Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-05-26
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 26 mai 1923 26 mai 1923
Description : 1923/05/26 (T24,N2360). 1923/05/26 (T24,N2360).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467032z
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
ministère
DES
PAIRES ÉTRANGÈRES
1 o 2360
Samedi 26 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PHESSE ALLEMANDE. — La situation dans la
ftUhr l'agitation communiste (Kölnis-
che Zeitung). — La préparation d'une
lloUvelle offre allemande (Rudolf Breits-
.n eid dans Glocke). — Le cabinet Bald-
111 (Deutsche Zeitung, Berliner Bör-
sen-COurier Hans Sohadewaldt dans
Tag).
P!{£8SE AMÉRICAINE. — La concession Ches-
P r (Public Ledger).
HtssE ANGLAISA. — Un projet belge (Daily
Telegraph). — L'agitation communiste
ds la. Ruhr (Westminster Gazette). —
L aide économique à la Hongrie (Times,
aily News, Daily Herald). — L'arrêt
de lléll Cour de justice : l'offre de démis-
sIon de M. Poincaré (Morning Post).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
DlaOJET BELGE. — Le « correspondant di-
in,iicalin^e » du DailV Telegraph donne quelques
giqUe IOns sur le projet de règlement que la Bel-
gique Umetlrait aux Alliés, dans le cas A où
l'offro ®ande annoncée ne pourrait pas être
f'i'iso Pour base..
11 pn ormi. s d'espérer que les prochaines
conve [Sa^'ons franco-belges aboutiront à un
aceor tendant à inviter la Grande-Bre-
fagrie et l'Italie à discuter avec la France
- -
et )a ^gi^ue soit la nouvelle offre de l'Al.
Tite d,ne, s'il se trouve que cette offre mé-
tite d'être Prise au sérieux, soit, dans le cas
giqu aIre, les propositions faites par la Bel-
giqUe en vue d'un règlement, propositions
le l18¡l!e:s nous avons fait allusion déjà.
te c esurlisme général qui prévaut encore,
et cela assez naturellement, au sujet du
te ,(tnt ùe l'indemnité que l'on peut s'at-
ten(3r f Voir offrir par l'Allemagne, a été
eu diminué par la nouvelle que le
Shieher Cuno et ses collègues s'occupent
ent de l'étude d'un projet pré-
rnQl"k t le paiement de 50 milliards de
trj,j rk - P dans l'espace de vingt-cinq ou
trente ans, par un système de versements
annuels gradUés. J'ai parlé, il y a huit
- [Cf. Bulletin n° 2356, page 31, de ce
T'r¡Qil) t l'adoption paraissait alors des
rnol. lls rai,s ernbl ables, quoi qu'il puisse en
-^e ea* ujourd'hui.
Projet belce, qui remonte, en ce qui
(J'QOÙl ne ses points essentiels, au mois
'l' aoot d, ernier, prévoit une révision de
l'échelle des pourcentages alliés arrêtée à
Spa, et cela parce que, n'ayant pas de
dettes de guerre, la Belgique, serait seule,
parmi les Alliés, à ne recevoir aucune com-
pensation pour l'annulation de sa part des
bons C prévue dans l'état de paiements de
1921, ce qui est, bien entendu, un fait évi-
dent.
Quant à la participation de l'industrie al-
lemande aux réparations, les experts bel-
ges, comme je l'ai indiqué déjà, voudraient
qu'elle eût le caractère d'une attribution non
pas d'actions, mais d'obligations. Ils esti-
ment, en effet, que des obligations consti-
tueraient une hypothèque or de première
classe sur des entreprises industrielles par-
ticulières, qu'elles assureraient des paie-
ments fixes et réguliers et qu'elles auraient
une valeur stable sur le marché, ce qui les
rendrait facilement négociables. Les Alle-
mands eux-mêmes auraient d'ailleurs inté-
rêt à les racheter, et, d'une façon générale,
ce système tendrait à la commercialisation
et à l'internationalisation de la dette alle-
mande. Enfin ce projet supprimerait la né-
cessité pour les Alliés d'une intervention
suivie et constante dans les détails de la
direction et de la comptabilité de l'indus-
trie allemande, genre de contrôle d'autan
plus difficile à exercer que les Alliés ne
disposeraient pas de la majorité des actions
— (Du correspondant diplomatique.)
