Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-07-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 30 juillet 1923 30 juillet 1923
Description : 1923/07/30 (T24,N2414). 1923/07/30 (T24,N2414).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467086h
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
r
MINISTÈRE
(H DBS
tPPAIRES ÉTRANGÈRES
o 2414
Lundi 30 juillet 1923
-
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
b~
BESSE ALLEMANDE. — La France et le sépa-
ratisme rhénan (Vorwaerts). — Natio-
p ahsme et bolchevisme (Germania).
I{E:SE ANGLAISE. — France et Grande-Bre-
agile (Daily Mail). — La réponse belge
* a la note britannique (Times, Morning
post). - La réponse française à la note
britannique (Observer ; H. F. Spender
lJ 4ans Westminster Gazette).
I{ESSE. ITALIENNE. — Les réparations et la
Politique traditionnelle de la Grande-
Bretagne (R. Cantalupo dans Idea Na-
tionale).
POLITIQUE GENEBUE
LES RÉPARATIONS
OI\ANCE ET GRANDE-BRETAGNE. -
l¡\ F le titre : « NE TOURNONS PAS LE DOS A
(j lACE ». — Nous félicitons les électeurs
rrw, ee(ls-Cenitre du message d'encourage-
Wils ont adressé à la France en un
il ent critique en nommant sir Charles
s'ef/0 Bulletin n° 2404, page 3]. Il
som : tenu résolument au programme de
la France et de faire payer l'Alle-
Victo, e. C'est à ce programme qu'il doit une
victoire des plus satisfaisantes et des plus
Le s.
fOis ^sultat de cette élection prouve une
qists e Plus que la poignée de propagan-
tellde de financiers cosmopolites qui pré-
d nt êbre les porte-parole de l'Angleterre
dp man,(lant que nous abandonnions la
tlqys e, l'ont pas d'appui solide dans le
No
le d s espérons que M. Baldwin prendra
• e-ce verdict d'une grande circonscrip-
Ustfielle. Son discours de Glasgow
tlleb.ts fès, intéressant et rempli de senti-
l'8.it a. qUI lui font honneur; mais on ne sau-
ae ter, sans avoir des preuves beau-
ls Us complètes, ce qu'il a dit des ef-
t.t l'aeOdults sur le commerce britannique
P^ion de la Ruhr. On peut même
?j°Ute r que ses paroles étaient en contradic-
esvec teUes de ces déclarations anté-
es
t d 1, à Glasgow, il s'est alarmé, non pas
? dommages infligés d'ores et déjà au
Ninerce britannique par suite de l'occupa-
~6 de l'idée qu'à un moment donné
ft-ein PatlOrl pourrait produire l'effet « d'un
ae fftiu tout le commerce international qui
%t fa, ent autrefois ». Mais, le 12 juillet, il
avait dit à la Chambre des Communes :
« Nous n'aurions aucune difficulté à démon-
trer le caractère sérieux des effets produits
déjà sur le commerce britannique. » Nous
ne pouvons concilier ces deux versions.
Il est un point des plus importants sur le-
quel il n'a projeté aucune lumière. Il n'a pas
expliqué ce que nous allons recevoir de l'Al-
lemagne pour avoir vendu la France. Si la
crise de la Ruhr est préjudiciable au com-
merce britannique, on peut dire que le gou-
vernement britannique est, dans une large
mesure, responsable de la prolongation de
cette crise. Sir Percival PhiUips déclare ex-
pressément qu'en se tenant à l'écart, la
Grande-Bretagne a encouragé les Allemands
à persister dans leur résistance passive.
Mettons-nous bien dans l'esprit que les
Français entendent casser cette noix de la
Ruhr, que nous les aidions, ou que nous
nous contentions de nous croiser les bras
et de leur adresser des semonces. Sans no-
tre aide, ils y mettront plus de temps, mais
le résultat n'en est pas moins certain.
La France ne se retirera pas de la Ruhr,
tant que son but n'aura pas été atteint. C'est
un grand pays, un pays fier. Pour entamer
sa résolution, il ne s'agit pas d'amener M.
