Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-05-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 24 mai 1923 24 mai 1923
Description : 1923/05/24 (T24,N2358). 1923/05/24 (T24,N2358).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64670304
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTÈRE
DES
FFAIHES ÉTRANGÈRES
N° 2358
Jeudi 21 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRI-X-SI d'l" l'
", \I.I.E\IAi\DE. - Les conditions d'une
'till/rü!p offre allemande (Georg. I ier-
Ii iiI id t(]!:)..))!s Yossische Zeilung).
pn,. .Ss AMCILAISK. — ,LesH conditions d'iune
offre allemandie (Times, Daily
re/rf!l'aph). - Le cabinet Baldwin est
■' s l'epamlions (Times, Daily Tele-
U'u(tk). — Ln .frise ministérielle ibri'Umi-
1'1':[11'(> {Moi'ning Post, Daily Express,
:\i l'slllÚns{e/, (Utzcllc. Daily News, Dai-
Herald, Daily Chronicle).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LES CONDITIONS D UNE NOUVELLE
k ALLEMANDE. — On peut dire que
, d":-;ordroeL 1.. gâchis croissants qui
règnent Allemagne ne sont que le ré-
il»'s lu II es qui se ilivren! dans le reste
1 'P1'- Car l'Allemagne est l'oSbjet. du
jeu Indique 'S"ÀJ1^nitdie en Europe. C est. pourquoi il
est P:,Ii> ^portant que jamais, lorsqu OH
Pii• l , uurc do ki. politique allemande, de te-
rt l,,inj)l(; de la .situation européenne.
'lnilVf,ill,x groupements sont on voie de fwr-
Mi-Uj 1 )n n";t|.ln. J.o pas assez d'importance à
t'i J'S|n" a,J«l"-niss<ï qui explique ce qui ?.e
i>ass foudres. Cependant il est, dififcile .Je
percevoir l'intention dernière des Anglais à
- "vri|' i1,es -soviets. Peut-être la. Turquie cloit-oll-;
h !' I'J'C qiH' Lhivd (learge voulait tnirc jouer
j}) 1"Politique anglaise, qui s'oppose
extérieurement aux soviets d'abord, n'est pas
'rll'\ l'ho' 'Il't 1 f
autre «bose qu'une phase du conllit anglo-fran-
çais (A'] Ijoii,. 'cndl'(' ^n-tael. avec les soviets.
Il w d'autres indices de nouveaux groupe-
iiioiij sont les voyages des généraux fran-
çais 'u'1 tanf le fait que le chef du grand état-
f||oi
H y | 1\,1 lei|rement. la reconnaissance des
rsiJV-j8 °S'' "ne affaire de sentiments. Kn
"'1' J t
\'p, eHe dépend du prix que la Russie
"iii
j,, jx lettre. L'Angleterre en demande un
V-'' îl savoir que la Russie renonce
l>0'ir ^t jou-rs à ses fins politiques sur la
F" ,, oire-- D'autres Etats, par exemple la
K!\;i(Vni( -i^ernan-^ent beaucoup moins. Et
l'Angleterre peut. très bien. par son attitude
i,olM °i créer une situation qui fasse en-
core baisser le prix et qui même soit un
gain pour la Russie.
Cette situation de chaos mondial peut
faire craindre que l'Allemagne ne roulé
sous les chars de guerre. Il y a en Alle-
magne des gens pour qui une politique ac-
r1j:v,Pf comporte l'obligation de prendre parti
dans ces chicanes du monde. Rien ne se-
rait plus néfaste. Il est de toute nécessité
que l'Allemagne observe attentivement les
constellations mondiales. Mais, à observer,
on apprend que le rôle actif de l'Allemagne
doit se borner à aider à la solution de la
question des réparations. Cette question des
réparations est bien petite pour les grands
acteurs de la politique européenne, elle est
la seule importante pour l'Allemagne. Elle
ne doit pas essayer de la résoudre avec
l'Angleterre contre la France ni avec la
France contre l'Angleterre. Son devoir est
le suivant : faire une offre qui puisse être
défendue par l'Angleterre et acceptée par
la France. On dit que le gouvernement al-
lemand se serait fait expliquer récemment
le sens de quelques phrases de la note Cur-
zon. Il faut espérer que les démentis de
telles affirmations seront confirmés, car on
ne doit jamais demander à des diplomates
d'interpréter les passages obscurs de leurs
discours et de leurs écrits. L'obscurité est
un instrument de leur politique. L'Alle-
magne a dû se laisser dire. dans la note de
lord Curzon, qu'elle avait mal compris son
discours. Qui peut garantir que lord Curzon
ne dira pas encore aux hommes politiques
allemands, après la prochaine offre alle-
mande, qu'ils ont mal interprété sa note
ou ses explications ? Pour l'homme poli-
tique, la note et. le discours de Curzon ont
été très clairs en raison même de leur obs-
curité. De deux choses l'une, ou bien ces
obscurités étaient voulues, dans ce cas il
est probable qu'il ne veut pas être ques-
tionné. Ou bien il veut être questionné.