DAILY TELEGRAPH, 25.5.
LA SITUATION DANS LA RUHR. —
L'AGITATION COMMUNISTE. — Sous le titre : « La
terreur rouge dans le bassin de la Ruhr ». -
Le spectacle de Muhlheim se reproduit à
Dortmund et à Gelsenkirchen. Là aussi
le communisme use de tous les moyens san-
glants pour s'emparer du pouvoir, et pas
un soldat français ne bouge pour protéger
l'ordre public. A Gelsenkirchen on hisse
le drapeau rouge au siège de la police : les
Français se tiennent dans une attitude pas-
sive. Contre le communisme dans la Ruhr
ils ne connaissent point de résistance ac-
tive : ils n'en ont que contre les élémenis
d'ordre. Ils ont chassé de la Ruhr la police
de sûreté, livrant ainsi le pays sans défense
aux criminels et aux extrémistes, mais ils
laissent toute liberté à la garde rouge de
Moscou. Ils ont bien une salve à tirer contre
une automobile des pompiers, qui sont les
seuls chargés du maintien de l'ordre dans
la région de la Ruhr ; à part cela ils ne
bougent pas. Il n'est pas étonnant que des
communistes aient fait une ovation à des
soldats français dans les rues de Gelsen-
kirchen. Cela montre que la garde rouge
de Moscou se sent olbligée envers le mili-
tarisme français dans la Ruhr.
Qu'adviendra-t-il ? Il faut attendre. Il est
possible que les éléments bourgeois et les
syndicats soient encore une fois assez forts
pour dompter le communisme placé sous la
protection des baïonnettes françaises. Il est
possible aussi que le communisme obtien-
ne des résultaLs dépassant les succès passa-
gers et locaux. La politique de force des
Franco-Belges sur le Rhin et dans la Ruhr a
tellement sévi contre tout ce qui est raison-
nable au point de vue économique et politi-
que, qu'il se pourrait que l'heure de l'ex-
trème-gauche fût. déjà venue. Si cela se réa-
lise, la politique française reconnaîtra à
quelle situation elle a poussé non seule-
ment l'Allemagne, mais la France et l'Eu-
rope entière. Vouloir prendre le communis-
me comme second d'une France impérialiste
et militariste, ce n'est plus de la politique,
c'est de la folie. Et cette folie se vengera
sur ses auteurs eux-mêmes. La politique
de catastrophe que pratique la France s'ap-
proche de son but. Mais cela justement
devrait ouvrir les yeux de l'Europe. Il se
pourrait que Mülheim, Dortmund, Bochum
et Gelsenkirchen ne fussent qu'un début ;
mais si ce n'est qu'un début, il y à là un
immense danger.
KOELNISCHE ZEITUNG, 24.5.
PRESSE ANGLAISE. — Sous le titre : « La
France et le communisme pour les au-
tres ». — * Le soulèvement communiste
de la Ruhr ne surprendra nullement ceux
qui suivent de près la marche des événe-
ments. Chacun comprend, depuis long-
temps déjà, qu'il est impossible de mainte-
nir la pression sur la veine jugulaire de
l'Allemagne sans qu'il en résulte pour ses
membres quelques soubresauts désagréa-
bles. A moins que nous ne nous méprenions
gravement sur le sens des paroles de cer-
tains publicistes français, on verrait sans
déplaisir se produire des manifestations
plus graves encore. Quoi qu'il en soit, un
certain mouvement de révolte est. inévitable
si Ile prix de la vie doit continuer à monter,
alors que le change atteint des niveaux de
plus en plus bas. Un effort sera nécessaire-
ment fait pour renverser le gouvernement
actuel soit par les nationalistes, soit par les
communistes, et ces derniers, qui ont tou-
jours semblé les plus dangereux, cherchent
à se rendre compte de la puissance des for-
ces de l'ordre dans la Ruhr. Quelle est la
situation de la France en présence de ce
soulèvement ? On nous assure que, pour
l'instant, elle reste neutre et, comme nous
l'indiquons plus haut, les mouvements de
ce genre ont trouvé un accueil secrètement
assez favorable. Assurément l'opposition
que manifeste la France à l'égard de la po-
lice de sûreté et les constants efforts qu'elle
fait pour désorganiser les rouages - admi-
DES
PAIRES ÉTRANGÈRES
1 o 2360
Samedi 26 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PHESSE ALLEMANDE. — La situation dans la
ftUhr l'agitation communiste (Kölnis-
che Zeitung). — La préparation d'une
lloUvelle offre allemande (Rudolf Breits-
.n eid dans Glocke). — Le cabinet Bald-
111 (Deutsche Zeitung, Berliner Bör-
sen-COurier Hans Sohadewaldt dans
Tag).
