Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-05-12
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 12 mai 1923 12 mai 1923
Description : 1923/05/12 (T24,N2350). 1923/05/12 (T24,N2350).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467022k
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTÈRE
DES
Maires étrangères
N° 2350
Samedi 12 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Ii est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - La note franco-belge
(Kölnische Zeitung, Theodor Wolff dans
Berliner Tageblalt). — Le traité de Ra-
pallo et le traité de Versailles (Dr Lud-
wig Haas dans Berliner Tageblatt).
PRESSE AMÉRICAINE. — Le mouvement sépa-
ratiste rhénan (New York, Times). —
L augmentation des salaires dans les
aciéries américaines (New York Eve-
ning Post). — L'aviation américaine et
la défense nationale (Kansas City Star).
PRESSE ANGLAISE. — Le procès Krupp (Pall
Mail Gazette, Westminster Gazette). —
La délégation commerciale des soviets à
Londres (Times). — Le territoire de la
Sanre : le débat du 10 mai à la Chambre
des Communes (Westminster Gazette,
Evening Standard).
PRESSE ESPAGNOLE. — La note franco-belge
(Epoca).
PRESSE ITALIENNE. — Le voyage à Rome des
souverains britanniques (Secolo, Tri-
buna).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
T-A NOTE FRANCO-BELGE. — PRESSE
.\LLE\1ANDE. - L'étude attentive de la note
- Poincaré renforce l'impression que le
gouvernement français cherche à rester
dans le bassin de la Ruhr pour des buts qui
ot. été déjà stigmatisés au début de l'inva-
Ion. Poincaré nous reproche d'avoir violé
le traité de Versailles et veut se faire pas-
Ser pour le gardien qualifié de cette paix im-
?osee. La note allemande, bien que laissant
a désirer pour l'habileté de ia forme est par
Sa teneur, un document qui voulait créer
l.lle base réelle de discussion. On s'atten-
ait bien ici, à Berlin, à des objections de
- Partie adverse. Pour établir un contact
re les deux points de vue, il eût fallu une
, SeusSlOll objective. Cependant Poincaré
est borné à une polémique telle que nous
da voyons tous les jours dans les articles
e fonds du Temps et d'autres journaux de
rnêrne tendance.
t SI le gouvernement français voulait con-
ester que teilles soient ses intentions, nous
ra J^Uerions ce que le général Mangin a
dit a Bruxelles le 27 avril. A une assemblée
ri: l'Union coloniale » 'Ë a prononcé un
scours sur la dernière année de la guerre,
l'armistice et la question rhénane. La pré-
sence du ministre belge des Affaires étran-
gères Jaspar donnait à ce discours un ca-
ractère officiel. Sa thèse était la suivante :
l'armistice a été conclu trop tôt. Si les ar-
mées alliées étaient entrées en Allemagne,
on aurait négocié non pas avec l'Allema-
gne, mais avec plusieurs « Allemagnes »
et surtout il eût été possible de créer un
gouvernement rhénan et une République
rhénane.
Il faut noter surtout ce que Mangin a cru
bon de déclarer au sujet de.la situation ac-
tuelle. A son avis les événements actuels
ont créé la même situation qu'en 1918 t't i!
est nécessaire de saisir cette occasion uni-
que qui s'offre, pour réparer les erreurs de
l'année 1918. Les applaudissements que le
général Mangin a recueillis à Bruxelles in-
diquent bien quelles sont les bases de
l'union de la France et de la Belgique.
KOELNISCHE ZEITUNG, 8.5, soir.
— M. Theodor Wolff conseille au gouver-
nement du Reich, comme contre-manœu-
vre, l'entrée de l'Altemagne dans la Société
des nations
Qu'est-ce qui doit et peut advenir mainte-
nant ? Il n'est pas du tout nécessaire de
répondre encore sur papier officiel à la
note de M. Poincaré et l'on ne doit recon-
naître ni directement ni indirectement le
droit de la France et de la Belgique de ré-
gler la question des réparations au nom de
toutes les puissances alliées. Est-il besoin
de répondre à l'exigence relative à la ces-
sation de la résistance passive ? Les An-
glais et tous les hommes raisonnables doi-
vent bien se rendre compte que l'Allema-
gne ne peut avoir la moindre intention de
briser sa seule arme de défense pour s'en
remettre ensuite, comme elle l'a déjà fait,
à la justice publique qui se promène sur le
boulevard. Au contraire, la résistance pas-
sive doit se faire plus forte que jamais, l'ad-
mirable population de la Ruhr doit pouvoir
compter plus que jamais sur le soutien éner-
gique de tous. Cela est précisément néces-
saire, si l'on veut en arriver à négocier.
Pour l'instant il faut attendre les coups
que projette lord Curzon. On devrait cepen-
dant se demander si l'Allemagne ne peut,
en même temps, entreprendre telle ou telle
démarche. Dès que parut la note alleman-
de, il fut évident que non seulement MM.
Poincaré et Theunis, mais aussi beaucoup
de personnes non tout à fait hostiles trouve-
raient obscure la phrase relative aux ga-
ranties de l'emprunt, et remarqueraient
l'absence de propositions précises. Si le
passage de la note allemande relatif aux
garanties avait été accompagné d'une décla-
ration circonstanciée et édifiante des gran-
des corporations économiques, on aurait en-
registré de meilleures impressions.
Ensuite il sera peut-être utile de réfléchir
sans passion aux raisons qui militent pour
l'entrée de l'Allemagne dans la Société des
nations, ou contre. Naturellement on ne
pourra y entrer que si l'on nous assure un
siège au Conseil de la Société et des droits
égaux. Il s'agit de savoir si, en ce mo-
ment, il ne serait pas diplomatiquement ha-
bile de recourir à cette idée qui plaît tant à
beaucoup de contemporains de marque. M.
Poincaré ne cherche, par sa note, qu'à se
fixer partout où il s'est introduit contre no-
tre volonté. Si nous allions là où il ne veut
pas nous voir ? — T. W.
BERLINER TAGEBLATT, 7.5, soir.
PRESSE ESPAGNOLE. — L'Allemagne se
trouve dans l'impossibilité matérielle de
payer comptant, comme cela se produirait
pour n'importe quel autre pays. En outre,
elle s'y montre peu disposée. Quant à
payer en recourant à des crédits, il ne lui
est pas possible de trouver quelqu'un pour
lui en accorer, tant qu'il y aura un créan
cier privilégiée, c'est-à-dire les alliés dont les
droits sont énormes en quantité et en quali-
té. Rien que les frais d'occupation des trou-
pes alliées en territoire allemand occasion-
nent des dépenses si élevées qu'elles em-
pêchent de payer le principal de la dette.
La meilleure, preuve que l'Allemagne n'a
aucun crédit, c'est qu'elle est dans l'impos-
sibilité absolue de mobiliser les bons du
Trésor allemand, qu'elle a remis, il y a
longtemps déjà, à la commission des ré-
parations. Les mêmes capitalistes français
qui. par patriotisme, sont le plus intéressés
à faciliter la mobilisation de ces bons et
qui, par leur nationalité, se trouveraient
mieux garantis que personne, se refusent
à le faire et s'efforcent de les faire endos-
ser aux banques étrangères, et, si possible,
aux banques des Etats-Unis.
La situation sans issue dans laquelle les
uns et les autres se trouvent engagés porte
également préjudice aux créanciers et aux
débiteurs. Ce conflit d'intérêts jette aussi, le
trouble chez les neutres, même si momen-
tanément ils en tirent des bénéfices.
Continuer de songer à des rivalités, à des
destructions et à des arrêts de travail pour
remédier à des dommages qui ont une
même origine, est une folie dont les intéres-
sés ne se rendent pas compte, parce que
l'amour-propre les aveugle. Mais !ts autres
nations craignent de voir à nouveau ci m-
promis l'avenir économique de l'Europe.
S'il ne se fonde pas sur la richesse, aucun
pouvoir, politique ou militaire, ne saurait
se maintenir longtemps.
EPOCA [de Madrid], 9.5.
DES
Maires étrangères
N° 2350
Samedi 12 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Ii est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - La note franco-belge
(Kölnische Zeitung, Theodor Wolff dans
Berliner Tageblalt). — Le traité de Ra-
pallo et le traité de Versailles (Dr Lud-
wig Haas dans Berliner Tageblatt).
PRESSE AMÉRICAINE. — Le mouvement sépa-
ratiste rhénan (New York, Times). —
L augmentation des salaires dans les
aciéries américaines (New York Eve-
ning Post). — L'aviation américaine et
la défense nationale (Kansas City Star).
PRESSE ANGLAISE. — Le procès Krupp (Pall
Mail Gazette, Westminster Gazette). —
La délégation commerciale des soviets à
Londres (Times). — Le territoire de la
Sanre : le débat du 10 mai à la Chambre
des Communes (Westminster Gazette,
Evening Standard).
PRESSE ESPAGNOLE. — La note franco-belge
(Epoca).
PRESSE ITALIENNE. — Le voyage à Rome des
souverains britanniques (Secolo, Tri-
buna).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
T-A NOTE FRANCO-BELGE. — PRESSE
.\LLE\1ANDE. - L'étude attentive de la note
- Poincaré renforce l'impression que le
gouvernement français cherche à rester
dans le bassin de la Ruhr pour des buts qui
ot. été déjà stigmatisés au début de l'inva-
Ion. Poincaré nous reproche d'avoir violé
le traité de Versailles et veut se faire pas-
Ser pour le gardien qualifié de cette paix im-
?osee. La note allemande, bien que laissant
a désirer pour l'habileté de ia forme est par
Sa teneur, un document qui voulait créer
l.lle base réelle de discussion. On s'atten-
ait bien ici, à Berlin, à des objections de
- Partie adverse. Pour établir un contact
re les deux points de vue, il eût fallu une
, SeusSlOll objective. Cependant Poincaré
est borné à une polémique telle que nous
da voyons tous les jours dans les articles
e fonds du Temps et d'autres journaux de
rnêrne tendance.
t SI le gouvernement français voulait con-
ester que teilles soient ses intentions, nous
ra J^Uerions ce que le général Mangin a
dit a Bruxelles le 27 avril. A une assemblée
ri: l'Union coloniale » 'Ë a prononcé un
scours sur la dernière année de la guerre,
l'armistice et la question rhénane. La pré-
sence du ministre belge des Affaires étran-
gères Jaspar donnait à ce discours un ca-
ractère officiel. Sa thèse était la suivante :
l'armistice a été conclu trop tôt. Si les ar-
mées alliées étaient entrées en Allemagne,
on aurait négocié non pas avec l'Allema-
gne, mais avec plusieurs « Allemagnes »
et surtout il eût été possible de créer un
gouvernement rhénan et une République
rhénane.
Il faut noter surtout ce que Mangin a cru
bon de déclarer au sujet de.la situation ac-
tuelle. A son avis les événements actuels
ont créé la même situation qu'en 1918 t't i!
est nécessaire de saisir cette occasion uni-
que qui s'offre, pour réparer les erreurs de
l'année 1918. Les applaudissements que le
général Mangin a recueillis à Bruxelles in-
diquent bien quelles sont les bases de
l'union de la France et de la Belgique.
KOELNISCHE ZEITUNG, 8.5, soir.
— M. Theodor Wolff conseille au gouver-
nement du Reich, comme contre-manœu-
vre, l'entrée de l'Altemagne dans la Société
des nations
Qu'est-ce qui doit et peut advenir mainte-
nant ? Il n'est pas du tout nécessaire de
répondre encore sur papier officiel à la
note de M. Poincaré et l'on ne doit recon-
naître ni directement ni indirectement le
droit de la France et de la Belgique de ré-
gler la question des réparations au nom de
toutes les puissances alliées. Est-il besoin
de répondre à l'exigence relative à la ces-
sation de la résistance passive ? Les An-
glais et tous les hommes raisonnables doi-
vent bien se rendre compte que l'Allema-
gne ne peut avoir la moindre intention de
briser sa seule arme de défense pour s'en
remettre ensuite, comme elle l'a déjà fait,
à la justice publique qui se promène sur le
boulevard. Au contraire, la résistance pas-
sive doit se faire plus forte que jamais, l'ad-
mirable population de la Ruhr doit pouvoir
compter plus que jamais sur le soutien éner-
gique de tous. Cela est précisément néces-
saire, si l'on veut en arriver à négocier.
Pour l'instant il faut attendre les coups
que projette lord Curzon. On devrait cepen-
dant se demander si l'Allemagne ne peut,
en même temps, entreprendre telle ou telle
démarche. Dès que parut la note alleman-
de, il fut évident que non seulement MM.
Poincaré et Theunis, mais aussi beaucoup
de personnes non tout à fait hostiles trouve-
raient obscure la phrase relative aux ga-
ranties de l'emprunt, et remarqueraient
l'absence de propositions précises. Si le
passage de la note allemande relatif aux
garanties avait été accompagné d'une décla-
ration circonstanciée et édifiante des gran-
des corporations économiques, on aurait en-
registré de meilleures impressions.
Ensuite il sera peut-être utile de réfléchir
sans passion aux raisons qui militent pour
l'entrée de l'Allemagne dans la Société des
nations, ou contre. Naturellement on ne
pourra y entrer que si l'on nous assure un
siège au Conseil de la Société et des droits
égaux. Il s'agit de savoir si, en ce mo-
ment, il ne serait pas diplomatiquement ha-
bile de recourir à cette idée qui plaît tant à
beaucoup de contemporains de marque. M.
Poincaré ne cherche, par sa note, qu'à se
fixer partout où il s'est introduit contre no-
tre volonté. Si nous allions là où il ne veut
pas nous voir ? — T. W.
BERLINER TAGEBLATT, 7.5, soir.
PRESSE ESPAGNOLE. — L'Allemagne se
trouve dans l'impossibilité matérielle de
payer comptant, comme cela se produirait
pour n'importe quel autre pays. En outre,
elle s'y montre peu disposée. Quant à
payer en recourant à des crédits, il ne lui
est pas possible de trouver quelqu'un pour
lui en accorer, tant qu'il y aura un créan
cier privilégiée, c'est-à-dire les alliés dont les
droits sont énormes en quantité et en quali-
té. Rien que les frais d'occupation des trou-
pes alliées en territoire allemand occasion-
nent des dépenses si élevées qu'elles em-
pêchent de payer le principal de la dette.
La meilleure, preuve que l'Allemagne n'a
aucun crédit, c'est qu'elle est dans l'impos-
sibilité absolue de mobiliser les bons du
Trésor allemand, qu'elle a remis, il y a
longtemps déjà, à la commission des ré-
parations. Les mêmes capitalistes français
qui. par patriotisme, sont le plus intéressés
à faciliter la mobilisation de ces bons et
qui, par leur nationalité, se trouveraient
mieux garantis que personne, se refusent
à le faire et s'efforcent de les faire endos-
ser aux banques étrangères, et, si possible,
aux banques des Etats-Unis.
La situation sans issue dans laquelle les
uns et les autres se trouvent engagés porte
également préjudice aux créanciers et aux
débiteurs. Ce conflit d'intérêts jette aussi, le
trouble chez les neutres, même si momen-
tanément ils en tirent des bénéfices.
Continuer de songer à des rivalités, à des
destructions et à des arrêts de travail pour
remédier à des dommages qui ont une
même origine, est une folie dont les intéres-
sés ne se rendent pas compte, parce que
l'amour-propre les aveugle. Mais !ts autres
nations craignent de voir à nouveau ci m-
promis l'avenir économique de l'Europe.
S'il ne se fonde pas sur la richesse, aucun
pouvoir, politique ou militaire, ne saurait
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