectionneurs un
joueur venu aux XIII de Division natio
nale depuis octobre seulement. Torrens
n’est pas un jeune, il lut formé au Jeu
à XIII dans la petite ville de Tonneins
(Lot-et-Garonne). Actuellement, il a sa
place dans une équipe nationale soit à
l’ouverture, soit au centre. Dans son
club, il tient l’un ou l’autre poste avec
un égal brio, permutant, au gré-des cir
constances, avec le jeune Galaup.
Ce dernier, avant sa bjessure, se mon
tra très à l’aise au centre de la ligne
de 3/4, et Torrens réussit devant Caillou
et les frères Cantoni, pourtant réputés
pour leur sûreté défensive, des percées
de grande classe.
Joueur très sûr, actuellement en forme,
ei capable d’actions offen§i/es brillantes,
l’ex-equipier du Castres Olympique peut
être l’oiseau rare qu’attend l’equipe de
France en l’absence de Paul D-;jt an
DIMANCHE PROCHAIN
Championnat de France
•Toulon o. Marseille
•Villeneuve o. Cavaillon
•Carcassonne c. Lyon
•Libourne c. Lézignan
•Avignon e. Carpentras
Exempts; Albi et XIII Catalan
EN PRENANT DU MÉTIER, LES QÜ
de Livry-Gargan inquiéteront les Jg
Avec des chances diverses, TES Gargan-Livry obtient
— ,-Livry obtient
régional que sur le plan national, des résultats qui ■ ■
Ce club banlieusard, qui dispose de 5 équipes mas '
nines, possède malgré tout un « cinq » premier qm Cl)1
de métier. C’est pourquoi sans doute
m P
ses performances sont parfois contra
dictoires
Mais ce * défaut de cuirasse » dis
paraîtra. c’est évident, au fil des ren
contres de la présente saison. Sur
tout si les éléments vedettes compren
nent qu’il leur faut encore travailler
pour trouver, enfin, la juste consé
cration.
Duboc, dans ce c cinq », fait figure
de vétéran, et pourtant il reste pour
longtemps encore ‘la « cheville ou
vrière » de l’équipe car, à 26 ans, sa
carrière n’est pas encore terminée.
En défense, il peut compter sur Vil-
lin — actuellement militaire — dont
la sûreté et l’adresse confirment son
désir de bien faire.
Si Duboc monte au centre — où il
peut également se montrer utile —
Pierre Chevrier peut le remplacer au
poste d’arrière. C’est là un espoir —
doublé d’un véritable athlète — qui
peut s’imposer rapidement. Qu’il
abandonne son dilettantisme habituel,
alors l’avenir lui appartiendra.
En attaque, J. Chevrier est égale
ment doué. Adroit, rapide, il gagne
rait — lui — à discipliner son carac
tère impulsif. Devallée, au centre, de
vrait confirmer bientôt les espoirs
que i on plaçait en lui alors qu’il
était junior. Enfin, l’infatigable Jes
sel trouvera l’occasion d’affirmer son
adresse lorsque, ayant admis ses
torts il se pliera sans retenue à la
discipline indispensable de l’équipe.
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Deux jeunes encm.
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Battus à Birmingham
les Français tentent
de se « racheter »
à Wembley
C’est Roothooft qui retient une fois
encore l’attention à l’issue du match
France-Angleterre, puisqu’il causa la sur
prise de battre Leach par 2 à 1. Les au
tres résultats d’ailleurs assez contra
dictoires, dénotèrent des performances
moyennes de Haguenauer, Amouretti et
même Roothooft.
On ne saurait donc prévoir qu’une
nette supériorité britanniqué au cours
des Internationaux d’Angleterre, qui com
mencent aujourd’hui à Wembley.
Roothooft (Fr ) b. Leach (G.-B.) 2-1 ;
Simons (G.-B.) b. Roothooft (Fr.). Ha-
uenauer (Fr.) et Amouretti (Fr.) 2-0 ;
Vanner (G.-B.) b. Roothooft 2-0 ; Amou
retti b. Vanner 2-1 ; Haguenauer b. Van
ner 2-4 ; Haguenauer b. Vanner 2-0 ;
Leach b. Haguenauer 2-0 et Amouretti 2-1.
Auparavant, aux Internationaux de Li-
verpool, Leach avait battu Simons par 2
à 1, après qu’Amouretti, puis Roothooft
et Haguenauer se furent inclinés devant
eux, respectivement en quart et demi-
finale.
BALLON MORI
% Pagnetti effectuera sa rentrée dans
l’équipe cavaillonnaise qui se rend di
manche à Villeneuve.
% Les réserves cavaillonnaises ont tenu
en échec Apt (3-3) en un match comp
tant pour le Championnat de France
des Fédéraux.
Les minimes de Cavaillon XIII ont
battu ceux de Marseille XIII (13-0).
% Régis, talonneur de Capestang. actuel
lement militaire à Miramas, remplacera
Frassi dans le XIII cavaillonnais qui
ira à Villeneuve.
% L’excellent avant du XIII Catalan
René Gazé, vient d’être l’heureux père
d’un garçon prénommé René. Nos féli
citations...
Autrichiennes et...
Français dos à dos !
Comme nous le prévoyions, ce furent
les joueuses qui équilibrèrent le double
match France-Autriche féminin et juniors,
à la Pergola. Après que le jeune Juge
eut assuré la victoire française par 3
à 2, M. Prizi donnait à son tour l’avan
tage à l’Autriche avec le même score.
Juniors : Juge (Fr.) b. Pilz (Autr.) et
Schindler (Autr ) 2-1 : Pilz b. Salat (Fr.)
2-1 ; Salat o. Schindler 2-1 ; Pilz-Schind-
ler b Juge-Salat 2-0.
Féminin : M. Pritzi (Autr.) b H. Beolet
(Fr.) et Girard (Fr.) 2-0 ; H. Beolet b.
Wertl (Autr ) 2-1 ; Girard b. Wertl 2-1 ;
Pritzi-Wertl b. Oirard-Delay (Fr.) 2-0.
déplace d’abord à p,„ ,
cipera à un tournoi ÎH
puis en Pologne où .Vf
6 au 15. e,| i
• L’US Colombus
rin-s américains) à T!? 1 !
Nice 44-32. ^
• Le jury d’appel <„
décision de la Comm if
règlements, a reconnu
cation des internait 0 ».
et Bankuti pour ; e /,
moins ce dossier a été
ressort au bureau
• Notre confrère p a ,
en compétition une cl
buée à la formation
réalisé la meilleure
SM Caen■ Plri
• L’internationale p au t
sa rentrée dans l'éoTMTniS d«
OU. Tiens ! Tiens ' wf°
tenant qu’elle persévè,
apportera à son éotitt,
tant. *
• Après son net su Cl
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nior féminin de Vus L
d’ambitions sur le chim
de cette division. I
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Romeu ; Coupe El p’jJ
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si, géant, régional; 20-îi 1
Championnats régionauil
4 février ; Font-Romeu
si., régional; 6 : Fonti
réservé aux hivernand
Romeu : Coupe l’Ando-
nal, 11 : Font-Romeu : c.
fond, régional; Andorre]
gional; 25 : Puymoreni|
Cogne, si. géant féminlj
pe du SC Tarasconnaiil
Marrani, si., régional!
Soldeu (Andorre) ; q'J
dorre, interrégional; M
go : Grand Prix d’EspJ
VALLEE DE L'OBA'iïJ
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de district ; 21 . Col dtl
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de Provence; 18 : Ban]
ze : Coupe de Toulon; 1
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Vous connaissez évidemment ces gigantesques dessins (
perdue dans une foule innombrable, la grosse dame à lorgno
minuscule mari des rafales de mitraillette tirées par une barf
en chapeau melon et en bretelles extra-souples.