P!{£8SE AMÉRICAINE. — La concession Ches-
P r (Public Ledger).
HtssE ANGLAISA. — Un projet belge (Daily
Telegraph). — L'agitation communiste
ds la. Ruhr (Westminster Gazette). —
L aide économique à la Hongrie (Times,
aily News, Daily Herald). — L'arrêt
de lléll Cour de justice : l'offre de démis-
sIon de M. Poincaré (Morning Post).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
DlaOJET BELGE. — Le « correspondant di-
in,iicalin^e » du DailV Telegraph donne quelques
giqUe IOns sur le projet de règlement que la Bel-
gique Umetlrait aux Alliés, dans le cas A où
l'offro ®ande annoncée ne pourrait pas être
f'i'iso Pour base..
11 pn ormi. s d'espérer que les prochaines
conve [Sa^'ons franco-belges aboutiront à un
aceor tendant à inviter la Grande-Bre-
fagrie et l'Italie à discuter avec la France
- -
et )a ^gi^ue soit la nouvelle offre de l'Al.
Tite d,ne, s'il se trouve que cette offre mé-
tite d'être Prise au sérieux, soit, dans le cas
giqu aIre, les propositions faites par la Bel-
giqUe en vue d'un règlement, propositions
le l18¡l!e:s nous avons fait allusion déjà.
te c esurlisme général qui prévaut encore,
et cela assez naturellement, au sujet du
te ,(tnt ùe l'indemnité que l'on peut s'at-
ten(3r f Voir offrir par l'Allemagne, a été
eu diminué par la nouvelle que le
Shieher Cuno et ses collègues s'occupent
ent de l'étude d'un projet pré-
rnQl"k t le paiement de 50 milliards de
trj,j rk - P dans l'espace de vingt-cinq ou
trente ans, par un système de versements
annuels gradUés. J'ai parlé, il y a huit
- [Cf. Bulletin n° 2356, page 31, de ce
T'r¡Qil) t l'adoption paraissait alors des
rnol. lls rai,s ernbl ables, quoi qu'il puisse en
-^e ea* ujourd'hui.
Projet belce, qui remonte, en ce qui
(J'QOÙl ne ses points essentiels, au mois
'l' aoot d, ernier, prévoit une révision de
l'échelle des pourcentages alliés arrêtée à
Spa, et cela parce que, n'ayant pas de
dettes de guerre, la Belgique, serait seule,
parmi les Alliés, à ne recevoir aucune com-
pensation pour l'annulation de sa part des
bons C prévue dans l'état de paiements de
1921, ce qui est, bien entendu, un fait évi-
dent.
Quant à la participation de l'industrie al-
lemande aux réparations, les experts bel-
ges, comme je l'ai indiqué déjà, voudraient
qu'elle eût le caractère d'une attribution non
pas d'actions, mais d'obligations. Ils esti-
ment, en effet, que des obligations consti-
tueraient une hypothèque or de première
classe sur des entreprises industrielles par-
ticulières, qu'elles assureraient des paie-
ments fixes et réguliers et qu'elles auraient
une valeur stable sur le marché, ce qui les
rendrait facilement négociables. Les Alle-
mands eux-mêmes auraient d'ailleurs inté-
rêt à les racheter, et, d'une façon générale,
ce système tendrait à la commercialisation
et à l'internationalisation de la dette alle-
mande. Enfin ce projet supprimerait la né-
cessité pour les Alliés d'une intervention
suivie et constante dans les détails de la
direction et de la comptabilité de l'indus-
trie allemande, genre de contrôle d'autan
plus difficile à exercer que les Alliés ne
disposeraient pas de la majorité des actions
— (Du correspondant diplomatique.)
DAILY TELEGRAPH, 25.5.