Poincaré à changer d'avis, mais de briser la
volonté du peuple français tout entier. Si M.
Poincaré disparaissait demain, son succes-
seur serait aussi résolu que lui, car l'opi-
nion publique en France ne veut plus de
ces solutions qui pourraient seulement
aboutir à une répétition de 1870 et de 1914.
Comme le disait un observateur très aver-
ti : «, Ne pas payer de réparations et écra-
ser la France, telles sont les deux idées
dominantes dont s'inspirent les classes diri-
geantes de l'Allemagne. »
Les Français se rendent parfaitement
compte de tout cela. Ils comprennent que
personne ne peut stabiliser les finances alle-
mandes, si ce n'est les Allemands eux-mê-
mes. Comme lorsqu'on a affaire à un « gré-
viste de la faim » qui menace de se laisser
mourir d'inanition, le seul remède, avec les
Allemands, est de leur montrer qu'on va les
laisser faire, et non pas de leur permettre,
en cédant à leur menace, d'échapper à la
punition qu'ils méritent. (Ed.)
DAILY MAIL, 28.7.
LA REPONSE BELGE A LA NOTE BRI-
TANNIQUE. — De Bruxelles, 29 juillet : Le
projet de réponse belge à la note britannique
a été envoyé hier à Paris, après avoir reçu
l'approbation du conseil des ministres.
Le gouvernement belge a examiné hier
également le projet de réponse français. Il
n'y a pas un complet accord entre les deux
documents. La note française, bien qu'elle
adopte certaines suggestions belges, est
beaucoup moins précise que celle de la Bel-
gique. La note belge est de nature plus po-
sitive et contient une allusion aux méthodes
selon lesquelles les paiements de l'Allemagne
pourraient être assurés,. M. Poincaré aurait
désiré, à ce que j'apprends, répondre à M.
Baldwin et à lord Curzon le lendemain de
la communication britannique, mais la Bel-
gique demanda un certain délai afin de
permettre des conversations.
Malgré les divergences que présentent les
deux notes, il existe une communauté de
vues complète entre Paris et Bruxelles tou-
chant l'occupation de la Ruhr. La Belgique
adhère à ses déclarations antérieures sur ce
sujet. Aucun changement n'interviendra dans
la Ruhr tant que l'Allemagne n'aura pas
renoncé à la résistance passive ; c'est un
point sur lequel insistent à la fois les notes
française et belge. Si l'Allemagne abandonne
la résistance passive, alors il y aura retour
au régime du 10 janvier, en d'autres termes
à l'occupation invisible.
D'après une information d'excellente sour-
ce, aucun des gouvernements de Paris,
Bruxelles et Rome, n'accepterait purement et
simplement le projet de réponse britannique
à l'Allemagne. Le gouvernement italien for-
mule certaines réserves, mais il espère, de
même que le gouvernement belge, qu'il sera
possible d'envoyer au Reich une réponse col-
lective interalliée.
Les réponses française et belge laissent le
champ libre à de nouvelles négociations et
le gouvernement belge n'abandonne pas
l'espoir d'un accord. Il ne négligera rien
pour rapprocher les points de vue diver-
gents. Aucune décision n'a été prise en vue
d'une rencontre des ministres britannique,
français et belge. Il est probable que les né-
gociations seront suspendues pour peu de
temps. — (Du correspondant particulier.)
TIMES, 30.7.
— De Bruxelles, 29 juillet : L'accord existe
entre Paris et Bruxelles touchant l'occupa-
tion de la Rhur et la résistance passive, mais
non pas en ce qui concerne les grandes li-
gnes d'un règlement du problème des répa-
rations. La note belge à la Grande-Bretagne
examinera s'il n'existe pas une solution plus
pratique du problème. Le cabinet belge fera
tout ce qui dépend de lui pour que l'accord
s'établisse entre les alliés et qu'une réponse
commune soit adressée à la note allemande
du 7 juin. —" (Du correspondant particulier.)
MORNING POST, 30.7.
