Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-07-10
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 10 juillet 1923 10 juillet 1923
Description : 1923/07/10 (T24,N2398). 1923/07/10 (T24,N2398).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467070n
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINIS fÈRE
t DES
JJFP AIHES ÉTRANGÈRES
N° 2398
Mardi 10 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — U est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE.- Les conversations
f::iE Al.LEMADE. - Les conversations
r.9ncO'-britanniquès (Frankfurter Zei-
tUrJ,(J). — Sur une alliance franco-alle-
ande (Arnold Rechberg dans Acht-
hl'-A-bendblatt). — Les démarches du
Qint-Srcge à Berlin (Frankfurter Zei-
p tun(J).
i \:\IElUc.\I;'o;E. — La Ruhr, garantie de
p a France (lYew York Tribune).
SSE ANGLAISE. — Les conversations fran-
eO-britannique,s (Daily Mail, Morning
POst, Times, Daily News, Daily Ex-
P ess). — Les sabotages dans la Ruhr
h" (Titiles). 0
SE BELGE. — L'orientation de la politi-
qu'e belge (Fernand Passelecq dans
plbre Belgique ; Yandervelde dans
h eUPle).
J3*- SUISSE. — L'admission de l'Allema-
R?e, dans la Société des nations (Basler
ichten).
POLITIQUE GENERALE
rj, LES RÉPARATIONS
'1' N CONVERSATIONS FRANCO-BRI-
QUES. — PRESSE ANGLAISE. — Sous le
Utrç ," PAS DE RIPTURE AVEC LA FRANCE ». —
Les l'elûtins entre les gouvernements fran-
l'lie britannique ne sont pas améliorées,
em ^.rées depuis huit jours ; mais la ten-
de "tIl, 'r'a LY es ap p réhensions. n
ayes appréhensions.
ant la - guerre, l'Allemagne tenta vai-
riellî "lt de briser la solidarité de l'Entente.
PhÙes d hm, avec l'appui de nos germanlO-
sue s'efforce, non sans quelque
hclriç de succès, de créer une scission ir-
Sllccès, de créer une scission ir-
le entre nos voisins et nous.
Les Plants, les maniaques et les émis-
^ire S ln^igants de la finance internatio-
^9-1-e
Vel1I.eUl cherchent à persuader notre gou-
et ent de tourner le dos à la France
et C]v CM (Tr\er des dis.cussions séparees avec
t)¡e.r¡t agne, ne représentent pas le senti-
bors lOIPUlaire en Grande-Bretagne. Il est
ers ] e doute que la masse de notre nation,
V a rectitude de son instinct politique,
\Ille (l?erait avec défaveur et avec chagrin
n'a* ^Sr&vation du désaccord avec la
0
ellndant si l'opinion publique ne fait
et] r'e sa voix, si des protestations ne
hlge de chaque ville et de chaque vil-
<îe
e être nous réveillerons-nous un
V 'i'l prochains matins, pour apprendre
et llot ntente- qui fut le salut de l'Europe
"l not re meilleure sauvegarde, a été dé-
i Hite
1
Des mains imprudentes et malfaisantes
sapent les fondations que le roi Edouard, le
pacificateur, posa d'une main sûre, il y a
vingt ans. Il est encore possible de sauver
la situation, mais il reste peu de temps
pour le faire.
L'occupation de la Ruhr avait été envisagée en
mai 1921 par M. Lloyd George lui-même.
L'Allemagne a bénéficié, depuis, de deux
années de grâce. Elle n'a presque rien fait
pour accomplir ses obligations. Elle ne fera
rien, si elle n'est pas soumise à une pres-
sion analogue à celle qu'exerce aujourd'hui
la France. La politique de la Ruhr aurait
réussi dès l'origine, si la Grande-Bretagne
était restée à l'écart et n'avait ainsi con-
vaincu les Allemands que par leur obstina-
tion ils pourraient briser l'Entente. La poli-
tique qui était justifiée il y a deux ans,
l'est doublement aujourd'hui. Nous devrions
lui prêter notre appui et ne pas rompre
avec la France. Il n'y aura pas de rupture
si la nation fait comprendre promptement
ce qu'elle désire. — (Ed.)
