Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-05-10
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 10 mai 1923 10 mai 1923
Description : 1923/05/10 (T24,N2349)-1923/05/11. 1923/05/10 (T24,N2349)-1923/05/11.
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64670215
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTÈRE
DES
'FAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2349
Jeudi 10 - Vendredi 11 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
'* php ,
Pru.:SSE ALI.EM\\IJE. - L'offre allemande (II,
(n Gôrlach dans Welt am Montag).
r 0
'jf^ 5 AMÉRICAINE. - La reconstruction de
'\mriche (Xciv York Times). - Le
Jcances américaines sur l'Allemagne
(New York Times). - Le taux des im-
t J en ^ranc;e (Edward G. Lowry dans
p, ibi l,ic Leclger). ,
ï»Hrssr .GLAI,;E.. - La réponse franco-belge
(Dai/y Grajthic). - Les déclarations de
M. Laldwin et de lord Curzon, le 8 mai
(Daily relcfjïapit, Manchester Guar-
dian).
HONGROISE. — La Hongrie et l'em-
prunt étranger (Magyarsag).
I*rk -* ^■*E ITALIENNE. - La réponse franco-bel-
ge (Secolo).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
0FFRE ALLEMANDE. - Dans la
eli am .\fon/ag, -NI. H. von Gerlach étudie les
(''actrjstiques de la note allemande. Selon lui.
lest n5 l'empreinte de Munich par le ton, qui
n'es) pas C€k)i de la diplomatie. Elle est d'une
f)Y(:h{)I(,!,de pauvre, Puisque les meilleurs amis
< } Eilo r. 00" tient d'autres maladresses. C'est ainsi
Que uno a eu tort de parler de la rési-
nt passive. Non seulement il en parle, mais
c' ,.<;t Par là qu'il commence.
Quant aU fond même de l'offre. il faut l'ap-
Prouver -au î',Ond même l'oure. faut l'ap-
1 ceii tral-e de l'offre de Cuno est
bonne • elle consiste à lier une somme mi-
ni-ma ^ernîe à un facteur élastique, levalua-
d c, la capacité de paiement de l'Alle-
r«a^o Ue par une commission impartiale d'ex-
pei\ e. noyau est bon ; si seulement la
coquille était meilleure ! E'He gâte tout le
p 'Juaot à l'emprunt international que Cuno
PrnPose aux allies, il plane dans les airs.
Èst 06 Que l'on prêtera à l'Allemagne véri-
Iftb)enien^ tant de milliards-or ? Les per-
son nes compétentes en Allemagi-ic et à
n"Gr en doutent fort. En tout cas. on
rc là une chose que nous n'avons pas
encore. Mais nous pourrions l'obtenir en
offrant de réelles garanties. Ce ne fut pas le
cas jusqu'à maintenant. Ce point des ga-
ranties est le plus faible de la note alle-
mande. Nous ne pourrons recevoir des
milliards-or que si nous offrons des valeurs
réelles-or comme garantie. Un cinquième
de toutes les actions allemandes, un cin-
quième de la grande propriété agricole alle-
mande comme hypothèque or du' Reich,
voilà quelle serait la base d'un emprunt. in-
ternational !
Précisément, nous autres Allemands qui
cherchons, par la tête et par le cœur, la
paix avec la France, nous avons le devoir
patriotique de montrer les points faibles de
la note de Cuno. Nous sommes tous d'avis,
comme lui, de chercher à négocier. Mais
nous savons qu'il doit améliorer, renforcer,
élargir son offre, si celle-ci doit vraiment
devenir une base de négociations.
L'essentieil c'est d'arriver à négocier, de
donner la vie aux chiens de faïence.
Si l'insuffisance de Cuno se heurtait à
l'insuffisance de Poincaré, la responsabilité
du Français serait plus grande que celle de
l'Allemand. Cuno a fait le premier pas. Ce
fut un petit pas maladroit, en tout cas le
commencement d'un mouvement pour se
rencontrer. Si Poincaré reste malgré cela
aussi immobile que les monuments aux
morts qu'il inaugure tous les dimanches, il
sera coupable de manquer de bonne vo-
lonté.