c'est alors une raison pour ne rien lui de-
mander, car il ferait une réponse qui serait
tout au plus profitable pour lui, mais pas
pour l'Allemagne. Car cette réponse serait
faite pour la France et non pour l'Alle-
magne.
Il faut comprendre enfin, en Allemagne,
quel est le point, essentiel de la future
offre. Ce sont les garanties d'emprunts in-
ternationaux, Elles seront importantes,
parce que la façon dont on les formulera
fera voir au monde si le gouvernement al-
lemand a encore de l'autorité ou n'en a
plus. Un homme d'esprit a dit. il y a quel-
ques jours, comment on pouvait énoncer le
problème : il ne s'agit pas de savoir si l'in-
dustrie1 allemande apportera, des .garanties,
mais si elle parera, le coup. Il n'est pas
douteux que la plupart des industriels con-
sidèrent comme nature1! de faire les sacri-
fices nécessaires pour amener la libération
définitive de la Ruhr et d'écarter les dan-
gers les plus menaçants pour le Rhin. Cette
partie intelligente de l'industrie allemande
ne considère pas ses paiements comme des
sacrifices, mais comme des contributions
normales, que l'industrie doit acquitter au
même titre que des autres citoyens. Au
fond, il n'y a que quelques personnes du
monde industriel qui compliquent toujours
la question pour des raisons politiques ou
économiques. Et ce n'est, pas par hasard
que ces milieux ont relancé récemment
cette idée qu'il ne s'agissait pas de trouver
maintenant une solution politique, mais
qu'il fallait, par un accord économique di-
rect avec l'industrie, créer les bases d'un
accord politique. Il n'est pas sens intérêt de
noter que cette manière d'arriver à une so-
lution a été lancée par une presse qui, ré-
cemment, encore, était hostile à un accord
de ce genre. Qu'il faille d'abord des arran-
gements avec d'industrie, cela est évident
Mais le gouvernement doit d'abord engager
des négociations politiques. Il doit arrêter
les conditions de paiement de l'économie.
Si on laissait encore le soin de négocier à
quelques personnalités de l'économie. le
monde pourrait croire que les hommes
d'affaires allemands forment une ciasse
particulière et représentent en quelque
sorte un Etat dans l'Etat. Il faut absolu-
ment éviter de donner encore cette impres-
sion. Le peuple allemand veut être gouver-
né par son gouvernement qui est responsa-
ble devant lui, mais' n'entend pas être mené
par des personnalités quelconques du mon-
de économique. — Georg Bernhard.
VOSSlSCHE ZEITUNG, 20.5.
PRESSE ANGLAISE. - Les correspondants
anglais en Allemagne annoncent que le car
ractère principal de la nouvelle offre alle-
mande sera, de préciser les garanties pro-
posées :
De Berlin, 22 mai : Bien que les milieux
politiques eussent connaissance dès lundi
de la démission de M. Bonar Law, c'est au-
jourd'hui seulement que le grand publie en
a été avisé, tous les services des postes,
de la presse et des informations étant fer-
més, en Allemagne, pour les vacances. Le
fait lui-même était prévu depuis quelque
temps, d'ailleurs, et n'occasionna, pas une
grande surprise. Dans la presse on rend
pleine justice aux qualités de M. Bonar Law
en tant que tacticien politique et comme ad-
versaire juste et loyal, bien qu'on le rende
responsable de la politique d'inactivité à.
