Presse et revues
8 pages
Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1950-01-16
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 16 janvier 1950 16 janvier 1950
Description : 1950/01/16 (A5,N1175). 1950/01/16 (A5,N1175).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5100581v
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/05/2021
tSSEifardeur, seule, a permis au XV de France de résister à l’Ecosse (5-
LIRE NOTRE PAGE 8
consacrée au match
^OUSLESsp
i ET E
6 ei de fi
;
PETITES ANNONCES : TAITBOUT 73-40, 41, 42
SERVICE VENTE : PROVENCE 37-18
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Afrique
du Nord
10 FR.
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CONTRE LA CHUTE DES CHEVEUX
ET LES PELLICULES
NETTOIE LES CHEVEUX
FIXE LA COIFFURE
NE GRAISSE PAS
j i
:h
sur CAEN
de qualiti
4.S.F. forfait en Ci
. I.EMETTRE (direct^,
r eux) nous a déclaré
ONTPELLIER, TRANSFORME, X BATTU ANGEL
FAR QUATRE FOIS
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Mon équipe ne Jouera Da .
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ligerait à quitter Paris
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B les obligations profit
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René COTT
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•aire de football lÿ-js,
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e ! Belle occasion course annuelle du VS Ch. Ce sont le vainqueur, Hamza,
existence aux yeux il l'on voit ici précédant son coéquipier Cérou alors que sur la
ieürs... serelle qui conduit à la montée abrupte le Belge Theys est lâché.
is la côte, le St-Gillois rejoindra les deux Français, mais Hamza
Duchenne, qui s spffll se détachera. Il reste à ce moment près de 2 km. à courir.
mé deux fois VAS f ,
c’est M. Lemettre fdiffl
s’est exclamé : H - ■ - - ' T
Béziers ? Une formaJJf?
la belote ?
Fernand ALB)
) Toulouse, Bordeaux
Reims, Roubaix et Racing
TOUS VICTORIEUX, ONT PAVOISÉ
Nîmes - en échec au Mans ■
augmente pourtant encore
son avance sur le HavreetCannes
TANDIS QUE REIFF TRIOMPHAIT AISEMENT A ALGER
Kl ET P ETUI
Grumellon
hartres, Cérou conduit le bal
Qirumellon rpw i , /• j _
e sera nfise theys que bat finalement
Kir /• |
jamza en nn de course
Montpellier a réalisé l’exploit de la journée, première des
matches retour, en battant Lille, le leader du Championnat, par
4 buts à 3.
Victoire d’autant plus méritoire, si l’on s’en tient au résultat
sec du match, que la défense lilloise fut franchie et battue par
quatre fois. j jour faste et dans une ambiance les
Aucune équipe depuis la finale de portant littéralement, parvinrent à
la Coupe de France (où le Racing égaliser. Mieux même, sur coup
avait écrasé Lille par 5 à 2, menant I franc, à quelques secondes de la
un moment par 5 à 0) n'avait réalisé ftn, ils obtinrent le but vainqueur,
un tel score contre le leader. hes Lillois, une nouvelle fois, ont
Lille, en effet, en est à sa qua- trouvé devant eux une formation
trième défaite depuis l’ouverture de transformée, subitement devenue et-
la saison 1949-1950. Le Racing triom- ficace, qui a joué le « match de sa
pha par 3-1, Nice par 3-2, Reims vie ».
par 2-1, Montpellier par 4-3. C’est la rançon de la gloire que
Défaites lilloises de justesse, cer- les Lillois payent en ce moment. Ils
tes, mais ce qui impressionne cette connaîtront encore de pareilles am-
fois ce sont les quatre buts marqués biances.
par Montpellier, qui n’a pas été sou- Pendant que le leader trébuchait,
vent à pareille fête. ses poursuivants au classement ne
Lille avait bien commencé le se sont P as endormis,
match, ouvrant le score et menant Toulouse, Bordeaux, Reims, Rou-
à la marque par 3 buts à 1 vingt baix, le Racing ont eh effet gagné
minutes après la mi-temps. Mais par par des fortunes différentes.
la suite les Montpelliérains, dans un , ,
Toulouse a deux points
Toulouse, éliminé de la Coupe, va
se consacrer à une rude tâche ; tâ
tonner le leader, et qui sait ?... Con
tre Saint-Etienne, les Toulousains,
dominés territorialement dans l’en
semble, ont gagné par 2 buts à V.
ce qui est une bonne performance
Le stade de Toulouse est toujours
terrain mascotte et Lille y est at
tendu notamment. Mais en dehors
des Toulousains, d’autres adversai
res aiguisent leurs crocs.
René COTTEAUX.
(Lire la suite p. 4, rubrique Football)
DIVISION I (18'
journée)
•Montpell. (15)
b. LILLE
(1) 4
-3
0-5
*T0UL. (2) b.