Eh bien ! vous pourrez voir cette semaine tous ces pitt*
nages à l'écran.
Je n'ose pas dire que vous les verrez en chair et 1
voudrais tout de même signaler que tout en restant des ■
cesseront d'être des dessins.
C'est ainsi que Paul Démangé incarnera Anatole, l'époux
par son énorme moitié, Fifille, alias Max Dalban.
Gabriello sera Sparadra, la terreur du quartier, et Nij
Emma la vamp de petite vertu attachée à son service.
Dinan, Roger Desmares, Fernand Gilbert et de^Funes crt
tivement, un poivrot à faux col, un garçon de café â bésiclB
aussi moustachu que décoré, et un violoniste langoureux.
Tous ces personnages se retrouveront dans une amusonffj
ginée par Dubout et qui se terminera par une de ces terril'
dont le célèbre caricaturiste a le secret.
La mise en scène est de Marcel Giboud.
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Séville b.
. ROGER NICOLAS
o7
« Baratin », l’opérette de Jean
Valmy et Axjré Hornez, musi
que d’Hetsri Betti.
CINEMAS
Le mari enfant : Un peu
chinois.
La scène se passe au pays du riz
(jaune) et des mandarins (citron).
Un e jeune femme trompe son
mari.
Or, en Chine, on ne badine pas
avec ces questions et un lynchage
en règle punit l’adultère.
Le fait que l’époux ait 12 ans ne
çhange rien à l’affaire.
Sur ce, le mari enfant se tue acci
dentellement. Les voisins commen
cent à Jaser sérieusement et pour
éviter le pire, nos deux amants se
suicident
Tel est, en gros, le thème de ce
film.
Traité de façon très convention
nelle et mimé plus que joué par des
acteurs restés fidèles au style du
cinéma muet. Il risque peu d’émou
voir les spectateurs occidentaux
Mais il présente un caractère do
cumentaire certain et à ce titre, il
Intéressera probablement les esprits
curieux.
André LAFARGUE.
% %
Pts ; 2. y
4 St-Si
1 6- Barc
9. Sânt
Les Anglais nous envoyent un film en technicolor et
intitulé « London follies », dont la vedette est le comique;
C’est l'histoire d'un acteur de province qui_ « monte >
anglaise et semble condamné à jouer les utilités jusqu'au
lui permet de devenir vedette.
Inutile de préciser que l'affaire se terminera par un mam
André La
10 nne
POUR FAIRE VOTRE CfetHoi
CINEMAS
SOYEZ AU COURANT
| Maurice Labro vient de donner le
premier tour de manivelle au studio
des Buttes-Chaumont, de Boniface Som-
nanbule, qui est la « suite » de L’hé
roïque Monsieur Boniface qu’il réalisa
au début de 1949... et dont le succès
a été immense.
Dans cette nouvelle aventure comi
que, nous retrouvons Fernandel « Boni-
face, Français moyen », mais cette
fois dans le rôle d’un détective atta
ché à un grand magasin qui, la nuit,
est somnambule... et cambrioleur /
Yves Deniaud, Andrex et Michel Ar-
dan redeviennent les gangsters. Gaby
Andreu, Mathilde Casadesus, Raoul
Marco et André Roanne sont les au
tres vedettes de cette production S.F.C.-
Sirius.
I L’école des femmes nues change de
rive. C’est le 20 décembre que cette
opérette d’Henri Betti, Serge Veber et
Jean Boyer quittera la scène du théâ
tre de l’Etoile pour s’installer à Bobino.
Le théâtre de l’Etoile deviendra, à par
tir du 22 décembre, le terrain d’action
de Bourvil, vedette de l’opérette nou
velle de J.-J. Vital, Pierre Ferrari et
André Hornez : M’sieur Nanard, mise
en musique par Bruno Coquatrix. Bour
vil aura pour partenaires : Tilia Tha-
mar, ,a capiteuse bombe atomique ar
gentine qui débute sur scène Pierre
Mingand, Geneviève Kervine, René
Bourbon, Charles Rigoulot, l’homme le
plus fort du monde, etc.
C’est le 5 décembre que Max Régnier
créera, au théâtre de la Porte-Saint
Martin, sa nouvelle _revue Drôle de
monde, sur des couplets de Raymond
Viney, avec une musique nouvelle de
Guy Lafarge.
Agriculteurs : Noblesse oblige (v. 0.)
Alhambra : Gang des tractions avant
Astor : Pilote du diable (v. f.)
Aubert : Meurtres
Avenue : Maria Chapdelaine (v. t.)
Balzac ! Ma Pomme
Biarritz j Autant en emporte !• vent
(v. o.)
Broadway ! L’Intrus (v. 0.)
California : Les Ecumeurs (v. o.)
Caméo : Gang des tractions avant
Ciné-Etoile : Faites vos Jeux
Cinémonde-Opéra : Trois télégrammes
Ciné-Opéra : Orphée
Cinex : Capitaine Blomet
Comœdia : Mystère à Shanghai
Colisée : Souvenirs perdus
Eldorado : Pilote du diable (v. t.)
Elysées-Cinéma : La rue de traverse (v.o.)
Ermitage : Si bémol et Fa dièze (v. o.)
Français : Maria Chapdelaine
Gaumont-Palace i Meurtres
Gaumont-Théâtre : Meurtres
Hclder : Ma Pomme
Impérial : Justice est faite
La Royale : Odette, agent S. 23 (v. o.)
Le Lynx : Pilote du diable (v. f.)
Le Paris ! Trois télégrammes
Le Raimu : Le Loup de la Sila (v. o ),
Les Images : Gang des tractions avant
La Pagode : Au grand balcon
Les Portiques : L’Indompté (v. o.)
Les Reflets : Alexandre Newsky (v. o.)
Le Régent : La soif des hommes
Le Ritz : La rue de traverse (v. o.)
Les Vedettes : Si bémol et Fa dièze (v.f.)
Lord Byron ! Madame porte la culdtte
(v. o.)
Madeleine : Dieu a besoin des hommes
Marbeuf : Whisky à gogo (v. o.)
Marignan : Méfiez-vous des blondes
Marivaux : Méfiez-vous des blondes
Max-Linder : Si bémol et Fa dièze (v.f.)
Midi-Minuit : Exodus
Moulin-Rouge ! Trois télégrammes
Monte-Carlo : Secret d’Etat (v. o.)
Napoléon : Le Fils du désert (v. o.)
Normandie : Bagdad
Olympia : Pilote du diable (v. f.)
Palace : Mystère à Shanghaï
Paramount : La rue de traverse (v. f.)
Radio-Ciné Opéra : Mystère à Shanghaï
Rex : Fusillé à l’aube
Royal-Haussmann. — Club ! Les Lumières
de la ville — Méliès : Les Lumières
de la ville. — 8tudio 1 Le diable boi
teux
Studio Etoile 1 Nous voulons un enfant
(v. o.)
Scala : Ma Pomme
Studio Faubourg-Montmartre 1 Les Cosa
ques du Kouban
Studio Parmentier : Revue juive 50 (v.o.)
Studio Universel : Le 3” homme (v. f.)
Studio Ursulines : Dimanche d’août (v.o )
Studio 28 : Un Homme dans la maison
(v. o.)
Triomphe : Pilote du diable (v. o.)
Vivienne : Ma Pomme
Vox Pigalle : Dimanche d’août (v. f.)
THEATRES
Au jour/ 1
RELACHl
Daunou, Edoua r(f
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PROGRAMMÉ 1
Comédis-FrançaiMj
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Opéra, 22 h.
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Bouffus-Parisiens. 21 h. ; Nina
Charles-de-Roehefort, 21 h. : La Chapelle
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Com.-Champs-Elysées, 21 h. : Clérambard
Comédie-Wagram, 21 h. : Le don d’Adèle
Daunou, 21 h. : proch. Ami-Ami
Edouard-VII, 21 h. ; proch. Fric-Frac
Gaité-Montparnasse, 21 h. : Maître après
Dieu
21 h.
