Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-06-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 13 juin 1923 13 juin 1923
Description : 1923/06/13 (T24,N2375). 1923/06/13 (T24,N2375).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467047d
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
IINISTfRR
DES
ES ÉTRANGÈRES
N° 2375
Mercredi 1:1 jllin 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
!"\I]V'll%1 AN|,J;- Le cabinet Baldwin et
"f [lelllagllP [liermania). - Le nouveau
'1 M>n'11 bulgare (Kôlnische Volks-
h d'Iill/lf/). 1:>
.,r"SF \Ni IAISK- — Les nouvelles proposi-
tions allemandes (Times, Àlominii
1>,IyS, lil!l Mail, H. F. Spender dans
D,fH/!! ,\lai!, H. F. Spen.der das
l', IlS. - Daily Telegraph). —
.d, j"gl(IIJ('ltlnti¡)lI du logement en Rus-
m,. (7"
fiiSS(i"",e5)- - Le* bolcheviks et l'église
,tl:Sf' (Til//es), - l'ii situation des
étran (1'1' '! Bussic ('r'
";:pSsV| >Ar)VM'K' Lo régime <'e Tanger
■/er/ E'
.d:, Epog).
"POLITIQUE GENERALE
---
Les RÉPARATIONS
htNNOUVELLES PROPOSITIONS AL-
l , DEs. - ['it'-ssi; anglaise. — Les jour-
,[", 11 i^n'S ''U 12 juin expriment l'espoir
'"s |-^i]Xoi'stiiinns pourront s'engager enU'e
• i'Vs. ,, vUe établir une réponse commune
II,»W dHemande et. préparer un règlement.
yquo dp Iu.questioll des réparations. Une
'luestion des réparations. Une
!'1 i-(\s,.| f °sl observée quant, aux délibéra-,
:> 'lu '11'1 d° la Veill°-
1!;r"'111' Il, public britannique ne
J" l''t l
: i "Hdfj.ji ^as C'ue 'a participation de la
1 Iril'h' l¡¡gUI' iL La discussion d'un: problème
au mènie litre tous les alliés, fût su-
r u, des conditions quelconques.
,,' f[pl'
h lllf'rt' note allemande donne l'occa-
Ni H¡I'JlI()' ( I;(I' dey discussions- sérieuses.
"I¡"'(I l,t'lie pas saisir cette occasion sans
"1 i. | lenk¡' cl'UUéLO'¡er le fardeau qui pèse
,'!M|'"|' SI¡ ,1u ot' d'inquiétudes seraient dis-
siii--i -,J,lurnl>, si l'attitude' du gouver-
ilh>t frln^ai's montrait l'identité fonda-
!'l;< l o (j
de la France et de la
; dSBe dans la. question des lépn-
, désirons- simplement, mais de
C0' qu'un règlement économique
, "II III!' apporté à un problème d' ordre
v ¡lt:le, aPParait clairement que
"sm' ill,ssi 1061 que désire la France, et que
l" 's m 0ifCOTfi Persistant quant aux mé-
langes a obscuri fond du problème. H
:.,,;"ll (jll' pns:v avoir de difficultés, main-
e occasion précise s'est présen-
i-; ei]fïao> llne discussion pratique sur
:Hi l;i"r-0 ( ° réaliser le but commun. Si
1,1 l'î^ ^e le désir de la Grnnde-Birc-
t i
folie. de la Belgique et du reste
rlf¡it }le, d boutir il une solution rapide,
lr découvrir sans peine la voie
qui nous mène à un accord. Des circonstain-
ces propices viennent enfin s'offrir. Jamais
l'opinion mondiale n'a exercé une pression
aussi forte en faveur d'un règlement ; ja-
mais elle n'a été plus convaincue qu'il était
pratiquement réalisable. La, voie publique en
France demande un règlement, entendant
par la des paiements. N'est-ce pas la si-
gnification de l'appui populaire donné à
l'opération de la Ruhr ? La coopération de
tous les alliés, dans les efforts multiples qui
s'imposent, pour faire de l'espoir des paie-
ments une réalité, ne répond-elle pas au dé-
sir général de la France ?
Nous reconnaissons qu'une difficulté im-
médiate ,se: présente. Le conflit de la Ruhr
est un fait, il a créé en France et en Alle-
magne une atmosphère psychologique peu
propice à des discussions générales. Il est
nécessaire avant tout d'éclaircir l'atmos-
phère et de rétablir le calme dans la Ruhr.