St-Etienne
(7) 2
-0
0-3
GIROND. (3) b.
‘St.-R.S.
(15) 4
-0’
2-1
REIMS (3) b. Rennes <9)
. 3
-1
M
ROUBAIX (5)
>. Sète
(17) .
. 3
-1
3-3
RC Paris (6) b
•NICE
(7)
. 4
-1
1-2
Nancy ( 11 ) b. -MARSEILLE ( 9 ) 2
-1
4-0
SOCH, ( 11 ) et
Strasb.
(11)
. 0
-0
1-0
•METZ (18) et
Lens (14) .
. 1
•1
3-5
Classement
Pts J
G
N.
P.
P-
e.
1. LILLE (1)
. 28 18
14
0
4
55
25
2. Toulouse (2)
. 26 18
12
2
4
43
23
3. Bordeaux (3)
. 24 18
10
4
4
50
23
Reims (3)
. 24 18
10
4
4
36
21
5. Roubaix (5)
. 22 18
6
10
2
25
18
6. RC Paris (6) 20 18
8
4
6
38
25
7. St-Etienne (7) 17 18
6
5
7
33
33
Nancy (10)
. 17 18
7
3
8
33
33
Nice (7) ...
. 17 18
7
3
8
35
37
10. Sochaux (10)
. 16 18
6
4
8
32
33
Rennes (9)
. 16 18
5
6
7
35
39
Strasb. (10)
. 16 18
7
2
9
26
43
Marseille (9)
. 16 18
8
4
8
30
35
14. Lens (13)
. 15 18
6
3
9
28
39
Montpell. (15) 15 18
6
3
9
29 46
18. St.-R.S. (15)
. 13 18
S
3
10
26
39
17. Metz (18) ..
. 11 18
3
5
10
28
47
Sète (17) ..
. 11 18
4
3
11
24
45
CROSLAND BATTU ?
Le portier du Stade Français, A. Crosland, ne fut pas très heu
reux devant Bordeaux. Le voici tentant en vain d’anticiper une
attaque de Kargulcvics. Le dernier tirera au-dessus de la barre. De gauche à droite : Hon, Kargu,
Crosland, Mustapha, Bican.
grand favori du National
ant particulier
de Lille par 2-1 le 18
as joué devant le pu
tanche au stade munü_
tl tïmps a ^Sm 0 aiié V s V q? ïl jazon 6* finit à plus de 300 mètres du
erj>t se sont larocain et l’AS Montferrandaise s’installe
14 h. 30, stade Muni
IMS. — Entr. ; Roessler
oswskî 2 P "jônîu n e i t b 5 , ccp' ^Dun de nos envoyés spéciaux Gaston MEYER)
Bini 4 PctitfF
P. siniboidi 8 Meai«f“ AK 1RES. — Moins heureux que son chef de file, Reiff
lueh 7 Appel 9 Fifflüeur à Alger, le Belge Theys qui sera peut-être le succès*
£ _____son aîné, pris en sandwich entre les deux leaders de
ir< r -o Montferrandaise, Cérou et Hamza, a dû se contenter de
fi or 11 Cousin v .iivSAm.» ..i * r\, , - ,, ... . ..
Bouteiiier io Rabstei"* uv,emp . ** aCe a Chartres après une course d’ailleurs interes-
Hauvespre 6 Mi«'* et Q»i ne pouvait à aucun moment échapper à l’un des
siiin 3 Guérin 5 cop. ^hommes que nous venons de citer.
Rouxei 1 At T’ujazon ? Il s'est classé à une place 1res honorable puis-
mnes. — Entr. : Pieyer. ' le trouve au sixième rang précédé encore par Varnoux et
Arb. : Mp m*ic. Mais s’il termine assez près des deux excellents spé-
. _ P rovil »ciaux il n’en est pas moins battu par Hamza de
Lts du Stade de Rei®§ exactement, soit près de
rumellon, qui cons%êtres
Témois un inquiétant l-und U pénétra sur la nlstc à I
îgation depuis qu’il ^vingtaine de métras r'p P tru-'r'
des intérieurs de > eC aël accéléra fin, F 2
ie. acce >eia 1 allure; on crut
i cours de la séance ^ R a,t sprinter comm e autrefois
t de vendredi matin, ,,‘Sner une place... Il reprit quel-
ivé, balle au pied, qV,. met y es à son rival, i e temps que
de tenir sa place dr -cl s’aperçoive du danger et re- zon n’améliorera pas sa forme
1 ce qui concerne te facilement du cha-mn
un coup de téléphoné tnamp.
parisien qui a tratt û ,—
ïeants du- Stade +
uipe champenoise °P e ,
3 la. même formation Q
à Lille.