Bobino, 21 h. ■ *. gV
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Mogador, 20 h.
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Cirque d’Hiv #r >
éléphants
Médrano, 31 *•
Sanoui
Hirta.
après les premiers matches de sélection
(Suite de la première page)
nous avons eu Bernard (à moins
qu’il ne revienne seconde ligne)
Il reste aussi Bienès à revoir.
O. D. — Mais il y a un pilier qui
a montré à Dax qu’il valait lui
aussi la sélection suprême : c’est
Bichendaritz. C’est un roc en mê
lée, et dans le jeu ouvert, il est
toujours en action. J’ai vu quel
que chose de peu banal : sur ra
pide sortie de mêlée en faveur de
l’equipe des Espoirs, le premier
centre est plaqué... Par qui ? Par
Bichendaritz. C’est vous dire sa
promptitude, son ressort et son
élan.
le pays landais, je puis dire que
Pascalin' est réputé pour n’attein
dre sa forme qu’à la fin de dé
cembre. L’an dernier, dans tous
les matches internationaux, Pas
calin était toujours cité dans les
quatre meilleurs avants français.
M. de L. — Il sera sans doute le Nous avons donc de
bienvenu ; aux talonneurs, les
deux de Lyon se 6ont distingués :
Pascalin et Coudray.
G. D. — Pour avoir beaucoup en
tendu, lors de mon séjour dans
LES JEUNES PALOIS N’ONT PAS
"LA TÊTE ENFLÉE"
mais un cœur “gros comme ça”!
(De notre correspondant particulier HEGOBURU)
PAU, — C’est avec infiniment de plaisir que les sportifs palois ont
appris la très belle tenue de leurs jeunes joueurs sélectionnés. Aristouy,
lui, est déjà une valeur confirmée. La presse entière a louangé en bloc
le trio d’attaque palois. Celui-ci, qu un dirigeant, M. Bochet, accompa
gnait, est arrivé à Pau après un très long voyage, véritablement fatigué
par le déplacement Pau-Lyon et retour. « Heureusement la paire Gime-
nez-Carrére s’entend aussi bien à la belote et le temps a paru moins
long », explique Hatchondo.
quoi former les deux premières
lignes avec Bichendaritz, Pasca
lin, Bernard. Mias, Fourès, sans
parler de Bienès, qui est à voir,
et d’Aristouy. Quant à la troi
sième ligne, incertitude complète:
Il y a bien Bourdeu, terriblement
vite Chastanet, très actif,, mais
il faut revoir la triplette Prat.
Basquet, Matheu.
G. D. — Et il serait bon d’adjoindre
à ce lot le joueur que j’ai vu à
Dax : Régis, de Carmaux. Peut-
être les sélectionneurs lui repro
cheront-ils sa tendance à se met
tre un peu à l’affût, mais quel
déboulé... »
Reste à attendre le match de séleo-
tion du 17 décembre, à Tarbes, pour
savoir si ce choix sera celui des sé
lectionneurs.
TRES SERIEUX CANDIDAT A L’EQUIPE DE FRANCE
Lucien Mias est un avant
du type Robert Soro !
Le futur instituteur n'a qu'une terreur : le poids !
(D’un de nos envoyés spéciaux Loys Van LEE)
LYON. — Dimanche, au cours du match de sélection de Lyon, les
avants rouges — l’équipe B — bousculèrent souvent leurs rivaux séna
teurs ! Jean Coudray, le talonneur, et ce à la stupéfaction générale, prit
l’avantage sur son rival Pascalin, principalement au cours de la première
mi-temps.
Quant au tandem Aristouy-B onnus, il fut étouffé par Mias et Fourès.
C’est grâce à la pression des avants rouges que le triangle d’attaque palois
(Gimenez-Hatchondo-Carrère) donna
un récital de ses futures possibilités.
Jusqu’à la fin du match, Mias con
duisit des dribblings, colla à la balle
avec une farouche énergie et un dy
namisme qui impressionna les spec
tateurs du stade des Iris.
Mias, futur Soro ?
« Lucien, comme le dit d’une façon
si imagée Jules Gadenat, c’est un drôle
de poulet / ». En effet, le « poulet •
pèse 99 kilos et mesure 1 m. 86. Lors
que l’on a vingt ans et deux mois, c’eut
Tous regrettent de n’avoir pu se
livrer davantage à cause du mauvais
temps. Carrère, lui, est vraiment
heureux ; dynamique comme il l’est,
il se minait comme remplaçant tou
te une mi-temps sur la touche.
« J’ai été content de jouer. Je
n’aurais pas voulu faire tant de ki
lomètres pour rien. Et puis, à tous
les trois, on a réussi à marquer l’es
sai vainqueur. »
Avant la nouvelle confrontation
de Tarbes et la sélection qu’ils es
pèrent avoir méritée, la Section Pa
loise doit jouer deux matches de
Championnat contre Angoulême di
manche prochain, et le dimanche
suivant contre La Rochelle chez lui.
« C’est le départ vers le but ».
pense l’entraîneur Albert Cazenave
qui, avec son frère Théo, couve ses
« petits » qui d’ailleurs ne se lais-
Reprise
du Championnat
dimanche
FEDERALE
"Castres 0. o. US Cognas
•AS Béziers o. St- Montois
•US Marmande c. US Bergerae
•AS Bort o. SC Mazamet
•Raoing CF o. CA Périgueux
•AS Roanne s. St. Toulousain
•CS Vienne o. CO Creusot
•St. Bordelais c. FC Auch
C. *Sect. Paloise c. SC Angoulêmo
•FC Lourdes e. St. La Rochelle
•FC Oloron c. SC Albi
•UA Libourne c. St. Tarbais
D. *AS Montferrand c. RC Vichy
•Valence Sp. c. RC Toulon
•US Montélimar c. US Romans
•US Bourg c. Lyon OU
E. *Av. Bayonnais c. CA Bègles
•USA Perpignan o. CA Brive
•Paris UC c. AS Soustons
•US Tyrosse c. US Montauban
P. *U8A Limoges o. US Dax
•US Carmaux o. Biarritz OL
•St. Lavelanet o. CASG
•SU Agen c. RC Narbonne
EXCELLENCE A
•SC Millau c. SC Pamiers
•Céret c. CAO Esperaza
•AS Prades c. S. Port-Vendree
B. *RC Chalon c. US Annecy
•RC La Mure c. CS Lons-ie-Saun.
♦US Métro o. SC Tarare
O. ‘Boucau St. c. St. Hendaye
•Peyrehorade c. CA Lannemezan
•St. Bagnères o. US Roquefort
D. *SA Saint-Sever c. SC Graulhet
•SC Limoux c. SA Mauléon
•St-Jean-de-Luz o. St. Beaumont
E. *St. Nantes c. St. Poitiers
•US Tours o. UA Gujan-Mestra3
•RC Trignao c. ASPTT Parie
F. *US Guéret o. St. Aui’illao
•Poissy AC o. St. Dijon
•St- Français o SA Lyon
G. *SO Chambéry o. FC Grenoble
•SO Givors c. La Voulte Sp.
•RC Chàtsaurenard c. RC Montceau
H. *St. Niort o. SC Decazeville
•FC Moulins o St. Montluçon
•AS St-Junien c. SC Tulle
EXCELLENCE B
A. *US La Seyne c. CS Bourgoln
•CA Le Puy c. US Oyonnax
•AS Mâcon o Lancey Sp.