l'égard de la France, politique peu goûtée
de l'Allemagne qui n'y trouvai1: ro-? :'-'l'ffi.
samment d'occasions de se livrer au jeu
DES
FFAIHES ÉTRANGÈRES
N° 2358
Jeudi 21 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRI-X-SI d'l" l'
", \I.I.E\IAi\DE. - Les conditions d'une
'till/rü!p offre allemande (Georg. I ier-
Ii iiI id t(]!:)..))!s Yossische Zeilung).
pn,. .Ss AMCILAISK. — ,LesH conditions d'iune
offre allemandie (Times, Daily
re/rf!l'aph). - Le cabinet Baldwin est
■' s l'epamlions (Times, Daily Tele-
U'u(tk). — Ln .frise ministérielle ibri'Umi-
1'1':[11'(> {Moi'ning Post, Daily Express,
:\i l'slllÚns{e/, (Utzcllc. Daily News, Dai-
Herald, Daily Chronicle).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LES CONDITIONS D UNE NOUVELLE
k ALLEMANDE. — On peut dire que
, d":-;ordroeL 1.. gâchis croissants qui
règnent Allemagne ne sont que le ré-
il»'s lu II es qui se ilivren! dans le reste
1 'P1'- Car l'Allemagne est l'oSbjet. du
jeu Indique
est P:,Ii> ^portant que jamais, lorsqu OH
Pii• l , uurc do ki. politique allemande, de te-
rt l,,inj)l(; de la .situation européenne.
'lnilVf,ill,x groupements sont on voie de fwr-
Mi-Uj 1 )n n";t|.ln. J.o pas assez d'importance à
t'i J'S|n" a,J«l"-niss<ï qui explique ce qui ?.e
i>ass foudres. Cependant il est, dififcile .Je
percevoir l'intention dernière des Anglais à
- "vri|' i1,es -soviets. Peut-être la. Turquie cloit-oll-;
h !' I'J'C qiH' Lhivd (learge voulait tnirc jouer
j}) 1"Politique anglaise, qui s'oppose
extérieurement aux soviets d'abord, n'est pas
'rll'\ l'ho' 'Il't 1 f
autre «bose qu'une phase du conllit anglo-fran-
çais (A']
Il w d'autres indices de nouveaux groupe-
iiioiij sont les voyages des généraux fran-
çais 'u'1 tanf le fait que le chef du grand état-
f||oi
H y | 1\,1 lei|rement. la reconnaissance des
rsiJV-j8 °S'' "ne affaire de sentiments. Kn
"'1' J t
\'p, eHe dépend du prix que la Russie
"iii
j,, jx lettre. L'Angleterre en demande un
V-'' îl savoir que la Russie renonce
l>0'ir ^t jou-rs à ses fins politiques sur la
F" ,, oire-- D'autres Etats, par exemple la
K!\;i(Vni( -i^ernan-^ent beaucoup moins. Et
l'Angleterre peut. très bien. par son attitude
i,olM °i créer une situation qui fasse en-
core baisser le prix et qui même soit un
gain pour la Russie.
Cette situation de chaos mondial peut
faire craindre que l'Allemagne ne roulé
sous les chars de guerre. Il y a en Alle-
magne des gens pour qui une politique ac-
r1j:v,Pf comporte l'obligation de prendre parti
dans ces chicanes du monde. Rien ne se-
rait plus néfaste. Il est de toute nécessité
que l'Allemagne observe attentivement les
constellations mondiales. Mais, à observer,
on apprend que le rôle actif de l'Allemagne
doit se borner à aider à la solution de la
question des réparations. Cette question des
réparations est bien petite pour les grands
acteurs de la politique européenne, elle est
la seule importante pour l'Allemagne. Elle
ne doit pas essayer de la résoudre avec
l'Angleterre contre la France ni avec la
France contre l'Angleterre. Son devoir est
le suivant : faire une offre qui puisse être
défendue par l'Angleterre et acceptée par
la France. On dit que le gouvernement al-
lemand se serait fait expliquer récemment
le sens de quelques phrases de la note Cur-
zon. Il faut espérer que les démentis de
telles affirmations seront confirmés, car on
ne doit jamais demander à des diplomates
d'interpréter les passages obscurs de leurs
discours et de leurs écrits. L'obscurité est
un instrument de leur politique. L'Alle-
magne a dû se laisser dire. dans la note de
lord Curzon, qu'elle avait mal compris son
discours. Qui peut garantir que lord Curzon
ne dira pas encore aux hommes politiques
allemands, après la prochaine offre alle-
mande, qu'ils ont mal interprété sa note
ou ses explications ? Pour l'homme poli-
tique, la note et. le discours de Curzon ont
été très clairs en raison même de leur obs-
curité. De deux choses l'une, ou bien ces
obscurités étaient voulues, dans ce cas il
est probable qu'il ne veut pas être ques-
tionné. Ou bien il veut être questionné.