Lord Curzon, qui semble devenir peu à
peu une sorte de bon génie de l'Europe, a,
par son premier discours, mis Cuno en
mouvement. Son deuxième discours semble
fait pour empêcher Poincaré de conserver
son intransigeance passive. Curzon craint
visiblement que, si l'Allemagne n'a affaire
qu'à la France, Poincaré ne repousse net-
tement l'offre. C'est pourquoi il déclare que
la question de la Ruhr ne regarde pas seu-
lement l'Allemagne et la France, mais
cc nous tous ». C'est pourquoi il demande
que l'Allemagne soit placée devant les dé-
cisions et les actes de toutes les principales
puissances intéressées.
Cela ne peut qu'être bien pour nous. Le
conflit franco-allemand n'est pas le conflit
privé de deux Etats. C'est une affaire inter-
nationale. Plus on la traitera d'une façon
internationale, plus rapidement on trouvera
une solution raisonnable.
Le monde a critiqué la note de Cuno, en
général, très sévèrement. C'était son droi.
Mais c'est son devoir d'abandonner cette
simple attitude négative et de s'efforcer,
dnns le sens de Cuno, de donner une solu-
tion internationale au confit de la Ruhr.
Seulement, en face de ce combat destruc-
teur de la Ruhr, les Anglais et lés Améri-
cains murmurent comme les pharisiens :
cc Seigneur, je te remercie de ne pas être
comme ces deux-là ! »
Notre devoir d'Allemand est d'agir par
tous les moyens licites sur le gouvernement
de Cuno, pour qu'il se détache de l'horizon
étroit de la Bavière, pour qu'il substitue
aux paroles nationalistes un acte vraiment
national, en créant les conditions d'un ac-
cord international, même au risque d'une
tempête dans la chope bavaroise ! — H. von
Gerlach.
DIE W ELT AM MONTAG, 7.5.
LA REPONSE FRANCO-BELGE. -
PRESSE ITALIENNE. — La Belgique et la
France ont répondu sans retard à l'offre
allemande, et leur réponse, comme il était
à prévoir, est complètement négative. Mais,
en dehors du contenu, de la note franco-
belge, nous devons avant tout souligner
que la procédure adoptée par les gouverne-
ments de Paris et de Bruxelles entame
l'unité d'action nécessaire des gouverne-
ments qui ont été alliés pendant la guerre
et qui devraient continuer à agiir solidaire-
ment, en considération de leurs intérêts
communs et de leurs droits communs, en
tout ce qui touche les réparations dues par
l'Allemagne à l'ensemble de ses anciens ad-
versaires, et non pas à la France et à la
Belgique seules. Des informations de Lon-
dres nous apprennent, que le ministre des
Affaires étrangères du Royaume-Uni s'est
plaint avec vivacité de la procédure adop-
tée, auprès des ambassadeurs de France
et de Belgique et que, si l'on tient compte
de la réserve traditionnelle dans les rap-
ports diplomatiques, lord Curzon a fait de
véritables scènes aux représentants de ces
deux gouvernements, oublieux des devoirs
les plus élémentaires de la solidarité in-
ternationale. L'indignation de lord Curzon
interprète sans aucun doute le sentiment
universel, à l'exception du sentiment fran-
çais qui tend évidemment depuis long-
temps à s'isoler et à devenir toujours plus,
étranger à la conscience du monde euro-
péen.