LA REPONSE FRANÇAISE. — INFORMA-
TIONS ET COMMENTAIRES ANGLAIS. — La réponse
de la France à la note britannique, bien que
terminée vendredi et attendue à Londres
pendant le « week-end » n'a pas encore été
MINISTÈRE
(H DBS
tPPAIRES ÉTRANGÈRES
o 2414
Lundi 30 juillet 1923
-
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
b~
BESSE ALLEMANDE. — La France et le sépa-
ratisme rhénan (Vorwaerts). — Natio-
p ahsme et bolchevisme (Germania).
I{E:SE ANGLAISE. — France et Grande-Bre-
agile (Daily Mail). — La réponse belge
* a la note britannique (Times, Morning
post). - La réponse française à la note
britannique (Observer ; H. F. Spender
lJ 4ans Westminster Gazette).
I{ESSE. ITALIENNE. — Les réparations et la
Politique traditionnelle de la Grande-
Bretagne (R. Cantalupo dans Idea Na-
tionale).
POLITIQUE GENEBUE
LES RÉPARATIONS
OI\ANCE ET GRANDE-BRETAGNE. -
l¡\ F le titre : « NE TOURNONS PAS LE DOS A
(j lACE ». — Nous félicitons les électeurs
rrw, ee(ls-Cenitre du message d'encourage-
Wils ont adressé à la France en un
il ent critique en nommant sir Charles
s'ef/0 Bulletin n° 2404, page 3]. Il
som : tenu résolument au programme de
la France et de faire payer l'Alle-
Victo, e. C'est à ce programme qu'il doit une
victoire des plus satisfaisantes et des plus
Le s.
fOis ^sultat de cette élection prouve une
qists e Plus que la poignée de propagan-
tellde de financiers cosmopolites qui pré-
d nt êbre les porte-parole de l'Angleterre
dp man,(lant que nous abandonnions la
tlqys e, l'ont pas d'appui solide dans le
No
le d s espérons que M. Baldwin prendra
• e-ce verdict d'une grande circonscrip-
Ustfielle. Son discours de Glasgow
tlleb.ts fès, intéressant et rempli de senti-
l'8.it a. qUI lui font honneur; mais on ne sau-
ae ter, sans avoir des preuves beau-
ls Us complètes, ce qu'il a dit des ef-
t.t l'aeOdults sur le commerce britannique
P^ion de la Ruhr. On peut même
?j°Ute r que ses paroles étaient en contradic-
esvec teUes de ces déclarations anté-
es
t d 1, à Glasgow, il s'est alarmé, non pas
? dommages infligés d'ores et déjà au
Ninerce britannique par suite de l'occupa-
~6 de l'idée qu'à un moment donné
ft-ein PatlOrl pourrait produire l'effet « d'un
ae fftiu tout le commerce international qui
%t fa, ent autrefois ». Mais, le 12 juillet, il
avait dit à la Chambre des Communes :
« Nous n'aurions aucune difficulté à démon-
trer le caractère sérieux des effets produits
déjà sur le commerce britannique. » Nous
ne pouvons concilier ces deux versions.
Il est un point des plus importants sur le-
quel il n'a projeté aucune lumière. Il n'a pas
expliqué ce que nous allons recevoir de l'Al-
lemagne pour avoir vendu la France. Si la
crise de la Ruhr est préjudiciable au com-
merce britannique, on peut dire que le gou-
vernement britannique est, dans une large
mesure, responsable de la prolongation de
cette crise. Sir Percival PhiUips déclare ex-
pressément qu'en se tenant à l'écart, la
Grande-Bretagne a encouragé les Allemands
à persister dans leur résistance passive.
Mettons-nous bien dans l'esprit que les
Français entendent casser cette noix de la
Ruhr, que nous les aidions, ou que nous
nous contentions de nous croiser les bras
et de leur adresser des semonces. Sans no-
tre aide, ils y mettront plus de temps, mais
le résultat n'en est pas moins certain.
La France ne se retirera pas de la Ruhr,
tant que son but n'aura pas été atteint. C'est
un grand pays, un pays fier. Pour entamer
sa résolution, il ne s'agit pas d'amener M.
Poincaré à changer d'avis, mais de briser la
volonté du peuple français tout entier. Si M.
Poincaré disparaissait demain, son succes-
seur serait aussi résolu que lui, car l'opi-
nion publique en France ne veut plus de
ces solutions qui pourraient seulement
aboutir à une répétition de 1870 et de 1914.
Comme le disait un observateur très aver-
ti : «, Ne pas payer de réparations et écra-
ser la France, telles sont les deux idées
dominantes dont s'inspirent les classes diri-
geantes de l'Allemagne. »
Les Français se rendent parfaitement
compte de tout cela. Ils comprennent que
personne ne peut stabiliser les finances alle-
mandes, si ce n'est les Allemands eux-mê-
mes. Comme lorsqu'on a affaire à un « gré-
viste de la faim » qui menace de se laisser
mourir d'inanition, le seul remède, avec les
Allemands, est de leur montrer qu'on va les
laisser faire, et non pas de leur permettre,
en cédant à leur menace, d'échapper à la
punition qu'ils méritent. (Ed.)
DAILY MAIL, 28.7.
LA REPONSE BELGE A LA NOTE BRI-
TANNIQUE. — De Bruxelles, 29 juillet : Le
projet de réponse belge à la note britannique
a été envoyé hier à Paris, après avoir reçu
l'approbation du conseil des ministres.
Le gouvernement belge a examiné hier
également le projet de réponse français. Il
n'y a pas un complet accord entre les deux
documents. La note française, bien qu'elle
adopte certaines suggestions belges, est
beaucoup moins précise que celle de la Bel-
gique. La note belge est de nature plus po-
sitive et contient une allusion aux méthodes
selon lesquelles les paiements de l'Allemagne
pourraient être assurés,. M. Poincaré aurait
désiré, à ce que j'apprends, répondre à M.
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la communication britannique, mais la Bel-
gique demanda un certain délai afin de
permettre des conversations.
Malgré les divergences que présentent les
deux notes, il existe une communauté de
vues complète entre Paris et Bruxelles tou-
chant l'occupation de la Ruhr. La Belgique
adhère à ses déclarations antérieures sur ce
sujet. Aucun changement n'interviendra dans
la Ruhr tant que l'Allemagne n'aura pas
renoncé à la résistance passive ; c'est un
point sur lequel insistent à la fois les notes
française et belge. Si l'Allemagne abandonne
la résistance passive, alors il y aura retour
au régime du 10 janvier, en d'autres termes
à l'occupation invisible.
D'après une information d'excellente sour-
ce, aucun des gouvernements de Paris,
Bruxelles et Rome, n'accepterait purement et
simplement le projet de réponse britannique
à l'Allemagne. Le gouvernement italien for-
mule certaines réserves, mais il espère, de
même que le gouvernement belge, qu'il sera
possible d'envoyer au Reich une réponse col-
lective interalliée.
Les réponses française et belge laissent le
champ libre à de nouvelles négociations et
le gouvernement belge n'abandonne pas
l'espoir d'un accord. Il ne négligera rien
pour rapprocher les points de vue diver-
gents. Aucune décision n'a été prise en vue
d'une rencontre des ministres britannique,
français et belge. Il est probable que les né-
gociations seront suspendues pour peu de
temps. — (Du correspondant particulier.)
TIMES, 30.7.
— De Bruxelles, 29 juillet : L'accord existe
entre Paris et Bruxelles touchant l'occupa-
tion de la Rhur et la résistance passive, mais
non pas en ce qui concerne les grandes li-
gnes d'un règlement du problème des répa-
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examinera s'il n'existe pas une solution plus
pratique du problème. Le cabinet belge fera
tout ce qui dépend de lui pour que l'accord
s'établisse entre les alliés et qu'une réponse
commune soit adressée à la note allemande
du 7 juin. —" (Du correspondant particulier.)
MORNING POST, 30.7.
LA REPONSE FRANÇAISE. — INFORMA-
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