B- *FC Aix-les-Bains c. US Bellegarde
•CS Annohay c. RC Chagny
•St-Marcellin Sp. c. CS Nuiton
C. *US Nevers c. ASP Police
•SA Vierzon c. SA Verdun
•SCUF c. Saint-Denis US
D. *IS Montluçon c. SC Saint-Nazaire
•T. Elbeuf c. RSVGASM
•CA Chevreuse c. FC Yonnals
B. *US Souillac c. US Fumel
•SC Rieumes c. ASPTT Pau
*S. Cahors c< SA Condom
F. *Larroque-d’Olmes c. RC Cuzy
•JS Elne o. Saint-Girons SC
•US Foix c. SO Villelongue
G. *RC Mussidan c. UA Mimizan
•SA Parthenay c. RAC St-J.-d’Ang.
•US Orthez c. AS St-Médard
H. *T0EC c. Gabardan AS
•US Eluzate o. UAR Puyoô
•A. Aturin o. US Casteljaloux
sent pas gonfler la tête. Des « pe
tits » au demeurant solides qui, dé
tail curieux, tout comme Aristouy
d’ailleurs, sont d’excellents joueurs
de pelote basque (ce qui explique
bien des choses pour leur adresse,
même avec un ballon glissant).
La Section Paloise est flatté^ de
ses succès auprès des sélectionneurs.
C’est rare. Elle a en ce moment,
comme remplaçant, Boyrie qui brilla
contre les Wallabies avec la France
B, et qui est toujours un des meil
leurs centres français et pourrait
louer dans n’importe quel club tant
sa forme actuelle est excellente.
Mais cette abondance de biens
n’existe, hélas ! pas. en troisième
ligne, déplore-t-on ici. Mais pour
quoi les sélectionneurs paraissent-ils
ne p.us penser à Lucien Martin au
talonnage ? On s’en étonne à Pau.
Le Stade Toulousain à la recherche
du joueur capable de remplacer
Bergougnan
Soulié e! 1 Andrieux n'ayant 1 pas convaincu
Brouat sera-f-il le troisième homme ?
(De notre correspondant particulier R. SAUTET)
TOULOUSE. — Rien ne va plus dans les lighes arriéres du Stade
Toulousain. Les blessures de Crayssac et Blanc ont fait des trous pro
fonds. Et, pour ne rien arranger, André Brouat ne réussit pas à trouver
la forme qui en avait fait, les saisons passées, un des meilleurs atta
quants français.
« Ça ne va pas du tout, nous avait-il confessé avant le match de
Coupe contre Cahors. Me voici terriblement enrhumé. Et comme je n’ai
pu reprendre mon poids depuis cette satanée jaunisse qui me cloua au
lit à la fin de la dernière saison, je
ne me sens plus aucun ressort.
Et, de fait, le fameux * toréador
APRES AVOIR « ACCROCHÉ » LE RACING
EN COUPE DE FRANCE
EN MELEE
% CASG e. Dax s* jouera le 11 mars
Jean-Bouin tandis que le match aller
aura lieu le 24 décembre. A ce jour, Ra-
cing et PUC recevront Auch et Brive.
% Voici des nouvelles des clubs pari
tiens : le PUC devra remplacer Becane
Donnet, Dajas, Cazeaux et Lesbats. Au
Racing, Thiery ne pourra tenir sa place
(Moncla suppléant), on espère par contre
que Porthault et Desclaux seront réta
blis. Au CASG, Soyer est indisponible
mais rentrée d’Abadie.
LA C. P. D. E. ESPÈRE RETROUVER
son lustre passé
Le 2* tour de la Coupe de France,
pour ne pas faillir à la tradition, a
vu la chute de quelques « gros
bras » parmi lesquels nous rele
vons : Tyrosse, Albi, Bort, défaits
par des formations modestes, mais à
l’ambition énorme. D’autres Fédé
raux, plus favorisés, se qualifièrent
d’extrême justesse, souventes fois
grâce à... la chance.
Parmi ces derniers, nous devons
citer le Racing Club de France, qui
ne dut son salüt qu’à l’ultime mi
nute après avoir été un tantinet
bousculé par la CPDE.
Les poulains de M. Talis ne
créèrent pas la « surprise du jour »,
mais ils se retirent du débat, le
front très haut, avec les honneurs,
pouvons-nous ajouter, face à un ad
versaire diminué, il est vrai, par
l’absence de plusieurs joueurs sé
lectionnés. Qu’importe, les Racing-
men eurent chaud !
Une école de... rugby !
Mais sans plus tarder, nous allons
vous faire pénétrer dans l’antre de
la CPDE. Ce club, qui dispute le
Championnat de l’Ile-de-France —
où il est en tête actuellement —
possède un passé digne d’éloges. Il
fut même classe, dans les saisons qui
précédèrent 1940, en Division d’Ex-
cellence ; c'est l’époque faste où il
fit mordre la poussière à bon nom
bre de ténors. Mais 'avec la guerre,
et son lourd fardeau de misères,
cette société dut interrompre son
activité. A la Libération, quelques
volontés, à la tête desquelles nous
retrouvons M. Lalis, l’actuel prési
dent, se mirent en quête de redon
ner au coquet stade de Rueii un
peu de son activité d’antan.
« Les débuts furent très difficiles,
nous assure celui qui veille comme
une mère poule aux destinées du
club. Nous dûmes faire nos classes
et prendre ce second départ en 2 e
série. Peu à peu. nous gravissons les'
échelons qui doivent nous conduire
vers l’Excellence B. Nous mettons à
profit cette période de réadaptation
pour renouveler nos cadres, car, à
la place des anciens qui avaient prê
té leur concours pour la « reprise »,
nous mettons des jeunes à la vo
lonté bien définie.
— Comment s’effectue votre recru
tement ? questionnons-nous.
— Nos jeunes sont exclusivement
choisis dans notre corporation, ré
pond notre interlocuteur, lui-même
maintes fois sélectionné. Nous pos
sédons à Gurcy-le-Châtel (Seine-et-
Marne), une école des cadres de
l’Electricité de France où. sous la
bienveillante attention de M. Lam
bert, le sport — et particulièrement
le rugby — est à l’honneur parmi
ces jeunes gens venus de tous les
coins de France. Ainsi, la relève est-
elle assurée par ceg joueurs, leur
stage terminé. »
L’évolution des Boissière, Maga
na, du Catalan Lévy à la classe in
née ne fut-il pas capitaine des
juniors du XIII Catalan, champions
de France ? — relevait du meilleur
rugby. Sous la conduite du capitaine
Cousin, excellent 3 e ligne, ces ju
niors ne peuvent que progresser.
L’amateurisme (le plus) complet !
Après la partie, ,dans le club-house,
il nous fut possible de bavarder
avec cette joyeuse troupe de copains.
Nous avons constaté la bonne cama
raderie qui régnait parmi la soixan
taine de licenciés ; car trois équipes
défendent chaque dimanche les cou
leurs « bleu et rouge ».
L’ambiance ne faisait pas défaut,
je vous l’assure ! Et pourtant, lors
que vous saurez que les joueurs
achètent leurs équipements, paient
leurs déplacements et leurs repas,
peut-être serez-vous étonnés d’ap
prendre que cette équipe a obtenu
de si bons résultats cette saison.
Pour notre part, nous pensons que
c’est précisément ce lien bâti sur
une base on ne peut plus primaire,
qui est la source des succès des
« Electriciens ».
Voici les quinze équipiers qui, di
manche, se distinguèrent : Caplan-
ne ; Magana, Lévy, Baldin, Cour-
teaux ; (o) Mora, (m) Cortet ; Cou
sin (cap.), Murasiol, Bidegambery ;
Manchon. Boissière; Rabel, Barrier
(tel.), Viéville.
René DURAND.
fit, pe, après, une de ses plus mauvai
ses exhibitions de sa carrière contre
une équipe de Cahors pourtant pas
terriblement armée.
Chacune de ses interventions au
pied se terminait par une mala
dresse. Où donc était le ber attaquant
qu’on préférait à Jean Dauger lui-
même ?
Et cette méforme met d’autant plus
dâns l’embarras les dirigeants tou
lousains qu’ils avaient un moment
pensé de placer Brouat à la mêlée où
l’absence de Bergougnan est des plus
préjudiciables.
« Cela m’aurait évidemment beau
coup plu, nous confia l’intéressé.
N’ai-je pas joué quatre saisons à ce
poste ? Il fallut même qu’un acci
dent advienne au demi ^.e mêlée de
Villeneuve XIII de l’époque pour que
je sois incorporé dans la ligne de
trois-quarts. Depuis, j’y suis resté,
mais je ne serais pas fâché de re
trouver la place de mes débuts. »
Mais cette idée n’a pas été aban
donnée par M. Camica8 qui a soin,
avec Fourès, de former l’équipe.
* Bergougnan, dont nous attendons
tous le retour, serait évidemment
seul, nous déclara l’international, à
pouvoir nous sortir d’embarras. Mais
se décidera-t-il ? Aussi, n’est-il pas
impossible que nous confiions à Brouat
ce poste clef. Il nous faut évidem
ment là un homme dont l’antorité
se communique à ses avants en mê
me temps qu’à ses trois-quarts. Nous
avons essayé Soulié, puis Andrieux.
Peut-être serons-nous obligés de faire
confiance à Montaugé, dont mon ami
Clément, Dupont fait, à Joinville,
l’éducation à ce poste délicat. Mais,
évidemment, quand Brouat aura re
trouvé une meilleure condition phy
sique — ce qui ne saurait tarder —
il serait l’homme rêvé. »
Voilà donc le Stade dans l’embar
ras Ah ! si Bergougnan revenait sur
sa décision, il aplanirait bien des dif
ficultés.
COMMENT SE SONT COMPORTÉS
LES PARISIENS EN COUPE
P.U.C., RACING et C.A.S.G.
n'ont pas eu la partie facile contre
Chartres, C.P.D.E. et Galeries Lafayette !
Les clubs du bassin parisien ont été soumis à rude épreuve lors du
deuxième tour de la Coupe de France, et si finalement les favoris l’ont
emporté, ce fut souvent avec grand peine, et cette difficulté est déjà
une surprise.
L’ASPTT est la seule exception puisque les postiers éliminèrent le
CO Savigny (25-3). Par contre, le Racing eut un mal inouï pour défaire
la CPDE (3-0). Il s’en est même fallu de peu que le finaliste du Cham
pionnat ne disparaisse prématuré-
— A Nottingham, les Nottingham
Panthers ont battu la Suisse par 8 à 1
(0-0. 2-0 6-11
ment.
Le PUC fut lui aussi accroché par
le SC Chartres (11-6), les Chartrains
montrent ainsi que leur redressement
en Championnat de Promotion n’est
pas un accident.
Le, troisième « fédéral » de la ca
pitale, le CASG n’a pas eu non plus
la partie facile contre la courageuse
équipe des Galeries Lafayette qui ne
ferma jamais le jeu malgré le dan
ger des 3/4 du CASG et ne s’inclina
que par 11 à 3.
Poissy domina le Lille UC . (12-0)
sans pour cela faire cavalier seul
comme on le pensait.
Comme le dimanche précédent en
Championnat, la rencontre Saint-
Denis-AS Police fut extrêmement
serrée, mais une fois encore le capi
taine dyonisien Durand conduisit son
équipe au succès, remportant une
difficile victoire (3-0). Assurément,
les rencontres Saint-Denis-AS Police
sont d’un rare équilibre.
Le CSPSE défendit âprement sa
chance contre PUS Tours d'Excellen
ce A (6-0), tandis que le RC Com-
Vous voilà rase de près, net,
frais et vous n’avez rien senti. ^
p Comme c’est agréable de se raser
avec une lame Mince ! Quelle différence avec
ces lames épaisses qui tirent sur le poil ! Voyez pourquoi i |
Une lame ordinaire épaisse entaille le poil |
à moitié, puis le couche et tire dessus avant ^
de le couper complètement.
La lame Mince au contraire coupe net, d’un ^
seul élan, le poil à la base, parce que son ^
tranchant est sans épaisseur.
Acier sélectionné ★ Tranchant sans morfil ★ Contrôle à l'unité ^
ADûpnz i/ume
n
?
U
"L'WJ ~W"M~TEî
AUX CHAMPIONNATS
DU MONDE
Les Turcs veulent
prendre leur revanche
(De notre oorresp. partie. L. FUMELLI)
ISTANBUL — Conformément à la dé
cision Çu Conseil de la F.I.L., les re
vanches des Championnats du monde 1950
à Stockholm auront lieu les 2 et 3 dé
cembre au Palais des Sports d’Istanbul
Les lutteurs turcs, qui ont obtenu la
deuxième p ace aux Championnats de
Stockholm, tiennent effectivement à pren
dre une réelle revanche et à écarter tout
autre prétendant à des titres qui de
vraient être propriété exclusive des plus
forts du monde Ne dit-on pas : « fort
comme un Turc » ?
Ce n’est pas tout comme grandes ren
contres de lutte en Turquie, car on at
tend pour la fin du mois de décembre
l'arrivée d une équipe de lutteurs amérl
cains. On sait que les Américains n’ont
nas pris part aux Championnats du monde
de Stockholm On ne saurait donc se pro
noncer sur la valeur exacte des lutteurs
amateurs des U.S.A. Mais il ne semble pas
que les universitaires américains qui ex
cellent dans les autres sports, soient en
retard dans celui-ci.
LES CHAMPIONNATS DE PARIS
A Vlncennes, les Championnats de Pa
ris de lutte libre avaient réuni 25 concur
renst de 2« série. . Ils donnèrent les résul
tats suivants : 52 kg. : N Gu yen tCOBi
57 kg. : Gesland (Crédit Lyon.l: 62 kg :
Lamirault (VAC); 67 kg. : Rondaux
(CLV); 73 kg. : Ferouelle (Vers ), 79 Kg
Sauvage (US Métro); mt-lourds : Ernest
(NyPl.); lourds: Caboche (Vincennesi
Par club : 1 VAC. 9 pts; 2 USMT. 6 pts
3. CLV. 6 pts. etc..
PETITES NOUVELLES
— Les Championnats de libre G'* sé
rie) débuteront samedi à Vincennes pour
les 52, 57 et 62 kg.
—, Dimanche, à Vincennes, finales des
2* série gréco et les qualifiés de la
ibre de la veille
TOUS LES JOURS
LISEZ « L'EQUIPE
piègne, confirmant sa place de lea
der de Division d’Honneur, élimina
le CS Homécourt après un match
très serré (3-0).
Henri GARCIA.
impressionnant, ne trouvez-vous pas ?
Lucien est Catalan de pèrj et de
mère, mais « les gensses de la rrrace »
— du moins jusqu’à présent — le re
niaient quelque peu sous le prétexte
fallacieux qu’il est né au beau pays
d’Arles. I
Mias est élève de quatrième année a
Lucien MIAS
LE CELTIC DE PARIS
A CONQUIS AVIGNON
(De notre corresp. part Luc NITARD)
AVIGNON. — Les amateurs provençaux
de jeu à XIII ont toujours été favora
bles à l’idée de voir Paris doté d une
grande équipe. La magnifique production
réussie par le Oeltic à Avignon ne fera
que confirmer ce désir. Sous le signe de
'.'amitié, les joueurs de M. Tardy ont
fourni une exhibition extrêmement plai
sante. Cette équipe, complète en tous
points, possède une ligne de trois-quarts
que lui envieraient bien des formations
de Nationale. Elle tira, en première mi-
temps, un véritable feu d’artifice de jeu
ouvert, recueillant de chaleureux applau
dissements et atteignant le repos avec
une marge de 12 points. Par la suite,
les Avignonnajs se ressaisirent et, sous
les exhortations de leur capitaine Fran
çois Rivière, qui pour la circonstance
avait repris de l’activité, remontèrent à
la marque.
Le score de 15-11 en faveur des Pari
siens a permis de constater la reelle
valeur du Celtic et la meilleure des ap
probations a été donnée par Rivière à son
vieil ami Roland Moreau :
« Vous serez de méchants clients en
Coupe ! » lui a-t-il déclaré.
Conseil (encore !)
aux sélectionneurs :
Reconstituer le tandem
Calaup-Torrens •
en équipe de France !
(De notre
corresp. part. COUSTEAUX)
TOULOUSE. — La blessure du Catalan
Paul Déjean venant après l’exhibition de
Duffort à Leeds pose à nouveau avec
acuité le problème des lignes arrières
dans l’équipe de France de rugby à XIII
Le match Toulouse-Albi nous a, diman
che, présenté trois hommes que les plus
difficiles souhaiteraient voir réunis à
Bordeaux : Galaup, Cantoni vedette du
récent Angleterre-France, et Torrens.
l’école normale de Carcassonne. L’an
prochain, il sera instituteur dan
l'Aude et saura se faire respecter uni
quement en faisant la grosse voix
Lucien n’a qu’une terreur dans la vie
engraisser ! Actuellement, il est sans
tissus adipeux, mais il a peur de pren
dre du poids.
« Si je reste deux jours sans faire
de footing, je prends facilement trou
kilos, nous confiait-il hier. Je suis donc
dans le genre de Soro I »
Souhaitons-lui d’avoir la même car
rière internationale que le bon géant
de Romans l
Mias marathonien I
Mias est un des rares rugbymen pra
tiquant le footing. Il doit cette hab
tude au professeur d'Education phy
sique de l’école normale, M. Jean
qui l’entraîne quotidiennement et lui
fait 'faire chaque jour une demi-heure
de culture physique. Gaston Meyei
pensera que Mias devrait lancer le
poids l Hélas I Lucien trouve
concours fastidieux, mais il nous
avouait n’avoir qu’un désir dans la
vie : être marathonien. Il connaît ses
classiques sportifs et n'ignore pas que
l’on n’a jamais vu — jusqu'à présent
— un cent kilos qui mît en vedette
pour l’éternité l’hoplite Phidipidès
D’ailleurs, madame Mias, « Minou
pour son mari, ne le lui permettrait
pas.
« Tu resteras à la maison pour amu
ser le petit », lui assure « Minou
Car Lucien est un futur père de fa
mille !
Malgré un léger astigmatisme qui lui
fait porter des lunettes dans le civil
Mias débuta à quatorze arts à l’ASCN
comme deuxième ligne ou troisième li
gne centre. Ensuite, il passg aux Che
minois de Carcassonne. Il fut, sous les
couleurs de « la cité », international
junior en 191,7 contre le Pays de Gai
les, à Cardiff. Il effectua, l'an der
nier, la tournée en Espagne. Cç garçon
adore les voyages, et il déclara for
fait à l’occasion du déplacement, en
Tunisie afin de disputer un match
avec son club. Jusqu'à présent, ce
voyage manqué est le regret de sa vie
Il a signé, cette année, à Mazamet
et c'est, vous le croirez sans peine, le
joyau de la ligne d’avants mazamé
taine !
Pomathios
capitaine-entraîneur
du L.O.U.
LYON. — Junquas a subi ce matin
l’opération du ménisque gauche. Tout
s’est bien passé, mais l’entraineur
lyonnais devra observer un long
temps de repos. En son absence, il a
confié le caoitanat de l’équipe et la
direction de l’entrainement à Poma
thios
Dimanche la tâche sera rude de
vant Bourg ; et comme un malheur
n’arrlve jamais seul, le « 3» ligne »
Walter, blessé dans un accident de
voiture, sera lui aussi Indisponible.
Comme, d’autre part, le talonneur
Fabre ne sera qualifié que lundi, le
L.O.U. devra s’employer pour vaincre.
— Rivière.
APRES BIEN DES DÉBOIRES
LE RED STAR- V. G. A. S. M.
amorce un beau redressement !
La saison dernière n’apporta pas au Red Star les satisfactions atten
dues. Classé le dernier de sa poule en Championnat de France Excellence A
il fut contraint de disputer les matches de barrage en ce début de saison
La « sorcière » s’acharna à nouveau sur les hommes du président Moulinier
et les voici relégués en Excellence B.
Ce nouveau coup du sort semble avoir donné un autre moral à tous
les joueurs, qui ont fermement pro
mis de sortir le vieux club audonien
de l’ornière dans laquelle il s’est en
gagé.
Après avoir triomphé des Ilets de
Montluçon (chez l’adversaire, s’il
vous plaît !); les poulains de Jo-
chem, pour leur deuxième rencon
tre, ont réussi un match nul sur le
terrain de Chevreuse, face à la re
doutable équipe locale qui n’a pas
pour principe de se laisser manœu
vrer devant son public.
La raison de ce redressement nous
est donnée par M. Moulinier ;
« Nous possédons les éléments sus
ceptibles de nous redonner la place
que nous occupions naguère. Notre
quinze, qui s’est enrichi d’éléments
jeunes, au courage inaltérable, pos
sède beaucoup d’allant. Aussi fai
sons-nous entièrement confiance à
Jochem et ses camarades dans l’ave
nir ; pour peu que la malchance
veuille (enfin) nous abandonner. »
Cette confiance, nous en saisis
sions exactement la portée, en
voyant les hommes au maillot
« vert » faire face avec tout leur
cœur au fougueux pack de Che
vreuse
Du talonneur Acédo, un Basque
qui, aussi paradoxal que cela puisse
P araître, n’avait jamais joué au rug-
y lorsqu’il y a trois ans il débar
qua à Paris, à l’arrière Thourisseau,
il n’y avait pas de « traînards ».
Avec le succès
le moral est revenu 1
Sous la douche, ces quinze bons
copains ne pensaient qu’au bon
tour que le Red Star venait de
jouer à ses détracteurs, qui s’em
pressaient, un peu tôt. de l’enter
rer. Jochem explosait :
« Le Red Star n’est pas mort, il
s’en faut. Nous voici sur le bon che
min et nous espérons bien ne pas
nous arrêter là, ayant disputé deûx
très durs matches à l’extérieur. » —
R. D.
-Kôtëi de
Le tirage de la tombola des voyages
— Le tirage aura lieu publiquement le sa
medi 2 décembre, à 19 h., a la C.R F
6, rue de Berri On peut encore trouver
quelques billets disponibles dans tous les
guichets dé vente et guérites spécialisées
de loterie.
Les Basco-Parisiens
aiment évidemment
le jeu... à la bayonnaise !
Les Basco-Parisiens sont, comme leur
nom l’indique, composés d’éléments nés
au Pays Basque (ou en Béarn) et fixés
à Paris. Revêtus d’un maillot azur qui
rappelle le « Céou de Paou ». ce groupe
de leunes artistes miniature nous fit
assister contre le CSPSE à un feu d’ar
tifice digne des grands attaquants bas
ques.
Us durent endiguer le flot des attaques
de leurs adversaires durant quarante
minutes, consentir même un essai au
cours du début de la 2 e mi-temps, mais
il en fallait plus que cela pour les abat
tre
Loin de s’avouer vaincus, ils construi
sirent des contre-attaques d’un style très
pur d’une adresse et d’une souplesse
étonnantes.
L’arrière Hégoburu (de Mauléon) se fit
applaudir par son adresse et ses longs
dégagements; Labarrène et Laffont for
ment une aile redoutable et l’intercep
tion du premier qui lança le second ame
na Laffont dans les buts après’ un splen
dide sprint des cinquante mètres. Char
tier au centre, fut l’organisateur de la
défense.