Aucune conférence internationale ne peut
délibérer utilement, si elle est troublée cons-
tamment par l'annonce d'actes de violence
qui influent directement, sur le sujet de ces
délibérations. Nous appelons l'attention à
cet égard sur les messages importants reçus
aujourd'hui de nos correspondants de Paris
et de Berlin. Notre correspondant de Ber-
lin nous déclare que la possibilité de ce
qu'on pourrait appeler un « armistice »
dans la Ruhr est envisagée avec un intérêt
croissant dans les milieux allemands, et en
particulier chez les syndicalistes : en échan-
ge de la cessation de la résistance passive
de la part de l'Allemagne, la France devrait
relâcher, dit-on, son emprise militaire. Une
suggestion analogue a été faite, selon notre
correspondant de Paris, dans certains mi-
lieux français, mais elle n'a reçu jusqu'à
présent aucun encouragement officiel :
d'après cette suggestion, le gouvernement
allemand, sans abandonner l'arme unique
dont, il dispose, devrait suspendre, durant
les négociations, les ordonnances et les ins-
tructions secrètes rendues pour le maintien
de la résistance passive : la. France, de son
côté, permettrait la reprise de l'activité nor-
male dans la Ruhr et donnerait à l'occupa-
tion le caractère « invisible » qu'elle avait
prévu à l'origine. L'idée mériterait certaine-
ment. d'être approfondie et il faut espérer
qu'une discussion plus ample dans les capi-
tales française et allemande aboutira à des
résultats féconds à ce sujet. La Grande-Bre-
tagne désire un règlement véritable : elle
serait heureuse, de coopérer une fois de plus
avec la France, sur un pied complet d'égali-
té. Nous sommes persuadés que le gouver-
nement de M. Baldwin, s'abstenant de toute
initiative qui compromettrait une situation
économique excellente et mettrait en danger
des intérêts et des droits britanniques es-
sentiels. fera tout ce qui dépend de lui pour
rétablir une atmosphère de confiance et
écarter les obstacles politiques à un règle-
ment. — (Ed.)
TIMES, 12.6.
- Sous le titre : « Le point vital ». - Il
est bien évident que si la résistance passive
était admise par les alliés, ou même si les
ordonnances qui l'ont encouragée n'étaient
pas rappelées, l'Allemagne proclamerait
aussitôt qu'elle a remporté une victoire mo-
rale, ce pendant que ses cerveaux brûlés ré-
clameraient une politique de résistance plus
active à l'égard de tout le règlement, inter-
venu à Versailles. Pas plus que la France,
la Grande-Bretagne ne saurait donner à l'Al-
lemagne une occasion de ce genre. Nous
pensons donc que, dans son propre intérêt,
l'Allemagne, par les soins de son gouverne-
ment, devrait faire le nécessaire pour mettre
fin à cette résistance qui est, comme l'a fort.
bien dit M. Poincaré, plus active que pas-
sive. Il est vrai que le gouvernement bri-
tannique a refusé de s'associer à l'expédition
de la Ruhr, mais il ne peut se dissimuler
que les mouvements des Français ont ren-
contré, de la part des Allemands, une opposi-
tion sérieuse. Notre gouvernement ne sor-
tirait donc nullement de son rôle en attirant
l'attention du gouvernement allemand sur
les dangers que présente cette politique de
résistance el en lui conseillant, d'une ma-
nière amicale, de prendre les mesures né-
cessaires pour la faire cesser. En manière de
compensation on pourrait dans ce cas
laisser entendre à l'Allemagne que la der-
nière note de M. Cuno serait acceptée par
les alliés comme base de discussion et
comme pouvant, au même titre que d'autres
propositions, notomment. celles qu'ont pré-
sentées les Belges, être incorporées dans un
projet collectif approuvé par les Alliés en
vue de sortir de l'impasse des réparations.
Le seul fait que les négociations entre
les gouvernements alliés se poursuivent est
en lui-même d'un heureux augure Le but~sn
prême devrait être la. reconstitution du front
allié C'était le but des généraux alliés pen-
dant la guerre ; ce devrait être aussi le Ihut.
des diplomates alliés dans la paix. Dans l'un
et l'autre cas, une rupture équivaut à une
victoire pour l'ennemi.
Le gouvernement britannique doit per-
sévérer dans ses efforts, non pas à titre de
médiateur entre la France et l'Allemagne,
mais comme allié cherchant a écarter tous
les différends entre la France et la Grande-
Bretagne et à rétablir ainsi l'unité qui cons-
titue, en dernière analyse, le seul espoir
de salut pour l'Allemagne elle-même. —
(Ed.)
MORNING POST. 12-6.
- Snus le titre : « Un triompiii; Pû('R M. row-
f:\Rj-: n..l'éditorial du Dqilu Mail exprime l'es-
poir que les alliés sc,, mettront d'accord sur une
réponse commune aux propositions allemandes.
DES
ES ÉTRANGÈRES
N° 2375
Mercredi 1:1 jllin 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
!"\I]V'll%1 AN|,J;- Le cabinet Baldwin et
"f [lelllagllP [liermania). - Le nouveau
'1 M>n'11 bulgare (Kôlnische Volks-
h d'Iill/lf/). 1:>
.,r"SF \Ni IAISK- — Les nouvelles proposi-
tions allemandes (Times, Àlominii
1>,IyS, lil!l Mail, H. F. Spender dans
D,fH/!! ,\lai!, H. F. Spen.der das
l', IlS. - Daily Telegraph). —
.d, j"gl(IIJ('ltlnti¡)lI du logement en Rus-
m,. (7"
fiiSS(i"",e5)- - Le* bolcheviks et l'église
,tl:Sf' (Til//es), - l'ii situation des
étran (1'1' '! Bussic ('r'
";:pSsV| >Ar)VM'K' Lo régime <'e Tanger
■/er/ E'
.d:, Epog).
