Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-05-21
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 21 mai 1923 21 mai 1923
Description : 1923/05/21 (T24,N2357)-1923/05/23. 1923/05/21 (T24,N2357)-1923/05/23.
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467029g
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MIN 1 S T 1 n E
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2357
Lundi 21 - Mercredi 23 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
,
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
't:.\U.EM\;'\[)E. - Les possibilités de
peux en J 917 : un c oui m unique alle-
L llhUld (Detlil/el' Tcujeblatt): — L'éven-
.tunJjl(' d'une nouvelle offre allemande
(vün Rheinbaben dans Zeit).
AMÉRICAINE. — La contrebande des
alcools aux Etats-Unis (A-eir York
Herald).
RESSE ANGLAISE. - L'attitude de la Belgi-
que (Daily Telegraph). - Le centenaire
de a Pasteur (Daily Chronicle). — La
erise ministérielle britannique (Daily
Chl'onicle). - La crise ministérielle
Uaniiique (Daily Telegraph, West-
minster Gazette).
'-:SE AUTRICHIENNE. — L'éventualité d'une
nouvelle offre allemande (Neue Freie
Presse).
POLI r
POLITIQUE GENERALE
HISTOIRE DE LA GUERRE
-- LEs POSSIBILITES DE PAIX EN 1917.
18.- COBIUJ\IQCE ALLEMAND. - Les journaux du
.) Pllbhent le .communiqué suivant :
La Ois "0 de la Commission
d' erlql-""tu parleii-ientaire, de l'ell-
d'enquète parlementaire, chargée de l'en-
s-SUr les possibilités de paix en 1917,
s'est occupée de l'affaire dite Briand-Lanc-
l;eil le a entendu un nouveau groupe de
tçm 0l.!l's et a examiné des documents im-
p0r,. lll. Cette affaire, entreprise sur l'ini-
tiaf
à jw ? franco-belge, se place au printemps,
66 et à l'automne 1917 ; elle avait pour
tet la rencontre de ces deux personnali-
tég t en pays neutre, en vue de discuter se-
Crè-fenient des conditions de paix. L'enquête
conduit aux constatations suivantes :
Wi - p¡-jntemp de 1917. le baron von
dia' 1 reçut à Bruxelles, par l'intermé-
^iait - e de personnalités belges, la nouvelle
qlle
que des hommes politiques français in-
flup :S seraient disposés à se rencontrer
de , POIUI' discuter sur les possihilitég
(je
de a,x- li se déclara prêt à entrer en con-
ver Sa^on et obtint, pour cette démarche,
alentirnent du chancelier von Bethmann-
fytç^^yeS et du haut-commandement. Il af-
cat' Jt d'abord en vain une autre communi-
eati 0ri) et c'est seulement à la fin de l'été
que l'idée d'une rencontre avec Briand sem-
bla se préciser. On fixa un entretien pour
le 23 septembre, en Suisse.
Entre temps, il y avait eu changement de
gouvernement à Berlin : M. von Bethmann-
Hollweg avait été remplacé par le Dr Mi-
chaelis, et le secrétaire d'Etat Zimmermann
par M. von Kühlmann. Ce dernier ne traita
pas cette affaire avec le même intérêt cha-
leureux que M. von Bethmann, mais il se
déclara pourtant consentant à la démarche
de M. von Lancken.
Le baron Lancken se rendit en Suisse
et reçut d'abord, le 21 septembre, la nou-
velle que M. Briand était obligé de différer
son voyage. Au bout d'une semaine, M.
Briand n'était pas arrivé, et le diplomate
allemand quitta la Suisse, mais continua de
se tenir à disposition. Par la suite, aucune
nouvelle suggestion ne fut faite par la
France, et l'affaire fut enterrée.
Sans aucun doute, Briand avait été em-
pêché de partir par l'intervention du prési-
dent du Conseil Ribot. Si le projet n'eut
pas de suite, cela tient certainement à des
considérations de politique intérieure fran-
çaise et à l'ensemble de la situation mili-
taire. Il y a aussi des indices que l'initia-
tive de l'empereur Charles et du prince
Sixte de Bourbon n'a pas été sans influence
sur les décisions de la France.