La paire desdemis, minuscule, s’en tira
tout à son honneur et Boisan sut trans
mettre à son ouvreur Ugonte dans les
meilleures conditions; ce dernier fut un
véritable jongleur, prit toutes les balles
et servit ses arrières en toutes occasions
Le pack d’avants, malheureusement
trop léger, ne baissa Jamais les bras
et sut compenser cette infériorité par
une souplesse et une mobilité qui fit
l’admiration des spectateurs. Il sérail
injuste de ne pas associer les 8 hommes
dans les éloges, mais une mention va
peut-être à leur capitaine Dubanet qui
conduisit ses troupes... en souplesse et
dut se contenter d’un nul 3-3,
Leur président M. Cazeaux et leur dé
voué dirigeant M. Dupouy nous disaient
leurs modestes ambitions ;
« Nous souhaitons rester en Division
d’Honneur, être agréables à nos Joueurs
qui nous le rendent bien et les voir jouer
le vrai jeu comme les Basques savent le
faire, c’est pour nous une satisfaction ».
Les Basques d’Orthez, de Mauléon, de
Pontacq sont bien des Basco-Parisiens. —
Marcel Fitte.
%- Castro a con/irmé a Firminy qu’il
était devenu beaucoup plus régulier au
centre, mais il manque toujours dans les
lignes arrières du XV roannais un joueur
de tête et d'autorité. « Ah I si Jean
Dauger était à côté de moi » s’exclame
souvent Robert Griffon.
On peut s'étonner de nous voir dési
gner à l’attention des sélectionneurs un
joueur venu aux XIII de Division natio
nale depuis octobre seulement. Torrens
n’est pas un jeune, il lut formé au Jeu
à XIII dans la petite ville de Tonneins
(Lot-et-Garonne). Actuellement, il a sa
place dans une équipe nationale soit à
l’ouverture, soit au centre. Dans son
club, il tient l’un ou l’autre poste avec
un égal brio, permutant, au gré-des cir
constances, avec le jeune Galaup.
Ce dernier, avant sa bjessure, se mon
tra très à l’aise au centre de la ligne
de 3/4, et Torrens réussit devant Caillou
et les frères Cantoni, pourtant réputés
pour leur sûreté défensive, des percées
de grande classe.
Joueur très sûr, actuellement en forme,
ei capable d’actions offen§i/es brillantes,
l’ex-equipier du Castres Olympique peut
être l’oiseau rare qu’attend l’equipe de
France en l’absence de Paul D-;jt an
DIMANCHE PROCHAIN
Championnat de France
•Toulon o. Marseille
•Villeneuve o. Cavaillon
•Carcassonne c. Lyon
•Libourne c. Lézignan
•Avignon e. Carpentras
Exempts; Albi et XIII Catalan
EN PRENANT DU MÉTIER, LES QÜ
de Livry-Gargan inquiéteront les Jg
Avec des chances diverses, TES Gargan-Livry obtient
— ,-Livry obtient
régional que sur le plan national, des résultats qui ■ ■
Ce club banlieusard, qui dispose de 5 équipes mas '
nines, possède malgré tout un « cinq » premier qm Cl)1
de métier. C’est pourquoi sans doute
m P
ses performances sont parfois contra
dictoires
Mais ce * défaut de cuirasse » dis
paraîtra. c’est évident, au fil des ren
contres de la présente saison. Sur
tout si les éléments vedettes compren
nent qu’il leur faut encore travailler
pour trouver, enfin, la juste consé
cration.
Duboc, dans ce c cinq », fait figure
de vétéran, et pourtant il reste pour
longtemps encore ‘la « cheville ou
vrière » de l’équipe car, à 26 ans, sa
carrière n’est pas encore terminée.
En défense, il peut compter sur Vil-
lin — actuellement militaire — dont
la sûreté et l’adresse confirment son
désir de bien faire.
Si Duboc monte au centre — où il
peut également se montrer utile —
Pierre Chevrier peut le remplacer au
poste d’arrière. C’est là un espoir —
doublé d’un véritable athlète — qui
peut s’imposer rapidement. Qu’il
abandonne son dilettantisme habituel,
alors l’avenir lui appartiendra.
En attaque, J. Chevrier est égale
ment doué. Adroit, rapide, il gagne
rait — lui — à discipliner son carac
tère impulsif. Devallée, au centre, de
vrait confirmer bientôt les espoirs
que i on plaçait en lui alors qu’il
était junior. Enfin, l’infatigable Jes
sel trouvera l’occasion d’affirmer son
adresse lorsque, ayant admis ses
torts il se pliera sans retenue à la
discipline indispensable de l’équipe.
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Battus à Birmingham
les Français tentent
de se « racheter »
à Wembley
C’est Roothooft qui retient une fois
encore l’attention à l’issue du match
France-Angleterre, puisqu’il causa la sur
prise de battre Leach par 2 à 1. Les au
tres résultats d’ailleurs assez contra
dictoires, dénotèrent des performances
moyennes de Haguenauer, Amouretti et
même Roothooft.
On ne saurait donc prévoir qu’une
nette supériorité britanniqué au cours
des Internationaux d’Angleterre, qui com
mencent aujourd’hui à Wembley.
Roothooft (Fr ) b. Leach (G.-B.) 2-1 ;
Simons (G.-B.) b. Roothooft (Fr.). Ha-
uenauer (Fr.) et Amouretti (Fr.) 2-0 ;
Vanner (G.-B.) b. Roothooft 2-0 ; Amou
retti b. Vanner 2-1 ; Haguenauer b. Van
ner 2-4 ; Haguenauer b. Vanner 2-0 ;
Leach b. Haguenauer 2-0 et Amouretti 2-1.
Auparavant, aux Internationaux de Li-
verpool, Leach avait battu Simons par 2
à 1, après qu’Amouretti, puis Roothooft
et Haguenauer se furent inclinés devant
eux, respectivement en quart et demi-
finale.
BALLON MORI
% Pagnetti effectuera sa rentrée dans
l’équipe cavaillonnaise qui se rend di
manche à Villeneuve.
% Les réserves cavaillonnaises ont tenu
en échec Apt (3-3) en un match comp
tant pour le Championnat de France
des Fédéraux.
Les minimes de Cavaillon XIII ont
battu ceux de Marseille XIII (13-0).
% Régis, talonneur de Capestang. actuel
lement militaire à Miramas, remplacera
Frassi dans le XIII cavaillonnais qui
ira à Villeneuve.
% L’excellent avant du XIII Catalan
René Gazé, vient d’être l’heureux père
d’un garçon prénommé René. Nos féli
citations...
Autrichiennes et...
Français dos à dos !
Comme nous le prévoyions, ce furent
les joueuses qui équilibrèrent le double
match France-Autriche féminin et juniors,
à la Pergola. Après que le jeune Juge
eut assuré la victoire française par 3
à 2, M. Prizi donnait à son tour l’avan
tage à l’Autriche avec le même score.
Juniors : Juge (Fr.) b. Pilz (Autr.) et
Schindler (Autr ) 2-1 : Pilz b. Salat (Fr.)
2-1 ; Salat o. Schindler 2-1 ; Pilz-Schind-
ler b Juge-Salat 2-0.
Féminin : M. Pritzi (Autr.) b H. Beolet
(Fr.) et Girard (Fr.) 2-0 ; H. Beolet b.
Wertl (Autr ) 2-1 ; Girard b. Wertl 2-1 ;
Pritzi-Wertl b. Oirard-Delay (Fr.) 2-0.
déplace d’abord à p,„ ,
cipera à un tournoi ÎH
puis en Pologne où .Vf
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• L’US Colombus
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fond, régional; Andorre]
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Marrani, si., régional!