"POLITIQUE GENERALE
---
Les RÉPARATIONS
htNNOUVELLES PROPOSITIONS AL-
l , DEs. - ['it'-ssi; anglaise. — Les jour-
,[", 11 i^n'S ''U 12 juin expriment l'espoir
'"s |-^i]Xoi'stiiinns pourront s'engager enU'e
• i'Vs. ,, vUe établir une réponse commune
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yquo dp Iu.questioll des réparations. Une
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J" l''t l
: i "Hdfj.ji ^as C'ue 'a participation de la
1 Iril'h' l¡¡gUI' iL La discussion d'un: problème
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r u, des conditions quelconques.
,,' f[pl'
h lllf'rt' note allemande donne l'occa-
Ni H¡I'JlI()' ( I;(I' dey discussions- sérieuses.
"I¡"'(I l,t'lie pas saisir cette occasion sans
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,'!M|'"
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!'l;< l o (j
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, désirons- simplement, mais de
C0' qu'un règlement économique
, "II III!' apporté à un problème d' ordre
v ¡lt:le, aPParait clairement que
"sm' ill,ssi 1061 que désire la France, et que
l" 's m 0ifCOTfi Persistant quant aux mé-
langes a obscuri fond du problème. H
:.,,;"ll (jll' pns:v avoir de difficultés, main-
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1,1 l'î^ ^e le désir de la Grnnde-Birc-
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rlf¡it }le, d boutir il une solution rapide,
lr découvrir sans peine la voie
qui nous mène à un accord. Des circonstain-
ces propices viennent enfin s'offrir. Jamais
l'opinion mondiale n'a exercé une pression
aussi forte en faveur d'un règlement ; ja-
mais elle n'a été plus convaincue qu'il était
pratiquement réalisable. La, voie publique en
France demande un règlement, entendant
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l'opération de la Ruhr ? La coopération de
tous les alliés, dans les efforts multiples qui
s'imposent, pour faire de l'espoir des paie-
ments une réalité, ne répond-elle pas au dé-
sir général de la France ?
Nous reconnaissons qu'une difficulté im-
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est un fait, il a créé en France et en Alle-
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nécessaire avant tout d'éclaircir l'atmos-
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tamment par l'annonce d'actes de violence
qui influent directement, sur le sujet de ces
délibérations. Nous appelons l'attention à
cet égard sur les messages importants reçus
aujourd'hui de nos correspondants de Paris
et de Berlin. Notre correspondant de Ber-
lin nous déclare que la possibilité de ce
qu'on pourrait appeler un « armistice »
dans la Ruhr est envisagée avec un intérêt
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de la part de l'Allemagne, la France devrait
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correspondant de Paris, dans certains mi-
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présent aucun encouragement officiel :
d'après cette suggestion, le gouvernement
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de la résistance passive : la. France, de son
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prévu à l'origine. L'idée mériterait certaine-
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serait heureuse, de coopérer une fois de plus
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des intérêts et des droits britanniques es-
sentiels. fera tout ce qui dépend de lui pour
rétablir une atmosphère de confiance et
écarter les obstacles politiques à un règle-
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TIMES, 12.6.
- Sous le titre : « Le point vital ». - Il
est bien évident que si la résistance passive
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ordonnances qui l'ont encouragée n'étaient
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aussitôt qu'elle a remporté une victoire mo-
rale, ce pendant que ses cerveaux brûlés ré-
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active à l'égard de tout le règlement, inter-
venu à Versailles. Pas plus que la France,
la Grande-Bretagne ne saurait donner à l'Al-
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pensons donc que, dans son propre intérêt,
l'Allemagne, par les soins de son gouverne-
ment, devrait faire le nécessaire pour mettre
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bien dit M. Poincaré, plus active que pas-
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contré, de la part des Allemands, une opposi-
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l'attention du gouvernement allemand sur
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Le seul fait que les négociations entre
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prême devrait être la. reconstitution du front
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des diplomates alliés dans la paix. Dans l'un
et l'autre cas, une rupture équivaut à une
victoire pour l'ennemi.
Le gouvernement britannique doit per-
sévérer dans ses efforts, non pas à titre de
médiateur entre la France et l'Allemagne,
mais comme allié cherchant a écarter tous
les différends entre la France et la Grande-
Bretagne et à rétablir ainsi l'unité qui cons-
titue, en dernière analyse, le seul espoir
de salut pour l'Allemagne elle-même. —
(Ed.)
MORNING POST. 12-6.
- Snus le titre : « Un triompiii; Pû('R M. row-
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poir que les alliés sc,, mettront d'accord sur une
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