DAILY MAIL, 9.7.
- Sous le titre : « LE RÉTABLISSEMENT DE L'OR-
DRE EN EUROPE », la Morning Post écrit que bien
que la presse ait mal interprété, et comme tou-
jours dans un sens favorable à l'Allemagne, le
discours prononcé à Birmingham samedi par
M. Neville Chamberlain, ministre de l'Hygiène,
il n'y a, en fait, rien dans ses observations qui
soit contraire à la politique traditionnelle de
l'Angleterre envers la France. Cette politique
consiste toujours dans le maintien des relations
les plus cordiales avec « la vieille aliée de l'An-
gleterre. n,
« La France, comme l'a déclaré M. Cham-
berlain, peut avoir ou non tiré profit de
l'occupation de la Ruhr. Mais si à l'heure
actuelle elle n'en a récolté aucun avantage
matériel, ceux qui ont le sens de la politique
nationale britannique peuvent bien être ten-
tés de dire : « A qui la faute ? » Une ga-
rantie suffisante de sécurité présente et fu-
ture est essentiellement nécessaire à la
France, comme elle l'est aussi à notre
pays. Cette nécessité a été reconnue lors-
qu'à été projeté le triple acte entre la Fran-
ce, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Et
quand, par suite de la défection des Etats-
Unis, ce projet a échoué, il ne restait, à no-
tre pays d'autre voie compatible avec son
honneur, et doit-on ajouter avec ses inté-
rêts que de mettre à exécution la politique
d'une alliance européenne embrassant la
France, la Belgique et l'Italie. C'est là la
seule route à suivre, pour arriver à rétablir
l'ordre en Europe, elle fournissait une ga-
rantie de paix future, et M. Lloyd George
a refusé de s'y engager. A l'époque, M.
Lloyd George occupait le poste de secré-
taire d'Etat aux Affaires étrangères, éclip-
sant le marquis Curzon qui, s'il n'était pas
de l'avis de M. Lloyd George, gardait à ce
sujet un silence discret.
Que devait faire, demanderons-nous, la
France privée de l'adhésion promise de son
alliée et des Etats-Unis ?. La France a
deux buts primordiaux et pour son bien-être
actuel comme pour son existence future, il
est nécessaire qu'elle les atteigne. L'un est
le paiement par l'Allemagne des réparations
qu'elle doit, l'autre sa sécurité contre toute
agression de l'Allemagne.
Si les amis que l'Allemagne a dans ce
pays obtenaient satisfaction, nos relations
avec la France seraient rompues, le traité
de Versailles serait aboli (comme l'a propo-
sé lord Birkenhead), et les dettes de l'Alle-
magne seraient réduites à une obligation no-
minale.
Les arguments mis en avant, pour justi-
fier une politique si honteuse consistent
dans la nécessité de. rétablir le commerce
anglais avec l'Allemagne. Ce à quoi on peut
répondre que le résultat immédiat du réta-
blissement du commerce entre les deux
pays. serait, comme M. Bonar Law l'a dit,
le rétablissement d'une rivalité commer-
ei al el qui causerait de très grands domma-
ges. Bien entendu le rétablissement du com-
merce est une chose essentielle ; mais pour
cela, ce qui est avant tout nécessaire, c'est
un arrangement durable. Une rupture avec
la France rendrait semblable arrangement
impossible. <,
La France deviendrait de nouveau un
puissant ennemi.La désunion entre les alliés
conduirait tout droit à une nouvelle guerre
européenne ; ce qui, de fait, comme les évé-
nements l'ont démontré était la conclusion
inévitable de la diplomatie de M. Lloyd
George, diplomatie à la fois tortueuse et mal
informée. Maintenant, pour la première fois
depuis la signature de l'armistice, notre
pays a un Premier Ministre nettement ré-
solu à affronter à un rétablissement de l'or-
dre en Europe qui soit à la fois juste et du-
rable. La grande tâche die M. Baldwin, com-
pliquée comme elle l'est par un tissu d'er-
reurs passées et par la méfiance qu'elles ont
engendrée, ne peut pas se faire en un mo-
ment. Mais dans les efforts qu'il fait en ce
sens, le Premier Ministre a l'appui de la
masse de la population parfaitement satis-
faite de voir la conduite des affaires aux
mains d'un homme d'E in t. honnête, sagace
et résolu. - (Ed.)