C’est ainsi que fut consacrée la
rentrée dans le rang de notre in
contesté champion de cross entre
1944 et 1949...
Pujazon dans le rang
Nous ne voulons pas dire que Puja-
au
(Lire la suite p. 6, rubr. Athlétisme)
Baud, Panissetet Penz sélectionnas
avec Couttct et Oreiller poir Aspen
Restent deux hommes à choisir entre
Paszi , Lacroix et de Huertas
(De notre envoyé spécial Alex VIROT)
SERRE-CHEVALIER. — La seconde course de descente de sélection
est venue confirmer les résultats de la première et Baud est crédité, à
l’heure actuelle, d’un double succès qui lui assure la sélection. Il a gagné
nettement, devançant Penz et Pazzl de 4 secondes. C’est lui qui a ter
miné le plus fort et bien qu’il se plaigne de ne pas se sentir à, son aise
sur ses skis, c’est bien lui dont la forme parait la meilleure.
(Lire la suite page 6, rubrique Ski)
Ni GrumeIlof 1
Jean Combo ;
Oanê (jue&jueS iemameS
chance imf&fjée-
ni
notre corresp général
ENNES. — Le Stade ft 1
avoir retrouvé depu-CiJ®
aines tout son
passé, et ses derni e . r J
démontré que l’éq ulF
i et joue facile.
unscients de leur b
ielle les Bretons sera-';
r Reims sans prêtent 1 j,
mais sans crainte.
cal joué entre le s dc«* r .<
e rsa ires le 11 décen^,,
nés ayant prouvé % r
ent de force égale, ,(■
d’ailleurs facilement ”,
aloi-s que Marche g
ent absents à Reims- ' i
de la tâche ardue à «y
ît fair e face les è
lques semaines et e®.
Mes films publicitaires
ses hommes au repos . ^ désignent peut-être
Grumellon, j com ,>*4 mrne * un des gagnants
3 et Hennequin cette magnifique mal-
•e a des joueurs rep 1 , ette qui renferme 5 de
er. Hauvespre. Minci r en T erme a a-e
! Bouteiiier a déjà me,, leures bouteilles
au début de saison,
n’est pas considère
plaçant et si Mine 1 -j
îds matche6 il est
lacement à Reims e s , aller au cinéma et regardez
s ne pouvons que • a
Ls les supporters ont^?sf*nti ve ment
• que le miracle de V
•oduise. Mais pet- u
s n’y croyons pas.
Yctffy-tHïui demi
films.
.. adoptez la
: TE BOUP
je* le s pointes
ANLABl'
VINS DU
1*0 STI LLON
APRES LES COMPETITIONS DE SKI DE SERRE-CHEVALIER
Le XIII de France, cohésion retrouvée
bat l’Empire Britannique (8-3
Deux fois Contrastin porta l’estocade. — Un drop
de Déjean et la défense de Galaap, qui neutralisa
Mountford, firent le reste
(D’un de nos envoyés spéciaux Louis FERDINAND)
MARSEILLE. — Vainqueur l’an dernier de la Coupe Jean-Galia, le XIII de France évitera,
t-il, cette saison, la dernière place de la compétition élargie par la présence de l'Empire britan
nique ? Il est peut-être paradoxal de pose r cette question à quelques heures de la victoire de
l’équipe française sur l’Empire britannique. Mais, les faits, dans leur brutalité même, sont là.
Car le 21 mars, à Wigan, l’issue d’Angleterre- Galles décidera de la première place et également
de la dernière du Challenge... sans que les deux adversaires d’aujourd’hui aient droit à la parole.
La saison internationale est donc terminée pour le XIII de France et l’honneur est sauf ;
car, de toute évidence, on doit considérer comme une performance de premier plan cette vic
toire acquise sur un adversaire qui avait amené à la bataille ses meilleures, troupes et dont les
dirigeants annonçaient, ia veille de la rencontre, le triomphe par un score écrasant !
L’Empire britannique, véritable sé
MATCH 1I\ TE RIS A T1 ON À L
Marseille :
FRANCE b.
Empire
britannique 8-3
DIVISION NATIONALE
AVIgn. (11)
b. ‘BORD.
PtS J. U (N
(6) 11-4 (6-10)
P. p c g.-av
1 Catal. (1)
36 13 11
1
1 192 75 -F117
2. Mars. (2)
28 12 8
0
4 233 130 +.103
3, Carc. (3)
27 12 7
1
4 146 63 + 83
Albt (3) .
27 12 7
1
4 138 87 + 51
5. Bord, (6)
26 12 7
0
5 125 167 — 42
6. Lyon (5).
26 13 6
1
6 157 119+38
7, ViM. (7).
24 11 6
1
4 95 72 + 23
8. Léz. (8) .
23 12 5
1
6 129 155 28
9. Lih. (9) .
21 13 4
0
9 101 231 —130
10. Cav. (10)
18 12 3
0
9 67 136 — 79
Av (g (11)
18 12 3
0
9 79 160 — 81
12. Toul. (12)
14 10 2
0
8 69 116 — 57
Le XIII de France
ira-t-il aux U.S.A. ?...
lection de joueurs australiens, néo-
zélandais. écossafs et irlandais, qui
s’enorgueillissait de deux victoires
trois essais au moins avait été Ins
crit au tableau d’affichage pour le
compte des Français.
Au simple rappel des faits princl-
sur Galles (6-5) et Angleterre (13-7), paux, on comprendra aisément que
ne sort certes pas diminué par cette la leçon n’était pas chère. En effet,
rencontre, et les vaincus, en recon- Genoud, le nouveau talonneur du
naissant i* supériorité de leurs vain- JJf f J® 8 Te^baltoh contre “te'à son
queure. ont rendu ainsi un bel hom- adversaire Kearney qui, au surplus,
mage à un XIII qui, pour la der- avait été gratifie par l’arbitre, M.
uière partie de la saison, avait enfin Guidicelli, de huit coups francs pour
trouvé la cohésion et dont les élé- s e s incorrections systématiques,
ments étaient au mieux de leur con- Mieux, 1@ XIII de l’Empire n avait
que deux rapides incursions
dition physique. dang camp français, et 11 avait
J.n leçon n'csl pas chère fallu un moment d’affolement de la
, . , défense pour que Kearnev (qui, dans
Nous ajouterons même que le sco- la chaleur du débat, perdit sa culot-
re ne représente pas tout a. fait la ^ jouât rapidement un tenu et
physionomie de la part.e et, en toute q Ue gans beaucoup d’opposition, le
impartialité, nul n aurait été étonné ^ ^
si, à la mi-temps, un avantage de (Lire I® suite p. 7, rubr. Rugby XIII)
COUPE JEAN-GALIA
Classement
Pts J.
G.
N.
p.
g-ft.
1.
Emo. brit. 7 3
2
fl
i
+ 2
2.
France 5 3
1
n
2
—11
3.
Galles ... 4 2
1
0
1
+ 7
4.
Anglet. ..4 2
1
0
1
+ 2
MARSEILLE. — Il est de nouveau
fortement question d’une tournée du
XIII de France aux U.S.A. Précisons
que le projet n'est encore qu’à
l’étude.
En effet, l’équipe nationale anglaise
doit s’em&arquer pour l’Australie début
mai ; et sur le chemin du retour, en
septembre, elle pourrait s'arrêter aux
U.S.A. où la rejoindrait le XIII de
France.
Plusieurs matches France-Angleterre
seraient alors offerts au pubtio améri
cain. Mais, repétons-le, Ie3 pourpar
lers n ! en sont qu’au stade prélimtnair*
des conversations. — L. F.
CE SOIR, A 20 HEURES, AU PALAIS DES SPORTS, 14 POIDS LOURDS REPRESENTANT 10 NATIONS
WEIDIN favori grâce à son expérience américaine
mais OLEK est capable du mieux...
...ou du pire !
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Comptabilité, 91, av. République,
Paris. Me pas joindre de timbres.
Préparation aux examens officiels
d’Etat.
L’Américain Aaron Wilson, grande classe
doit écarter le Belge Eugène Robert
Tour d'Europe par téléphone, mais aussi tour de force, c’est
l'exploit de Gilbert Benaïm qui a réussi à inscrire quatorze poids
lourds au programme de la réunion de ce soir au Palais des Sports
après plusieurs semaines de laborieux pourparlers.
Le sont les deux redettes, l'ex-champion de France Olek e-’
le champion d'Autriche Jo Weidin, qui ont donné le plus de souci,-
au matchmuker. Le premier exigeait, par le truchement de Charle:
!\aessens, un match en 13 reprises, le manager faisant valoir qui
son poulain était plus à l aise sur la distance du Championnat ei
très fort dans les derniers rounds. — 1
Charles Raymond, de son côté
rappelait que Jo Weidin, retenu
comme candidat officiel au titre
européen, n'avait pas à mettre en
jeu son droit de challenge et,
pour ce motif, demandait la
conclusion du combat en dix
rounds. | |
Benaim. conciliateur, obtint la si- xeUes en ig47 WeidlUi alors tres
gnature des deux parties pour 1 rc- j eune boxeur, renversa tous les pro-
P 71863 - nostics, il battit Olek de peu et ga-
Cette rencontre internationale de gna la finale contre Eugène Robert,
poids lourds est en fait une revan- ni.ei i.oc
che, celle de la demi-finale du tour - Leorges FEE I EKÎ5.
noi des poids lourds organisé à Bru- (Lire la suite page 2, rubrique Soxe)
L'HORAIRE... POSSIBLE !
20 h. (4x3) s Chalono-Behounek
20 h. 15 (6x3) : Hauenstein-Embardt
20 h. 40 18x3) : P. Bueso-Bentz
21 h. 10 (8 x 3 1 : Wilson-E. Robert
21 h. 45 (12x3) : OLEK-WEIOIN
22 h. 45 (6x3) : Roude-Dobiasch
23 h. 10- (8x3) : Hairabedtan-Coren-
thin
BELLES TOILES...
Jo Weidin prise Kant, joue
du piano et est aussi épris
d’art. L’adversaire d Olek ne serait un homme de goût s’il n'appre-
ciait pas les tableaux brossés par le peintre Van der Nur. Près de
lui, Francis Bonnardel et Gaston Charles-Raymond semblent égale
ment intéressés par les larges horizons.
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ieürs... serelle qui conduit à la montée abrupte le Belge Theys est lâché.
is la côte, le St-Gillois rejoindra les deux Français, mais Hamza
Duchenne, qui s spffll se détachera. Il reste à ce moment près de 2 km. à courir.
mé deux fois VAS f ,
c’est M. Lemettre fdiffl
s’est exclamé : H - ■ - - ' T
Béziers ? Une formaJJf?
la belote ?
Fernand ALB)
) Toulouse, Bordeaux
Reims, Roubaix et Racing
TOUS VICTORIEUX, ONT PAVOISÉ
Nîmes - en échec au Mans ■
augmente pourtant encore
son avance sur le HavreetCannes
TANDIS QUE REIFF TRIOMPHAIT AISEMENT A ALGER
Kl ET P ETUI
Grumellon
hartres, Cérou conduit le bal
Qirumellon rpw i , /• j _
e sera nfise theys que bat finalement
Kir /• |
jamza en nn de course
Montpellier a réalisé l’exploit de la journée, première des
matches retour, en battant Lille, le leader du Championnat, par
4 buts à 3.
Victoire d’autant plus méritoire, si l’on s’en tient au résultat
sec du match, que la défense lilloise fut franchie et battue par
quatre fois. j jour faste et dans une ambiance les
Aucune équipe depuis la finale de portant littéralement, parvinrent à
la Coupe de France (où le Racing égaliser. Mieux même, sur coup
avait écrasé Lille par 5 à 2, menant I franc, à quelques secondes de la
un moment par 5 à 0) n'avait réalisé ftn, ils obtinrent le but vainqueur,
un tel score contre le leader. hes Lillois, une nouvelle fois, ont
Lille, en effet, en est à sa qua- trouvé devant eux une formation
trième défaite depuis l’ouverture de transformée, subitement devenue et-
la saison 1949-1950. Le Racing triom- ficace, qui a joué le « match de sa
pha par 3-1, Nice par 3-2, Reims vie ».
par 2-1, Montpellier par 4-3. C’est la rançon de la gloire que
Défaites lilloises de justesse, cer- les Lillois payent en ce moment. Ils
tes, mais ce qui impressionne cette connaîtront encore de pareilles am-
fois ce sont les quatre buts marqués biances.
par Montpellier, qui n’a pas été sou- Pendant que le leader trébuchait,
vent à pareille fête. ses poursuivants au classement ne
Lille avait bien commencé le se sont P as endormis,
match, ouvrant le score et menant Toulouse, Bordeaux, Reims, Rou-
à la marque par 3 buts à 1 vingt baix, le Racing ont eh effet gagné
minutes après la mi-temps. Mais par par des fortunes différentes.
la suite les Montpelliérains, dans un , ,
Toulouse a deux points
Toulouse, éliminé de la Coupe, va
se consacrer à une rude tâche ; tâ
tonner le leader, et qui sait ?... Con
tre Saint-Etienne, les Toulousains,
dominés territorialement dans l’en
semble, ont gagné par 2 buts à V.
ce qui est une bonne performance
Le stade de Toulouse est toujours
terrain mascotte et Lille y est at
tendu notamment. Mais en dehors
des Toulousains, d’autres adversai
res aiguisent leurs crocs.
René COTTEAUX.
(Lire la suite p. 4, rubrique Football)
DIVISION I (18'
journée)
•Montpell. (15)
b. LILLE
(1) 4
-3
0-5
*T0UL. (2) b.
St-Etienne
(7) 2
-0
0-3
GIROND. (3) b.
‘St.-R.S.
(15) 4
-0’
2-1
REIMS (3) b. Rennes <9)
. 3
-1
M
ROUBAIX (5)
>. Sète
(17) .
. 3
-1
3-3
RC Paris (6) b
•NICE
(7)
. 4
-1
1-2
Nancy ( 11 ) b. -MARSEILLE ( 9 ) 2
-1
4-0
SOCH, ( 11 ) et
Strasb.
(11)
. 0
-0
1-0
•METZ (18) et
Lens (14) .
. 1
•1
3-5
Classement
Pts J
G
N.
P.
P-
e.
1. LILLE (1)
. 28 18
14
0
4
55
25
2. Toulouse (2)
. 26 18
12
2
4
43
23
3. Bordeaux (3)
. 24 18
10
4
4
50
23
Reims (3)
. 24 18
10
4
4
36
21
5. Roubaix (5)
. 22 18
6
10
2
25
18
6. RC Paris (6) 20 18
8
4
6
38
25
7. St-Etienne (7) 17 18
6
5
7
33
33
Nancy (10)
. 17 18
7
3
8
33
33
Nice (7) ...
. 17 18
7
3
8
35
37
10. Sochaux (10)
. 16 18
6
4
8
32
33
Rennes (9)
. 16 18
5
6
7
35
39
Strasb. (10)
. 16 18
7
2
9
26
43
Marseille (9)
. 16 18
8
4
8
30
35
14. Lens (13)
. 15 18
6
3
9
28
39
Montpell. (15) 15 18
6
3
9
29 46
18. St.-R.S. (15)
. 13 18
S
3
10
26
39
17. Metz (18) ..
. 11 18
3
5
10
28
47
Sète (17) ..
. 11 18
4
3
11
24
45
CROSLAND BATTU ?
Le portier du Stade Français, A. Crosland, ne fut pas très heu
reux devant Bordeaux. Le voici tentant en vain d’anticiper une
attaque de Kargulcvics. Le dernier tirera au-dessus de la barre. De gauche à droite : Hon, Kargu,
Crosland, Mustapha, Bican.
grand favori du National
ant particulier
de Lille par 2-1 le 18
as joué devant le pu
tanche au stade munü_
tl tïmps a ^Sm 0 aiié V s V q? ïl jazon 6* finit à plus de 300 mètres du
erj>t se sont larocain et l’AS Montferrandaise s’installe
14 h. 30, stade Muni
IMS. — Entr. ; Roessler
oswskî 2 P "jônîu n e i t b 5 , ccp' ^Dun de nos envoyés spéciaux Gaston MEYER)
Bini 4 PctitfF
P. siniboidi 8 Meai«f“ AK 1RES. — Moins heureux que son chef de file, Reiff
lueh 7 Appel 9 Fifflüeur à Alger, le Belge Theys qui sera peut-être le succès*
£ _____son aîné, pris en sandwich entre les deux leaders de
ir< r -o Montferrandaise, Cérou et Hamza, a dû se contenter de
fi or 11 Cousin v .iivSAm.» ..i * r\, , - ,, ... . ..
Bouteiiier io Rabstei"* uv,emp . ** aCe a Chartres après une course d’ailleurs interes-
Hauvespre 6 Mi«'* et Q»i ne pouvait à aucun moment échapper à l’un des
siiin 3 Guérin 5 cop. ^hommes que nous venons de citer.
Rouxei 1 At T’ujazon ? Il s'est classé à une place 1res honorable puis-
mnes. — Entr. : Pieyer. ' le trouve au sixième rang précédé encore par Varnoux et
Arb. : Mp m*ic. Mais s’il termine assez près des deux excellents spé-
. _ P rovil »ciaux il n’en est pas moins battu par Hamza de
Lts du Stade de Rei®§ exactement, soit près de
rumellon, qui cons%êtres
Témois un inquiétant l-und U pénétra sur la nlstc à I
îgation depuis qu’il ^vingtaine de métras r'p P tru-'r'
des intérieurs de > eC aël accéléra fin, F 2
ie. acce >eia 1 allure; on crut
i cours de la séance ^ R a,t sprinter comm e autrefois
t de vendredi matin, ,,‘Sner une place... Il reprit quel-
ivé, balle au pied, qV,. met y es à son rival, i e temps que
de tenir sa place dr -cl s’aperçoive du danger et re- zon n’améliorera pas sa forme
1 ce qui concerne te facilement du cha-mn
un coup de téléphoné tnamp.
parisien qui a tratt û ,—
ïeants du- Stade +
uipe champenoise °P e ,
3 la. même formation Q
à Lille.
C’est ainsi que fut consacrée la
rentrée dans le rang de notre in
contesté champion de cross entre
1944 et 1949...
Pujazon dans le rang
Nous ne voulons pas dire que Puja-
au
(Lire la suite p. 6, rubr. Athlétisme)
Baud, Panissetet Penz sélectionnas
avec Couttct et Oreiller poir Aspen
Restent deux hommes à choisir entre
Paszi , Lacroix et de Huertas
(De notre envoyé spécial Alex VIROT)
SERRE-CHEVALIER. — La seconde course de descente de sélection
est venue confirmer les résultats de la première et Baud est crédité, à
l’heure actuelle, d’un double succès qui lui assure la sélection. Il a gagné
nettement, devançant Penz et Pazzl de 4 secondes. C’est lui qui a ter
miné le plus fort et bien qu’il se plaigne de ne pas se sentir à, son aise
sur ses skis, c’est bien lui dont la forme parait la meilleure.
(Lire la suite page 6, rubrique Ski)
Ni GrumeIlof 1
Jean Combo ;
Oanê (jue&jueS iemameS
chance imf&fjée-
ni
notre corresp général
ENNES. — Le Stade ft 1
avoir retrouvé depu-CiJ®
aines tout son
passé, et ses derni e . r J
démontré que l’éq ulF
i et joue facile.
unscients de leur b
ielle les Bretons sera-';
r Reims sans prêtent 1 j,
mais sans crainte.
cal joué entre le s dc«* r .<
e rsa ires le 11 décen^,,
nés ayant prouvé % r
ent de force égale, ,(■
d’ailleurs facilement ”,
aloi-s que Marche g
ent absents à Reims- ' i
de la tâche ardue à «y
ît fair e face les è
lques semaines et e®.
Mes films publicitaires
ses hommes au repos . ^ désignent peut-être
Grumellon, j com ,>*4 mrne * un des gagnants
3 et Hennequin cette magnifique mal-
•e a des joueurs rep 1 , ette qui renferme 5 de
er. Hauvespre. Minci r en T erme a a-e
! Bouteiiier a déjà me,, leures bouteilles
au début de saison,
n’est pas considère
plaçant et si Mine 1 -j
îds matche6 il est
lacement à Reims e s , aller au cinéma et regardez
s ne pouvons que • a
Ls les supporters ont^?sf*nti ve ment
• que le miracle de V
•oduise. Mais pet- u
s n’y croyons pas.
Yctffy-tHïui demi
films.
.. adoptez la
: TE BOUP
je* le s pointes
ANLABl'
VINS DU
1*0 STI LLON
APRES LES COMPETITIONS DE SKI DE SERRE-CHEVALIER
Le XIII de France, cohésion retrouvée
bat l’Empire Britannique (8-3
Deux fois Contrastin porta l’estocade. — Un drop
de Déjean et la défense de Galaap, qui neutralisa
Mountford, firent le reste
(D’un de nos envoyés spéciaux Louis FERDINAND)
MARSEILLE. — Vainqueur l’an dernier de la Coupe Jean-Galia, le XIII de France évitera,
t-il, cette saison, la dernière place de la compétition élargie par la présence de l'Empire britan
nique ? Il est peut-être paradoxal de pose r cette question à quelques heures de la victoire de
l’équipe française sur l’Empire britannique. Mais, les faits, dans leur brutalité même, sont là.
Car le 21 mars, à Wigan, l’issue d’Angleterre- Galles décidera de la première place et également
de la dernière du Challenge... sans que les deux adversaires d’aujourd’hui aient droit à la parole.
La saison internationale est donc terminée pour le XIII de France et l’honneur est sauf ;
car, de toute évidence, on doit considérer comme une performance de premier plan cette vic
toire acquise sur un adversaire qui avait amené à la bataille ses meilleures, troupes et dont les
dirigeants annonçaient, ia veille de la rencontre, le triomphe par un score écrasant !
L’Empire britannique, véritable sé
MATCH 1I\ TE RIS A T1 ON À L
Marseille :
FRANCE b.
Empire
britannique 8-3
DIVISION NATIONALE
AVIgn. (11)
b. ‘BORD.
PtS J. U (N
(6) 11-4 (6-10)
P. p c g.-av
1 Catal. (1)
36 13 11
1
1 192 75 -F117
2. Mars. (2)
28 12 8
0
4 233 130 +.103
3, Carc. (3)
27 12 7
1
4 146 63 + 83
Albt (3) .
27 12 7
1
4 138 87 + 51
5. Bord, (6)
26 12 7
0
5 125 167 — 42
6. Lyon (5).
26 13 6
1
6 157 119+38
7, ViM. (7).
24 11 6
1
4 95 72 + 23
8. Léz. (8) .
23 12 5
1
6 129 155 28
9. Lih. (9) .
21 13 4
0
9 101 231 —130
10. Cav. (10)
18 12 3
0
9 67 136 — 79
Av (g (11)
18 12 3
0
9 79 160 — 81
12. Toul. (12)
14 10 2
0
8 69 116 — 57
Le XIII de France
ira-t-il aux U.S.A. ?...
lection de joueurs australiens, néo-
zélandais. écossafs et irlandais, qui
s’enorgueillissait de deux victoires
trois essais au moins avait été Ins
crit au tableau d’affichage pour le
compte des Français.