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Vous connaissez évidemment ces gigantesques dessins (
perdue dans une foule innombrable, la grosse dame à lorgno
minuscule mari des rafales de mitraillette tirées par une barf
en chapeau melon et en bretelles extra-souples.
Eh bien ! vous pourrez voir cette semaine tous ces pitt*
nages à l'écran.
Je n'ose pas dire que vous les verrez en chair et 1
voudrais tout de même signaler que tout en restant des ■
cesseront d'être des dessins.
C'est ainsi que Paul Démangé incarnera Anatole, l'époux
par son énorme moitié, Fifille, alias Max Dalban.
Gabriello sera Sparadra, la terreur du quartier, et Nij
Emma la vamp de petite vertu attachée à son service.
Dinan, Roger Desmares, Fernand Gilbert et de^Funes crt
tivement, un poivrot à faux col, un garçon de café â bésiclB
aussi moustachu que décoré, et un violoniste langoureux.
Tous ces personnages se retrouveront dans une amusonffj
ginée par Dubout et qui se terminera par une de ces terril'
dont le célèbre caricaturiste a le secret.
La mise en scène est de Marcel Giboud.
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« Baratin », l’opérette de Jean
Valmy et Axjré Hornez, musi
que d’Hetsri Betti.
CINEMAS
Le mari enfant : Un peu
chinois.
La scène se passe au pays du riz
(jaune) et des mandarins (citron).
Un e jeune femme trompe son
mari.
Or, en Chine, on ne badine pas
avec ces questions et un lynchage
en règle punit l’adultère.
Le fait que l’époux ait 12 ans ne
çhange rien à l’affaire.
Sur ce, le mari enfant se tue acci
dentellement. Les voisins commen
cent à Jaser sérieusement et pour
éviter le pire, nos deux amants se
suicident
Tel est, en gros, le thème de ce
film.
Traité de façon très convention
nelle et mimé plus que joué par des
acteurs restés fidèles au style du
cinéma muet. Il risque peu d’émou
voir les spectateurs occidentaux
Mais il présente un caractère do
cumentaire certain et à ce titre, il
Intéressera probablement les esprits
curieux.
André LAFARGUE.
% %
Pts ; 2. y
4 St-Si
1 6- Barc
9. Sânt
Les Anglais nous envoyent un film en technicolor et
intitulé « London follies », dont la vedette est le comique;
C’est l'histoire d'un acteur de province qui_ « monte >
anglaise et semble condamné à jouer les utilités jusqu'au
lui permet de devenir vedette.
Inutile de préciser que l'affaire se terminera par un mam
André La
10 nne
POUR FAIRE VOTRE CfetHoi
CINEMAS
SOYEZ AU COURANT
| Maurice Labro vient de donner le
premier tour de manivelle au studio
des Buttes-Chaumont, de Boniface Som-
nanbule, qui est la « suite » de L’hé
roïque Monsieur Boniface qu’il réalisa
au début de 1949... et dont le succès
a été immense.
Dans cette nouvelle aventure comi
que, nous retrouvons Fernandel « Boni-
face, Français moyen », mais cette
fois dans le rôle d’un détective atta
ché à un grand magasin qui, la nuit,
est somnambule... et cambrioleur /
Yves Deniaud, Andrex et Michel Ar-
dan redeviennent les gangsters. Gaby
Andreu, Mathilde Casadesus, Raoul
Marco et André Roanne sont les au
tres vedettes de cette production S.F.C.-
Sirius.
I L’école des femmes nues change de
rive. C’est le 20 décembre que cette
opérette d’Henri Betti, Serge Veber et
Jean Boyer quittera la scène du théâ
tre de l’Etoile pour s’installer à Bobino.
Le théâtre de l’Etoile deviendra, à par
tir du 22 décembre, le terrain d’action
de Bourvil, vedette de l’opérette nou
velle de J.-J. Vital, Pierre Ferrari et
André Hornez : M’sieur Nanard, mise
en musique par Bruno Coquatrix. Bour
vil aura pour partenaires : Tilia Tha-
mar, ,a capiteuse bombe atomique ar
gentine qui débute sur scène Pierre
Mingand, Geneviève Kervine, René
Bourbon, Charles Rigoulot, l’homme le
plus fort du monde, etc.
C’est le 5 décembre que Max Régnier
créera, au théâtre de la Porte-Saint
Martin, sa nouvelle _revue Drôle de
monde, sur des couplets de Raymond
Viney, avec une musique nouvelle de
Guy Lafarge.
Agriculteurs : Noblesse oblige (v. 0.)
Alhambra : Gang des tractions avant
Astor : Pilote du diable (v. f.)
Aubert : Meurtres
Avenue : Maria Chapdelaine (v. t.)
Balzac ! Ma Pomme
Biarritz j Autant en emporte !• vent
(v. o.)
Broadway ! L’Intrus (v. 0.)
California : Les Ecumeurs (v. o.)
Caméo : Gang des tractions avant
Ciné-Etoile : Faites vos Jeux
Cinémonde-Opéra : Trois télégrammes
Ciné-Opéra : Orphée
Cinex : Capitaine Blomet
Comœdia : Mystère à Shanghai
Colisée : Souvenirs perdus
Eldorado : Pilote du diable (v. t.)
Elysées-Cinéma : La rue de traverse (v.o.)
Ermitage : Si bémol et Fa dièze (v. o.)
Français : Maria Chapdelaine
Gaumont-Palace i Meurtres
Gaumont-Théâtre : Meurtres
Hclder : Ma Pomme
Impérial : Justice est faite
La Royale : Odette, agent S. 23 (v. o.)
Le Lynx : Pilote du diable (v. f.)
Le Paris ! Trois télégrammes
Le Raimu : Le Loup de la Sila (v. o ),
Les Images : Gang des tractions avant
La Pagode : Au grand balcon
Les Portiques : L’Indompté (v. o.)
Les Reflets : Alexandre Newsky (v. o.)
Le Régent : La soif des hommes
Le Ritz : La rue de traverse (v. o.)
Les Vedettes : Si bémol et Fa dièze (v.f.)
Lord Byron ! Madame porte la culdtte
(v. o.)
Madeleine : Dieu a besoin des hommes
Marbeuf : Whisky à gogo (v. o.)
Marignan : Méfiez-vous des blondes
Marivaux : Méfiez-vous des blondes
Max-Linder : Si bémol et Fa dièze (v.f.)
Midi-Minuit : Exodus
Moulin-Rouge ! Trois télégrammes
Monte-Carlo : Secret d’Etat (v. o.)
Napoléon : Le Fils du désert (v. o.)
Normandie : Bagdad
Olympia : Pilote du diable (v. f.)
Palace : Mystère à Shanghaï
Paramount : La rue de traverse (v. f.)
Radio-Ciné Opéra : Mystère à Shanghaï
Rex : Fusillé à l’aube
Royal-Haussmann. — Club ! Les Lumières
de la ville — Méliès : Les Lumières
de la ville. — 8tudio 1 Le diable boi
teux
Studio Etoile 1 Nous voulons un enfant
(v. o.)
Scala : Ma Pomme
Studio Faubourg-Montmartre 1 Les Cosa
ques du Kouban
Studio Parmentier : Revue juive 50 (v.o.)
Studio Universel : Le 3” homme (v. f.)
Studio Ursulines : Dimanche d’août (v.o )
Studio 28 : Un Homme dans la maison
(v. o.)
Triomphe : Pilote du diable (v. o.)
Vivienne : Ma Pomme
Vox Pigalle : Dimanche d’août (v. f.)
THEATRES
Au jour/ 1
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Bouffus-Parisiens. 21 h. ; Nina
Charles-de-Roehefort, 21 h. : La Chapelle
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Daunou, 21 h. : proch. Ami-Ami
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