LA SITUATION DANS LA RUHR. —
L'AGITATION COMMUNISTE. — Sous le titre : « La
terreur rouge dans le bassin de la Ruhr ». -
Le spectacle de Muhlheim se reproduit à
Dortmund et à Gelsenkirchen. Là aussi
le communisme use de tous les moyens san-
glants pour s'emparer du pouvoir, et pas
un soldat français ne bouge pour protéger
l'ordre public. A Gelsenkirchen on hisse
le drapeau rouge au siège de la police : les
Français se tiennent dans une attitude pas-
sive. Contre le communisme dans la Ruhr
ils ne connaissent point de résistance ac-
tive : ils n'en ont que contre les élémenis
d'ordre. Ils ont chassé de la Ruhr la police
de sûreté, livrant ainsi le pays sans défense
aux criminels et aux extrémistes, mais ils
laissent toute liberté à la garde rouge de
Moscou. Ils ont bien une salve à tirer contre
une automobile des pompiers, qui sont les
seuls chargés du maintien de l'ordre dans
la région de la Ruhr ; à part cela ils ne
bougent pas. Il n'est pas étonnant que des
communistes aient fait une ovation à des
soldats français dans les rues de Gelsen-
kirchen. Cela montre que la garde rouge
de Moscou se sent olbligée envers le mili-
tarisme français dans la Ruhr.
Qu'adviendra-t-il ? Il faut attendre. Il est
possible que les éléments bourgeois et les
syndicats soient encore une fois assez forts
pour dompter le communisme placé sous la
protection des baïonnettes françaises. Il est
possible aussi que le communisme obtien-
ne des résultaLs dépassant les succès passa-
gers et locaux. La politique de force des
Franco-Belges sur le Rhin et dans la Ruhr a
tellement sévi contre tout ce qui est raison-
nable au point de vue économique et politi-
que, qu'il se pourrait que l'heure de l'ex-
trème-gauche fût. déjà venue. Si cela se réa-
lise, la politique française reconnaîtra à
quelle situation elle a poussé non seule-
ment l'Allemagne, mais la France et l'Eu-
rope entière. Vouloir prendre le communis-
me comme second d'une France impérialiste
et militariste, ce n'est plus de la politique,
c'est de la folie. Et cette folie se vengera
sur ses auteurs eux-mêmes. La politique
de catastrophe que pratique la France s'ap-
proche de son but. Mais cela justement
devrait ouvrir les yeux de l'Europe. Il se
pourrait que Mülheim, Dortmund, Bochum
et Gelsenkirchen ne fussent qu'un début ;
mais si ce n'est qu'un début, il y à là un
immense danger.
KOELNISCHE ZEITUNG, 24.5.
PRESSE ANGLAISE. — Sous le titre : « La
France et le communisme pour les au-
tres ». — * Le soulèvement communiste
de la Ruhr ne surprendra nullement ceux
qui suivent de près la marche des événe-
ments. Chacun comprend, depuis long-
temps déjà, qu'il est impossible de mainte-
nir la pression sur la veine jugulaire de
l'Allemagne sans qu'il en résulte pour ses
membres quelques soubresauts désagréa-
bles. A moins que nous ne nous méprenions
gravement sur le sens des paroles de cer-
tains publicistes français, on verrait sans
déplaisir se produire des manifestations
plus graves encore. Quoi qu'il en soit, un
certain mouvement de révolte est. inévitable
si Ile prix de la vie doit continuer à monter,
alors que le change atteint des niveaux de
plus en plus bas. Un effort sera nécessaire-
ment fait pour renverser le gouvernement
actuel soit par les nationalistes, soit par les
communistes, et ces derniers, qui ont tou-
jours semblé les plus dangereux, cherchent
à se rendre compte de la puissance des for-
ces de l'ordre dans la Ruhr. Quelle est la
situation de la France en présence de ce
soulèvement ? On nous assure que, pour
l'instant, elle reste neutre et, comme nous
l'indiquons plus haut, les mouvements de
ce genre ont trouvé un accueil secrètement
assez favorable. Assurément l'opposition
que manifeste la France à l'égard de la po-
lice de sûreté et les constants efforts qu'elle
fait pour désorganiser les rouages - admi-
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires France France /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/6
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6467032z/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6467032z/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6467032z/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6467032z/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6467032z
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6467032z
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6467032z/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest