Titre : Le Cri du peuple : journal politique quotidien
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1871-04-13
Contributeur : Vallès, Jules (1832-1885). Directeur de publication
Contributeur : Allemane, Jean (1843-1935). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32752488q
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 13 avril 1871 13 avril 1871
Description : 1871/04/13 (A1,N43). 1871/04/13 (A1,N43).
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4683776x
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-46
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 11/07/2017
LE CRI DU PEUPLE
Journal politique quotidien
h- 'ï-w^SaBSî«air 43."
Ke j^uaiërô g Wàmmï 4% C"Uoàoî , -- - -ït*. W&im^trnm
«S$î$k n àSâSiQlgf
l'ItDAëTIOtL
' ©t me d'Aboukir, q
lë$ «âwwsm'fs non inséré»
ne sont pas rmdus, '
ABONNEMENTS
DÉPARTE 3IENT3
.' :1 mois , 3 fr.
a mois; ; 8
Adresser toute. doman*
fat* üt .HtaBdataan Olrec-
lèn.Hcéraoti
S), fcuœ dl AJBoukift, ®s
MOTS |||É#
:iren'Dnttprœ;mclim'.
MY
n rmnin... .... p .ffia.
S bnos. c„ Ï, ffi
S'ènflfCKseï" pOUF 2to«
nonccr,,^. tue t&fUtaaiÙn
BUREAUX DE VE^Tf'
9, rnei Abankirf ;;0 h
'l-,
Rédactellf en chef : Jïflslgg VALLÈS
: aE TO39OT
C„rajEi(MîaHfiii'
DERNIÈRE HEURE
A cinq kes&r&s?» la ren-
tsra à Varls, traînant avfc lui
on« -mitrailleuse: qu'il a enlevé© ...
aux "Vere-all-ais danj% une 1'0-
c?>a fifi bl!an ce t B-storisMac dlrt-
%ée> contre'Sïa@ra©ttx.
A budt. ia(c®sr®®9 *©® forte du
fend, Vaaï©f, Ivry, 1\lontruug-e,
Bicèire, commencent Isa canoJl"
-n^.de contre Ciamnrt, et Châ
l,i cn, où ?»oî*t nsaasé© plusieurs
corps d'armés ennemi».
,(,k -saeiai* heïii'es. la panique saî*
mit les- quartiers 1-e crépitement de,,,, HMI®
triait&©«*©» américaines» rÉpel"-
cuté par l'écho, est pris , par
©©rtftsEsc© g-e-sisj pour den feux
,de pelQton..
Oa se-figure que '• les' gendar»
meit\ ont; forcé l'es ce licite, Cer-
1t!àSm& ass£is*'du eM
JU n'an est rien. ':'"'-
A d-Is. Si^ur^», la fusillade e>i
la casso«iaa«l© s'éloignent. L'en-
aemi semble se retirer.
A c»sîîs© 1s»ï.?ï' ©» 9 les forts ne
tirent plum que quelques «*oupo
int er ml tt CM te.
Onze meures et deml@,.le gé-
nérai 33 «)mbro-.vskî envoie la
dépêche suivantes
*
MIH situation ne présente au.
cswroe gravi; é. Que Paris ait
confiance !L.*att®eepie. des Ver-
gatllaïsi, prévue dlepufta deux
Jours» n'aboutira pas.
DOMBROWSKI.
LE DANGER
Paris, avec ses fortifications, ses bar-
ricades, ses canons, sa population bra-
ve, dévouée et industrieuse, capable des
plus grands sacrifices et des plus éton-
nantes inventions,quand il s'agit de son
honneur et de sa liberté, Paris est im-
prenable, invincible.
Il n'a rien à craindre de l'armée ver-
saillaise, que l'outrage stérile et atroce
d'un bombardement près duquel celui
de Strasbourg, malgré la protestation
de NI. Jules Favre, était mille fois excu-
sable, d'un bombardement qui aujour-
d'hui rend plus honteux et plus odieux
pour les habitants de ia grande
cité, les noms deThiers, Favre, PIc..rd,
Simon et consorts, que ceux de Bis-
mark et de Moliko n'ont été détestés
hier.
Si l'armée des agents et complices do
Pietri persiste à vouloir entrer dans
rançonne, capitale de la France, elle
verra fondro ses régiments comme des
flocons de neige dans un fleuve im-
mense.
M. Tliiers a calculé qu'il lui faudrait
Sacrifier quarante mille bon "es ^
Quarante mille hommes,entendez-vous!,
humanitaires pacificateurs, femmes et
mères! — Quarante mille hommes of-
ferts holocau ste à la raison d E E ta t, q u a -
rantè mille hommes dont la mort est né-
cessaire, non pas à l'honneur et au'salut
de la France, mais à. la satisfaction d'une
ambition de politiqueurs, à la réalisation
d'une intrigue et d'une conspiration de
Parlement.
Quarante mille hommes 1
M. Thiers les sacrifiera.
Mais il a mal calculé ! Ce n'est pas
quarante mille hommes qu'il lui faudra
faire tuer avant d'avoir obtenu cette
vaniteuse et misérable satisfaction.
C'est quatre-vingt ou cent mille cada-
vres peut-être qu'il lui faudra amonce-
ler aux portes de Paris avant de les cre-
ver.
Et, quand les portes seront enfon:"
cées,— si jamais elles peuvent l'être,—
rien ne sera fait. Il faudra recommen-
cer le combat sanglant, terrible ,
acharné, dans lequel s'engloutirait la
plus grande, armée du monde, contre
une ville de deux miliions d'âmes qui
se défend jusqu'à la mort, sachant que
le vainqueur sera sans pitié, et qu'il lui
faut l'exterminer sous peine d'être ex-
terminé par lui.
En supposant que M. Thiers et ses
^'1 lègues, qui n'ont pas reculé devant
le bombardement de Paris, ne reculent
p-as devant cette érior-rriê et horrible hé-
catombe, et que les janissaires et les
agents de l'empire se sacrifient jus-
qu'au dernier pour satisfaire le caprice
des hommes néfastes et honteux du 4
septembre, le gouvernement de Ver-
sailles ne trouverait pas, après cette ar-
mée, dont les fossés des fortifications
seraient la fosse commune , une
*
nouvelle armée capable de continuer la
guerre et de vaincre les citoyens soldats
retranchés dans leurs maisons, défen-
dant pied à pied chaque mur, chaque J
pavé,faisant payer cher à l'envahisseur
ses outrages et sa haine.
Le véritable danger n'est donc pas
dans l'implacable ressentiment du gou-
vernement et de l'assemblée, ni dans
l'armement qui se poursuit à Versailles, j
Le danger est ici, dans le conseil com-
munal, s'il ne sait pas prendre des me-
sures de défense rapides, sûres, à la fois
intelligentes, sages et fermes; il est dans
J'organisation même de la défense, et il
est surtout dans les illusions que pour-
rait faire naître 'iîhe fausse congiHation.
Déjà les journaux ont parlé de ten-
tatives conciliatrices, de démarches
plus ou ou moins officieuses, en vue
d'un arrangement et d'un armistice
qui devrait amener la conclusion d'un
traité de paix définitif.
Le danger est là. |
..
Le danger n'est pas dans la conclu-
sion même du traité, mais dans les di-
visions et les illusions que cette conc'u-
sion d'un traité de paix peut causer,
aggraver encore par les intrigues ver-
saillaises et l'imprévoyance des concilia-
teurs. Nous-mêmes, nous avons dit
qu'il faudrait en finir par ce traité,
qu'il faudrait faire la paix quelque jour;
et nous ;!.vons proposé aux contractants
un modèle de convention.
Mais c'est justement parce que nous
avons songe à la paix que nous devons
songer aux périls qu'elle peut créer;
qu'il est de notre devoir de mettre le
public en garde centre les trahisons ou
es duperies dont elle pourrait être le
prétexte, et de dénoncer à ceux qu'un J
sentiment très-légitime et très-respec- j
table fait agir comme conciliateurs ou !
médiateurs, les pièges qui leur sônt ten-
dus.
Le gouvernement de Versaill-es, non-
seulement ne veut rien céder, rien ac-
corder ou octroyer à Paris, mais encore
il entend lui enlever le peu de libertés
et de garanties qui lui restent, désar-
mer sa garde nationale, sinon entière-
ment, du moins en grande partie,
exercer une vengeance monstrueuse, ré-
primer et proscrire, il l'avouait ouver-
tement, officiellement ; aujourd'hui, il
n'empêche pas de le croire ; demain, il
parlera cnruúl¿.,uit6 après avoir démoli
nos maisons, tué nos femmes et nos en-
fants avec ses obus, il fera parler de
conciliation et d'armistice. Et si nous
avons le malheur et l'imprudence de
croire à la parole de ceux qui ont menti
pendant plus de vingt ans, nous som-
mes.perdus.
Le gouvernement de Versailles comp-
te bien moins sur ses armes que mr sa
ruse pour vaincre Paris. 11 fera des pro-
messes qu'il ne tiendra pas; il conclues
un traité qu'il ne respectera point; il
accordera de proclamer tout ce qu'on
voudra, mais se refusera à donner au-
cune garantie sérieuse et précise.