BERLINER TAGEBLATT, 18.5, matin.
——— ———
LES RÉPARATIONS
L' ATTITUDE DE LA BELGIQUE. — La
nouvelle que le gouvernement belge avait
fait ou avait l'intention de faire une dé-
marche en vue de la reprise de consulta-
tions approfondies entre toutes les capitales
de l'Entente destinées à préparer une ac-
tion collective interalliée, quand l'Allema-
gne soumettrait son offre de réparations
amendée, a suscité un vif intérêt à Londres
et, semble-t-il, une grande agitation à Pa-
ris. L'une des informations reçues à ce su-
jet ajoute que la Belgique est également
prête à prendre l'initiative de propositions
concernant les réparations.
Je ne pense pas que l'on sache généra-
lement que, lors de la dernière offre alle-
mande M. Jaspar, le ministre des Affaires
étrangères belge, a fait une louable tenta-
tive, au cours de conversations avec les
ambassadeurs des différentes puissances al-
liées, pour obtenir que ces puissances pren-
nent en sérieuse considération l'idée d'une
réponse collective à Berlin. A un certain
moment de la brève crise interalliée qui
s'est produite lors de la réception de la note
allemande, on a pu croire que la bonne vo-
lonté manifestée par M. Jaspar atteindrait
son but. De là cette vague d'optimisme de
si courte durée notée dans les milieux bri-
tanniques et qui a peut-être accentué le
désappointement ressenti quelques heures
plus tard quand on a su définitivement que
Paris s'était refusé à accorder plus qu'un
délai de courtoisie de vingt-quatre heures
pour la présentation d'une note séparée à
Berlin. M. Theunis n'avait, je crois, cessé
d'être un peu moins confiant que M. Jaspar
lui-même sur l'issue de la discrète tentative
faite par le ministre des Affaires étrangè-
res belge en vue d'un arrangement. Mais
il a pleinement partagé les regrets de ce
dernier devant l'échec de cette tentative et
l'impression produite dans notre pays par
cet échec.
Ces deux hommes d'Etat sont également
en faveur de la solidarité interalliée, et jus-
qu'à la conférence de Londres en août der-
nier ils avaient à plusieurs reprises réussi
à être les promoteurs d'un accord général,
même dans des circonstances très délicates
et très difficiles. Mais, au mois d'août, tou-
tes leurs tentatives pour arriver à trouver
une formule commune furent pour la pre-
mière fois, tout à fait inutiles, et ni en dé-
cembre à Londres, ni en janvier à Paris,
MM. Theunis et Jaspar n'estimèrent qu'il
serait d'une politique pratique de renouve-
ler ces tentatives, les points de vue bri-
tannique et français étant, à leur avis, trop
éloignés l'un de l'autre pour qu'on pût ar-
river à les concilier. Malgré cela, pourtant,
ils n'ont jamais renoncé à l'idée de provo-
quer un rapprochement de ces points de vue
on des circonstances plus favorables. La
coopération belge avec la France dans Ifî
Ruhr ne les disqualifierait pas en elle-
même pour cette tâche, étant donné que les
raisons qui ont poussé ou plutôt forcé le
gouvernement belge à adopter cette voie,
ont été pleinement comprises, pour ne pas
dire prévus, ici. On peut même dire que
la Belgique a en main un enjeu de grande
valeur pour une nation voulant entrepren-
dre une action médiatrice dans le problème
des réparations et des dettes interalliées.
Il n'est donc pas improbable que MM.