MORNING POST, 9.7.
— Le seul fait qui se dégage jusqu'à.
présent, de l'échange de vues qui vient
d'avoir lieu entre les gouvernements britan-
nique et français, c'est que la France a dé-
cidé de n'engager aucune conversation avec
l'Allemagne tant qu'elle n'aurait pas désa-
voué la résistance passive dans la Ruhr et
t DES
JJFP AIHES ÉTRANGÈRES
N° 2398
Mardi 10 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — U est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE.- Les conversations
f::iE Al.LEMADE. - Les conversations
r.9ncO'-britanniquès (Frankfurter Zei-
tUrJ,(J). — Sur une alliance franco-alle-
ande (Arnold Rechberg dans Acht-
hl'-A-bendblatt). — Les démarches du
Qint-Srcge à Berlin (Frankfurter Zei-
p tun(J).
i \:\IElUc.\I;'o;E. — La Ruhr, garantie de
p a France (lYew York Tribune).
SSE ANGLAISE. — Les conversations fran-
eO-britannique,s (Daily Mail, Morning
POst, Times, Daily News, Daily Ex-
P ess). — Les sabotages dans la Ruhr
h" (Titiles). 0
SE BELGE. — L'orientation de la politi-
qu'e belge (Fernand Passelecq dans
plbre Belgique ; Yandervelde dans
h eUPle).
J3*- SUISSE. — L'admission de l'Allema-
R?e, dans la Société des nations (Basler
ichten).
POLITIQUE GENERALE
rj, LES RÉPARATIONS
'1' N CONVERSATIONS FRANCO-BRI-
QUES. — PRESSE ANGLAISE. — Sous le
Utrç ," PAS DE RIPTURE AVEC LA FRANCE ». —
Les l'elûtins entre les gouvernements fran-
l'lie britannique ne sont pas améliorées,
em ^.rées depuis huit jours ; mais la ten-
de "tIl, 'r'a LY es ap p réhensions. n
ayes appréhensions.
ant la - guerre, l'Allemagne tenta vai-
riellî "lt de briser la solidarité de l'Entente.
PhÙes d hm, avec l'appui de nos germanlO-
sue s'efforce, non sans quelque
hclriç de succès, de créer une scission ir-
Sllccès, de créer une scission ir-
le entre nos voisins et nous.
Les Plants, les maniaques et les émis-
^ire S ln^igants de la finance internatio-
^9-1-e
Vel1I.eUl cherchent à persuader notre gou-
et ent de tourner le dos à la France
et C]v CM (Tr\er des dis.cussions séparees avec
t)¡e.r¡t agne, ne représentent pas le senti-
bors lOIPUlaire en Grande-Bretagne. Il est
ers ] e doute que la masse de notre nation,
V a rectitude de son instinct politique,
\Ille (l?erait avec défaveur et avec chagrin
n'a* ^Sr&vation du désaccord avec la
0
ellndant si l'opinion publique ne fait
et] r'e sa voix, si des protestations ne
hlge de chaque ville et de chaque vil-
<îe
e être nous réveillerons-nous un
V 'i'l prochains matins, pour apprendre
et llot ntente- qui fut le salut de l'Europe
"l not re meilleure sauvegarde, a été dé-
i Hite
1
Des mains imprudentes et malfaisantes
sapent les fondations que le roi Edouard, le
pacificateur, posa d'une main sûre, il y a
vingt ans. Il est encore possible de sauver
la situation, mais il reste peu de temps
pour le faire.