L'armistice étant conclu, il l'allon-
gera le plus qu'il pourra, et l'emploie-
ra à écraser le mouvement communal
en province, à semer la division dans
Paris, à y faire rentrer ses agents, à y
fomenter quelque nouvelle conspira-
tion, afin de rendre la reprise des hos-
tilités possible, et de contraindre Paiis-
à prendre ses armes, après les avoir dé-
posées,
Voilà le danger,
Citoyens, gardes nationaux, mem-
bres de la Commune, et vous, honnêtes
médiateurs, prenez-y garde! écoutez
l'avertissement de ceux qui, les pre-
miers, ont prévu la pacification, et qui,
aujourd'hui dénoncent à votre pré-
voyance les piéges qu'elle cache et que
vous tendra la diplomatie versaillaise.
Prenez garde au danger des négocia-
tions, plus redoutable pour la liberté
de Paris, et pour la vie et la fortune de
ses habitants, que la fusilladelet le bom-
bardement..
Prenez garde à ces périls dans les-
quels, après tant de sang versé, tant de
sacrifices fièrement, courageusement
subis, vous n'avez pas le droit d'exposer
le salut, le triomphe de l'idée CDmmu-
nale.
Prenez garde, non à l'assaut qui peut
être livré, mais à l'escamotage dans le-
quel peut disparaître la République, et
qui ferait de la conciliation, plus qu'une
erreur ou une faute, — une trahison.
PIERRE DENIS
COMMUNE DE PARIS
Le citoyen Goupil a donné sa démis-
sion de membre de la Commune.
Dorénavant, le procès-verbal de cha-
que séance de la Commune sera inséré
au Jori'!'lW! () f ji'Jiel.
Sur Ja demande de cinq membre.-:
le vole sem nominal et inséré à lvV/1
ficiel.
Le citoyen Amoureux a été nommé
secrétaire de la Commune.
Le citoyen Avdnl est adjoint à la.
commission oxéeuti VB.
ORDRE DU JOUR
Le citoyen Châtelet, professeur de mathé-
matiques, démissionnaire au 2 décembre,
a été enterré hier.
Il avait succombé à l'amputation d'un
bra-s, que deux balles versai liai ses avaient
fracassé au moment où, de la voix et du
geste, il excitait à la victoire les hommes
qu'il commandait en qualité de lieutenant au
61°.
La République pleurera ce vaillant mar'
tyr de la liberté, et les trois, petits enfants
qu'il laisse tiendront le serment que leur' a
fait faire' leur courageuse mère sur la tombe
du héros : celui de venger leur père, et de
vivre libre;ou de mourir comme lui.
LA BATAILLE
La nuit du 10 au 11 a été calme.
Il n'y a pas eu d'engagement sérieux.
Quelques reconnaissances seulement
ont été tentées avec succès.
Evidemment, ce repos momentané
n'est que le prélude d'une action sé-
rieuse.
En attendant, les fédérés, pleins de
confiance et d'entrain, se tiennent soli-
den10rÜ sur la défensive.
Les fortifications se garnissent de ca-
nonsr
Des troupes fraîches sont sur le qui
vive.
Quelques coups do canon cependant
ont été échangés dans la ruatinée.
.Un projectile a encore, atteint l'Arc-
de-Triomphe ; un autre a brisé la coe-
niche d'une maison de la rue d'Eylau.
Vers midi, la batterie de la porte
Maillot a tiré un moment.
Le mont Valérien a répondu.
Ce simulacre de combat d'artillerie a
duré vingt minutes.
•v Les obus de la porte Maillot sont allés
tomber entro les deux casernes du
Mont-Valérien,
La canonnade recommence vers une
heure et demie.
Interrompit un moment, elle re-
prend à trois heures, violente cette fois,
du côté de la porte Maillot.
Les obus recommencent à tomber
dans les Champs-Elysées.
Avenue d'Iéna, un projectile a brisé
un arbre. -
C est le bombardement qui continue.
Au loin quelques rares feux, de pelo-
ton se m'êlené au bruit de *a canon-
na/L,
On entend le grincement des mi-
trailleuses.
Devant le pont des Invalides, les ca-
nonnières toutes armées,attendent l'or-
dre 'du départ.
La canonnière Farcy, qui est actuel-
lement la canonnière liberté, a une ar-
tillerie formidable.
^ Il y a, aux alentours de Paris, une
\iagtaineda ces petitsnavi es, <— canon- -
nières ou batteries floî bntes.
Elles attendent des canonnières en-
voyées, dit-oD,de Cherbourg, pour coo-
pérer au bombardement.
v .A Asnières, aucun eng-agement. Le
village se fortifie d'une manière formi-
dable. LJ, barricade du pont a reçu ce
matin même des renforts d'artillerie.