Si nous examinons maintenant le con-
tenu de la note franco-belge, nous voyons
qu'elle est fondée sur une idée préalable
parfaitement arbitraire. Le moment nous
parait, venu de l'examiner et de la tirer au
clair, à la lumiière des articles du traité de
Versailles auxquels la France et son alliée
la belge font. appel. La note franco-belge
affirme qu'il est inexact « qu'une mesure
quelconque ait été prise en violation du
traité de paix ». Les deux gouvernements
répètent donc que l'occupation de la Ruhr
est admise, sinon prévue, par le traité et.
que si l'Allemagne n'avait pas résisté aux
DES
'FAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2349
Jeudi 10 - Vendredi 11 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
'* php ,
Pru.:SSE ALI.EM\\IJE. - L'offre allemande (II,
(n Gôrlach dans Welt am Montag).
r 0
'jf^ 5 AMÉRICAINE. - La reconstruction de
'\mriche (Xciv York Times). - Le
Jcances américaines sur l'Allemagne
(New York Times). - Le taux des im-
t J en ^ranc;e (Edward G. Lowry dans
p, ibi l,ic Leclger). ,
ï»Hrssr .GLAI,;E.. - La réponse franco-belge
(Dai/y Grajthic). - Les déclarations de
M. Laldwin et de lord Curzon, le 8 mai
(Daily relcfjïapit, Manchester Guar-
dian).
HONGROISE. — La Hongrie et l'em-
prunt étranger (Magyarsag).
I*rk -* ^■*E ITALIENNE. - La réponse franco-bel-
ge (Secolo).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
0FFRE ALLEMANDE. - Dans la
eli am .\fon/ag, -NI. H. von Gerlach étudie les
(''actrjstiques de la note allemande. Selon lui.
lest n5 l'empreinte de Munich par le ton, qui
n'es) pas C€k)i de la diplomatie. Elle est d'une
f)Y(:h{)I(,!,de pauvre, Puisque les meilleurs amis
< } Eilo r. 00" tient d'autres maladresses. C'est ainsi
Que uno a eu tort de parler de la rési-
nt passive. Non seulement il en parle, mais
c' ,.<;t Par là qu'il commence.
Quant aU fond même de l'offre. il faut l'ap-
Prouver -au î',Ond même l'oure. faut l'ap-
1 ceii tral-e de l'offre de Cuno est
bonne • elle consiste à lier une somme mi-
ni-ma ^ernîe à un facteur élastique, levalua-
d c, la capacité de paiement de l'Alle-
r«a^o Ue par une commission impartiale d'ex-
pei\ e. noyau est bon ; si seulement la
coquille était meilleure ! E'He gâte tout le
p 'Juaot à l'emprunt international que Cuno
PrnPose aux allies, il plane dans les airs.
Èst 06 Que l'on prêtera à l'Allemagne véri-
Iftb)enien^ tant de milliards-or ? Les per-
son nes compétentes en Allemagi-ic et à
n"Gr en doutent fort. En tout cas. on
rc là une chose que nous n'avons pas
encore. Mais nous pourrions l'obtenir en
offrant de réelles garanties. Ce ne fut pas le
cas jusqu'à maintenant. Ce point des ga-
ranties est le plus faible de la note alle-
mande. Nous ne pourrons recevoir des
milliards-or que si nous offrons des valeurs
réelles-or comme garantie. Un cinquième
de toutes les actions allemandes, un cin-
quième de la grande propriété agricole alle-
mande comme hypothèque or du' Reich,
voilà quelle serait la base d'un emprunt. in-
ternational !
Précisément, nous autres Allemands qui
cherchons, par la tête et par le cœur, la
paix avec la France, nous avons le devoir
patriotique de montrer les points faibles de
la note de Cuno. Nous sommes tous d'avis,
comme lui, de chercher à négocier. Mais
nous savons qu'il doit améliorer, renforcer,
élargir son offre, si celle-ci doit vraiment
devenir une base de négociations.
L'essentieil c'est d'arriver à négocier, de
donner la vie aux chiens de faïence.
Si l'insuffisance de Cuno se heurtait à
l'insuffisance de Poincaré, la responsabilité
du Français serait plus grande que celle de
l'Allemand. Cuno a fait le premier pas. Ce
fut un petit pas maladroit, en tout cas le
commencement d'un mouvement pour se
rencontrer. Si Poincaré reste malgré cela
aussi immobile que les monuments aux
morts qu'il inaugure tous les dimanches, il
sera coupable de manquer de bonne vo-
lonté.
Lord Curzon, qui semble devenir peu à
peu une sorte de bon génie de l'Europe, a,
par son premier discours, mis Cuno en
mouvement. Son deuxième discours semble
fait pour empêcher Poincaré de conserver
son intransigeance passive. Curzon craint
visiblement que, si l'Allemagne n'a affaire
qu'à la France, Poincaré ne repousse net-
tement l'offre. C'est pourquoi il déclare que
la question de la Ruhr ne regarde pas seu-
lement l'Allemagne et la France, mais
cc nous tous ». C'est pourquoi il demande
que l'Allemagne soit placée devant les dé-
cisions et les actes de toutes les principales
puissances intéressées.
Cela ne peut qu'être bien pour nous. Le
conflit franco-allemand n'est pas le conflit
privé de deux Etats. C'est une affaire inter-
nationale. Plus on la traitera d'une façon
internationale, plus rapidement on trouvera
une solution raisonnable.
Le monde a critiqué la note de Cuno, en
général, très sévèrement. C'était son droi.
Mais c'est son devoir d'abandonner cette
simple attitude négative et de s'efforcer,
dnns le sens de Cuno, de donner une solu-
tion internationale au confit de la Ruhr.
Seulement, en face de ce combat destruc-
teur de la Ruhr, les Anglais et lés Améri-
cains murmurent comme les pharisiens :
cc Seigneur, je te remercie de ne pas être
comme ces deux-là ! »
Notre devoir d'Allemand est d'agir par
tous les moyens licites sur le gouvernement
de Cuno, pour qu'il se détache de l'horizon
étroit de la Bavière, pour qu'il substitue
aux paroles nationalistes un acte vraiment
national, en créant les conditions d'un ac-
cord international, même au risque d'une
tempête dans la chope bavaroise ! — H. von
Gerlach.
DIE W ELT AM MONTAG, 7.5.
LA REPONSE FRANCO-BELGE. -
PRESSE ITALIENNE. — La Belgique et la
France ont répondu sans retard à l'offre
allemande, et leur réponse, comme il était
à prévoir, est complètement négative. Mais,
en dehors du contenu, de la note franco-
belge, nous devons avant tout souligner
que la procédure adoptée par les gouverne-
ments de Paris et de Bruxelles entame
l'unité d'action nécessaire des gouverne-
ments qui ont été alliés pendant la guerre
et qui devraient continuer à agiir solidaire-
ment, en considération de leurs intérêts
communs et de leurs droits communs, en
tout ce qui touche les réparations dues par
l'Allemagne à l'ensemble de ses anciens ad-
versaires, et non pas à la France et à la
Belgique seules. Des informations de Lon-
dres nous apprennent, que le ministre des
Affaires étrangères du Royaume-Uni s'est
plaint avec vivacité de la procédure adop-
tée, auprès des ambassadeurs de France
et de Belgique et que, si l'on tient compte
de la réserve traditionnelle dans les rap-
ports diplomatiques, lord Curzon a fait de
véritables scènes aux représentants de ces
deux gouvernements, oublieux des devoirs
les plus élémentaires de la solidarité in-
ternationale. L'indignation de lord Curzon
interprète sans aucun doute le sentiment
universel, à l'exception du sentiment fran-
çais qui tend évidemment depuis long-
temps à s'isoler et à devenir toujours plus,
étranger à la conscience du monde euro-
péen.
Si nous examinons maintenant le con-
tenu de la note franco-belge, nous voyons
qu'elle est fondée sur une idée préalable
parfaitement arbitraire. Le moment nous
parait, venu de l'examiner et de la tirer au
clair, à la lumiière des articles du traité de
Versailles auxquels la France et son alliée
la belge font. appel. La note franco-belge
affirme qu'il est inexact « qu'une mesure
quelconque ait été prise en violation du
traité de paix ». Les deux gouvernements
répètent donc que l'occupation de la Ruhr
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