Theunis et Jaspar regardent la note alle-
mande à venir comme une occasion favora-
ble pour une nouvelle tentative de serrer
les rangs alliés, soit que cette offre mérite
d'être prise en considération par les Alliés
comme base de discussion soit qu'elle offre
assez peu de satisfactions pour que tous les
Alliés croient devoir étudier en commun un
projet élaboré par eux. Dans ce dernier cas,
MM. Theunis et Jaspar pourraient mettre
en avant un plan belge de réparations qui,
dans ses lignes essenteilles, eût été, autant
que je sache, en état d'être présenté aux
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2357
Lundi 21 - Mercredi 23 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
,
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
't:.\U.EM\;'\[)E. - Les possibilités de
peux en J 917 : un c oui m unique alle-
L llhUld (Detlil/el' Tcujeblatt): — L'éven-
.tunJjl(' d'une nouvelle offre allemande
(vün Rheinbaben dans Zeit).
AMÉRICAINE. — La contrebande des
alcools aux Etats-Unis (A-eir York
Herald).
RESSE ANGLAISE. - L'attitude de la Belgi-
que (Daily Telegraph). - Le centenaire
de a Pasteur (Daily Chronicle). — La
erise ministérielle britannique (Daily
Chl'onicle). - La crise ministérielle
Uaniiique (Daily Telegraph, West-
minster Gazette).
'-:SE AUTRICHIENNE. — L'éventualité d'une
nouvelle offre allemande (Neue Freie
Presse).
POLI r
POLITIQUE GENERALE
HISTOIRE DE LA GUERRE
-- LEs POSSIBILITES DE PAIX EN 1917.
18.- COBIUJ\IQCE ALLEMAND. - Les journaux du
.) Pllbhent le .communiqué suivant :
La Ois "0 de la Commission
d' erlql-""tu parleii-ientaire, de l'ell-
d'enquète parlementaire, chargée de l'en-
s-SUr les possibilités de paix en 1917,
s'est occupée de l'affaire dite Briand-Lanc-
l;eil le a entendu un nouveau groupe de
tçm 0l.!l's et a examiné des documents im-
p0r,. lll. Cette affaire, entreprise sur l'ini-
tiaf
à jw ? franco-belge, se place au printemps,
66 et à l'automne 1917 ; elle avait pour
tet la rencontre de ces deux personnali-
tég t en pays neutre, en vue de discuter se-
Crè-fenient des conditions de paix. L'enquête
conduit aux constatations suivantes :
Wi - p¡-jntemp de 1917. le baron von
dia' 1 reçut à Bruxelles, par l'intermé-
^iait - e de personnalités belges, la nouvelle
qlle
que des hommes politiques français in-
flup :S seraient disposés à se rencontrer
de , POIUI' discuter sur les possihilitég
(je
de a,x- li se déclara prêt à entrer en con-
ver Sa^on et obtint, pour cette démarche,
alentirnent du chancelier von Bethmann-
fytç^^yeS et du haut-commandement. Il af-
cat' Jt d'abord en vain une autre communi-
eati 0ri) et c'est seulement à la fin de l'été
que l'idée d'une rencontre avec Briand sem-
bla se préciser. On fixa un entretien pour
le 23 septembre, en Suisse.
Entre temps, il y avait eu changement de
gouvernement à Berlin : M. von Bethmann-
Hollweg avait été remplacé par le Dr Mi-
chaelis, et le secrétaire d'Etat Zimmermann
par M. von Kühlmann. Ce dernier ne traita
pas cette affaire avec le même intérêt cha-
leureux que M. von Bethmann, mais il se
déclara pourtant consentant à la démarche
de M. von Lancken.
Le baron Lancken se rendit en Suisse
et reçut d'abord, le 21 septembre, la nou-
velle que M. Briand était obligé de différer
son voyage. Au bout d'une semaine, M.
Briand n'était pas arrivé, et le diplomate
allemand quitta la Suisse, mais continua de
se tenir à disposition. Par la suite, aucune
nouvelle suggestion ne fut faite par la
France, et l'affaire fut enterrée.
Sans aucun doute, Briand avait été em-
pêché de partir par l'intervention du prési-
dent du Conseil Ribot. Si le projet n'eut
pas de suite, cela tient certainement à des
considérations de politique intérieure fran-
çaise et à l'ensemble de la situation mili-
taire. Il y a aussi des indices que l'initia-
tive de l'empereur Charles et du prince
Sixte de Bourbon n'a pas été sans influence
sur les décisions de la France.
BERLINER TAGEBLATT, 18.5, matin.
——— ———
LES RÉPARATIONS
L' ATTITUDE DE LA BELGIQUE. — La
nouvelle que le gouvernement belge avait
fait ou avait l'intention de faire une dé-
marche en vue de la reprise de consulta-
tions approfondies entre toutes les capitales
de l'Entente destinées à préparer une ac-
tion collective interalliée, quand l'Allema-
gne soumettrait son offre de réparations
amendée, a suscité un vif intérêt à Londres
et, semble-t-il, une grande agitation à Pa-
ris. L'une des informations reçues à ce su-
jet ajoute que la Belgique est également
prête à prendre l'initiative de propositions
concernant les réparations.
Je ne pense pas que l'on sache généra-
lement que, lors de la dernière offre alle-
mande M. Jaspar, le ministre des Affaires
étrangères belge, a fait une louable tenta-
tive, au cours de conversations avec les
ambassadeurs des différentes puissances al-
liées, pour obtenir que ces puissances pren-
nent en sérieuse considération l'idée d'une
réponse collective à Berlin. A un certain
moment de la brève crise interalliée qui
s'est produite lors de la réception de la note
allemande, on a pu croire que la bonne vo-
lonté manifestée par M. Jaspar atteindrait
son but. De là cette vague d'optimisme de
si courte durée notée dans les milieux bri-
tanniques et qui a peut-être accentué le
désappointement ressenti quelques heures
plus tard quand on a su définitivement que
Paris s'était refusé à accorder plus qu'un
délai de courtoisie de vingt-quatre heures
pour la présentation d'une note séparée à
Berlin. M. Theunis n'avait, je crois, cessé
d'être un peu moins confiant que M. Jaspar
lui-même sur l'issue de la discrète tentative
faite par le ministre des Affaires étrangè-
res belge en vue d'un arrangement. Mais
il a pleinement partagé les regrets de ce
dernier devant l'échec de cette tentative et
l'impression produite dans notre pays par
cet échec.
Ces deux hommes d'Etat sont également
en faveur de la solidarité interalliée, et jus-
qu'à la conférence de Londres en août der-
nier ils avaient à plusieurs reprises réussi
à être les promoteurs d'un accord général,
même dans des circonstances très délicates
et très difficiles. Mais, au mois d'août, tou-
tes leurs tentatives pour arriver à trouver
une formule commune furent pour la pre-
mière fois, tout à fait inutiles, et ni en dé-
cembre à Londres, ni en janvier à Paris,
MM. Theunis et Jaspar n'estimèrent qu'il
serait d'une politique pratique de renouve-
ler ces tentatives, les points de vue bri-
tannique et français étant, à leur avis, trop
éloignés l'un de l'autre pour qu'on pût ar-
river à les concilier. Malgré cela, pourtant,
ils n'ont jamais renoncé à l'idée de provo-
quer un rapprochement de ces points de vue
on des circonstances plus favorables. La
coopération belge avec la France dans Ifî
Ruhr ne les disqualifierait pas en elle-
même pour cette tâche, étant donné que les
raisons qui ont poussé ou plutôt forcé le
gouvernement belge à adopter cette voie,
ont été pleinement comprises, pour ne pas
dire prévus, ici. On peut même dire que
la Belgique a en main un enjeu de grande
valeur pour une nation voulant entrepren-
dre une action médiatrice dans le problème
des réparations et des dettes interalliées.
Il n'est donc pas improbable que MM.
Theunis et Jaspar regardent la note alle-
mande à venir comme une occasion favora-
ble pour une nouvelle tentative de serrer
les rangs alliés, soit que cette offre mérite
d'être prise en considération par les Alliés
comme base de discussion soit qu'elle offre
assez peu de satisfactions pour que tous les
Alliés croient devoir étudier en commun un
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