Au simple rappel des faits princl-
sur Galles (6-5) et Angleterre (13-7), paux, on comprendra aisément que
ne sort certes pas diminué par cette la leçon n’était pas chère. En effet,
rencontre, et les vaincus, en recon- Genoud, le nouveau talonneur du
naissant i* supériorité de leurs vain- JJf f J® 8 Te^baltoh contre “te'à son
queure. ont rendu ainsi un bel hom- adversaire Kearney qui, au surplus,
mage à un XIII qui, pour la der- avait été gratifie par l’arbitre, M.
uière partie de la saison, avait enfin Guidicelli, de huit coups francs pour
trouvé la cohésion et dont les élé- s e s incorrections systématiques,
ments étaient au mieux de leur con- Mieux, 1@ XIII de l’Empire n avait
que deux rapides incursions
dition physique. dang camp français, et 11 avait
J.n leçon n'csl pas chère fallu un moment d’affolement de la
, . , défense pour que Kearnev (qui, dans
Nous ajouterons même que le sco- la chaleur du débat, perdit sa culot-
re ne représente pas tout a. fait la ^ jouât rapidement un tenu et
physionomie de la part.e et, en toute q Ue gans beaucoup d’opposition, le
impartialité, nul n aurait été étonné ^ ^
si, à la mi-temps, un avantage de (Lire I® suite p. 7, rubr. Rugby XIII)
COUPE JEAN-GALIA
Classement
Pts J.
G.
N.
p.
g-ft.
1.
Emo. brit. 7 3
2
fl
i
+ 2
2.
France 5 3
1
n
2
—11
3.
Galles ... 4 2
1
0
1
+ 7
4.
Anglet. ..4 2
1
0
1
+ 2
MARSEILLE. — Il est de nouveau
fortement question d’une tournée du
XIII de France aux U.S.A. Précisons
que le projet n'est encore qu’à
l’étude.
En effet, l’équipe nationale anglaise
doit s’em&arquer pour l’Australie début
mai ; et sur le chemin du retour, en
septembre, elle pourrait s'arrêter aux
U.S.A. où la rejoindrait le XIII de
France.
Plusieurs matches France-Angleterre
seraient alors offerts au pubtio améri
cain. Mais, repétons-le, Ie3 pourpar
lers n ! en sont qu’au stade prélimtnair*
des conversations. — L. F.
CE SOIR, A 20 HEURES, AU PALAIS DES SPORTS, 14 POIDS LOURDS REPRESENTANT 10 NATIONS
WEIDIN favori grâce à son expérience américaine
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il faut connaître
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l'exploit de Gilbert Benaïm qui a réussi à inscrire quatorze poids
lourds au programme de la réunion de ce soir au Palais des Sports
après plusieurs semaines de laborieux pourparlers.
Le sont les deux redettes, l'ex-champion de France Olek e-’
le champion d'Autriche Jo Weidin, qui ont donné le plus de souci,-
au matchmuker. Le premier exigeait, par le truchement de Charle:
!\aessens, un match en 13 reprises, le manager faisant valoir qui
son poulain était plus à l aise sur la distance du Championnat ei
très fort dans les derniers rounds. — 1
Charles Raymond, de son côté
rappelait que Jo Weidin, retenu
comme candidat officiel au titre
européen, n'avait pas à mettre en
jeu son droit de challenge et,
pour ce motif, demandait la
conclusion du combat en dix
rounds. | |
Benaim. conciliateur, obtint la si- xeUes en ig47 WeidlUi alors tres
gnature des deux parties pour 1 rc- j eune boxeur, renversa tous les pro-
P 71863 - nostics, il battit Olek de peu et ga-
Cette rencontre internationale de gna la finale contre Eugène Robert,
poids lourds est en fait une revan- ni.ei i.oc
che, celle de la demi-finale du tour - Leorges FEE I EKÎ5.
noi des poids lourds organisé à Bru- (Lire la suite page 2, rubrique Soxe)
L'HORAIRE... POSSIBLE !
20 h. (4x3) s Chalono-Behounek
20 h. 15 (6x3) : Hauenstein-Embardt
20 h. 40 18x3) : P. Bueso-Bentz
21 h. 10 (8 x 3 1 : Wilson-E. Robert
21 h. 45 (12x3) : OLEK-WEIOIN
22 h. 45 (6x3) : Roude-Dobiasch
23 h. 10- (8x3) : Hairabedtan-Coren-
thin
BELLES TOILES...
Jo Weidin prise Kant, joue
du piano et est aussi épris
d’art. L’adversaire d Olek ne serait un homme de goût s’il n'appre-
ciait pas les tableaux brossés par le peintre Van der Nur. Près de
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