c'est alors une raison pour ne rien lui de-
mander, car il ferait une réponse qui serait
tout au plus profitable pour lui, mais pas
pour l'Allemagne. Car cette réponse serait
faite pour la France et non pour l'Alle-
magne.
Il faut comprendre enfin, en Allemagne,
quel est le point, essentiel de la future
offre. Ce sont les garanties d'emprunts in-
ternationaux, Elles seront importantes,
parce que la façon dont on les formulera
fera voir au monde si le gouvernement al-
lemand a encore de l'autorité ou n'en a
plus. Un homme d'esprit a dit. il y a quel-
ques jours, comment on pouvait énoncer le
problème : il ne s'agit pas de savoir si l'in-
dustrie1 allemande apportera, des .garanties,
mais si elle parera, le coup. Il n'est pas
douteux que la plupart des industriels con-
sidèrent comme nature1! de faire les sacri-
fices nécessaires pour amener la libération
définitive de la Ruhr et d'écarter les dan-
gers les plus menaçants pour le Rhin. Cette
partie intelligente de l'industrie allemande
ne considère pas ses paiements comme des
sacrifices, mais comme des contributions
normales, que l'industrie doit acquitter au
même titre que des autres citoyens. Au
fond, il n'y a que quelques personnes du
monde industriel qui compliquent toujours
la question pour des raisons politiques ou
économiques. Et ce n'est, pas par hasard
que ces milieux ont relancé récemment
cette idée qu'il ne s'agissait pas de trouver
maintenant une solution politique, mais
qu'il fallait, par un accord économique di-
rect avec l'industrie, créer les bases d'un
accord politique. Il n'est pas sens intérêt de
noter que cette manière d'arriver à une so-
lution a été lancée par une presse qui, ré-
cemment, encore, était hostile à un accord
de ce genre. Qu'il faille d'abord des arran-
gements avec d'industrie, cela est évident
Mais le gouvernement doit d'abord engager
des négociations politiques. Il doit arrêter
les conditions de paiement de l'économie.
Si on laissait encore le soin de négocier à
quelques personnalités de l'économie. le
monde pourrait croire que les hommes
d'affaires allemands forment une ciasse
particulière et représentent en quelque
sorte un Etat dans l'Etat. Il faut absolu-
ment éviter de donner encore cette impres-
sion. Le peuple allemand veut être gouver-
né par son gouvernement qui est responsa-
ble devant lui, mais' n'entend pas être mené
par des personnalités quelconques du mon-
de économique. — Georg Bernhard.
VOSSlSCHE ZEITUNG, 20.5.
PRESSE ANGLAISE. - Les correspondants
anglais en Allemagne annoncent que le car
ractère principal de la nouvelle offre alle-
mande sera, de préciser les garanties pro-
posées :
De Berlin, 22 mai : Bien que les milieux
politiques eussent connaissance dès lundi
de la démission de M. Bonar Law, c'est au-
jourd'hui seulement que le grand publie en
a été avisé, tous les services des postes,
de la presse et des informations étant fer-
més, en Allemagne, pour les vacances. Le
fait lui-même était prévu depuis quelque
temps, d'ailleurs, et n'occasionna, pas une
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pleine justice aux qualités de M. Bonar Law
en tant que tacticien politique et comme ad-
versaire juste et loyal, bien qu'on le rende
responsable de la politique d'inactivité à.
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