La gare va être également armée de
'canons et de m'traiiieuses.
Le long des rails du chemin de fer,
les wagons blindes s'apprêtent à faire
tonner leurs grosses pièces établies sur
des trucs mobiles.
A l'extrémité du vidage, du côté de
CourbevoM , la plupart des maisons
sont occupées par les bataillons de la
garde nationale envoyes pour renforcer
la petite garnison.
Un certain nombre do murs ont été
crénelés., et ^des barricades de soutien
sont ébauchées sur quelques points..
^Le bastion 48 va être armé -de trois
pièces de iG et do deux mortiers cou:"
chés sur les remparts.
Sur la rive gauche le calme a été à
peu près le même.
, Vanves e^. Is&y canonnent lentement
Châiilion qui ne répond pas.
Dms 1® ÏMÏIS (l1l(ffi ûfcnMpi quelques
avant-pastes.
Il y a -cpa.dlqoies. feus quelques décharges dfe
Partout, d'sïifeéEFffi,, les frèdaIras veil-
lent pleins d'eMln^gpssasgmg»,
La journée dïi 10-s.¥siÊ d"'»-ijtews été
relativemeat calme â MeriiOV»
Dans la. maUnée, qŒ.61qITe-S COllp8 de
canon échangés à longs iafeTalies eu-
tre le mont Vatenso, fgs feslferïes cfn
bois de Boulogne et par>tü ThT aiUot.
Vers deux heureSjSenlÉDi^sir unf -o-
lonne de gendarmes et de soickts d /li-
gne s'avance jusqn''an marché de Ke- oïl-
ly, où les fédérés se sont fortement re-
tranchés. Le combat s'engage avec
acharnement ; les gendarmes surtout
se nattent avec fureur. Deux fois les fé-
dérés sont refoulés de leurs positions.
Mais ils reviennent a la. charge avec
un nouvel entrain et repoussent enfin les
gendarmes, après leur avoir infligé des
pertes sensibles.
,4 Asnières, le combat avait été plus
serieux..
Les gendarmes étaient partis de bon-
ne heure de Rueil et de Puteaux avec
un corps de cavalerie. '
Les fédérés étaient prêts.
Asmères fut attaqué sur trois points
diiierents. *
Le général Dombrowski avait pris se^
mesures.
En avant du village, dans le bois de
Colombes, et sur toutes les routes car
où une aUaque pouvait avoir lieu, un
épais rideau de tirailleurs protégeait
les fédérés contre toute surprise.
A la première attaque, ces tirailleurs
se replièl'ent,dans un ordre parfait,sur
le gros des forces fédérées retranché
dans le volage même. Vivement atta-
qués derrière leurs retranchements, les
gardes nationaux, se défendirent avec
courage, et c'est avec la plus grande
difficulté que les troupes purent les
chasser de leurs positions.
Des canons masqués derrière les der-
nières maisons du village ouvrirent
alors leur feu. Les soldats, étonnés par
cette pluie de mitraille imprévue, n'of~
frirent qu'une faible résistance auxnou.,
velles colonnes d'attaque que le général
Dombrowski envoyait à l'assaut. Les
fédérés restèrent maîtres de leurs posi-
tions.. u -
. Lo^P^cs des gendarmes, ont été très
j sérieuses.
Vers Montroue, il y a eu quelques
engagements.
Quelques détonations intermittentes
du côté de Meudon et du côté de BÊU
gneux.
A la porte de Versailles, il y aurait eu
une escarmouche.
Une quinzaine de sergents de ville
seraient restés au pouvoir des erardek
nationaux.
Une personne qui arrive de Lagnyv
nous écrit.
Voici ce que j'ai vu :
1° Un sergent de ligne arrivant de
Versailles et disant dans un groupe
qu'à Paris on fusille tous les lignards
qui tombent entre les mains de la gar-
de nationale, J al protesté.
2° Des individus disent que les Prus-
siens doivent prendre part au combat
le 15 avili. Quant à moi, je crois et, j'ai'
des raisons pour croire que les Prus »
siens rougiraient d'une alliance avec:
M. Thiers, et j'ai hautement exprimé
cette opinion dans les groupes.
Le 181° bataillon, qui vient de metjje gé"
néreuserl1cQt ¡y la. disposition de la Commune
U somma de quatre mille francs provenant,
de la souscription faite pendant la. guerre;
pour offrir un canon à la déÎ,.!Ilse nationale,
a fait une découverte très importante.
Dil factionnaire de garde sur le rempart, en.
face de la gare d'Au leuii rsentan.t la terre fié»
chir sous ses pieds, eut Fidée de sonder avec,
sa baïonaeife, éprouvant de la résistance, iî
creuse avec SS3 mains, et découvre quoi? Us
superbe tanon de 13 presque neuf.
Il cherche aux emit-aos, et en met à jour
six nulles dans -toi espace, de dix mètres,
enfouis 5. îa prafradeur (Feine
ne'Jt': .
A'vhs en a tlë donné au senteur iuimêd'ia*
tement, piir les smt-is du capLaîne»
Il serait ù diésîrer quîa des recherches sé,
rieuses soient faites;.
TlillïUi" Glamutinr^ Frasnaudi^
Journal politique quotidien
h- 'ï-w^SaBSî«air 43."
Ke j^uaiërô g Wàmmï 4% C"Uoàoî , -- - -ït*. W&im^trnm
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' ©t me d'Aboukir, q
lë$ «âwwsm'fs non inséré»
ne sont pas rmdus, '
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a mois; ; 8
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BUREAUX DE VE^Tf'
9, rnei Abankirf ;;0 h
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Rédactellf en chef : Jïflslgg VALLÈS
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C„rajEi(MîaHfiii'
DERNIÈRE HEURE
A cinq kes&r&s?» la ren-
tsra à Varls, traînant avfc lui
on« -mitrailleuse: qu'il a enlevé© ...
aux "Vere-all-ais danj% une 1'0-
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%ée> contre'Sïa@ra©ttx.
A budt. ia(c®sr®®9 *©® forte du
fend, Vaaï©f, Ivry, 1\lontruug-e,
Bicèire, commencent Isa canoJl"
-n^.de contre Ciamnrt, et Châ
l,i cn, où ?»oî*t nsaasé© plusieurs
corps d'armés ennemi».
,(,k -saeiai* heïii'es. la panique saî*
mit les- quartiers
triait&©«*©» américaines» rÉpel"-
cuté par l'écho, est pris , par
©©rtftsEsc© g-e-sisj pour den feux
,de pelQton..
Oa se-figure que '• les' gendar»
meit\ ont; forcé l'es ce licite, Cer-
1t!àSm& ass£is*'
JU n'an est rien. ':'"'-
A d-Is. Si^ur^», la fusillade e>i
la casso«iaa«l© s'éloignent. L'en-
aemi semble se retirer.
A c»sîîs© 1s»ï.?ï' ©» 9 les forts ne
tirent plum que quelques «*oupo
int er ml tt CM te.
Onze meures et deml@,.le gé-
nérai 33 «)mbro-.vskî envoie la
dépêche suivantes
*
MIH situation ne présente au.
cswroe gravi; é. Que Paris ait
confiance !L.*att®eepie. des Ver-
gatllaïsi, prévue dlepufta deux
Jours» n'aboutira pas.
DOMBROWSKI.
LE DANGER
Paris, avec ses fortifications, ses bar-
ricades, ses canons, sa population bra-
ve, dévouée et industrieuse, capable des
plus grands sacrifices et des plus éton-
nantes inventions,quand il s'agit de son
honneur et de sa liberté, Paris est im-
prenable, invincible.
Il n'a rien à craindre de l'armée ver-
saillaise, que l'outrage stérile et atroce
d'un bombardement près duquel celui
de Strasbourg, malgré la protestation
de NI. Jules Favre, était mille fois excu-
sable, d'un bombardement qui aujour-
d'hui rend plus honteux et plus odieux
pour les habitants de ia grande
cité, les noms deThiers, Favre, PIc..rd,
Simon et consorts, que ceux de Bis-
mark et de Moliko n'ont été détestés
hier.
Si l'armée des agents et complices do
Pietri persiste à vouloir entrer dans
rançonne, capitale de la France, elle
verra fondro ses régiments comme des
flocons de neige dans un fleuve im-
mense.
M. Tliiers a calculé qu'il lui faudrait
Sacrifier quarante mille bon "es ^
Quarante mille hommes,entendez-vous!,
humanitaires pacificateurs, femmes et
mères! — Quarante mille hommes of-
ferts holocau ste à la raison d E E ta t, q u a -
rantè mille hommes dont la mort est né-
cessaire, non pas à l'honneur et au'salut
de la France, mais à. la satisfaction d'une
ambition de politiqueurs, à la réalisation
d'une intrigue et d'une conspiration de
Parlement.
Quarante mille hommes 1
M. Thiers les sacrifiera.
Mais il a mal calculé ! Ce n'est pas
quarante mille hommes qu'il lui faudra
faire tuer avant d'avoir obtenu cette
vaniteuse et misérable satisfaction.
C'est quatre-vingt ou cent mille cada-
vres peut-être qu'il lui faudra amonce-
ler aux portes de Paris avant de les cre-
ver.
Et, quand les portes seront enfon:"
cées,— si jamais elles peuvent l'être,—
rien ne sera fait. Il faudra recommen-
cer le combat sanglant, terrible ,
acharné, dans lequel s'engloutirait la
plus grande, armée du monde, contre
une ville de deux miliions d'âmes qui
se défend jusqu'à la mort, sachant que
le vainqueur sera sans pitié, et qu'il lui
faut l'exterminer sous peine d'être ex-
terminé par lui.
En supposant que M. Thiers et ses
^'1 lègues, qui n'ont pas reculé devant
le bombardement de Paris, ne reculent
p-as devant cette érior-rriê et horrible hé-
catombe, et que les janissaires et les
agents de l'empire se sacrifient jus-
qu'au dernier pour satisfaire le caprice
des hommes néfastes et honteux du 4
septembre, le gouvernement de Ver-
sailles ne trouverait pas, après cette ar-
mée, dont les fossés des fortifications
seraient la fosse commune , une
*
nouvelle armée capable de continuer la
guerre et de vaincre les citoyens soldats
retranchés dans leurs maisons, défen-
dant pied à pied chaque mur, chaque J
pavé,faisant payer cher à l'envahisseur
ses outrages et sa haine.
Le véritable danger n'est donc pas
dans l'implacable ressentiment du gou-
vernement et de l'assemblée, ni dans
l'armement qui se poursuit à Versailles, j
Le danger est ici, dans le conseil com-
munal, s'il ne sait pas prendre des me-
sures de défense rapides, sûres, à la fois
intelligentes, sages et fermes; il est dans
J'organisation même de la défense, et il
est surtout dans les illusions que pour-
rait faire naître 'iîhe fausse congiHation.
Déjà les journaux ont parlé de ten-
tatives conciliatrices, de démarches
plus ou ou moins officieuses, en vue
d'un arrangement et d'un armistice
qui devrait amener la conclusion d'un
traité de paix définitif.
Le danger est là. |
..
Le danger n'est pas dans la conclu-
sion même du traité, mais dans les di-
visions et les illusions que cette conc'u-
sion d'un traité de paix peut causer,
aggraver encore par les intrigues ver-
saillaises et l'imprévoyance des concilia-
teurs. Nous-mêmes, nous avons dit
qu'il faudrait en finir par ce traité,
qu'il faudrait faire la paix quelque jour;
et nous ;!.vons proposé aux contractants
un modèle de convention.
Mais c'est justement parce que nous
avons songe à la paix que nous devons
songer aux périls qu'elle peut créer;
qu'il est de notre devoir de mettre le
public en garde centre les trahisons ou
es duperies dont elle pourrait être le
prétexte, et de dénoncer à ceux qu'un J
sentiment très-légitime et très-respec- j
table fait agir comme conciliateurs ou !
médiateurs, les pièges qui leur sônt ten-
dus.
Le gouvernement de Versaill-es, non-
seulement ne veut rien céder, rien ac-
corder ou octroyer à Paris, mais encore
il entend lui enlever le peu de libertés
et de garanties qui lui restent, désar-
mer sa garde nationale, sinon entière-
ment, du moins en grande partie,
exercer une vengeance monstrueuse, ré-
primer et proscrire, il l'avouait ouver-
tement, officiellement ; aujourd'hui, il
n'empêche pas de le croire ; demain, il
parlera cnruúl¿.,uit6 après avoir démoli
nos maisons, tué nos femmes et nos en-
fants avec ses obus, il fera parler de
conciliation et d'armistice. Et si nous
avons le malheur et l'imprudence de
croire à la parole de ceux qui ont menti
pendant plus de vingt ans, nous som-
mes.perdus.
Le gouvernement de Versailles comp-
te bien moins sur ses armes que mr sa
ruse pour vaincre Paris. 11 fera des pro-
messes qu'il ne tiendra pas; il conclues
un traité qu'il ne respectera point; il
accordera de proclamer tout ce qu'on
voudra, mais se refusera à donner au-
cune garantie sérieuse et précise.
L'armistice étant conclu, il l'allon-
gera le plus qu'il pourra, et l'emploie-
ra à écraser le mouvement communal
en province, à semer la division dans
Paris, à y faire rentrer ses agents, à y
fomenter quelque nouvelle conspira-
tion, afin de rendre la reprise des hos-
tilités possible, et de contraindre Paiis-
à prendre ses armes, après les avoir dé-
posées,
Voilà le danger,
Citoyens, gardes nationaux, mem-
bres de la Commune, et vous, honnêtes
médiateurs, prenez-y garde! écoutez
l'avertissement de ceux qui, les pre-
miers, ont prévu la pacification, et qui,
aujourd'hui dénoncent à votre pré-
voyance les piéges qu'elle cache et que
vous tendra la diplomatie versaillaise.
Prenez garde au danger des négocia-
tions, plus redoutable pour la liberté
de Paris, et pour la vie et la fortune de
ses habitants, que la fusilladelet le bom-
bardement..
Prenez garde à ces périls dans les-
quels, après tant de sang versé, tant de
sacrifices fièrement, courageusement
subis, vous n'avez pas le droit d'exposer
le salut, le triomphe de l'idée CDmmu-
nale.
Prenez garde, non à l'assaut qui peut
être livré, mais à l'escamotage dans le-
quel peut disparaître la République, et
qui ferait de la conciliation, plus qu'une
erreur ou une faute, — une trahison.
PIERRE DENIS
COMMUNE DE PARIS
Le citoyen Goupil a donné sa démis-
sion de membre de la Commune.
Dorénavant, le procès-verbal de cha-
que séance de la Commune sera inséré
au Jori'!'lW! () f ji'Jiel.
Sur Ja demande de cinq membre.-:
le vole sem nominal et inséré à lvV/1
ficiel.
Le citoyen Amoureux a été nommé
secrétaire de la Commune.
Le citoyen Avdnl est adjoint à la.
commission oxéeuti VB.
ORDRE DU JOUR
Le citoyen Châtelet, professeur de mathé-
matiques, démissionnaire au 2 décembre,
a été enterré hier.
Il avait succombé à l'amputation d'un
bra-s, que deux balles versai liai ses avaient
fracassé au moment où, de la voix et du
geste, il excitait à la victoire les hommes
qu'il commandait en qualité de lieutenant au
61°.
La République pleurera ce vaillant mar'
tyr de la liberté, et les trois, petits enfants
qu'il laisse tiendront le serment que leur' a
fait faire' leur courageuse mère sur la tombe
du héros : celui de venger leur père, et de
vivre libre;ou de mourir comme lui.
LA BATAILLE
La nuit du 10 au 11 a été calme.
Il n'y a pas eu d'engagement sérieux.
Quelques reconnaissances seulement
ont été tentées avec succès.
Evidemment, ce repos momentané
n'est que le prélude d'une action sé-
rieuse.
En attendant, les fédérés, pleins de
confiance et d'entrain, se tiennent soli-
den10rÜ sur la défensive.
Les fortifications se garnissent de ca-
nonsr
Des troupes fraîches sont sur le qui
vive.
Quelques coups do canon cependant
ont été échangés dans la ruatinée.
.Un projectile a encore, atteint l'Arc-
de-Triomphe ; un autre a brisé la coe-
niche d'une maison de la rue d'Eylau.
Vers midi, la batterie de la porte
Maillot a tiré un moment.
Le mont Valérien a répondu.
Ce simulacre de combat d'artillerie a
duré vingt minutes.
•v Les obus de la porte Maillot sont allés
tomber entro les deux casernes du
Mont-Valérien,
La canonnade recommence vers une
heure et demie.
Interrompit un moment, elle re-
prend à trois heures, violente cette fois,
du côté de la porte Maillot.
Les obus recommencent à tomber
dans les Champs-Elysées.
Avenue d'Iéna, un projectile a brisé
un arbre. -
C est le bombardement qui continue.
Au loin quelques rares feux, de pelo-
ton se m'êlené au bruit de *a canon-
na/L,
On entend le grincement des mi-
trailleuses.
Devant le pont des Invalides, les ca-
nonnières toutes armées,attendent l'or-
dre 'du départ.
La canonnière Farcy, qui est actuel-
lement la canonnière liberté, a une ar-
tillerie formidable.
^ Il y a, aux alentours de Paris, une
\iagtaineda ces petitsnavi es, <— canon- -
nières ou batteries floî bntes.
Elles attendent des canonnières en-
voyées, dit-oD,de Cherbourg, pour coo-
pérer au bombardement.
v .A Asnières, aucun eng-agement. Le
village se fortifie d'une manière formi-
dable. LJ, barricade du pont a reçu ce
matin même des renforts d'artillerie.
La gare va être également armée de
'canons et de m'traiiieuses.
Le long des rails du chemin de fer,
les wagons blindes s'apprêtent à faire
tonner leurs grosses pièces établies sur
des trucs mobiles.
A l'extrémité du vidage, du côté de
CourbevoM , la plupart des maisons
sont occupées par les bataillons de la
garde nationale envoyes pour renforcer
la petite garnison.
Un certain nombre do murs ont été
crénelés., et ^des barricades de soutien
sont ébauchées sur quelques points..
^Le bastion 48 va être armé -de trois
pièces de iG et do deux mortiers cou:"
chés sur les remparts.
Sur la rive gauche le calme a été à
peu près le même.
, Vanves e^. Is&y canonnent lentement
Châiilion qui ne répond pas.
Dms 1® ÏMÏIS (l1l(ffi ûfcnMpi quelques
avant-pastes.
Il y a -cpa.dlqoies. feus
Partout, d'sïifeéEFffi,, les frèdaIras veil-
lent pleins d'eMln^gpssasgmg»,
La journée dïi 10-s.¥siÊ d"'»-ijtews été
relativemeat calme â MeriiOV»
Dans la. maUnée, qŒ.61qITe-S COllp8 de
canon échangés à longs iafeTalies eu-
tre le mont Vatenso, fgs feslferïes cfn
bois de Boulogne et par>tü ThT aiUot.
Vers deux heureSjSenlÉDi^sir unf -o-
lonne de gendarmes et de soickts d /li-
gne s'avance jusqn''an marché de Ke- oïl-
ly, où les fédérés se sont fortement re-
tranchés. Le combat s'engage avec
acharnement ; les gendarmes surtout
se nattent avec fureur. Deux fois les fé-
dérés sont refoulés de leurs positions.
Mais ils reviennent a la. charge avec
un nouvel entrain et repoussent enfin les
gendarmes, après leur avoir infligé des
pertes sensibles.
,4 Asnières, le combat avait été plus
serieux..
Les gendarmes étaient partis de bon-
ne heure de Rueil et de Puteaux avec
un corps de cavalerie. '
Les fédérés étaient prêts.
Asmères fut attaqué sur trois points
diiierents. *
Le général Dombrowski avait pris se^
mesures.
En avant du village, dans le bois de
Colombes, et sur toutes les routes car
où une aUaque pouvait avoir lieu, un
épais rideau de tirailleurs protégeait
les fédérés contre toute surprise.
A la première attaque, ces tirailleurs
se replièl'ent,dans un ordre parfait,sur
le gros des forces fédérées retranché
dans le volage même. Vivement atta-
qués derrière leurs retranchements, les
gardes nationaux, se défendirent avec
courage, et c'est avec la plus grande
difficulté que les troupes purent les
chasser de leurs positions.
Des canons masqués derrière les der-
nières maisons du village ouvrirent
alors leur feu. Les soldats, étonnés par
cette pluie de mitraille imprévue, n'of~
frirent qu'une faible résistance auxnou.,
velles colonnes d'attaque que le général
Dombrowski envoyait à l'assaut. Les
fédérés restèrent maîtres de leurs posi-
tions.. u -
. Lo^P^cs des gendarmes, ont été très
j sérieuses.
Vers Montroue, il y a eu quelques
engagements.
Quelques détonations intermittentes
du côté de Meudon et du côté de BÊU
gneux.
A la porte de Versailles, il y aurait eu
une escarmouche.
Une quinzaine de sergents de ville
seraient restés au pouvoir des erardek
nationaux.
Une personne qui arrive de Lagnyv
nous écrit.
Voici ce que j'ai vu :
1° Un sergent de ligne arrivant de
Versailles et disant dans un groupe
qu'à Paris on fusille tous les lignards
qui tombent entre les mains de la gar-
de nationale, J al protesté.
2° Des individus disent que les Prus-
siens doivent prendre part au combat
le 15 avili. Quant à moi, je crois et, j'ai'
des raisons pour croire que les Prus »
siens rougiraient d'une alliance avec:
M. Thiers, et j'ai hautement exprimé
cette opinion dans les groupes.
Le 181° bataillon, qui vient de metjje gé"
néreuserl1cQt ¡y la. disposition de la Commune
U somma de quatre mille francs provenant,
de la souscription faite pendant la. guerre;
pour offrir un canon à la déÎ,.!Ilse nationale,
a fait une découverte très importante.
Dil factionnaire de garde sur le rempart, en.
face de la gare d'Au leuii rsentan.t la terre fié»
chir sous ses pieds, eut Fidée de sonder avec,
sa baïonaeife, éprouvant de la résistance, iî
creuse avec SS3 mains, et découvre quoi? Us
superbe tanon de 13 presque neuf.
Il cherche aux emit-aos, et en met à jour
six nulles dans -toi espace, de dix mètres,
enfouis 5. îa prafradeur (Feine
ne'Jt': .
A'vhs en a tlë donné au senteur iuimêd'ia*
tement, piir les smt-is du capLaîne»
Il serait ù diésîrer quîa des recherches sé,
rieuses soient faites;.
TlillïUi" Glamutinr^ Frasnaudi^
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