L'occupation de la Ruhr avait été envisagée en
mai 1921 par M. Lloyd George lui-même.
L'Allemagne a bénéficié, depuis, de deux
années de grâce. Elle n'a presque rien fait
pour accomplir ses obligations. Elle ne fera
rien, si elle n'est pas soumise à une pres-
sion analogue à celle qu'exerce aujourd'hui
la France. La politique de la Ruhr aurait
réussi dès l'origine, si la Grande-Bretagne
était restée à l'écart et n'avait ainsi con-
vaincu les Allemands que par leur obstina-
tion ils pourraient briser l'Entente. La poli-
tique qui était justifiée il y a deux ans,
l'est doublement aujourd'hui. Nous devrions
lui prêter notre appui et ne pas rompre
avec la France. Il n'y aura pas de rupture
si la nation fait comprendre promptement
ce qu'elle désire. — (Ed.)
DAILY MAIL, 9.7.
- Sous le titre : « LE RÉTABLISSEMENT DE L'OR-
DRE EN EUROPE », la Morning Post écrit que bien
que la presse ait mal interprété, et comme tou-
jours dans un sens favorable à l'Allemagne, le
discours prononcé à Birmingham samedi par
M. Neville Chamberlain, ministre de l'Hygiène,
il n'y a, en fait, rien dans ses observations qui
soit contraire à la politique traditionnelle de
l'Angleterre envers la France. Cette politique
consiste toujours dans le maintien des relations
les plus cordiales avec « la vieille aliée de l'An-
gleterre. n,
« La France, comme l'a déclaré M. Cham-
berlain, peut avoir ou non tiré profit de
l'occupation de la Ruhr. Mais si à l'heure
actuelle elle n'en a récolté aucun avantage
matériel, ceux qui ont le sens de la politique
nationale britannique peuvent bien être ten-
tés de dire : « A qui la faute ? » Une ga-
rantie suffisante de sécurité présente et fu-
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qu'à été projeté le triple acte entre la Fran-
ce, les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Et
quand, par suite de la défection des Etats-
Unis, ce projet a échoué, il ne restait, à no-
tre pays d'autre voie compatible avec son
honneur, et doit-on ajouter avec ses inté-
rêts que de mettre à exécution la politique
d'une alliance européenne embrassant la
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l'ordre en Europe, elle fournissait une ga-
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Lloyd George occupait le poste de secré-
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de l'avis de M. Lloyd George, gardait à ce
sujet un silence discret.
Que devait faire, demanderons-nous, la
France privée de l'adhésion promise de son
alliée et des Etats-Unis ?. La France a
deux buts primordiaux et pour son bien-être
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est nécessaire qu'elle les atteigne. L'un est
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qu'elle doit, l'autre sa sécurité contre toute
agression de l'Allemagne.
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avec la France seraient rompues, le traité
de Versailles serait aboli (comme l'a propo-
sé lord Birkenhead), et les dettes de l'Alle-
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Les arguments mis en avant, pour justi-
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ei al el qui causerait de très grands domma-
ges. Bien entendu le rétablissement du com-
merce est une chose essentielle ; mais pour
cela, ce qui est avant tout nécessaire, c'est
un arrangement durable. Une rupture avec
la France rendrait semblable arrangement
impossible. <,
La France deviendrait de nouveau un
puissant ennemi.La désunion entre les alliés
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rable. La grande tâche die M. Baldwin, com-
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et résolu. - (Ed.)
MORNING POST, 9.7.
— Le seul fait qui se dégage jusqu'à.
présent, de l'échange de vues qui vient
d'avoir lieu entre les gouvernements britan-
nique et français, c'est que la France a dé-
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